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 [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |

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Wada Yano
Wada Yano
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | 2ms2atz
Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | 2hwe5ts


[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeLun 21 Fév - 11:40


Cette soirée était vraiment hors du commun pour ne pas dire qu’elle semblait cruellement irréelle pour le jeune homme qui sentait sur son dos, la douce chaleur du corps de Ki Suk. Il s’accrochait désespérément à son cou alors qu’il tremblait littéralement de froid, ne faisant qu’approfondir son inquiétude à son égard. Il sentait son cœur cessait de battre à chaque fois qu’il le sentait frissonner de froid, resserrant encore plus fortement son étreinte autour de son corps à la recherche par tous les moyens, d’un bout de chair qui pourrait apaiser son corps prisonnier de cette fièvre. Si seulement il le pouvait, il le prendrait dans ses bras pour le réchauffer de son corps, le frictionnant pour lui apporter un peu de chaleur, mais c’était impossible. Pour l’instant, il était juste contraint de trouver en lui, des forces physiques pour avancer vers l’école pour qu’ils puissent retrouver un peu de chaleur tous les deux. Ce soir, ils avaient vraiment été inconscient des conséquences qu’allaient avoir leurs actes. Se lancer à la recherche de leurs compagnons sur un coup de tête sans prendre des précautions tels que leurs manteaux, leurs écharpes pour se protéger du froid et leurs parapluies pour la pluie, était tout simplement de la folie pure. Désormais, il en prenait parfaitement conscience et il ne pouvait s’empêcher de s’en vouloir de la situation. Le résultat de tout cela était un véritable échec. Ils étaient restés près de deux heures dehors, sous une pluie battante, si légèrement vêtus, cherchant comme des fous leurs animaux de compagnies en vain. C’était si frustrant de se savoir peut être si prêt d’eux sans pouvoir vraiment le savoir. Peut être que Shii et Oreka se tenaient de l’autre côté des couloirs qu’ils avaient empruntés ? Après tout cela n’était pas impossible mais la pluie avait effacée toutes traces qui auraient pu leur indiquer quel chemin ils auraient fallut qu’ils suivent pour éviter une telle catastrophe. Résultat de tout cela : Shii et Oreka étaient toujours disparus à l’heure actuelle, Ki Suk était trempé, sa peau était recouverte d’une fine pellicule de boue, sans parlé qu’il frissonnait de froid et qu’il était brulant de fièvre, et lui non plus n’était pas dans un état des plus éclatant. Il se sentait également fiévreux mais c’était encore bénin, cela pouvait donc attendre. D’ailleurs c’était le dernier cadet de ses soucis, la seule chose qu’il savait c’était qu’il avait hâte enfin d’atteindre les grandes portes de l’école qui était exceptionnellement encore ouverte à l’heure actuelle. Après tout, on était le 14 février et tous les couples de l’école étaient en train de fêter cette merveilleuse soirée dans leur coin. Peut être que s’il avait eu la force et le courage de se déclarer plus tôt à Ki Suk, lui exprimer les vifs sentiments qu’il ressentait à son égard depuis des mois pour ne pas dire des années, qui sait cette soirée qu’il avait vécu n’aurait eu aucune raison d’être. Shii et Oreka seraient restés bien sagement dans la chambre, il se serait retrouvé avec Ki Suk dans leur chambre et ils auraient surement passés la soirée ensemble en secret pour éviter tout problème, toute rumeur les concernant. En tout cas, ils ne seraient pas trempés, ni couvert de boue et fiévreux comme ils l’étaient actuellement.

Lorsqu’il franchit les portes de la grande entrée, il fut plus que ravi de ressentir la chaleur ambiante de l’école. Il faisait tellement bien plus chaud et il sentait même sa peau se réchauffer alors qu’il refermait derrière lui, profitant de cet instant pour reprendre son souffle qui commençait à lui manquer. Du coin de l’œil, il regarda l’horloge du hall, espérant qu’il n’était pas trop tard pour amener le jeune homme à l’infirmerie mais comme il l’avait pensé, il se faisait incroyablement tard. Ce qui le rassurait c’était qu’il savait qu’il lui restait quelque fiole de potion pour lutter contre la douleur et la fièvre. Suite à son accident, il lui arrivait souvent d’avoir des poussées de fièvre et les infirmières lui en avait donné au cas où. Cela faisait désormais un mois qu’il ne ressentait plus aucune douleur à son épaule gauche et donc il les avait gardés sagement au fond de sa malle. Sentant son souffle redevenir plus ou moins normal, il reprit enfin la marche en direction des dortoirs en passant à ce qu’il pourrait faire pour réduire la fièvre de son compagnon qui malgré la chaleur ambiante, continuait inlassablement de trembler contre lui, s’agrippant toujours à sa nuque pour rester bien accrocher. Pourquoi leurs dortoirs se trouvaient au quatrième étage ? Pourquoi diable l’école était si grande ? L’angoisse qui l’habitait était tellement forte, tenace qu’il avait l’impression qu’il pouvait imploser à tout instant alors qu’il voyait défiler sous ses yeux, ses couples qui le fixaient comme s’il était un OVNI, comme s’il n’avait jamais vu deux hommes trempés de la tête au pied de leur vie. Faisant comme s’il ne remarquait pas leur regard, il continuait inlassablement son périple dans les couloirs de l’école. Lorsqu’il aperçu la porte menant à leur salle commune, Yano se sentait d’un seul coup plus léger alors qu’il mettait ses dernières forces pour atteindre le plus rapidement possible leurs dortoirs.

Comme il s’en doutait, la salle commune de leur maison était vide à cette heure ci, et il monta en silence les escaliers menant à leur dortoir, s’apprêtant déjà à expliquer la situation à Sun Chang et Jun Ki s’ils se trouvaient dans leur chambre. Du moins, il espérait qu’un des deux soient là car l’idée de laisser Ki Suk à son triste sort après lui avoir administré les premiers soins ne lui plaisait guère mais pourtant il lui avait fait la promesse et il voulait la tenir. Il devait la tenir. Bien que cette éventualité ne lui plaise guère, il fallait absolument qu’il retrouve Shii et Oreka quoiqu’il lui en coute au risque de ne pas dormir de la nuit et de tomber malade, il n’avait point le choix. Il ne pourrait jamais se le pardonner s’il ne parvenait pas à les trouver ou s’il les trouvait dans un mauvais état, malade et faible. Il n’osait à peine imaginer cette éventualité tellement elle le faisait souffrir. C’est donc en pensant à tout cela qu’il ouvrit la porte de leur chambre, qui semblait vide et dans le même état que lorsqu’ils en étaient sortis quelques heures plus tôt. Cependant un détail d’une grande importance attira son attention et le rendit totalement pantois. Était-il en train de rêver ou était-ce bien la réalité ? Pour s’en assurer, il ouvrit et refermât mais l’image qu’il avait sous les yeux était bel et bien la même. Enroulé en boule sur le lit de Ki Suk se tenait leurs deux compagnons qui semblaient dormir profondément.

« Shii…Oreka…. » Murmura-t-il simplement totalement décontenancé, le souffle coupé alors qu’un soulagement sans précédent semblait prendre totalement possession de son être.

C’était si rassurant de les voir sain et sauf. Où étaient-ils allés ses idiots ? Se rendaient-ils compte à quel point leurs maitres s’étaient inquiétés pour eux. Comme s’il avait lu dans ses pensées, Shii bougea une oreille à l’énonciation de son prénom et releva la tête, les yeux endormis alors qu’Oreka faisait de même. En temps normal, Yano aurait surement grondé Shii, l’aurait puni mais à ce moment précis, il était si heureux de le voir en vie qu’il oublia totalement le reste et murmura doucement à Ki Suk en se tournant vers son visage.

« Rassures-toi Ki Suk, ils sont sains et saufs, regardes….Tu peux enfin te reposer en paix, tu le mérites, mon cœur. »

Puis comme s’il avait fini de lutter, il sentit l’étreinte du jeune homme s’affaiblir alors qu’il fermait les yeux comme acceptant que la fièvre ne l’emporte très loin de la chambre, de lui pour y trouver un peu de repos. D’un seul coup la respiration du jeune homme se fit plus rapide, plus difficile alors qu’il continuait de trembler littéralement contre son dos, inconscient en apparence. L’expression de souffrance qui se dépeignit sur le visage du jeune homme, le transcenda littéralement alors qu’il se précipitait jusqu’au lit de celui-ci pour l’allonger. Le voyant approcher leurs deux compagnons se levèrent pour lui laisser la place de l’installer. C’est donc avec douceur, qu’il passa sa main sur la nuque du jeune homme pour lui poser la tête contre l’oreiller. C’était si déchirant de le voir lutter contre la fièvre. Prit de panique, il ne savait plus par quoi commencer. Devait-il d’abord lui faire un petit brin de toilettes ou au contraire devait-il le sécher ? Peut être qu’il devrait plutôt lui administrer une des fioles ? Se grattant les cheveux comme pour tenter de garder les idées clairs, il prit la décision de commencer par le nettoyer. Se dirigeant vers sa malle d’un pas rapide, il l’ouvrit et en sortit son chaudron sous lequel il alluma un feu avant d’utiliser le sort d’aguamenti pour le remplir. En attendant que l’eau se réchauffe, il se dirigea vers son armoire pour en sortir des serviettes avant de revenir à la hauteur du jeune homme qui était toujours inconscient.

Dans un geste tendre, il caressa les traits de son visage et c’est dans un murmure doux qu’il murmure à l’oreille du jeune homme qu’il devait le déshabiller, embrassant tendrement sa joue alors qu’il tenait dans l’une de ses mains deux serviettes qui lui permettrait de sécher le jeune homme. Il prit donc la décision de monter à son tour sur le lit, surplombant le jeune homme qui était inconscient sous son regard. Bien que, la situation ne prêtait pas à ce genre de pensée, le jeune homme était incapable de rester de marbre devant l’image qu’il avait sous les yeux. Sentir l’objet de ses désirs sous lui, admirant par la même occasion chaque trait de celui, c’était une douce et cruelle torture. Se mordant les lèvres pour rester lucide, il se traitait intérieurement de pervers affublé d’un idiot mais il ne pouvait s’empêcher de scruter ses traits alors que ses doigts glissaient vers le bas ventre du jeune homme pour relever le débardeur trempé du jeune homme qui moulait si parfaitement ses abdos si tentateur. Plus il relevait le tissu, plus il se sentait frissonner sous une telle vision alors que ses doigts frôlaient par inadvertance cette peau si douce. Cela faisait désormais des années qu’il se sentait si faible face à ce corps qui faisait naitre en lui des pulsions si vives. Une attirance prononcée pour lui, qu’il avait tentée en vain de noyer dans l’œuf mais qui se ranimait à chaque fois qu’il avait sous les yeux, cette peau si belle, si attirante. Fermant les yeux alors que ses pensées saines semblaient fondre comme neige au soleil, il soupira doucement alors qu’il faisait remontait le vêtement du jeune homme jusqu’au haut de son torse, effleurant par la même occasion sans le vouloir vraiment du bout des doigts, un des boutons de chair du jeune homme alors que son autre main soulevait le torse du jeune homme le prenant ainsi dans ses bras pour le lui enlever.

Était-ce normal pour un homme de rester bouche bée devant les formes d’un autre ? Il n’en savait fichtrement rien mais en tout cas, ceux de Ki Suk le rendait littéralement fou alors qu’il tentait de reprendre son souffle, se forçant à garder les idées bien aux claires. Il n’était quand même pas si faible face à ses désirs ? De quoi aurait-il l’air s’il se laissait à ce genre de pensées alors que Ki Suk souffrait le martyr ? D’un véritable pervers sans parler d’un homme horrible. Fermant un instant les yeux, il tenta de se concentrer sur sa tache, il en allait de sa santé mentale et surtout de son intégrité en tant qu’homme. Reprenant enfin ses esprits, il s’exécuta à déboutonner le bouton du pantalon du jeune homme et fit glisser par la même occasion la fermeture éclair de celui-ci frôlant pas la même occasion le sexe du jeune homme à travers son boxer gris totalement trempé comme tout le reste. Se mordant de nouveau les lèvres, il passa délicatement ses mains sous les hanches du jeune homme pour les relever et faire glisser le pantalon au niveau de ses reins, pour lui retirer le plus délicatement possible. Il avait l’impression de mourir à chaque fois qu’il le frôlait, c’était trop excitant de pouvoir le caresser comme il le souhaitait, d’avoir la possibilité d’explorer la moindre parcelle de sa peau mais il ne devait pas, il devait rester river sur l’état de santé de Ki Suk, pourtant lorsque ses doigts passèrent sous l’élastique du boxer du jeune homme pour lui retirer à son tour, il avait l’impression d’avoir le cœur au bord des lèvres. Déglutissant, il fit descendre le boxer du jeune homme doucement et difficilement, touchant avec ses doits les reins du jeune homme alors qu’il pouvait enfin voir l’intimité du jeune homme en face de lui. Se sentant à deux doigts de craquer devant une telle vision, il s’obligea à fermer les yeux, et fit glisser les vêtements du jeune homme à ses pieds avant de s’éloigner de celui-ci pour aller chercher un gant pour essuyer toute marque de boue du corps du jeune homme. L’eau semblait être à la bonne température et il profita de cet instant pour reprendre quelques peu ses esprits alors qu’il plongeait le dit gant dans l’eau chaude pour l’humidifier. Il pouvait résister à ses pulsions sexuelles, il le devait même. Ne pas abuser de la situation ni de quoi que ce soit. Oui il devait y croire. C’est donc déterminé qu’il se dirigea de nouveau vers Ki Suk en évitant de laisser ses yeux vagabonder sur les traits de ce corps si beau. Il s’appliqua donc uniquement à nettoyer chaque parcelle de ce corps, le touchant comme s’il s’agissait d’un mannequin. Un mannequin qu’il traitait avec une douceur extrême veillant à n’oublier aucune parcelle de peau qui détenait une pellicule de boue. Forte heureusement seuls les bras, les cheveux et une partie du torse du jeune homme était atteint, et il parvint à retenir toutes ses pensées plus ou moins malsaines. Mais lorsqu’il s’occupa de sécher toute partie du corps du jeune homme avec une serviette, il devait reconnaitre qu’il était incroyable excité, sentant même son intimité se dresser devant un tel spectacle. Sentir ses doigts toucher si franchement la peau du Ki Suk, ce même à travers le tissu de la serviette, le rendait littéralement fou, l’obligeant à se mordre les lèvres pour ne pas succomber à son excitation. Il était ravi que Ki Suk soit inconscient et ne puisse pas remarquer avec quelle passion son corps réagissait aux siens, ni l’excitation sexuelle qu’il provoquait sur lui.

Bien que tout cela ne semblait avoir duré que quelques minutes tout au plus, Yano avait eu l’horrible impression que cela avait duré des heures alors qu’il se sentait mortellement excité. Puis un gémissement de douleur sembla le ramener à la réalité et toutes ses pensées s’évanouirent d’un seul coup comme si elles n’étaient jamais apparues. Repoussant les couvertures du jeune homme pour l’envelopper dessous, il se dirigea de nouveau vers sa malle et attrapa une des fioles en question alors qu’il humidifiait une compresse. L’apposant sur le front brulant du jeune homme, il ouvrit la fiole en question et en prit une gorgée avant de se diriger vers les lèvres du jeune homme pour lui faire boire celle-ci à travers plusieurs bouche à bouche pour que Ki Suk ne s’étouffe pas. Il resta quelques instants assit près de lui, et lui caressa les traits du visage dans un geste tendre avant de décider de se changer à son tour. Shii et Oreka qui étaient restés sagement dans leurs coins si dirigèrent aux pieds du jeune homme et s’installèrent tout simplement contre lui, comme ils étaient couchés lors de leur arrivé.

Le tableau auquel il assistait était trop adorable et il ne pu s’empêcher de sourire alors qu’il prenait enfin la décision de se changer à son tour. Très rapidement il échangea ses vêtements et sous vêtements trempés pour un boxer blanc et le bas de son pyjama après s’être séché les cheveux en les frictionnant avec une serviette. Lorsqu’il eut fini de s’occuper de lui, il se dirigea de nouveau vers Ki Suk, pour lui changer la compresse par une autre. Il se contenta alors seulement de l’observer alors qu’il se sentait désormais fatigué. Il faut dire que la journée avait été longue en émotion et il devait avouer qu’il se sentait également un peu fiévreux. Alors lorsqu’il sentit le jeune homme tremblait de nouveau sous sa couette, sans même penser à quelconque conséquence, il s’engouffra sous la couette du jeune homme, le prenant dans ses bras alors qu’il l’obligeait à caler sa tête contre sa nuque et que ses mains se resserraient autour des reins nus du jeune homme. Il se sentait si bien à son contact qu’il se laissa enivrer par l’odeur si exquise du jeune homme et ferma à son tour ses yeux, se sentant peu à peu s’endormir à son tour tout simplement…


Dernière édition par Wada Yano le Ven 10 Juin - 22:14, édité 3 fois
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Yoon Ki Suk
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeMer 23 Fév - 3:47

Lutter. Ki Suk essayait péniblement de lutter contre le sommeil tandis que les minutes s’écoulaient lentement aux yeux du muneo. La fièvre ayant pris possession de son corps depuis de nombreuses dizaines de minutes, il essayait à chaque instant de se rapprocher du corps de l’être aimé à la recherche d’une moindre source de chaleur qui pourrait apaiser ses tremblements, comme ce mal de tête qui ne cessait de s’accentuait. Avant même de partir de leur dortoir, pour venir à la rescousse de leurs animaux, il se savait déjà faible et un peu malade. Ces derniers jours il n’avait pas cessé de ressentir de nombreux maux de têtes et de se sentir épuisé plus rapidement qu’à la normale, c’était l’une des raisons pour lesquelles il s’était décidé initialement de se coucher à peine arrivé au dortoir après un entrainement de quidditch musclé et particulièrement épuisant. C’était ainsi qu’il remarqua que leurs animaux de compagnie s’étaient échappé de leur chambre, plus spécialement Oreka dans le cas du préfet. Ainsi lorsque Yano était apparu dans leur dortoir, ils s’étaient précipités quelques minutes plus tard dans les couloirs à leur recherche, ces mêmes recherches qui les avaient emmené à rentrer dans ce labyrinthe pour les trouver et venir les sauver. Fou, ils l’étaient sans aucun doute. Aucun des deux muneos n’avait seulement songé dans ce moment de précipitation à se couvrir, ou ne serait-ce que prendre des vêtements adéquats à la situation. Leur chambres n’étaient alors seulement qu’à quelques d’étages d’eux. Il suffisait seulement qu’ils se dirigent vers leur dortoir une dernière fois pour se préparer à les secourir. Cependant Ki Suk, dans une facette qu’il ne connaissait pas encore de sa personnalité, fut pris par un sursaut de courage, et emmena avec lui sans plus réfléchir Yano en direction de ce fameux labyrinthe, inquiet de l’état de santé de leurs animaux. Dehors, la pluie s’était abattue sur tout le domaine de château, n’épargnant que quelques rares lieux, le labyrinthe n’échappant nullement à ce torrent, le jeune homme s’était alors précipité là-bas, craignant encore et toujours ne pas revoir vivants leurs animaux. Il ne savait pas exactement combien de temps il s’était écoulé dans ce labyrinthe mais même s’il se trouvait dans un état aggravé à l’heure actuelle, il ne pouvait tout simplement pas regretter tous les évènements qui s’étaient déroulés à l’intérieur de celui-ci. Il avait embrassé Yano, dans un moment de pure folie, lié principalement à cette fièvre qui avait pris possession de son corps et lui avait avoué ses sentiments. Et ce fut avec une certaine joie qu’il vit celui-ci répondre à son baiser, et qu’il lui avoua à son tour que ses sentiments étaient réciproques. Alors désormais, même s’il se trouvait bien faible, incapable de marcher, malhabile, impuissant, dans l’impossibilité de tenir debout seul, il ne regrettait rien et serait même capable de nouveau d’agir ainsi pour ressentir toutes ses agréables sensations, partager des baisers si passionnés avec lui, caresser cette douce peau à laquelle il ne pouvait véritablement pas résister. Jamais, il n’aurait pu être si heureux qu’en cet instant. Ses sentiments étaient partagés. Yano l’aimait. Il l’aimait passionnément. Il ne regretterait pas cette fièvre qui le rendait si malingre, cette fièvre qui l’avait indirectement aidé à le rendre si complet même si à présent il souffrait le martyr simplement installé contre le dos de Yano. Ses tremblements ne cessaient d’être présents alors qu’il se rapprochait progressivement de l’entrée du château.

Simplement accroché au cou de Yano, sa tête appuyée nonchalamment contre sa nuque, le jeune homme ne faisait que peu attention au lieu environnant, ne remarquant pas qu’ils avaient franchi les portes de l’école et que la température s’était subitement augmentée. Il n’était que la victime de cette fièvre et ressentait toujours ce froid autour de lui, il luttait cependant pour ne pas devenir un gêne pour Yano qui le ramenait dans le château. Fatigué, las, il ne sentait plus réellement capable de penser correctement. Il ne songeait plus qu’à une seule chose, pouvoir retrouver un peu de chaleur, peu importe le lieu, il ne demandait qu’une seule chose à yano, qu’il lui permette de ne plus percevoir tous ses maux, qu’il l’apaise de n’importe quelle manière. Il ne distinguait nullement la présence des regards interrogateurs de ces élèves qui s’interrogeaient sur les raisons qui expliquaient à l’heure actuelle, ce qui les avait emmenés à rentrer dans un état si boueux. Ils étaient seulement partis à la recherche de leurs animaux, il n’avait rien d’extraordinaire alors à les voir ainsi. N’importe qui, qui resterait plusieurs heures sous la pluie, reviendrait dans cet état, particulièrement s’il était aussi peu équipé qu’eux pour affronter cette averse. Non il n’y avait décidément rien d’étrange à les trouver dans cette position.

Seulement au bout de plusieurs minutes qui lui parurent interminables, ils arrivèrent enfin dans leur dortoir et dans leur chambre. Semi-inconscient il put remarquer que Yano s’était soudainement arrêté dans leur avancée lorsqu’ils semblèrent arrivés à l’entrée de leur lieu de destination. Papillonnant des yeux pour essayer de d’identifier ce qui semblait gêner Yano, il essaya de voir devant lui mais sa vue étant encore troublante ne lui permit de voir devant lui. Cependant le muneo fit obliger de fermer les yeux gémissant doucement alors qu’une douleur fulgurante fit son apparition au niveau de son crâne. Son état semblait s’empirer et il s’en rendait indéniablement compte. S’il n’avait pas écouté Yano, il ne pouvait même pas songer en quel état il se trouverait à l’heure actuelle : inconscient, dans un état encore plus inquiétant que maintenant et peut-être que sa vie alors aurait été remise en jeu. Yano avait alors eu raison de se montrer si autoritaire dans les couloirs du labyrinthe. S’il ne l’avait pas été, sans aucun doute qu’ils seraient encore à l’heure actuelle dans le dédale à la recherche de l’animal sous cette pluie battante.

Ce fut la voix de son camarade, qui le ramena à la réalité et spécialement l’énonciation des deux prénoms de leurs animaux de compagnie, ces animaux qu’ils avaient tant cherchés. Le muneo resta quelques secondes immobile alors qu’il essayait à cerner tous les mots, Oreka et Shii semblaient être à présent sains et saufs. Sa fièvre le rendait réellement confus, leurs animaux ne pouvaient nullement être présents en ces lieux. Le muneo avait retourné pendant au moins cinq minutes chaque recoin de cette chambre. S’ils se trouvaient en cette pièce, il les aurait remarquées ! Un chat se remarquait, tout comme un écureuil, aussi petit qu’il soit. Non, la fièvre et ce mal de tête devait définitivement corrompre son esprit. Cependant lorsqu’il sentit le muneo se tourner vers lui, il ouvrit avec délicatesse se posant d’innombrables questions à propos de son comportement. Suivant la direction du regard de Yano, au milieu des figures floues, il remarqua une forme blanche sur ce qui semblait être son lit. Essayant d’omettre ses maux, il réussit au bout d’un certain temps à enfin y voir assez clair pour enfin voir ce que Yano cherchait à lui montrer. Sur son lit, reposait tout simplement Shii et Oreka. Les deux, semblaient tout simplement dormir tranquillement dans son lit, en ayant ne serait-ce même une goutte d’eau sur leurs pelages. Ki Suk papillonna des yeux pendant quelques secondes pour être sûr ne pas rêver. Comment étaient-ils arrivés là ? Comment pouvaient-ils seulement dormir simplement alors que leurs maitres avaient risqué leur vie dans ce maudit labyrinthe ? Même si Ki Suk leur en voulait ne serait-ce qu’un peu de les avoir autant inquiété, celui-ci s’attendrit rapidement devant cette vision alors que toutes ses angoisses disparaissaient. Shii et Oreka dormaient paisiblement ensemble. Ils se reposaient. Ils ne se trouvaient pas dans ce labyrinthe à affronter un quelconque danger. Ils ne risquaient pas leur vie à chaque instant. Ils étaient en sécurité. Les deux muneos n’avaient plus aucune raison de s’inquiéter à leur propos. Ki Suk pouvait désormais se laisser emporter par la fièvre et par le sommeil. Leurs animaux se trouvaient à l’abri dans leur dortoir. Tout simplement.

« Oreka…Shii… »

Ce fut donc sous quelques pensées et paroles que le jeune homme cessa de combattre, de lutter contre ces maux. Fermant les yeux, il se laissa tout simplement emporter et lâcha sa prise contre le cou de Yano tombant dans l’inconscience.

Désormais inconscient, la fièvre prit totalement possession de son corps tandis que ses tremblements s’accentuaient et que sa respiration s’accélérait peu à peu. Ne devenant alors qu’une simple poupée inerte. Ayant une confiance aveugle en l’être qu’il aimait, même inconscient, il cessa de lutter et se laissa agir comme il le souhaitait. Ce fut ainsi qu’il se trouva allongé à même le lit quelques instants plus tard, simplement appuyé contre son oreiller. Endormi, il n’entendit nullement les mots que le muneo avait murmurés à son oreille, il ne remarqua pas non plus le pois qui s’était soudainement rajouté sur son lit. Le muneo se retrouvait désormais au-dessus de lui, le surplombant, alors qu’il glissait doucement ses doigts sur sa peau tandis qu’il relevait doucement son débardeur boueux. Le seul contact de sa peau contre la sienne, le seul effleurement de ses doigts contre son torse, apaisa ne serait-ce quelques instants ses maux. Sentir contre sa peau, le torse de Yano, le moindre millimètre d’épiderme de celle de son camarade l’apaisait et le réchauffait. Son corps était bien trop habitué à la présence Yano pour que dans son inconscient il le repousse. Durant ses cinq années passées auprès de lui, ils avaient été habitués à se côtoyer et à être particulièrement proche et affectueux. Désormais son corps ne pouvait alors que réclamer le moindre contact, nécessairement alors qu’il savait que ses sentiments si puissants étaient partagés. Yano le protégerait n’importe la situation. Il ne devait alors ne rien craindre même en son état si fébrile. Il ne réagit nullement quand Yano commença alors à lui détacher les boutons de son pantalon si ce n’était en continuant à frissonner malgré la douce chaleur qui émanait des mains de son bien aimé. Inconscient des tourments de celui-ci, il laissa échapper un léger soupir de soulagement alors qu’il se retrouvait nu, le muneo n’avait plus à ressentir contre sa peau ses vêtements trempes. Même s’il tremblait encore, le froid semblait moins présent en lui. Son corps remarquant alors la subite disparition de cette source de chaleur, il se recroquevilla sur lui-même à la recherche de tiédeur.

Un temps qui lui parut indéfini s’écoula avant que son corps n’entre en contact avec une douce chaleur qui le fit frissonner de bien-être. Soupirant de plaisir, son corps réussit à se réchauffer progressivement alors que le muneo s’appliquait à le laver avec un gant humidifié, pour éliminer la moindre trace de boue encore présente sur sa peau. Le contact de la serviette sur son épiderme réussit à augmenter ne serait-ce qu’un peu sur sa peau, si ce n’était peut-être le contact des doigts du muneo qui le caressait si sensuellement tandis qu’il tentait de sécher sa chaire. Rien en cet instant ne pouvait plus dulcifier ses maux que le doux contact des mains de Yano sur son corps. Il en était plus que sûr en cet instant même dans son inconscient. Ces attouchements le réchauffaient indéniablement et il ne désirait aucunement que son traitement s’arrête si rapidement. Cependant malgré son traitement, une douleur fulgurante prit possession de son corps et il en gémit de souffrance. Ses tremblements revenant de plus en plus fort, alors que son mal réapparaissait ne lui laissant plus un seul instant de répit. Ce fut alors que le jeune homme l’enroula dans sa couette et malgré la chaleur du tissu, il ne put s’empêcher encore de souffrir. La fièvre ne pouvait-elle pas le laisser en paix ne serait-ce que quelques minutes ? Frissonnant encore, il se mit doucement à avaler la substance que Yano lui donnait au travers de ses bouches à bouches pour ne pas qu’il s’étouffe alors encore inconscient et endormi. Les fioles n’eurent pas le mérite de le soigner immédiatement mais, les douces caresses de Yano sur son visage l’apaisèrent un peu, la présence du jeune homme avait toujours eu le don de l’apaiser, n’importe la situation et particulièrement lorsqu’il était la victime de ses nerfs, et de ses angoisses.

Plusieurs minutes s’écoulèrent avant que son aimé vienne le rejoindre à nouveau dans son lit, à la différence cette fois que le muneo s’était inséré au milieu des couvertures et le serrait à présent dans ses bras. Sa tête reposant désormais contre sa nuque, les mains du muneo s’étant posé au creux de ses reins. Incapable de savoir si c’était sa présence à ses côtés, ou les fioles qui l’apaisaient enfin mais à présent, ainsi, il se sentait merveilleusement bien. Se serrant inconsciemment mieux contre lui, le jeune homme se mit à passer ses mains autour de son corps comme s’il ne souhaitait plus être détaché de lui. Ses frissons se réduisant progressivement, il s’endormit alors à son tour profondément, son esprit lui laissant enfin un temps de répit malgré ses souffrances encore présentes.

Plusieurs heures passèrent ainsi pendant lesquelles le jeune homme resta contre lui sans s’en rendre vraiment compte. Son esprit souhaitant seulement contre cette source de chaleur qui calmait ses tremblements incessants, et la froideur qui avait pris possession de lui. Cependant tout naturellement, les effets de la fiole ayant été produits. Sa fièvre réussit progressivement à se réduire, celle-ci se faisant moins forte, au contraire, son corps eut besoin d’évacuer un surplus de chaleur ô important. Papillonnant des yeux, le jeune homme mit un certain temps avant de se rendre compte qu’il se trouvait dans les bras de Yano et plus particulièrement dans son propre lit. Plusieurs secondes s’écoulèrent avant qu’il ne se rappelle des raisons qui les avaient emmenés à se trouver ensemble dans leur chambre. Ils se rappelaient bien être entré dans leurs chambres, avoir vu leurs chers animaux de compagnie sur ce même lit. Mais rien ne pouvait lui expliquer la situation si ce n’était peut-être que Yano s’était occupé de lui, et l’avait rejoint dans son lit. Il ne voyait alors que cette solution. Ces pensées furent cependant coupées alors qu’il lui semblait brulait de l’intérieur, la fièvre encore présente, il souffrait encore de ses symptômes. Ne cherchant nullement à réfléchir, il gémit doucement se collant contre le corps de Yano comme si celui-ci pouvait seulement apaiser la moindre de ses douleurs, encore inconscient de sa tenue actuelle et de la difficulté de l’interprétation de ses mots.

« Yano… j’ai chaud… si chaud… »

Dit-il toujours avec une voix fiévreuse, ne sachant aucunement si son camarade était encore endormi, ou s’il était réveillé. Il voulait seulement que ces douleurs disparaissent, rien de plus. Existait-il seulement un moyen de l’apaiser ?
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | 2ms2atz
Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeMer 23 Fév - 9:48

La journée avait été longue pour le jeune homme qui n’avait plus la force de lutter tout simplement contre ce que lui dictait son cœur. D’ailleurs avait-il vraiment lutté contre sa raison au cours de la soirée ? Si oui, s’il l’avait réellement fait, il fallait bien avouer que son courage, sa force s’était amoindrit car il était parfaitement conscient qu’au cours de cette soirée, c’était son cœur qui avait dominé tous les gestes de son corps. Cependant il ne réprimait aucun de ses gestes, ni des mots qu’il avait prononcé au cours de la soirée pour une simple et bonne raison : ses sentiments pour Ki Suk avait été mis à nus et ceux-ci étaient réciproques. De quoi le rendre littéralement fou de bonheur, au point qu’il avait l’impression que la barrière qu’il avait édifiée contre la force et la passion de ses émotions avait fondue comme neige au soleil. Il n’était plus que le humble serviteur et prisonnier des aléas de son cœur. Son organe vital qui avait du pendant tant de temps contenir ce qu’il ressentait véritablement pour cet être qu’il tenait désormais au creux de ses bras. Ki Suk pouvait-il se rendre véritablement compte de tous les frisons qu’il faisait naitre en lui ? Avait-il la moindre idée des pensées malsaines que chaque geste de sa personne avait sur son inconscient ? Peut être qu’il devait en avoir honte mais sans vraiment s’en rendre compte tout son corps avait commencé à se consumer pour celui de Ki Suk. Au début, cela n’avait été qu’un léger malaise qui l’habitait lorsqu’il se retrouvait face au torse si joliment musclé du jeune homme, puis au fil du temps et des années qui s’étaient écoulées cela été devenue un véritable trouble qui faisait naitre en lui des sensations, mais aussi des pensées dont il ne se serait jamais cru capable. Il le désirait tellement, si ardemment qu’il avait du ériger une frontière entre ses fantasmes et sa raison. Jusqu’à aujourd’hui, il s’était refusé à toute idée, à tout geste plus approfondi qu’il ne devait l’être mais maintenant qu’il savait cette inclinaison partagée, tout avait radicalement changé.

Le simple fait d’avoir fantasmé de cette façon sur le corps nu du jeune homme malade alors qu’il ne faisait que le déshabiller, était une torture pour sa pauvre âme qui s’en voulait cruellement. Était-ce normal de désirer si profondément quelqu’un au point de perdre toute raison, d’oublier toute convenance ou tout respect ? Il s’était senti si pathétique à cet instant luttant corps et âme contre ce que lui dictait les battements de son cœur si passionné de le voir ainsi à sa merci. Il aurait eu tout le loisir de laisser trainer ses fins doigts sur chaque parcelle de la peau de son compagnon, aurait pu l’effleurer du bout de ses lèvres comme le désirait tout ardemment son être. Seulement, il avait trouvé la force de réprimer toutes ses pensées par respect pour son ami. Il ne voulait pas être un homme qui le dégouterait, qu’il repousserait car il aurait abusé de sa confiance. Pourtant le résultat était le même, il brulait inconditionnellement de désir pour lui, souhaitant au fond qu’une seule chose : admirer chaque trait de son corps, de ses formes pour pouvoir les imprégner dans son esprit pour ne jamais les oublier. Cependant bien que son attirance pour Ki Suk était très prononcée, il ne voulait pas aller trop vite, préférant profiter pleinement de ces instants de tendresses, de passion comme il l’avait fait lors de ce langoureux baiser qu’il avait échangé avec sa moitié dans les couloirs du labyrinthe. Il désirait frémir, gémir, bruler uniquement du contact de sa chair contre celle de l’homme qu’il aimait que lorsque celui-ci serait conscient. Ce torride appétit de contact charnel s’était d’un seul coup calmé à cette pensée et c’était ainsi qu’il avait trouvé la force de se calmer, de retrouver un peu de paix dans son esprit embrumait par une fièvre. Une fièvre due à sa fatigue, sa condition physique ainsi qu’à ces pulsions qui s’étaient éveillés lorsqu’il avait du faire face à une telle situation.

Une fatigue telle que sans penser un seul instant aux conséquences de ses gestes, celle-ci l’avait poussé à retrouver les bras de Ki Suk qui s’était remit à trembler de froid. Le simple fait de ne pas avoir pensé à aucun instant que si l’un de leurs colocataires entrait dans la chambre, les trouvant ainsi louver l’un contre l’autre, risquait de mettre à nue le nouvel lien qui les liaient, montrait à quel point son esprit était fatigué, faible. Pourtant ainsi collé au corps du jeune homme, ses pensées étaient loin d’être véritablement saines : sentir ses mains autour de la taille du jeune homme à la naissance de ses fesses, la chaleur de son corps nu contre son torse ainsi que son souffle au creux de sa nuque, faisait naitre en lui des frisons de bien être, de désir, ainsi qu’une certaine plénitude. Il se sentait si bien auprès du muneo qu’il ne pu s’empêcher de pousser un léger gémissement de bonheur lorsqu’il sentit les bras du jeune homme venir l’enlacer à son tour alors qu’il semblait si loin de la réalité. Il avait tellement besoin de dormir après tant de nuits perdues à penser à Ki Suk, à ses sentiments à son égard, ainsi qu’à la tristesse de l’avoir à la fois si près et si loin de lui. Des nuits blanches qui auraient pu lui être épargnées si seulement il avait eu le courage de mettre à nu ses sentiments plus tôt. Pourtant cette confession n’aurait pas pu atténuer la passion de ses nuits tourmentées dans lesquelles il s’était permit de fantasmer sur Ki Suk, désireux de sentir sa chair contre la sienne, de laisser mouvoir ses doigts sur cette peau si désirée, si tentatrice pour son pauvre être. Des envies, que son corps encore fébrile face à ce qu’il avait ressenti plus tôt à la vue du corps nu du jeune homme, assaillirent de toute part l’inconscient du jeune homme. Son esprit fut donc obliger de se rappeler de la force, de la passion qu’il avait ressentie lorsque Ki Suk l’avait embrassé ainsi qu’au désir monstre qu’il avait éprouvé face à son corps dévêtu, se voyant cette fois ci le frôler de ses doigts alors que ses lèvres capturaient ses jumelles dans un langoureux baiser.

Perdu dans son rêve et alors qu’il lâchait de ses lèvres celle du jeune homme dans celui, il entendu le gémissement que Ki Suk poussa alors qu’il lui murmurait qu’il avait chaud, terriblement chaud. Alors c’est dans un état à demi endormi qu’il ouvrit les yeux se retrouvant face à un Ki Suk terriblement fébrile. C’était comme s’il était dans un rêve d’un érotisme tel que sa pauvre âme qui était tourmenté par cet être, ne pouvait résister.

« Pas autant que moi, si tu savais…Ki Suk. » Susurra-t-il sensuellement à son oreille alors qu’une de ses mains se plaçait sur la nuque de son bel aimé pour l’obliger à s’approcher doucement de ses lèvres.

Du bout de ses lèvres, il frôla celles du jeune homme avant de venir les capturer dans un baiser passionné. Sensuellement, il vint caresser celles-ci du bout de sa langue avant de venir cueillir la sienne dans un baiser plus langoureux. Son esprit qui était totalement persuadé d’être dans un songe, se laissa aller au bien être que lui prodiguait le contact de cette chair contre la sienne. Brulant de désir par ce simple plaisir, il se laissa gémir doucement alors qu’il continuait de l’embrasser, laissant ses doigts se mouvoir sur sa peau nue. Rejoignant sa jumelle après quelques caresses, les mains du jeune homme se faufilèrent de nouveau au niveau des reins du jeune homme, frôlant sa peau de façon plus prononcée. Il laissa alors ses doigts errer sur la peau si douce des fesses du jeune homme avant de venir se perdre au niveau de ses cuisses. Prenant en main l’une d’entre elles, il passa l’une des siennes entre elles pour venir approfondir ce contact entre leur deux corps. Continuant de l’enlacer passionnément, il remonta au niveau du torse du jeune homme caressant du bout de ses doigts les boutons de chair du jeune homme, les frôlant à peine alors que le manque d’air se faisait cruellement manquer.

Brulant, son corps l’était littéralement. Une chaleur bien trop réelle pour être due à un fantasme alors qu’il se sentait si dur contre le bas ventre de son amour, tout comme son souffle était bien trop coupé. Comme s’il s’éveillait d’un mauvais rêve, ses yeux s’ouvrirent comme effrayé par ce qu’il venait de faire.

« Ki Suk…Je… » Murmura-t-il tout simplement alors qu’il semblait enfin reprendre le contrôle de ses sens, la voix totalement coupée par le plaisir qu’il avait ressenti quelques secondes auparavant.

Bien entendu qu’il n’était pas en train de rêver, Ki Suk était bien trop brulant, bien trop fébrile à cause de la fièvre qu’il avait contracté dans le labyrinthe. Désormais qu’il semblait enfin s’éveiller, tous les souvenirs lui revenaient en tête et il se rendait compte qu’il avait abusé du jeune homme dans une certaine mesure alors qu’il était si faible. Prit de remord, ses mains quittèrent le torse du jeune homme comme s’il avait peur de le bruler, remontant tendrement vers son front pour vérifier sa température, alors que son regard se faisait coupable.

« Désolé…Je… Je n’aurai pas du…Pardonne moi… » Se contenta-t-il seulement d’ajouter alors qu’il n’osait à peine le regarder en face tellement il se sentait honteux d’avoir perdu ses esprits, profitant ainsi de l’état de santé de l’homme qu’il chérissait pourtant si fort.
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeVen 25 Fév - 11:14

Son corps le brulait, son corps lui semblait en feu alors qu’il resserrait son étreinte sur le torse de l’être aimé. Il se sentait si brulant contre lui. La fièvre ne semblait plus vouloir le quitter alors qu’il se sentait de plus en plus mal. Ses tremblements avaient soudainement repris alors qu’il venait de se réveiller de ses songes. La potion que Yano lui avait fait ingurgiter plusieurs heures auparavant ne semblait plus vouloir faire effet sur sa fièvre. Cette fièvre qu’il essayait de combattre depuis son apparition dans le labyrinthe après avoir commencé à se lever, après les fabuleux baisers qu’il avait échangé avec Yano qu’il serait bien incapable d’oublier. Son corps alors était devenu si brulant, tellement brulant qu’il n’avait pu que répondre activement à ses caresses ne s’occupant nullement de l’endroit où il se trouvait, ni l’état dans lequel il se trouvait à l’heure actuelle. A présent, il n’était que la victime de leur folie amoureuse, qui avait accentué ses faiblesses et son état maladif. Il ne regrettait nullement le déroulement de cette soirée, non, désormais il pourrait prendre dans ses bras Yano dès qu’il le souhaiterait, dès que son corps ressentirait le besoin de la peau de Yano contre la sienne. Désormais, il pourrait l’embrasser quand il le souhaiterait, lui murmurer des mots doux, lui avouer encore et encore tous les sentiments qu’il ressentait pour sa personne. Désormais il pourrait enfin vivre le vrai amour à ses côtés et lui confiait sa pleine confiance. Yano serait prêt à le protéger quoiqu’il arrive. Ils n’auraient plus à supporter son indifférence, cette froideur qu’il avait endurée pendant ses longs mois loin de lui. Dorénavant il pourrait enfin respirer la joie d’être à ses côtés, la joie de pouvoir admirer ses doux sourires qui faisaient chavirer son cœur, pouvoir être la personne à qui il adresserait ses regards si charmeurs. Comment avait-il seulement pu se rendre compte que si tardivement qu’il l’aimait ? S’il s’en était rendu compte avant, peut-être qu’ils auraient déjà vécu tant de moments magnifiques ensemble, peut-être qu’ils seraient encore plus heureux qu’en cet instant, ils n’auraient pas eu à supporter ces longs mois de souffrances séparés l’un de l’autre. Seulement il ne pouvait pas remonter le temps et accélérer ses révélations, cela relèverait du surnaturel et même si cela était possible, cela leur serait simplement impossible. Il leur avait fallu cinq années à se côtoyer pour se rendre compte que leurs sentiments n’étaient pas anodins et aucunement amicaux. Leurs sentiments avaient évolué pendant leur adolescence sans qu’ils le voient, comme tant d’autres personnes de leur âge, cette école ne faisant aucunement exception. Le muneo ne pouvait aucunement regretter leur désormais passé, même s’ils avaient souffert l’un comme l’autre de leur « dispute » quelques mois auparavant. Maintenant qu’il se trouvait dans ses bras, il ne pouvait rien regretter. Même cette fièvre qui le faisait atrocement souffrir en cet instant.

Gémissant doucement contre Yano, il lui avait murmuré qu’il avait terriblement chaud, ne se rendant pas compte, trop fiévreux alors, qu’il se trouvait être dans une position ô ambigüe et particulièrement aux yeux de Yano, qui rêvait tout simplement de lui et de leur dernier baiser. Son esprit était obnubilé par cette chaleur qui le brulait et qui l’empêchait de penser correctement. Il cherchait simplement à apaiser ces brulures et ressentir un peu de fraicheur contre son corps, il ne demandait à Yano alors que de le soigner tout simplement. Rien de plus. Cependant alors qu’il sentit Yano se réveillait doucement de son rêve, il eut la surprise de ne pas le voir agir en conséquence de ses paroles ou disons qu’il semblait avoir mal interprété ses propos. Sentant la main de son aimé se plaçait sur sa nuque alors que ses lèvres commençait doucement à captures les siennes dans un baiser passionné, leurs langues se mélangeant doucement et formant une sensuelle danse. Ki Suk, même malade, était incapable de pouvoir résister à ce baiser et répondait positivement au baiser alors qu’il sentait même son corps devenir de plus en plus brulant. Cette chaleur était bien différente de celle sa fièvre, elle était tellement plus agréable. Seulement alors que le jeune homme semblait aller vouloir plus loin dans le baiser, il se rendit enfin compte qu’il n’était nullement habillé, ni portant un seul bas de pyjama qui pourrait couvrir une seule partie de son corps. Sinon il n’aurait pas senti ses mains si douces caressaient ses reins, ni ses doigts frôlaient ses fesses, ni caressaient ses cuisses nues. Jamais le jeune homme n’avait été caressé ainsi par une quelconque manière et même au milieu de sa fièvre, il ne pouvait qu’apprécier ce contact ô agréable, laissant même échapper un doux gémissement alors que Yano venait de faire passer entre ses jambes l’une des siennes, ce contact qui l’électrisait encore plus alors collé à Yano. Etait-ce normal qu’il se sente si bien dans ses bras alors que jusqu’à présent il n’avait, jamais un seul instant, songé à vivre l’une de ses sensations avec la moindre personne ? Il était follement amoureux de cet être, il en était plus que se sûr et il se trouvait bien incapable de pouvoir résister au moindre attouchement de celui-ci. Inconsciemment alors que ses yeux se trouvaient fermés, il se mit à caresser doucement le dos du jeune homme, frôlant ses reins alors qu’il se laisser aller au baiser. Il devenait fou, oubliant presque que son corps était malade et lui réclamait ne serait-ce qu’un peu de repos. La peau de Yano était si douce, si tentatrice qu’il ne pouvait pas s’empêcher de vouloir la toucher encore et encore alors qu’il lui prodiguait des caresses sources de plaisir. Sans aucun doute qu’il aurait dû l’arrêter mais en cet instant il se sentait bien trop faible, trop fébrile pour ne pas réagir à ses caresses. Il se sentait esclave de ses sensations ayant perdu tout raison. Ses doigts qui frôlaient ses bouts de chairs un instant ne purent qu’augmenter son excitation. Il était bien trop sensible en cet instant, la moindre caresse l’électrisait. Seulement Yano s’arrêta soudainement alors que son souffle se faisait difficilement, le manque d’air se faisant présent.

Rouvrant les yeux doucement difficilement, le muneo vit au bout de quelques secondes le visage effrayé de son bien aimé à ses côtés. Ne comprenant pas sa réaction de suite, son esprit fiévreux n’arrivant pas à tout cerner, il eut un certain mal à comprendre ce qui dérangeait le jeune homme pour qu’il soit si effrayé. Laissant échapper un doux soupir alors qu’il sentait la main de Yano posait sur son front encore brulant. Si seulement le muneo pouvait trouver un calmant pour le soigner, n’importe quoi qui pourrait l’apaiser, faire arrêter ces tremblements persistants qu’il ressentait plus fort, son esprit ne songeant plus alors aux douces caresses que Yano lui prodiguaient. Son esprit embrumé alors ne pouvant plus penser qu’aux douleurs que lui infligeaient cette fièvre. Yano s’excusait ? A quoi bon. Lui aussi avait troublé l’esprit de Yano au travers de ces paroles. Il n’avait alors rien à se reprocher. Il était tout aussi fautif l’un que l’autre. Yano n’avait pas à se sentir gêné par quoi que ce soit. Il aurait bien voulu lui expliquer les choses ainsi mais en cet instant, il se sentait bien trop faible pour lui expliquer les choses ainsi. Il souhaitait seulement qu’il le guide vers le chemin de la guérison, rien de plus. Alors c’est avec la voix fébrile qu’il s’adressa à lui tout simplement en essayant de garder son souffle et d’ignorer ses douleurs qui le tiraillaient de plus en plus.

« Ce n’est pas grave… Yano… s’il te plait… j’ai chaud… j’ai si mal... »

Il ferma les yeux subitement alors qu’il sentait son cœur battre de plus en plus vite, ses tremblements se faisant de plus en plus forts, laissant échapper une expression douleur apparaitre sur son visage. Cherchant un moyen de calmer ses douleurs il se rapprocha du corps de Yano, laissant ses mains s’agripper à lui. Non, il devait tenir pour ne pas inquiéter plus son aimé. Cette crise ne devait en aucun cas se transformer en crise d’angoisse. Yano était là pour le protéger, pour le soigner, il n’avait aucune raison de s’inquiéter, son cœur devait ralentir, se calmer. Fermant les yeux, il chercha petit à petit à reprendre sa respiration pour calmer ses poumons. Respirer doucement. Expirer. Inspirer. Il ne devait rien avoir de plus facile, rien de plus facile pour lui qui n’avait jamais eu aucun problèmes de santé, respiratoires depuis sa naissance. Il se devait de se calmer. Yano était près de lui ? Il ne risquait rien, quoiqu’il arrive il serait là prêt à le protéger. Non. Il se trouvait en sécurité. Dans un lieu sûr.



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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeDim 27 Fév - 5:19

Le cœur au bord des lèvres, le souffle court, Yano était encore perturbé par ce qu’il venait de faire. Persuadé d’être dans l’un de ses fantasmes, de ses rêves où il pouvait pleinement profiter du contact de la chair de son bien aimé sans aucun tabou, il n’avait pu résister aux mots si tentateurs, si sensuels à son oreille que lui avait susurrée le jeune homme, se collant à son échine à la recherche de contact. Perdu dans ses tendres pensées, il n’avait pu résister à cet appel alors que son corps se consumait au contact de la peau de Ki Suk sur la sienne. Il voulait tellement frôler de ses fins doigts chaque parcelle de ce corps si sexy, si attrayant, embrasser du bout des lèvres cette chair qui le rendait littéralement fou de désir. Il désirait plus que tout le toucher, le caresser et l’embrasser de la façon la plus douce et sensuelle qu’il soit pour qu’ils puissent chacun de leur côté, ressentir ce que cela faisait vraiment d’avoir relation plus poussée lorsqu’on était fou de l’être aimé. Le désir charnel qui avait tant d’importance à ses yeux avait prit tous son sens depuis qu’il avait commencé à être attiré par Ki Suk. Pendant de longs mois, de longues années, il avait lutté contre cette passion naissante qui était contre nature. Par peur ou intégrité, il avait refoulé tout cela jugeant cette attirance impure à leur relation qui était basé sur une affection tendre, chaste et naturelle et une amitié forte.

Puis il s’était avoué ses sentiments et tout cela avait changé. Peut être était-ce la véritable raison qui l’avait contrait à s’éloigner du jeune homme ? Inconsciemment, surement. Yano était un être bien trop passionnel, fusionnel lorsqu’il tenait à une personne ou à quelque chose. S’il était resté auprès de Ki Suk, il savait parfaitement que son cœur qui avait prit l’habitude de se libérer en compagnie du muneo, finirait par guider ses gestes comme il l’avait fait ce soir dans le labyrinthe. Il serait venu le jour ou pas inadvertance, ses lèvres se serraient posés sur la nuque du jeune homme, l’embrassant tendrement ayant perdu les sens de la réalité, enivré par son parfum si envoutant tandis que ses bras l’auraient prit dans ses bras mettant totalement à nu tous ses sentiments. C’est de cela qu’il avait eu peur, de ne plus être capable de se contenir alors que son âme s’emplissait jour et nuit de Ki Suk, au fil du temps. Alors il avait préféré s’éloigner de lui et ce qui s’était passé dans la trappe n’avait fait que le persuader du bien fondé de sa logique même s’il s’était avoué que vivre si loin de Ki Suk était une épreuve qu’il ne pouvait, souhaitait plus supporter. C’est ainsi que ses fantasmes s’étaient mit à le tourmenter. Depuis le fameux accident de la trappe, lorsqu’il parvenait à s’assoupir alors que son bien aimé se trouvait dans le lit à côté, il rêvait inconditionnellement de ses lèvres, de leur chaleur, du bonheur qu’il avait ressenti à leur contact ainsi que du plaisir. Un tel désir de contact qui petit à petit était devenu plus charnel au point qu’il s’imaginait embrasser chaque parcelle de ce corps de ses lèvres, la suçotant, et la caressant du bout de sa langue souhaitant qu’une chose procurer du plaisir au jeune homme pour qui son cœur battait si fort.

C’est pour cette raison qu’il avait peut être préféré se laisser berner par les mots du jeune homme, établissant sa conviction dans laquelle ce genre de mots qui sortaient de la bouche de son muneo, n’était possible que dans l’un de ses songes. Un Ki Suk, totalement nu, se collant à lui à la recherche de contact, de désir ne pouvait être que le fruit de son imagination et il avait continué son rêve en mettant à l’œuvre ce que son cœur désirait plus que tout. Se noyant dans sa propre folie, il avait fait abstraction de toute réalité et s’était tout simplement laissé à cette passion partagée. Ki Suk semblait tellement apprécier ses caresses, répondait en venant caresser son dos du bout des doigts, frôlant ses reins comme pour lui apporter un plaisir comme il le faisait avec ses mains sur son corps. Etre caresser par l’être aimé, c’était si excitant, si sensuel et bouleversant, qu’il fondait littéralement devant cette fougue au point de se rendre compte que ce qu’il se passait dans son rêve ne l’était pas totalement.

Non, à l’heure actuelle, il était bel et bien en train de caresser avidement les fesses et cuisses du jeune homme comme ses boutons de chairs. C’est cette réalité qu’il l’arrêta net dans sa folie, dans sa passion prenant enfin pleinement conscience de ce qu’il était en train de se passer. Il s’était senti d’un seul coup si pathétique, si indigne d’être un homme qu’il n’avait pu s’empêcher de lui demander pardon. Il voulait qu’il lui pardonne d’être si faible face à ses tourments alors que lui, qu’il avait promit de protéger, souffrait d’une fièvre qui ne souhaitait pas le quitter, le gardant prisonnier de ses maux. Comment avait-il pu se fourvoyer à ce point, profitant de la condition de faiblesse de son aimé qui l’empêchait de riposter, de le repousser ? Il avait cruellement honte de son comportement, de ses gestes qu’il venait d’avoir et ce bien que son cœur pensait le contraire et ne désapprouvait point tout ce qu’il venait de se passer. Une chose qu’il aurait pu se pardonner, s’il ne voyait pas avec quel force et courage Ki Suk luttait corps et âme pour reprendre ses esprits et ne pas succomber à l’appel de cette terrible fièvre. La main sur le front du jeune homme, Yano prenait pleinement conscience que la température du jeune homme, n’avait point baissée et celle-ci avait du augmenter face à ses assauts sur son pauvre corps malade. Cependant il semblait croire que le jeune homme ressentait un certain bien être éphémère de sentir sa peau sur la sienne, une sensation surement de fraicheur sur sa pauvre chair qui bouillonnait de chaleur. Il souffrait tellement que Yano était au bord de l’angoisse, incapable de trouver une solution à son mal être, se haïssant même de ne pouvoir rien faire pour lui, si ce n’est de le regarder lutter.

Dans une plainte si faible, le jeune homme lui demandait de l’aider, qu’il avait si chaud et si mal, alors qu’il semblait de plus en plus fléchir face aux attaques de cette cruelle température qui refusait de le quitter. C’est ainsi qu’impuissant, le jeune homme fut contraint de voir le jeune homme trembler alors qu’il s’agrippait à lui comme on pouvait le faire autour d’une bouée de sauvetage pour garder la tête hors de l’eau. Yano connaissait trop bien le jeune homme pour comprendre qu’il était à deux doigts de faire une crise d’angoisse et il était incapable de dire ou faire quoique ce soit pour la faire disparaitre. Qu’est ce qu’il pouvait faire pour lui ? Y’avait-il un moyen comme un autre pour tenter de le rassurer alors qu’il était lui-même paniqué et que l’idée de le perdre commençait à trouver sa place dans son esprit ? Si oui, il souhaitait que quelqu’un lui insuffle la réponse pour qu’il puisse agir en conséquence mais il ne fallait pas croire aux miracles. Alors s’il souhaitait vraiment aider le jeune homme, il devait avant tout retrouver son calme, réfléchir à ce qu’il pouvait faire pour l’aider. Au cours de son enfance et de ses lectures, il avait bien du lire quelque chose concernant les maladies de l’homme et les moyens de les prévenir et guérir ? Bien entendu, donc lui qui était une encyclopédie vivante, qui retenait pratiquement tout ce qu’on lui disait, devait donc être capable de s’en souvenir. En théorie oui et il aurait surement déjà eu la réponse si son cœur ne battait pas si fort dans sa poitrine et si son esprit n’était pas si perturbé par l’idée atroce de perdre le jeune homme.

Serrant le jeune homme contre sa poitrine, il ferma les yeux pour tenter d’apaiser ses propres angoisses et s’ordonna de fouiller dans sa mémoire pour y trouver les informations, mots clés qui pouvaient le mener sur la bonne voix. Quels étaient les symptômes et les effets sur l’organisme ? Température élevée de l’épiderme, qui entraine frissons et transpiration selon ses différents stades. Une potion anti douleur peut être efficace dans ses conditions cependant les risques de déshydratation et perte hydrique en substances nutritives ne seront pas vraiment écartées. Donc il est préconiser de boire beaucoup d’eau pour réhydrater l’épiderme et de se nourrir d’aliments riche en sucre et en sels minéraux. Privilégiez un bon bain de un à plusieurs degrés en dessous de celle du corps pendant quinze minutes qui pourrait faire baisser la fièvre. Récitant son souvenir du livre à haute voix alors qu’il visualisait la dite page où était annoté toutes ses recommandations, il était enfin parvenu à retrouver son calme. Il devait donc le faire boire, s’occuper de refroidir son corps ou du moins son cerveau grâce à des compresses à température inférieure à celle du corps et trouver quelque chose de sucré à lui donner. C’est donc après avoir baiser le front du jeune homme en lui murmurant qu’il s’occupait de tout, qu’il ne devait point s’inquiéter et qu’il ferait tout pour le guérir, qu’il se retira du lit doucement en détachant l’étreinte du jeune homme autour de son corps.

Il se dirigea ainsi vers son armoire pour prendre une serviette qu’il roula sur elle-même pour en faire une compresse. Une compresse qu’il plongea dans l’eau du chaudron qui était désormais plus fraiche qu’auparavant puisqu’il avait arrêté le feu plus tôt après avoir nettoyer le jeune homme. Profitant de cette occasion pour le rallumer, il prit également une serviette pour venir essuyer la peau luisante de transpiration du corps du muneo, jugeant qu’il n’était pas bon de le laisser ainsi. Après s’être correctement équipé, il s’empressa de rejoindre le jeune homme, inquiet de le retrouver plus mal que lorsqu’il avait quitté quelques secondes auparavant alors que son cœur se comprimait de le voir dans un tel état. Si seulement il pouvait prendre un peu de sa fièvre pour apaiser sa souffrance, il le ferait sans hésiter mais c’était impossible, alors en s’installant auprès du jeune homme au bord du lit, il essuya tendrement toute trace de sueur sur son visage à l’aide de la serviette, se rendant ainsi compte que le jeune homme avait incroyablement sué depuis qu’il l’avait longé dans son lit. La couette du jeune homme était incroyablement mouillée et cela risquait d’approfondir la fièvre du jeune homme. Quittant un instant le lit du jeune homme, il se dirigea vers son lit pour le préparer à recevoir son aimé. Il avait prit la décision d’y longer le jeune homme qui était contraint de tenter de trouver la paix dans des draps trempés par sa sueur. Il pensait que c’était mieux pour le jeune homme de se retrouver dans des draps secs, du moins il avait l’infirme conviction que son raisonnement était logique.

« Ki Suk, accroches-toi à ma nuque, je vais te longer dans mon lit. Tes draps sont trempes, je m’occuperai de toi, une fois là bas. » Susurra-t-il doucement à l’oreille du jeune homme alors qu’il le tournait vers lui, soulevant sa couette par la même occasion étant de nouveau face à ce corps nu qui le rendait si fébrile.

Déglutissant, il s’obligea uniquement à penser au jeune homme, passant un de ses bras sous les genoux du jeune homme alors qu’il aidait le jeune homme à passer son bras autour de sa nuque, tandis que sa main se faufilait autour de se taille pour bien le tenir contre lui. Sentir son corps nu contre son torse était loin de ne lui faire aucun effet, il brulait littéralement devant ce contact de leurs deux chairs mais il se forçait à garder les esprits clairs, se dirigeant droit vers son lit pour l’allonger délicatement sur ses draps. Une fois la chose faite, il attrapa la serviette en question qu’il avait utilisée pour essuyer son visage et s’évertua à répéter l’opération qu’il avait exécutée précédemment mais cette fois ci, il enlevait toute trace de sueur du corps nu du muneo qui comptait sur lui. Évitant de se disperser, il se contenta seulement de se fermer hermétiquement à toute pulsion que son cœur le contraignait d’avoir. Quand il eu fini cette périlleuse tâche qui ne l’avait pas laissé totalement indifférent malgré ce qu’il souhaitait croire, il se contenta seulement de le recouvrir de son drap, après avoir apposé la compresse humide sur son front en s’asseyant près de lui. S’il ne se trompait pas le jeune homme était dans la seconde phrase de la fièvre, il était donc plus sujet à déshydratation et son corps devait désormais retrouver son équilibre. Enfin il tentait de se rassurer comme il le pouvait avec ça. Il devait donc le faire boire pour le réhydrater, c’était désormais primordial. Il prit donc en main la bouteille qui se trouvait sur sa table de chevet et l’ouvrit présentant le goulot de la bouteille aux lèvres du jeune homme dont il avait prit la peine de surélever la tête.

« Ki Suk, bois cette eau, s’il te plait… Même si tu as du mal à le faire. Ton corps risque de se déshydrater sinon…De plus, ça aidera ton corps à réguler sa température. » Murmura-t-il doucement alors qu’il penchait doucement la bouteille par de légers balancements pour donner le temps au jeune homme d’avaler l’eau qu’il lui offrait à boire.

Après quelques gorgées, le jeune homme lui indiqua par un signe de tête qu’il ne voulait plus boire. Il enleva donc la bouteille des lèvres de son aimé, lui disant qu’il ne devait pas hésiter à lui dire s’il désirait boire de nouveau plus tard. Puis avec un regard tendre, il commença à lui caresser doucement le visage du bout de ses doigts, les laissant trainer sur la joue du jeune homme, les traits de son visage et sa nuque, souhaitant par ce léger contact charnel que cela abaisse l’esprit du jeune homme.

« Reposes-toi Ki Suk…Je reste à tes côtés…N’ait aucune crainte, je serais là. » Murmure-t-il tendrement alors que son autre main prenait dans la sienne celle du jeune homme mêlant ses doigts à celle-ci.

Oui, il pouvait lui faire confiance, il veillerait sur lui quoiqu’il arrive désormais.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeSam 12 Mar - 13:05

Les minutes s’écoulaient très lentement, démesurément lentement pour notre muneo qui s’accrochait désespérément au corps de son aimé, alors qu’il lui semblait brûler de l’intérieur à chaque instant. Son esprit était bien trop préoccupé par cette douleur qui le rongeait pour qu’il s’inquiète de la vision qu’offrait son corps à celui qu’il aimait. Bien inconscient de la tension sexuelle qui pouvait circuler en cet instant entre leur deux corps, tandis qu’il se trouvait entièrement nu dans les bras de l’être aimé, l’être qui le désirait démesurément depuis tant de semaines, qui ne rêvait que de toucher le moindre centimètre de sa peau. Accroché ainsi, le jeune muneo, trop innocent pour se rendre compte de la situation ô complexe dans laquelle il se trouvait, ne songeait qu’à trouver un moyen d’alléger ses douleurs. Faible, tremblant, il se trouvait dans l’incapacité de se soigner par lui-même, incapable ne serait-ce que de poser un pied dans cette chambre pour demander de l’aide auprès de la moindre personne. La salle commune était vide, comme leur chambre à l’heure actuelle. Leurs colocataires devaient se trouver ailleurs, sans doute à participer à cette soirée de la Saint Valentin avec leur cavalière, ou peut-être passer la passer parmi les livres, dans la bibliothèque. Une chose était certaine, en cet instant, seul Yano était en capacité de l’aider et de le protéger alors qu’il se sentait de plus en plus faible, alors qu’il lui semblait sentir son cœur battre de plus en plus rapidement. Etait-ce normal d’avoir si chaud ? Etait-ce normal de sentir sa peau frissonner au moindre mouvement qu’il effectuait ? La maladie prenait progressivement de plus en plus d’importance en l’intérieur de son métabolisme. Son corps essayait vainement de lutter contre celle-ci tandis que les effets de la potion ne semblaient plus fonctionner sur son corps, sa fièvre ne l’avait pas quitté et semblait devenir de plus en plus forte, le laissant alors en proie à de terribles tremblements. Peut-être que sa fièvre avait baissé, peut-être que la potion l’avait soigné en partie, mais en cet instant il ne s’en préoccupait pas. Il souhaitait seulement pouvoir réduire ses souffrances contre le corps de son aimé. La main fraiche de Yano contre son front, l’avait ne serait-ce qu’un peu apaisé, le contact de cette peau avait allégé ses souffrances quelques secondes. L’angoisse envahissait progressivement tout son être alors qu’il s’accrochait avec désespoir au dos de Yano. Seul, lui, pouvait espérer le calmer en cet instant. Personne en cet instant ne pouvait espérer être aussi efficace que son aimé, il s’accrochait avec désespoir à lui.

Le muneo laissa échapper alors un gémissement de manque, de frustration alors qu’il sentait Yano quittait son corps, se soulever de leur étreinte. Son aimé murmura doucement à son oreille qu’il s’occuperait de tout, qu’il ferait son maximum pour le guérir de cette fièvre et qu’il n’avait aucune raison de s’inquiéter, dès lors qu’il serait à ses côtés dans cette dure épreuve. Ses quelques mots à peine murmurés à son oreille eurent le mérite de calmer progressivement son angoisse. Yano serait là pour le protéger, il serait à son écoute et le défendrait de tous les dangers. Il n’avait donc rien à craindre, son angoisse n’avait pas de raison d’être. Sa fièvre n’était sans doute qu’anodine lorsqu’on en prenait en considération le fait que son état n’était dû qu’à une exposition importante de son corps au contact de l’eau, de la pluie qui s’abattait sur l’ensemble du château. Il ne couvrait certainement pas une maladie grave qui nécessiterait bien plus d’inquiétude à son état actuel. Il suffisait d’attendre, de se faire soigner et tout s’arrangerait. Yano prendrait soin de lui peu importe la manière. Le jeune préfet avait grandement confiance en son aimé, suffisamment confiance en lui pour savoir qu’il pouvait compter sur lui. Ces quelques paroles eurent alors le mérite de calmer son inconscient et son angoisse, alors qu’il s’éloignait de lui pour chercher le matériel qui lui permettrait de le rafraichir. Plusieurs secondes passèrent avant que le muneo ne refasse son apparition à ses côtés, tenant dans ses mains une simple compresse qu’il appliqua sur son visage pour y effacer les traces de transpiration sur son doux visage. Le jeune préfet avait indéniablement transpirée depuis l’apparition de sa fièvre et particulièrement depuis que son corps semblait en feu. Le contact de la compresse sur son visage eut alors le mérité de calmer cette même chaleur qui le brulait de l’intérieur, le muneo laissa donc échapper un doux gémissement de bien-être.

Les mots de Yano mirent plusieurs secondes à traverser son esprit, avant qu’il ne réussisse à comprendre exactement ses propos. Yano souhaitait qu’il s’accroche à son cou pour qu’il le dépose sur son lit, le sien étant trempé à l’heure actuelle dû à sa transpiration et peut-être même la chaleur issue des quelques caresses qu’ils avaient eu à partager quelques minutes auparavant, alors que Yano croyait être en plein milieu d’un rêve. Sans aucun doute alors que cette sueur n’était pas uniquement dûe à la fièvre, son origine venait aussi de la passion qu’ils avaient partagée ensemble, quelque temps plus tôt. Le muneo essaya donc avec le plus force possible, qu’il lui restait et qui était disponible de s’accrocher au cou de Yano, obéissant sagement à ses ordres. Se laissant porter comme une simple poupée sans vie, le préfet ne réagit pas lorsqu’on son corps entre en contact avec la peau douce de son aimé. Ce contact, bien loin des pensée malsaines de Yano, se trouvait être plus qu’agréable et apaisant à ces yeux. Sentir sa peau, autant aujourd’hui que dans son passé, avait toujours eu un effet apaisant pour le jeune homme. Pendant ces cinqs longues années, il avait eu à connaitre le muneo et un lien étroit entre les deux protagonistes s’était créé simplement et avec étrangéité, les deux meilleurs amis s’étaient habitué à avoir des contacts un peu « intime », dans le sens où ils leur arrivaient se s’endormir côté à côté, l’un contre l’autre sans qu’aucun des deux individus ne ressente le moindre gêne. Ainsi, cette position délicate ne lui semblait pas si étrange, si on ne négligeait pas le fait qu’il soit nu dans ses bras, la situation pouvait être interprétée très différemment autant pour les muneos que pour leur camarade. Avoir entre ses bras, un corps nu n’avait sans doute rien d’altruiste.

Doravant un pantin, il se laissa aller contre lui, fermant les yeux pour apprécier ce moment, depuis combien de temps n’avait-il pas su retrouver entre ses bras, ou ne serait-ce que de subir le moindre geste de caresse de sa part ? Trop longtemps, beaucoup trop longtemps pour le muneo qui ne souhaitait alors ne plus quitter ses bras ô protecteurs, ces bras qui lui avaient tant manqué après ses longues semaines d’absence. Se laissant faire, il se retrouva alors, allongé contre ce fameux lit tandis que Yano prodiguait un certain soin contre son corps à la recherche de la moindre trace de transpiration. Une fois la tâche accomplie, il ressentit de nouveau contre son corps le drap le recouvrir alors que le sommeil semblait doucement refaire surface, tandis que son corps semblait se calme progressivement, au fur et à mesure des minutes. Les yeux encore fermés, il laissa échapper un léger râle de bien-être alors que Yano lui permettait d’enfin pouvoir avaler une certaine quantité d’eau, qui lui permit alors de ressentir une sensation de béatitude, tandis que l’eau s’écoulait dans sa gorge et que son corps acceptait le liquide, s’hydratant progressivement. Cependant, il eut à peine à avaler quelques gorgées pour que son corps cesse toutes demandes d’eau, celui-ci devait s’adapter doucement à une reprise normale du fonctionnement de son organisme. Exprimant à son aimé, le fait qu’il n’en voulait plus et que sa soif s’était calmée pour le moment.

Le temps qui s’écoula alors à partir de ce moment-là lui parut indéfini, son esprit étant alors obnubilé par les douces caresses de Yano sur son visage. Ses paupières fermées, il lui semblait être dans un monde ailleurs, un monde bien plus agréable qu’auparavant. Ses tremblements avaient cessé, la chaleur qui le possédait semblait s’être atténuée progressivement même s’il se sentait à l’heure actuelle encore un peu nauséeux, les séquelles de cette fièvre ne risquait nullement de s’évanouir si rapidement. Les douces caresses du muneo sur son visage, les cajoles sur sa nuque ne purent que l’apaiser dans cette douleur tandis que Yano, prenait entre ses doigts ceux de Ki Suk et lui murmurait des mots si doux, si tendres pour calmer sa douleur et ses souffrances. Sans aucun doute qu’aux yeux du jeune préfet, jamais aucun médicament, ou potion n’aurait été capable de lui faire autant de biens que ces caresses pour le calmer. Le muneo avait toujours eu ce don de toujours réussir à l’apaiser peu importe la situation, et leur escapade dans le labyrinthe en avait été la preuve. Il était certain que le muneo n’aurait jamais été si courageux en la compagnie d’une quelconque personne, si ce n’était peut-être sa meilleure amie.

Plusieurs minutes s’écoulèrent ainsi, alors que le muneo somnolait simplement, serrant dans sa main les doigts de Yano, et appréciant ses cajoles lui permettant de s’apaiser simplement. Ouvrant les yeux doucement, il reprit peu à peu ses esprits, se rendant compte que son corps s’était apaisé, un peu, mais qui semblait aussi encore en proie à la moindre faiblesse. Papillonnant des yeux il put voir à ses côtés le visage de son aimé qui l’observait avec un regard inquiet et à la fois amoureux. Ne pouvant quitter son doux regard et avec le peu de forces qu’il avait, il releva doucement sa main pour caresser les doux traits de son visage, lui souriant et le regardant amoureusement.

« Merci… vraiment merci Yano de prendre encore soin de moi. Je ne sais comment te remercier si ce n’est en te disant que je t’aime véritablement. Même si à l’heure actuelle, je me retrouve dans un sale état, je ne pourrais pas regretter ce baiser, ô grand jamais… je t’aime tellement, tellement… »

Souriant encore, il caressait les doux traits de son visage alors qu’il lui demandait tout simplement d’échanger alors un énième baiser, même s’il trouvait malade. La passion qui le consumait ne suppliait qu’une chose, retoucher à ses lèvres, le ré-embrasser encore et encore et ne jamais le quitter, quoiqu’il arrive. Jamais, il n’aurait pu se sentir plus complet qu’en cet instant, serrant dans sa main les doigts du jeune homme et l’observé à le veiller. Non, il n’aurait véritablement pas pu être aussi heureux, oh non.
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Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeDim 13 Mar - 2:55

Yano n’aurait pu pour rien au monde camouflait l’inquiétude qui l’habitait actuellement alors qu’il veillait si promptement sur Ki Suk. Comment aurait-il pu en faire autrement alors que son corps était secouait par une inquiétude telle qu’il avait l’impression de mourir à petit feu ? Peut être que si cette personne qui se trouvait être si mal n’était pas Ki Suk ou un membre de sa famille, peut être qu’il aurait trouvé en lui la force nécessaire pour camoufler un tel trouble. Cependant, à l’heure actuelle, il ne disposait plus de force assez conséquente pour dissimuler ses pensées derrière un masque de fer, une expression maitrisée comme il avait toujours apprit à faire. Si l’un de ses colocataires pénétrait dans la pièce, il ne pourrait alors qu’être frappé par l’inquiétude qui se peignait sur son visage alors qu’il regardait tout signe annonceur que pouvait lui faire le corps du dit malade. Peut être même que ce colocataire pourrait se rendre compte de la réelle nature des sentiments qui l’habitait vis-à-vis du jeune préfet qu’il observait si tendrement désormais, incapable de retenir plus longtemps ceux-ci. Pourtant, il savait qu’il devait trouver la force de le faire…Il ne pouvait résolument pas laisser quiconque connaitre ces sentiments pour Ki Suk, ni même le nouveau lien qui les liait désormais. Les conséquences d’une telle chose pourrait se révéler être si catastrophique pour lui. Comment réagirait ses parents si jamais ils découvraient sa liaison avec le jeune homme ? Quel pourrait être leur ressenti en apprenant que leur enfant, leur digne héritier n’était au fond qu’un garçon qui pouvait tomber si profondément amoureux d’un autre ? Quelle serait alors leur réaction si en plus de cela, ils découvraient que le garçon qu’ils avaient prit plaisir à accueillir sous leur toit comme un sang mêlé n’était en réalité qu’un simple sorcier né moldu et que leur fils, leur digne enfant en avait fait un ami, un meilleur ami, un amant ? Rien que d’imaginer tout cela était pénible pour lui. Yano n’avait jusqu’alors jamais menti à ses parents. Bien qu’intransigeant dans leur façon de l’éduquer, ils avaient toujours été ouvert à lui, il savait qu’il pouvait leur parler avec franchise, leur dire qu’il était en désaccord avec leur avis tout en exposant des arguments précis et tranchant. Ses parents jusqu’alors avaient toujours eu en lui, une confiance aveugle et ne remettait jamais en doute la véracité de ses paroles alors ils acceptaient les divergences d’opinions qu’ils pouvaient avoir entre eux à partir du moment qu’il ne le faisait jamais ouvertement en public.

Il savait alors que si toute cette histoire était mise au grand jour, les conséquences de tout ceci ne seraient pas sans incidence. Ses parents heurtées de s’être fait fourvoyer par leur enfant, l’être de la communion de leur deux chairs, serraient alors sans appel. Il imaginait sans trop de mal, une convocation en bonne et due forme, et ce qu’importent les règles en vigueur dans cette école. Ils allaient lui exiger des explications, la vérité et lorsqu’il l’aurait fait, il était persuadé qu’un ultimatum allait suivre. Jusqu’à ce jour, il avait concédé à ses parents le fait d’être un digne héritier dans le seul but de protéger Aika et Eichii de cette pression, de ces obligations qui étaient dues à son rang. Il avait accepté qu’on maitrise son caractère, qu’on fasse de lui une poupée inexpressive, qu’on aille jusqu’à lui imposer une épouse, un avenir déterminé, dans l’unique intention qu’on laisse la possibilité à sa jeune sœur et son jeune frère, la liberté de choisir le leur. Ses parents bien trop fier de la personne qu’ils avaient fais de lui, avait consenti encore une fois à sa demande. Il faut dire qu’il en faisait tellement peu, bien trop résigné, trop calme pour faire des caprices comme Aika ou Eichii. Comment refusait l’une de ses requêtes alors qu’il acceptait la contrepartie d’un tel accord ? Bien que cela était étrange pour une famille de faire de tels accords, Yano pensait que c’était quelque chose de normal et c’était donc ainsi qu’il avait fait en sorte de protéger les êtres auxquels ils tenaient de tout son cœur. Cependant en sortant avec Ki Suk, un moldu de surcroit, alors qu’il était désormais lié à Sun Hee, il avait pleinement conscience qu’il ne remplissait plus les termes de son contrat et qu’il n’y aurait alors que deux choix possibles qui s’ouvrirait à lui : soit il abandonnait tout lien avec Ki Suk et ses parents respectaient toujours leur engagement, soit il persistait dans cette voix qui était contre nature à sa réputation et ses parents reviendraient sur leur décision et leur accord. Les conséquences d’une telle rupture étaient alors évidentes pour le jeune homme : ses parents le renieraient puisqu’il faisait du tord à leur famille et ferait en sorte désormais qu’Aika et Eichi répondent à leur exigence en étant encore plus drastiques dans leur éducation. Rien que cette idée, le rendait malade. Comment pourrait-il se pardonner une telle chose si cela arrivait ? Comment pourrait-il alors vivre pleinement son amour alors qu’il saurait que ses jeunes cadets vivraient ce qu’il avait enduré au cours de son enfance ? Non, il ne pourrait être heureux et pourtant…Pourtant il ne pouvait se résoudre un jour à abandonner cet homme qui luttait si vaillamment contre la fièvre. Il l’aimait si fortement, si passionnément. Il était désormais primordial à sa survie, il ne pouvait se résoudre de vivre sans lui…Ne plus être à ses côtés, ne plus pouvoir admirer ces traits si doux, si apaisant, si irrésistibles à ses yeux, ça serait comme lui enlever le cœur de sa place initiale. Au cours des derniers mois passaient sans lui, Yano ne pouvait être frappé que par cette évidence. Sans lui, désormais, il ne serait alors qu’une enveloppe corporelle vide. Il finirait petit à petit par se consumer dans une mort lente et douloureuse, qui le laisserait alors amer et terriblement seul. Il s’était tellement laissé aller à ses côtés, lui avait ouvert si profondément les portes de son cœur qu’il était désormais partie intégrale de sa vie. Ki Suk était désormais la lumière, l’air dont il avait plus que besoin pour continuer à marcher sur la voie qu’il avait choisit. Alors même si cette pensée était horrible, il était indéniable que si ce jour arrivait, il ne pourrait plus se mentir, se laisser dépérir de la sorte alors qu’il savait que les sentiments qu’il ressentait était partagé.

La seule chose qu’il pouvait faire, c’était de faire en sorte que ce jour arrive le plus tard possible, d’attendre qu’Aika et Eichi puisse être enfin majeur et être eux aussi capable de choisir la destinée qui leur était propre. Il suffisait seulement d’attendre qu’Eichii atteigne 20 ans, juste quatre ans…Mais dans son esprit quatre ans semblait si long, si lointain alors qu’il se sentait mourir d’amour pour cet être que ses doigts effleuraient tendrement pour lui apporter un peu de plénitude. D’ailleurs, Ki Suk accepterait-il le fait de cacher leur liaison aux yeux de tous, même de sa meilleure amie ? Consentirait-il à sa supplique alors que le jeune homme était l’être le plus sincère, le plus franc qu’il connaissait ? D’ailleurs n’était-ce pas cet aspect de sa personnalité qui avait fait de lui, le prisonnier de son propre cœur ? Son cœur ne s’était-il pas consumé pour lui, devant cet aspect de perfection et de fragilité qu’il dégageait comme l’image contraire de lui-même ? Résolument, à ses yeux cet ange était tout simplement parfait. Il aimait tous ses qualités comme ses défauts et il savait que Ki Suk était le seul à connaitre ses plus inavouables secrets…enfin en partie car désormais il pourrait être amené à l’obliger de découvrir des facettes de sa personnalité que lui-même ignoré. Désormais, il se sentait égoïste, assez rempli d’amour pour revenir sur les promesses qu’il s’était fait étant enfant. Pour lui, il était prêt à tout quitté, abandonné derrière lui l’être qu’il avait apprit à être pour enfin devenir le vrai Yano à ses côtés. Alors était-ce véritablement imbu de sa personne que d’avoir envie de lui faire une telle requête, tandis que son cœur était inexorablement éprit de cet être ? Il espérait que non, surtout que la demande, qu’il allait lui formuler lui coutait tout autant qu’elle risquait de l’être pour lui. Camoufler ses sentiments lui semblaient désormais si absurdes, si difficiles. Lui-même se demandait quel tourment allait désormais l’habitait en se tenant si loin de lui alors qu’il était sur que leurs sentiments étaient partagés. Cela lui semblait être une épreuve des plus déchirantes.

Plongés dans ses pensées, il continuait inlassablement de caresser les traits de Ki Suk de la façon la plus douce qu’il soit alors qu’il semblait désormais retrouver un peu de paix intérieure. Ses traits s’étaient désormais détendus et le rythme de sa respiration avait retrouvé un rythme normal de croisière alors que les doigts du jeune homme tenaient si fermement sa main dans la sienne, mêlant ainsi leur doigt. Ainsi ils pouvaient profiter de la chaleur, de la présence de l’autre d’une certaine façon, il avait alors l’impression d’être moins orphelin. Lorsqu’il le vit ouvrir peu à peu à ses paupières, un fin sourire rassuré apparut sur son visage alors qu’il persistait à le caresser si tendrement. Bien qu’il semblait encore faible, il était enfin rassuré de voir que la fièvre l’avait quelque peu quitté. Ils se fixèrent tendrement ainsi pendant quelques instants avant qu’il ne sente sur sa peau, le contact des doigts du jeune homme venir frôler les traits de son visage, de la même façon qu’il était encore de le faire. Le sourire qu’il lui tentait était si doux, si rassurant qu’il y répondit sans plus d’attente, alors que celui-ci le remerciait. Il le remerciait de prendre soin de lui, qu’il ne trouvait pas de mots pour le faire si ce n’était en lui disant qu’il l’aimait véritablement. Ki Suk pouvait-il vraiment se rendre compte de l’effet qu’avaient ses mots sur son cœur ? Si oui, pouvait-il imaginer à quel point il avait qu’une envie c’était de l’embrasser de lui exprimer la puissance ô envoutante des sentiments qui le bousculaient de toute part ? Il lui déclarait ses sentiments si facilement, si franchement que son cœur en était bouleversé. Même si leur aventure avait causé de tels troubles pour le jeune homme, même lui, il ne pouvait pas regretter ses baisers qu’ils avaient échangés sous cette pluie diluvienne alors que son cœur ne réclamait que cela. Fermant un instant les yeux, pour profiter du bonheur qu’il ressentait le contact de la chair de Ki Suk sur la sienne, il soupira tendrement, rouvrant de nouveau ses paupières pour rétablir le contact entre eux. Il avait tellement envie de l’embrasser de nouveau, une envie qui semblait être partagé ou du moins en avait-il l’impression alors que les doigts du jeune homme venait serraient encore plus sa main.

C’est donc tout naturellement qu’il laissa ses doigts se glisser derrière la nuque du jeune homme, les laissant se mouvoir sensuellement sur sa peau. Doucement mais avec tendresse, ses lèvres s’approchèrent de leur jumelle, les effleurant dans un premier temps. Fermant les yeux, il prit de nouveau délicatement entre ses lèvres, la partie inférieure de celle-ci, pour la baiser, la caressant tendrement du bout de sa langue, s’attaquant ainsi petit à petit à sa voisine. Il se contenta pendant quelques secondes à les effleurer tendrement, se satisfaisant uniquement de cela, pour profiter pleinement de ce bonheur de les sentir de nouveau contre ses lèvres. Puis naturellement, il glissa plus franchement ses doigts sur la nuque du jeune homme pour approfondir le contact déjà prononcé entre leurs deux bouches, cherchant désormais à venir cueillir au creux de sa langue, celle de l’être qui lui faisait perdre si facilement la tête. Franchissant cette barrière que constituait les lèvres du jeune homme, il vint caresser avec style et sensualité l’objet de ses désirs avant de la mêler à la sienne. Se laissant gagner par ce bien être enivrant et terriblement exaltant, il ne pu réprimer ce léger gémissement qui s’extirpant de sa gorge alors qu’il l’embrasser avec une telle passion. Il voulait profiter de sa présence tant qu’ils étaient seuls, lui parlait des tourments qui étaient en train de le tirailler mais surtout il voulait continuer inlassablement de l’embrasser avec tant de fougue. Se rappelant qu’il se trouvait fébrile et faible, sujet à toute possibilité de rechute, il cessa délicatement le baiser, s’éloignant tendrement de ses lèvres alors qu’un léger soupir de frustration le transcendait. Pour venir palier à ce manque déjà évidant de son être, il porta à ses lèvres leurs mains jointes, faisant glisser la sienne sur le dos de sa jumelle pour y poser avec passion sa bouche. Du bout de celle-ci il la baissa sensuellement alors que son regard fixait le jeune homme de la façon la plus passionné qu’il soit. Laissant ses lèvres glisser sur la peau de sa paume, il se mit simplement à murmurer.

« Tu n’as pas à me remercier…Ki Suk…C’est par pur égoïsme que je prends soin de toi…Je refuse que tu puisses me quitter de quelconque façon que ce soit…Plus jamais, je veux ressentir de nouveau, cette peur de te perdre, alors même si tu désires un jour t’éloigner de moi, je te retiendrais de toute mes forces…Je t’aime bien trop fortement comme un fou pour pouvoir me résigner à te perdre un jour. »

Ses yeux exprimant tout le sérieux et la profondeur de ses mots, il déposa cette dite main sur sa joue, ressentant un bien être par son simple contact contre sa chair. Comment était-ce simplement possible de se sentir si apaisé par cette simple caresse, laissant derrière elle tous les tourments qui avaient pu l’habitaient auparavant ? Il ne pouvait qu’être bouleversé à chaque fois qu’il ressentait cela, lui qui n’avait jamais eu de tels gestes si évocateurs de ses sentiments vis-à-vis de quelqu’un, il les avait si spontanément depuis toujours aux côtés du jeune homme. Avec Ki Suk tout ceci semblait si normal, si simple, si nécessaire à son bien être et c’est justement cela qui le tourmentait actuellement. Maintenant qu’il l’avait embrassé, qu’il l’avait caressé autrement qu’un simple ami, son cœur se refusait à faire machine arrière et à ravoir aux yeux des autres que des gestes anodins alors qu’il brulait de désir pour lui. Il devait alors établir cette fois ci une barrière pour protéger son amour, sa folie d’être mise en danger par son inconscience, sa franchise à ses côtés.

« Je t’aime si fort Ki Suk…Et pourtant j’ai l’impression que cette folie pourrait détruire tout ce que j’ai mis du temps à construire : cette barrière autour de mon cœur, cette passion tant dissimulée au fond de mon âme…Pourtant désormais que je sais, que tu connais mes sentiments pour toi…Je peux plus me contrôler…Cependant…la partie la plus raisonnée de mon être m’intime de me calmer, de me contrôler car les conséquences de tout cela risquerait de mettre en péril tout ce pour quoi je me suis battu jusqu’ici. Je sais que je vais t’en demander beaucoup, que cela risque même d’être pénible pour toi, tout comme ça l’est pour moi…Mais…Je ne peux pas abandonner Aika et Eichi à leur triste sort, pas encore. » Murmura-t-il tout simplement alors qu’il le regardait d’un air quelque peu meurtri tandis qu’il mêlait de nouveau ses doigts à ceux de Ki Suk au dessus de la sienne.

Il espérait que par cette explication, ses mots, Ki Suk comprenne ou celui-ci souhaitait en venir car il ne trouvait pas la force de les exprimer, plus maintenant alors qu’il semblait n’être vivant qu’à ses côtés. Il en venait même à se demander que sans lui, l’homme qu’il était désormais n’aurait pas sans aucun doute vu le jour. Il était tout simplement condamné à l’aimer…Et c’était peut être aussi beau que dramatique dans une certaine manière.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeDim 27 Mar - 23:15

Heureux, en cet instant, le muneo ne pouvait pas se sentir plus ravi alors qu’il détenait à présent l’élément qu’il avait tant désiré pendant ses longs mois en compagnie de son meilleur ami. Désormais, il pouvait laisser transparaitre toutes ses émotions sans craindre la moindre crainte de se voir rejeté par l’être aimé, il pouvait alors toucher à cette peau autant qu’il le souhaitait, caresser ses lèvres, scruter son visage ô séduisant, cajoler la moindre de ses formes comme le ferait tout être entiché par la personne qui lui était destinée. Dorénavant il ne pourrait tout simplement plus se retenir, il se laisserait conduire par cette passion qui le dévorait de l’intérieur et qu’il découvrait pour la première fois de sa vie. Jusqu’à ce jour, jusqu’à la découverte de ses sentiments, Ki Suk n’avait jamais regretté n’avoir jamais goûté à la passion charnelle que pouvait partager deux êtres qui s’aimaient à la passion, pour la seule et unique raison que celui-ci n’avait jamais ressenti ce besoin si fort. L’amour et le désir avait toujours été quelque chose d’abstrait à ses yeux. La seule histoire d’amour qu’il avait cru vivre s’était avérée être une simple histoire d’amitié à peine poussée. Une simple histoire qui ne ressemblait aucunement à celle qu’il était en train de vivre, jamais auprès de son ancienne petite amie, il n’avait eu de sentiments si forts. Cette envie d’être toujours à ses côtés, la rendre heureuse, admirer à chaque instant les traits de son visage, vouloir être le centre d’attention de cette personne. Oh non, en compagnie de celle-ci, il n’avait jamais eu à ressentir des envies et sentiments si fort. Yano était indéniablement la personne qui faisait battre son cœur, bien plus qu’une attirance simplement physique, il l’aimait, il l’aimait plus que tout au monde. Présentement, il n’existait plus aucune barrière à leur amour, plus rien qui pourrait taire leurs sentiments aux yeux du monde entier. Il n’aurait plus à ressentir ces frustrations à chaque instant que sa silhouette apparaitrait devant lui. Il pourrait se diriger vers lui, effleurer sa peau, goûter à ses lèvres encore et encore dès lors qu’il ressentirait le besoin : dans un couloir, dans les escaliers, dans le réfectoire, partout sans craindre le moindre jugement d’une quelconque personne. Sans aucun doute que certaines personnes verraient leur relation d’un mauvais œil. Lui, un simple né moldu, un « sang-de-bourbe » avait attiré entre ses filets l’héritier de l’une des plus grandes familles japonaises sorcières. Ils deviendraient la cible de nombreuses rumeurs et de brimades. Comment un sang-pur pouvait-il seulement être attiré et vouloir vivre une relation avec un simple sorcier né moldu, un sorcier qui ne possédait nullement la prestance de ces grandes familles. Des rumeurs circuleraient à leurs propos, des rumeurs qui traiteraient sans aucun doute Ki Suk comme un fin manipulateur qui chercherait depuis le début de leur relation à gagner son amitié, son attachement dans le seul but de le corrompre et d’obtenir un certain prestige. Des rumeurs qui n’auraient certainement pas de sens lorsqu’on connaissait la véritable personnalité du jeune homme. Il lui était tout simplement impossible de pouvoir ne serait-ce que mentir consciemment à une personne, alors manipuler pendant de très longs moins le jeune muneo semblait alors bien impossible pour ne pas dire irréaliste. Ki Suk ressentait des sentiments véritables et passionnés lorsqu’il se trouvait en compagnie de l’être aimé, cette soirée en était la preuve formelle. La présence de Yano calmait indéniablement ses souffrances.

Laissant échapper quelques dernières paroles avouant tout simplement à Yano la nature de ses sentiments, il lui semblait bien impossible de mentir et de masquer ses pensées les plus profondes, lui, un être si droit, si franc. Caressant doucement les doux traits du visage de son aimé, lui offrant le plus beau des sourires, le détaillant amoureusement comme pour enregistrer les moindres lignes de sa frimousse. Il crut défaillir face au sourire que Yano lui rendait, combien de personnes dans cette école avaient-elles pu se voir adresser un si admirable sourire de la part du muneo à l’apparence si froide ? Peu de personnes, et en cet instant, Ki Suk ne pouvait qu’en être ravi. Il était l’heureux élu, la seule personne qui pouvait prétendre recevoir de sa personne tant d’affections, tant d’amour. Autant qu’il s’en souvienne, même après plusieurs années à côtoyer ses camarades, Yano n’avait jamais semblé si libre qu’en sa compagnie. Ki Suk ne faisait aucunement parti de ces personnes qui cherchaient à obtenir une quelconque faveur de la part de l’héritier des Wada, en devenant son ami, et en espèce son meilleur ami. Yano ne pouvait alors qu’être sincère avec lui, lui qui respirait l’honnêteté et la droiture.

Comme si Yano avait entendu ses envies les plus profondes, tandis qu’il serrait simplement entre ses doigts ceux de Yano comme pour lui faire une demande discrète, comme s’il n’avait désormais plus le besoin de s’adresser la parole pour se comprendre. Il vit le visage de son aimé s’approcher du sien, dans un premier temps, celui-ci se contenta seulement de frôler ses lèvres, sa langue s’amusant à jouer avec sa lèvre inférieure. Ki Suk laissa échapper alors un doux soupir de bien-être tandis qu’à son tour il déposa sa main au niveau de la nuque de Yano, laissant glisser ses doigts sensuellement sur cette peau ô désirable qu’il ne voulait cesser de pouvoir caresser. Etait-ce normal de posséder une peau si douce ? Certainement pas à ses yeux, il devait le seul être sur cette terre à détenir cette peau désirable. Appréciant le doux contact de cette langue, il ouvrit doucement sa bouche pour lui laisser l’accès et qu’enfin les compères se rejoignent dans un ballet d’une haute sensualité, avec tendresse et amour. Face à toutes ses sensations de bien-être, son corps se mit à frissonner, son cœur battre plus rapidement, même s’il manquait de souffle, il ne pouvait tout simplement pas arrêter ce baiser. Ses lèvres, cette langue, ses doigts sur sa propre peau le rendaient fou. Pris par une passion démesurée, il répondait au baiser avec un certain plaisir ne pouvant alors que laisser échapper un gémissement, se rendant compte que Yano s’éloignait de lui, tandis qu’il cessait le baiser. Si seulement Yano ne s’était pas éloigné, il aurait pu alors encore profiter de ses lèvres qui ne demandaient qu’à être baisées, caressées par les siennes. La fièvre qui possédait encore son corps, le rendaient encore plus dépendant de ses morceaux de chairs qui le rendaient fou, qui lui permettait de ressentir tant de sensation agréables.

Ki Suk releva doucement les yeux pour affronter de nouveau le regard transcendant de Yano sur lui, se rendait-il compte que toute la passion que leurs deux être pouvait ressentir et vivre se lisait dans son regard ? Tout cet amour qui se vivait au travers de leurs gestes, de leurs actions, de ces lèvres qui s’apposaient sur le dos de sa main tandis qu’ils les avaient ramené à la hauteur de son visage. Un fin sourire s’afficha sur son visage aux paroles de Yano, aux déclarations de ses sentiments qui ne pouvaient que le ravir, faire en sorte que ces sentiments soient encore plus forts envers sa personne. Jamais, il n’avait cru pouvoir ressentir une passion si forte pour la personne qu’était son meilleur ami, l’homme qu’il aimait, Yano. Au travers de ces quelques phrases le muneo lui avouait tout simplement qu’il se trouvait être excessivement envers sa personne, qu’il ne désirait aucunement le voir disparaitre ou s’éloigner de lui, il l’aimait d’une telle passion qu’il ne pouvait se résigner à le perdre d’aucune manière, ce qui expliquait alors tout simplement son comportement et particulièrement le comportement qu’il avait eu envers sa personne depuis le début de soirée. Le muneo ne pouvait alors qu’être heureux de ses paroles car la moindre de ses envies, lui aussi les ressentait. D’aucune manière, il voulait perdre Yano, il ne s’imaginait tout simplement plus vivre sans lui et tout particulièrement depuis la révélation de leur sentiment, depuis que le muneo lui avait déclaré ses sentiments. Yano était l’être qui le faisait vivre, qui faisait battre son cœur à chaque minute, à chaque seconde. Vivre comme s’il n’avait jamais été à ses côtés lui paraissait alors impossible, irréalisable même avec la meilleur volonté du monde. Avancer sans le sourire de Yano, sans sa présence, était insensé.

Le muneo mit cependant quelques secondes avant de sortir de son assoupissement tandis qu’il écoutait Yano. Observant Yano, il crut lire dans ses yeux comme une pointe de tristesse mais son cœur et son esprit à cet instant ne lui permettait pas de comprendre tous les mots et leurs significations masquées, il ne comprenait pas sa réaction. Pourquoi alors qu’il se trouvait si heureux, si enchanté de savoir que leurs sentiments se retrouvaient réciproques, se trouvait-il si blessé ? Désormais, il pourrait détruire cette barrière qu’il avait construite au fur et à mesure des années, il pouvait dévoiler au monde entier tout leur passion, ils s’aimaient, que donc pouvaient-ils craindre ? Rien, leur amour ne pouvait aucunement souffrir de quoi que ce soit si ce n’était peut-être de leur maladresse, aucun élément ne pouvait menacer leurs sentiments. Yano lui demandait quelque chose mais il n’arrivait tout simplement pas à identifier sa requête. Ils s’aimaient, quel était le rapport entre eux, Aika et Eichi ? Il n’y en avait aucun pour lui. Le fait de s’aimer avait-il seulement une influence sur son frère et sa sœur ? Avait-il peur de leur regard, de leur avis à propos de cet amour ? Ils étaient certes deux hommes, ils venaient de mondes différents mais cela n’entrainerait aucune aversion de leur part, aucune, mise à part peut-être le fait qu’Eichi ne supporte pas véritablement les nés moldus. Alors en lançant d’incompréhension à Yano, il s’adressa à lui cherchant à comprendre ce que cherchait à lui dire Yano, pouvait-il ne pas être plus clair ?

« Yano… je ne comprends pas. Tu n’as aucune raison d’abandonner ton frère et ta sœur, d’aucune manière. Pourquoi devrais-tu te contrôler ? Je ne comprends pas. Explique-moi plus clairement les choses. Pourquoi en s’aimant tu les abandonnerais ? Tu leur porteras autant d’attention, il n’y a aucune raisons que tu les abandonnes. Yano ? »

Observant Yano, il espérait lire sur son visage la moindre expression qui pourrait délier le problème d’incompréhension. Pourquoi leur amour les blesserait ? Non, il n’y avait aucune raison. Même s’il ne se l’avouait pas encore, son inconscient ne pouvait que comprendre ses mots mais, pour ne pas qu’il soit plus blessé, il préférait laisser Ki Suk dans l’incompréhension. Si seulement Ki Suk pouvait se douter de ce qu’ils auraient à endurer avant d’enfin pouvoir vivre leur amour au grand jour.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | 2ms2atz
Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeLun 28 Mar - 9:10

Sentir ses lèvres contre les siennes, frôler de sa langue celle de l’être aimé dans un ballet des plus sensuels et doux. Bien que cela n’était pas la première fois qu’il embrassait une autre personne, qu’il l’avait déjà embrassé de nombreuses fois, il était obligé de reconnaitre qu’il était toujours autant fébrile face à cette passion qui le retenait de ses bras. Une passion mélangée à une fougue qu’il ne désirait pour rien au monde voir disparaitre. Il désirait plus que tout brûler de désirs aux contacts de sa bouche, sentir son cœur battre tel un fou au fond de sa poitrine, sans parler de ressentir ces merveilleux frisons le parcourir à chaque fois qu’il frôlait sa chair. Aux côtés de Ki Suk, il prenait enfin pleinement conscience de ce que signifiait réellement : aimer quelqu’un. Il le savait car ces sentiments pour le jeune homme étaient bien plus anciens qu’il ne le pensait ou que Ki Suk ne pouvait le supposer. Cette place qu’occupait le jeune homme dans sa vie était loin d’être anodine. Dès la minute où il l’avait vu pénétré dans sa vie, quelque part au fond de lui il avait comprit que le jeune homme allait occuper, une place privilégiée dans sa vie pour le meilleur ou pour le pire. A cette époque, il n’aurait pu vraiment dire réellement ce qui allait advenir de leur relation…Pourtant dès l’instant où le jeune homme s’était installé à ses côtés, se présentant de la manière la plus adorable mais réservée qui soit, il n’avait pas pu s’empêcher de le saluer à son tour, se présentant également. Chose qui l’avait un tant soit peu étonné à ce moment là et qui était encore plus surprenant de sa part car il avait passé toute la durée du voyage à discuter avec le jeune homme, comme si cela était normal de sa part. Or le jeune homme était loin d’être bavard ou amical et essentiellement à cette époque. Tel un chat dans un lieu hostile, il était sur le qui-vive pour riposter à toute attaque, se méfiant de toute personne comme ses parents lui avait dit de faire et pourtant ce jeune homme était parvenu à le faire sortir de sa coquille, à calmer ses inquiétude et sa méfiance en quelques instants. Il fallait bien avouer que le jeune homme avait de quoi attendrir. Né moldu, il était totalement désemparé par ce nouveau monde qui lui ouvrait grand ses portes et qui semblait être à des mil lieux de celui qu’il connaissait. C’est donc naturellement qu’il avait prit la décision de le prendre sous son aile, de l’aider à s’habituer à son nouvel environnement le temps que celui-ci s’y fasse et jusqu’à que leur route se sépare. A cet instant, il était loin d’imaginer qu’ils allaient finir dans la même maison et être colocataires. Cette idée d’être liée à lui ne l’avait à l’époque point gêné et c’était ainsi que leur amitié avait débutée, lui donnant ainsi la possibilité de découvrir ce que cela faisait d’avoir un ami.

Contrairement aux autres, il n’avait pas eu peur que Ki Suk l’utilise, le manipule pour tirer un quelconque avantage de sa relation avec lui. On pouvait même dire qu’inconsciemment, il lui avait très rapidement fait aveuglement confiance, livrant ainsi de la façon la plus naturelle qu’il soit, son cœur, son âme. Puis les choses s’étaient faites naturellement et son attachement, sa complicité avec le jeune homme ne s’était fait que plus forte, plus extraordinaire jour après jour. Une amitié qui avait toujours frôlé l’attirance refoulée. Le besoin de contact entre leurs deux chairs étant devenu primordial à leur relation quoique maitrisée. Yano qui avait toujours eu tendance à fuir le contact physique avec quiconque, si ce n’est son frère ou sa sœur, avait toujours eu des gestes si tendres et spontanés avec le jeune homme, sans que cela ne lui paraisse étrange. C’est lorsqu’il avait comprit que son patronus avait prit la forme de Oreka, l’animal de compagnie du jeune homme en question, qu’il avait commencé à se poser quelques questions. Il était alors bien incapable de comprendre ce que cela voulait réellement signifier, refusant l’évidence. Peut être pour tenter de faire taire cette petite voix au fond de son âme qui la tourmentait déjà à l’époque lorsqu’il se retrouvait face au corps nu du jeune homme ? Surement, désormais il savait déjà qu’à cette époque ses sentiments pour le jeune homme étaient présents au fond de lui. Il s’était tout simplement borné à ne pas les entendre, s’aveuglant pour tenter de préserver sa relation avec le jeune homme.

Il avait alors fait taire ses doux sentiments d’attirance, d’amour sincère à l’égard de son meilleur ami, les laissant devenir plus fort au fil des semaines, mois, années qui s’écoulées comme le sable s’écoulant doucement au rythme de la vie dans un sablier. A ses côtés, Yano avait apprit tout simplement ce qu’était la vraie vie, touchant du bout des doigts une liberté qu’il n’avait jamais eu l’occasion de vivre à son contact alors que son amour à son égard grandissait au fond de lui. Il lui devait tellement, c’était grâce à lui qu’il était devenu le jeune homme qu’il était désormais. Grâce à ses sourires, ses gestes, ses conseils, Ki Suk avait pansé chacune des blessures qu’il avait pu avoir lors de son enfance. Il tenait tellement à lui qu’imaginait une seule seconde être le responsable de sa tristesse, de son malheur le rendait incroyablement malade. Il savait parfaitement qu’il avait fait énormément du mal à Ki Suk sans le vouloir réellement. L’infirmerie tout d’abord, la froideur de sa part qui avait suivit cet événement, sans parler de la trappe, qui lui avait laissé un gout amer, il s’était montré si cruel avec lui et il en avait souffert tout autant. En son fond intérieur, il avait souhaité que les vacances de noël qui étaient en principe les vacances préférées du jeune homme, finissent par panser les blessures qui lui avaient infligé malgré lui. Cependant la lettre qu’il avait reçu pendant cette période de festivités de la part de la génitrice du jeune homme lui avait fait prendre conscience que Ki Suk était bien plus blessé qu’il ne souhaitait l’imaginer. Il s’était senti alors si sale, si indigne d’être son ami, voir d’avoir le droit de l’aimer mais il ne pouvait plus réprimer ses sentiments. La discussion qu’il avait eue avec Sun Hee, lui avait fait prendre conscience de cela, qu’il ne pouvait plus vivre sans lui et qu’il était primordial à sa survie. Sans lui, les journées se trouvaient bien ternes et déprimantes, plus rien n’avait vraiment de sens, il avait tant besoin de lui. Ki Suk était devenu au fils des années, sa bouée de sauvetage, la personne auprès de laquelle il pouvait avouer ses faiblesses et il avait seulement tenté de s’éloigner pour éviter de briser leur si exceptionnelle mais ses sentiments l’aveuglés totalement.

Même maintenant, bien qu’il ait pu lui avouer ses sentiments, lui dire ouvertement qu’il était fou de lui, qu’il désirait seulement le garder à ses côtés par égoïsme, refusant de tout son cœur qu’il puisse le quitter d’une quelconque façon, même ses mots n’étaient pas assez puissants. Quoiqu’il arrive, il voulait le retenir à ses côtés, ne plus jamais ressentir cette peur irrationnelle de le perdre comme au fil des dernières années, qu’il l’aimait bien trop fort, tel un fou pour se résigner à une autre fin possible. Pourtant son amour à l’égard du jeune homme l’effrayait car il se sentait jour après jour devenir encore plus dépendant de Ki Suk. Il avait beau tenté de se résigner qu’il fallait qu’ils gardent désormais leur relation aux yeux des autres pour protéger son frère et sa sœur dans une certaine mesure, il ne pouvait le dire ouvertement, bien incapable de croire lui-même en cette idée. Il avait tellement besoin de ce contact entre leur deux corps, sa chair ne réclamant que cela désormais. Sentir inexorablement sa peau contre la sienne, la toucher, le prendre dans ses bras et l’embrasser de tout son soul, c’était la seule chose à laquelle son cœur se résignait à penser. Seule sa raison semblait vouloir le raisonner, l’obligeant à prendre conscience de la situation, des risques que tout cela risquait d’entrainer pour la suite et pourtant…Non, ces mots refusaient de s’extirper de ses fines lèvres qui continuait à embrasser cette main qu’il avait posé sur sa joue pour profiter du bien être qu’elle lui apportait ainsi que de sa chaleur. Pourtant son cœur savait que ce qui allait suivre aux mots qu’il venait de prononcer allait inexorablement blesser Ki Suk, comme cela lui brisait le cœur d’imaginer une telle chose.

Était-il condamné à faire souffrir Ki Suk et lui-même par la même occasion ? Était-ce là, la seule chose qu’il pouvait escompter de leur relation ? Être l’unique responsable de la tristesse qui hantait le cœur de l’être qu’il aimait pourtant si fort ? C’était si affligeant, déprimant, pitoyable qu’il ne pouvait s’empêcher de se sentir triste, blessé par le message qu’il devait absolument faire passer et qui ne semblait pas être perçu par le jeune homme. Comment pouvait-il supporter l’idée de détruire cet instant de bonheur qu’ils étaient en train de partager ? Lui-même ne savait pas où il puisait cette force et les mots que prononcèrent le jeune homme ne firent qu’approfondir son malaise, sa tristesse alors qu’il sentait son cœur se serrait et son regard se voiler. Il ne comprenait pas où il voulait en venir, qu’il n’y avait aucune raison qu’il abandonne son frère et sa sœur. Il n’arrivait pas à comprendre pourquoi, Yano qui venait de lui déclarer si franchement ses sentiments, devait se contrôler. Il voulait qu’il lui explique clairement les choses, les raisons qui le faisaient penser de la sorte, ne pensant nullement à ce qu’il était en train de supposer. Voir Ki Suk tenter de lire en lui pour tenter de cerner tout le problème, ne fit qu’approfondir sa tristesse mais il devait lui expliquer où il voulait en venir…Il n’avait point, plus le choix désormais.

C’est donc dans un geste tendre qu’il fit glisser doucement la main du jeune homme contre ses lèvres, la baissant tendrement de bout de celles-ci alors qu’il fermait les yeux pour tenter de se donner du courage pour proférer ces mots qu’il se sentait encore incapable de murmurer. Il resta une longue minute ainsi à l’embrasser tendrement, déglutissant alors qu’il tentait de trouver les bons mots, la bonne manière pour l’exprimer ouvertement.

« Ki Suk… » Commença-t-il dans un murmure quasi-muet alors qu’il mêlait ses doigts à la main qu’il baisait toujours tendrement, cessant ceux-ci par la même occasion. « Je…Je ne sais pas par où je dois commencer… Mon cœur m’intime de ne rien dire…d’oublier cette idée folle…Mais… » Il se mordit fortement la lèvre inférieure pour se donnait du courage alors qu’il reprenait son souffle qui semblait être coupé du à la tristesse que lui apporter la scène. « J’ai passé toute ma vie…A veiller sur Aika et Eichii…J’ai toujours fais en sorte de les protéger de la froideur… des responsabilités dues à notre rang… J’en suis même venu à passer un pacte avec mes parents…Tu as déjà du remarquer que mon frère, ma sœur et moi sommes diamétralement différents… J’ai promis à mes parents d’être un héritier respectable, à l’image de ce que je devais selon leur principe… J’ai même accepté ces fiançailles avec Sun Hee pour respecter ma part du marché…En contrepartie de cela, mes parents m’ont promis de laisser Aika et Eichii suivre leur propre voie, de les laisser libre dans une certaine mesure de vivre leur vie comme ils le désiraient…Jusqu’à que je te rencontre, je n’ai jamais eu à redire sur ce pacte, cela m’avait toujours semblé être normal de la part d’un ainé…de veiller sur ses cadets et l’affection que j’ai pour eux, bien que nos relations soient quelques peu conflictuelles en ce moment ne fait que me conforter dans mon choix… Même maintenant je pense avoir pris la bonne décision…Cependant… »

Il avait tellement du mal à prononcer ces mots, c’était une réelle torture pour lui alors qu’il sentait que le point peut être de non retour allait arriver. Il savait parfaitement que ce qu’il s’apprêtait à lui dire, lui expliquait allait lui faire du mal. Après tout, lui-même souffrait à cette idée mais il ne pouvait pas abandonner ses cadets, tant que cela n’était pas primordial mais en même temps, il savait pertinemment que sa requête était égoïste vis-à-vis du jeune homme comme pour lui, mais il devait y parvenir. Déglutissant pour tenter de se donner de la force et reprendre son souffle, il plongea son regard meurtri dans celui de Ki Suk et continua d’une voix muette, brisée par la culpabilité de s’exprimer :

« Je t’aime… Et j’ai l’impression que je ne peux plus faire semblant du contraire… Que je n’y parviendrais plus alors que je sais que tu m’aimes aussi…Pourtant une partie de mon âme m’intime qu’il faut que je protège ma famille…Plus exactement ma sœur et mon frère…Alors si…Jamais…Notre relation…Venait à se savoir… Tout serait définitivement brisé… Et les conséquences pourraient… Être catastrophiques, plus pour Aika et Eichii. C’est pour cela que… Je voudrais… Qu’on cache notre relation…Je t’assure que je le désire nullement mais…Je t’en prie… Comprends moi…Je ne peux pas supporter l’idée qu’Aika et Eichii puissent subir la même pression que j’ai du vivre…Je me rends bien compte de ce que je te demande Ki Suk…Je sais que ma demande va te faire souffrir, autant qu’elle ne me brise le cœur…Mais je n’ai pas le choix…Du moins, pas tant qu’ils ne sont pas majeurs…Je ne peux pas leur faire ça… » Finit-il tout simplement la voix étranglée par la tristesse et la douleur que lui coutait ces mots, alors qu’il sentait son cœur se fendre.

Il avait beau fixer Ki Suk le plus tendrement mais à la fois terriblement blessé, il n’osait pas imaginer quelle allait être la réponse de celui-ci. Il ne le désirait pas…Il voulait seulement garder l’espoir que Ki Suk accède à sa requête…c’était la seule chose qu’il pouvait faire désormais.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeMer 11 Mai - 23:02

Cacher ses émotions, mentir, ne pas être ce que l’on est, vouloir paraitre et non être. Le jeune muneo était bien incapable d’avoir un comportement faux envers une quelconque personne. L’honnêteté avait toujours fait partie de l’un de ses principes de vie, l’un des préceptes partagé avec ses parents et ses frères. Ainsi cacher ses réels sentiments pendant ses quelques mois avait été quelque chose de difficile à supporter, particulièrement difficile depuis que Yano avait commencé à agir moins froidement envers sa personne. Leur relation qui avait été si froide pendant ses longs mois, semblait peu à peu retrouver un peu de chaleur, ce qui n’avait nullement arrangé les tourments de son cœur. Yano avait agi si étrangement, après l’avoir repoussé si froidement, si naturellement dans cette trappe, il revenait vers lui sagement. Un comportement qui l’avait surpris au retour des vacances de Noel. Un comportement qu’il avait enfin pu interpréter après de longues semaines en cette soirée noire, après avoir échangé un baiser ô fabuleux et inoubliable dans le labyrinthe alors qu’ils cherchaient leurs chers animaux disparus. Si seulement ils avaient pu découvrir leurs sentiments plus tôt, ils n’auraient pas eu à souffrir autant pendant ses longs mois, ses longues années à n’être que de simples meilleurs amis. Ils auraient pu profiter pleinement de ses années ensemble à s’aimer. Ils n’auraient pas eu chacun ses amourettes qui n’avaient réussi alors qu’à les faire souffrir et particulièrement l’histoire qu’avait vécue Yano auprès de Jade, une camarade muneo qui avait pendant des mois occupée l’esprit de Yano. Le préfet avait était invraisemblablement jaloux de la demoiselle. Son cœur à l’époque souffrait déjà de le voir auprès d’une autre personne qui était traité si dignement. Il aurait dû s’en rendre compte plus tôt, à l’heure actuelle, ils auraient si heureux. Les minutes qui s’étaient écoulées depuis leur « déclaration » avait été certes difficile à supporter pour le muneo dû principalement à cette fièvre qui était encore présence dans son corps, mais il n’aurait jamais pu être si heureux qu’à cet instant. Dès à présent il pourrait embrasser ses lèvres ô désirable quand il le souhaiterait, caresser cette peau ô douce, son corps si musclé sans craindre la moindre réaction agressive de sa part.

Désormais, ils étaient ensemble, ils formaient un réel couple. Comment en aurait-il pu être différent alors que les deux savaient que leurs sentiments se retrouvaient réciproques ? Leurs gestes, leurs paroles, tout était si clair à présent. Ils s’aimaient comme jamais ils ne pourraient aimés quelqu’un. Si pendant toutes ses années, le préfet des muneos n’avait jamais été intéressé par une quelconque personne, c’était que son cœur s’était bien rendu compté qu’il appartenait déjà à son meilleur ami. Dorénavant il pourrait montrer au monde entier qu’il aimait Yano, il ne risquait rien, si ce n’était peut-être les nombreuses rumeurs qui circuleraient mais face à l’amour qu’il vivrait, tout cela ne serait que détails. Il en était persuadé, réellement persuadé.

Voilà l’une des raisons pour lesquelles le muneo ne comprenait certainement pas le comportement du muneo qui semblait croire que leur couple allait emmener la haine de son frère et de sa sœur. Certes Eichi n’était pas vraiment favorable aux enfants nés moldus, mais il n’allait nullement dénigrer Yano juste parce qu’il était amoureux d’un homme, de surcroit d’origine moldu. Eichi était peut-être encore un enfant mais à cet âge, on était assez mature pour réfléchir convenablement et prendre les bonnes décisions pour l’avenir de soi-même, comme de sa famille. Sans aucun doute qu’Aika n’y verrait pas de problèmes, du peu qu’il l’avait côtoyé, elle avait toujours paru si agréable, si gentille avec lui alors qu’elle connaissait déjà à l’époque son origine. Non, il n’aurait réellement aucun problème à leur union si ce n’était les parents de Yano qui se sentirait trahi par le honteux mensonge qu’ils leur avaient croire lorsque Ki Suk avait franchi les portes du manoir Wada à Osaka. Légèrement courbé, Ki Suk essayait alors de lire dans les yeux de Yano ses pensées les plus profondes pour enfin les interpréter. Pourquoi Yano craignait-il tant la réaction de ses frères et sœurs ? Et quels liens pouvaient-ils avoir avec eux ? Attendant tout simplement alors la réaction de Yano, il l’observait arborant un air perplexe devant son mutisme.

Yano souleva alors sa main, pour l’apaiser sur ses lèvres laissant se dérouler une minute de silence qui lui paraissait interminable. Que se passait-il donc pour qu’il ait l’air aussi abattu, ne devrait-il pas être dans le même état que le préfet, être heureux et vouloir profiter de cet instant plutôt que se tourmenter sur l’état de son frère et sa sœur ? Ils avaient tellement souffert jusqu’à ce jour, ne pouvaient-ils pas alors profiter pleinement de cet amour ? Déglutissant à son tour, il se mit alors à écouter attentivement chacun des mots prononcés par Yano, afin de comprendre chacun de ses tourments.

Seulement plus les mots s’écoulaient de la bouche de Yano, plus le muneo ressentait un sentiment d’amertume, de peine l’envahir. Yano avait passé toute sa vie à suivre les préceptes de ses parents, à veiller sur Eichii et Aika en suivant une conduite parfaite afin de parvenir à être un héritier convenable. Le fait de penser aux fiançailles de Yano n’arrangea nullement la situation, où voulait-il donc vouloir en venir ? Ces fiançailles n’avaient toujours été qu’une simple apparence, il le savait déjà. Yano n’avait jamais aimé cette fille au sang-pur qui était potentiellement sa future femme aux yeux de ses géniteurs. Oui leur relation allait sans aucun doute remettre en cause chaque élément de sa vie mais ils s’aimaient, ils étaient deux, Ki Suk serait là toujours là pour le soutenir dans cette dure épreuve. N’était-ce pas le rôle d’un petit ami d’agir ainsi afin de protéger l’être aimé de toutes les souffrances qu’ils pourraient supporter, être toujours à ses côtés lors de moments difficiles.

Les mots qui suivirent eurent l’effet d’un coup de poignard pour notre muneo. Yano avouait franchement qu’il l’aimait, qu’il ne regrettait nullement de l’avoir rencontré, mais il souhaitait… cacher leurs relations aux yeux des autres jusqu’à Eichi et Aika deviennent majeurs pour qu’ils ne subissent la retombée de la colère de leurs parents, ni qu’ils aient à subir le même traitement que Yano dans sa jeunesse. Yano se devait de protéger son frère et sa sœur, pour cela ils devaient alors cacher leur relation aux yeux de tous. Déglutissant, Ki Suk se mit à regarder Yano avec un air peiné et profondément blessé. Il voulait cacher leur relation… se rendait-il compte des conséquences sur leur vie ? Maintenant qu’ils s’étaient enfin déclarés et avoué leurs sentiments, ils voulaient faire comme s’il n’y avait rien eu, comme s’ils n’étaient encore que de simples amis. Ne pouvaient-ils pas être un peu égoïste pour une fois et ne penser qu’à eux en montrant à tous leurs camarades qu’ils formaient un couple ? Si jamais, il acceptait, il ne pourrait embrasser Yano quand il le souhaiterait, il ne pourrait pas profiter de sa chaleur, ni de sa présence. Ils ne seraient que de simples amis, rien de plus. Peut-être aurait-il pu accepter de cacher de leur relation pour protéger sa famille de tous problèmes, mais se rendait-il compte de ses mots, attendre jusqu’à leur majorité, leur majorité ! Eichi n’avait que…. 16 ans. Sa bonne humeur disparut aussi rapidement. Tous ses rêves ne pourraient jamais se réaliser, jamais. Ne pouvaient-ils donc jamais être heureux ensemble ? Alors qu’ils pouvaient enfin s’aimer convenablement, Yano mettait devant eux encore une barrière à leur amour. Leur amour ne menait-il alors qu’à la souffrance. D’une voix presque brisée il s’adressa au jeune homme tandis que dans ses yeux pouvaient se lire tant de souffrances.

« Yano… je… Eichi n’a que 16 ans … si jamais… on devait se cacher, ce serait pendant cinq ans… tu t’en rends compte ? Pendant cinq longues années… cinq longues années. On peut enfin être heureux et tu veux qu’on se cache… on ne pourra jamais s’aimer sans être blessé si on le fait, tu le sais ? On ne pourra jamais s’embrasser, s’aimer sans craindre le fait qu’on nous découvre. On vivra dans la peur à chaque instant, on ne pourra pas être heureux… »

Reprenant doucement sa respiration afin de ne pas se montrer plus vulnérable qu’il ne l’était, il essayait vainement de voir un peu d’optimisme dans les propos de Yano. Même s’il devait se cacher, ils seraient en couple, n’est-ce pas ? Un couple qui n’existerait qu’à leurs yeux… Ils devraient alors mentir à chaque personne qu’il croiserait, montrer qu’ils se sont seulement réconcilié et sont devenus aussi proche qu’avant. Ki Suk avait toujours été incapable de mentir à quelqu’un, il devrait cacher sa relation à tout le monde, même à sa meilleure amie. Tout cela était définitivement bien difficile à vire. Ils devraient éviter d’avoir le moindre geste d’affection trop poussée pour ne pas attirer l’attention de leurs camarades. Maintenant qu’il avait goûté véritablement à l’amour, il devait ignorer ce sentiment, oublier toute envie de l’embrasser… Non, il n’en était tout simplement capable, particulièrement depuis qu’il connaissait la vraie nature de leur relation.

« Je ne pense vraiment pas être capable de me retenir… de me cacher. On ne fera que souffrir Yano, que souffrir… cinq ans c’est trop long, beaucoup trop long pour moi Yano… »

Essayant de reprendre son souffle, de calmer chacun des sentiments qui le parcouraient, Kisuk ferma les yeux pour ne pas à avoir affronté le regard de Yano. Il connaissait que trop bien l’être aimé pour savoir que lui aussi souffrait autant que lui, si ce n’était plus à l’attente de ses paroles. Serrant plus franchement leurs mains entrelacées pour se donner ne serait-ce qu’un peu plus de courage, il aimait tant Yano que l’idée d’être loin de lui le faisait particulièrement souffrir. Leur amour avait-il seulement un avenir si ce n’était de le voir évoluer dans un milieu de souffrance. Se relevant doucement, se recroquevillant, serrant entre ses mains le drap qui était posé sur lui.

« Je ne pourrais pas… vraiment pas… je suis désolé… » dit-il d’une voix encore brisée par l’émotion qui le traversait.
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Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeJeu 12 Mai - 11:34

Pour l’instant, il n’était plus sur de quoi que ce soit. Ce rêve merveilleux dans lequel il semblait être depuis le début de la soirée semblait peu à peu prendre peu à peu le chemin de la réalité, de la sienne. Peut être était-il réellement encore en train de rêver malgré les divers faits, détails qu’ils lui avaient prouvés que tout ceci était bel et bien en train de se produire ? Assurément non, les lèvres, la chaleur du corps de Ki Suk sous sa peau, ses mains avaient bien quelque chose de réel, d’incroyable pour qu’il ait pu se résoudre à croire que ce magnifique moment qu’ils étaient en train de partager n’était que du vent et que tout cela resterait un merveilleux songe duquel ils s’éveilleraient le lendemain. Désormais, il avait bien conscience que cet instant était réel et qu’il ne fallait pas qu’il laisse de côté, le moindre détail qui aurait son importance dans l’évolution de leur relation, qui n’était plus du tout anodine. Ils s’aimaient, se désiraient et malgré ces deux choses qui étaient déjà magnifique entre deux êtres tels qu’eux, qui avaient souffert de cette passion si extraordinaire, intenable, ils ne devaient pas oublier la réalité, la leur.

Yano était un homme, un de ces jeunes princes sur lesquels reposaient bien trop de responsabilités pour ses si fines et petites épaules. Que ce soit, une renommée, une lignée, des obligations dues à leurs rangs, les chaines auxquelles ils étaient liés comme des fiançailles de convenance, voir des êtres chers à protéger, ces jeunes hommes pouvaient alors n’être que des martyrs d’espoirs dénués de sens, de raison. Ils ne devenaient alors qu’une sorte de trophée aux yeux de leurs martyrs qui prouvaient ainsi qu’ils avaient entre leurs mains, un être, une personne d’une valeur inestimable qui ne faisait qu’augmenter leur renommée, leur statut dans ce si bon monde. Peu importe au fond si ces jeunes hommes n’étaient plus que de vulgaires poupées, obligés de cacher leur « eux » intérieur et se sentent incroyablement seuls, incapable de s’ouvrir à autrui. Tant qu’ils répondaient aux critères de ces êtres, qui s’appelaient parents ou autre, qui avait fait de leur vie qu’un long fleuve monotone dans lequel ils avaient l’impression jour après jour de perdre pied, au fond quelle importance. C’est pour cette raison qu’il n’avait pas pu s’empêcher de s’inquiéter de ce qu’allait engendrer le nouveau lien particulier qui le liait désormais à Ki Suk. Il connaissait bien trop ses parents, il n’avait pas besoin d’être douté du pouvoir de légismancie pour savoir comment ils allaient réagir à ce choix qu’il était en train de faire. Avouer ses sentiments à une autre personne, un homme de surcroit, cela n’était pas convenable alors qu’il était officiellement lié à une autre, sans parler du fait que cet homme était un moldu. Ses parents qui méprisaient alors les moldus, qu’ils considéraient comme des êtres faibles, allaient surement avoir l’impression que leur enfant, ce fils qui jusqu’ici avait été un descendant et héritier parfait les avait trahis et les conséquences de tout cela risquaient d’être terrible. Un ultimatum allait surement être posé et seulement deux choix allaient s’ouvrir à lui et même si cela le concernait seulement ses parents n’hésiteraient surement pas à faire pression sur Aika et Eichii.

Aika et Eichii étaient les premières personnes qu’il avait prit soin de veiller sur eux, de tenir éloigner de cette lourde tâche qu’il portait sur ces épaules qui le liait et l’enchainait à cette demeure dénuée de chaleur humaine si ce n’est de celle du sourire éclatant de sa douce sœur et sa tante si aimante qui vivait avec eux. Pourtant en acceptant ses sentiments pour cet homme qu’il regardait présentement avec le regard triste, meurtri d’être incapable de faire son propre choix sur ce dilemme, qui se posait à lui, il savait qu’il devait accepter les conséquences de ces actes. Il l’aimait, il le désirait tel un fou et il désirait qu’au moins qu’il le sache, qu’il comprenne à quel point ses sentiments l’effrayait, l’enivrait à chaque fois qu’il pensait à lui ou il le voyait, qu’il remplissait son âme à chaque instant. Les mots qu’il venait de prononcer, cette supplique à laquelle il lui demandait d’accéder semblait totalement irréalisable, inhumaine pour deux personnes comme eux qui semblaient s’aimer avec une telle force. S’il avait réfléchit lui-même aux conséquences, à la réelle signification de ses mots, il y aurait eu de fortes chances pour ce qu’il ne les dise pas, qu’il refuse même d’y penser. Pourtant une fois de plus, c’était la voix du « Yano » raisonné et secret qui avait parlé à la place de l’autre qui ne voulait qu’avoir le droit d’aimer ce jeune homme qu’il aimait plus que de raison, pour qui il était prêt à mettre ses responsabilités, ses obligations de côté pour seulement se tenir à ses côtés.

Il se sentait tellement coupable de lui faire une telle requête, de lui demander d’être aussi raisonnable que son esprit lui intimait de l’être étant donné les circonstances et même si cela revenait à vivre ou plutôt tenter de survivre pendant cinq longues années. Inconsciemment, sans s’en rendre compte un seul instant, il l’avait mit face à une décision cruelle et difficile à prendre à sa place mais il voulait seulement qu’il comprenne les raisons, le poids des chaines qui le liaient à toutes ses responsabilités, ses obligations. Ça lui faisait tant de mal d’exprimer ces tourments tout en sachant qu’il risquait à tout instant de briser ce bonheur qui semblait les avoir habités depuis ces baisers des plus envoutants qu’ils avaient partagés sous la pluie en début de soirée. La réalité était si cruelle et lui-même se sentait incroyablement prisonnier, préférant rester dans ce doux songe dans lequel il semblait être plongé depuis des heures. Son cœur ne désirait qu’une chose, le toucher, le frôler de tout son corps, d’embrasser ces lèvres et cette chair qui le rendait incroyablement dépendant et dont il était désormais dépendant. Il ne voulait plus le quitter un seul instant et pourtant sa conscience lui intimait quant à elle de se sortir de ce doux rêve, de reprendre ses esprits et cesser cet enfantillage. Il osait à peine lever le regard vers celui pour qui son cœur semblait battre à une telle fréquence, incapable de pouvoir faire désormais semblant d’être insensible à ce qu’il disait, à cette pilule qu’il tentait de lui faire ingérer. Il savait qu’il était en train de le blesser comme s’il n’y avait pas d’autres possibilités et qu’ils étaient condamnés à souffrir comme les héros dramatiques d’une de ces pièces de théâtre moldues. C’était si horripilant et lui-même avait l’impression de vivre dans un monde injuste dans lequel il était toujours le seul responsable des blessures qu’il infligeait à l’être qu’il chérissait plus que quiconque.

Tout cela était tellement frustrant et lorsqu’il entendit les premiers mots du jeune homme exprimés dans un ton si brisé, et un tel regard remplit de souffrance, il détourna inconsciemment le regard. Sentant alors son cœur se serrait au fond de sa poitrine, incapable de respirer normalement, il l’écouta donc silencieusement. Cinq ans, cinq ans à se cacher, c’était tellement long et il le savait au plus profond de son cœur. Comment pouvait-il pensé être capable à cacher ainsi ses sentiments sans avoir l’impression de trahir son amour pour lui, pour cet être qu’il aimait pourtant si fort ? Ils allaient seulement finir par se bruler mutuellement les ailes, vivant dans la crainte que ces sentiments qu’ils éprouvaient fussent alors quelque chose de mal, d’interdit et d’immonde et que les chances que ces blessures soient irréparable. Ki Suk avait raison, il le savait car lui-même en était intimement persuadé seulement cette foutue raison ne voulait pas laisser son cœur s’exprimait librement, l’obligeant alors à ne penser qu’en tant que celui qu’il devait être. Ki Suk qui était quelqu’un de si pur, si sincère envers ses sentiments ne pouvait alors accéder à sa demande, qu’il ne ferait qu’en souffrir tout autant qu’il était en train de le faire à cette idée. La durée était bien trop longue, trop cruelle pour les sentiments réciproques qui les habitaient pour qu’il puisse y consentir. Sentant alors les doigts du jeune homme serrer plus franchement sa main comme pour y trouver la moindre force, courage d’affronter cette idée, il posa de nouveau son regard sur le jeune homme. Celui-ci s’était désormais assit, recroquevillait serrant dans sa main libre, le drap qui était posé sur lui, alors qu’il ne le pourrait pas, qu’il en était désolé mais qu’il ne pouvait y consentir tout simplement.

Ces quelques mots voulaient tout dire, il n’y avait alors que deux choix qui s’ouvrait à lui. Il avait seulement la possibilité de choisir entre deux avenirs, un dans lequel il continuait sa route seul et une autre ou il pouvait la suivre à ses côtés, s’il consentait à accepter de dévoiler leur relation. Qu’importe la décision qu’il prenait, les conséquences allaient être nombreuses quoique de nature totalement différente. Pourtant imaginer un seul instant de continuer sa route sans Ki Suk à ses côtés, comme au cours de ces derniers mois durant lesquels il s’était senti mourir d’amour pour lui, était totalement impensable. Il avait besoin de lui, plus que de toute autre personne au monde. C’était lui, Ki Suk, qui lui avait donné la possibilité de se trouver, de découvrir quel homme il était réellement et qui l’avait accepté tel qu’il était avec ses qualités et défauts. Il était devenu au fil des années, son oxygène, la seule personne auprès de laquelle il avait un besoin vital d’être à ses côtés pour avoir seulement l’impression d’exister. Vivre sans lui, alors qu’il savait que ces sentiments qui l’habitaient étaient réciproques, c’était une pure torture. Qu’importe alors si il devait avouer à tout le monde qu’il était fou de cet homme, qu’on le prenne pour un fou déraisonné ou un idiot de première, tant que Ki Suk était à ses côtés, cela n’avait pas d’importance. Serrant alors doucement sa main dans la sienne toujours liées, il approcha sa main libre du visage du jeune homme, le tournant doucement à lui, alors qu’il murmurait seulement dans un don doux :

« Ki Suk… Je t’aime du plus profond de mon cœur… Tellement que tu es résolument la dernière personne que je souhaite perdre au monde. En l’espace de quelques années, tu es devenu si primordial, si important à ma survie, si tu savais Ki Suk. Si je suis l’homme que je suis désormais c’est grâce à toi…C’est toi qui m’a permit de me construire et je ne veux pas te perdre… Non plutôt mourir que de te savoir si loin de moi, pas après que je sais que mes sentiments à ton égard sont partagés. »

Reprenant quelques instants sa respiration, ses doigts frôlèrent tendrement les traits de son visage alors que son regard se faisait doux et quelque peu meurtri. Se résoudre à n’être qu’un simple ami, étranger lui était tout simplement impensable, non pas après avoir ressenti tant de bonheur à son contact. Glissant alors doucement ses doigts sur les lèvres du jeune préfet pour les caresser doucement, il ajouta simplement.

« Alors d’accord, on se cachera pas pendant tant d’années…Seulement donne moi du temps, quelques semaines, mois pour trouver une solution qui pourraient nous épargner tout problème. Au moins que je puisse en parler à Aika et Eichi, les tenir informer des conséquences que cela risque d’avoir sur eux et leur avenir. Laisses moi au moins du temps pour arranger les choses pour les rendre moins douloureuse pour eux. Pour te garder auprès de moi, je veux bien tout sacrifier car te perdre serait pire que la mort à mes yeux. Juste quelques semaines, mois…Ki Suk, cela te semble-t-il possible ? »

Délicatement, il posa son front contre celui du jeune muneo, le regardant tendrement alors qu’il continuait délicatement de lui caresser le visage, glissant sa paume sur sa joue. « Fais-moi confiance, mon amour… S’il te plait. » Susurra-t-il doucement en fermant les yeux, l’embrassant tout simplement sur les lèvres de la façon la plus tendre possible, attendant tout simplement sa réponse.

Quelque pourrait être sa réponse, il était résolument décidé à tout faire pour le garder à ses côtés et pour une fois, il refusait que sa raison puisse avoir raison de ce que désirait son cœur : avoir Ki Suk à ses côtés quoiqu’il arrivait.
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Yoon Ki Suk
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeMar 17 Mai - 22:29

Le bonheur que le jeune préfet avait ressenti au cours de ces dernières heures auprès de Yano semblait désormais s’être évaporé, alors qu’une grande tristesse, une grande peine prenait possession de son corps à l’entente de ces mots prononcés. Ces mots ô douloureux qui ne pouvaient que lui rappeler la dure réalité qui les attendait une fois que leur relation serait découverte. Un sang-pur, un sang-pur d’une origine familiale ô élevé et respecté dans le monde sorcier était tombé amoureux d’un simple sorcier d’origine moldu plus que banal. Un sorcier qui avait pour réputation d’après le journal de l’école de n’avoir aucune personnalité, rien si ce n’était peut-être le fait qu’il passe un temps infini entre les rayons de la bibliothèque comme un digne muneo de ce nom. Il n’avait donc rien de bien attirant aux yeux de ce jeune homme qui pourrait en faire en sorte de le différencier si ce n’était peut-être qu’il s’agissait, malgré les premiers abords, de son premier ami et meilleur ami. Bon nombres de rumeurs allaient sans aucun doute circuler à leur propos, de la plus farfelue à la plus véridique. Ki Suk aurait pu très bien depuis leurs premiers jours à Akiwa cherchait à se retrouver proche de l’héritier afin d’attirer le jeune homme à lui, pour qu’ils se retrouvent amis et puissent tirer profit de chaque avantage, action qu’il pourrait posséder, afin d’obtenir de nombreux privilèges. Il n’était qu’un simple moldu après tout, et nombreux étaient les personnes qui n’appréciaient pas les moldus ne les trouvant pas assez convenable pour hériter des pouvoirs magiques qui leur avaient été conféré à leurs naissances. La réalité de leur relation était bien différente de celle que pouvait s’imaginer bon nombre de ses sorciers anti-moldus. Si les deux jeunes hommes se trouvaient désormais ensemble et formaient un couple officieusement, et bientôt officiellement, cela n’était nullement la raison d’intérêts particuliers. Les deux jeunes hommes s’aimaient d’une passion certaine et véridique. Ki Suk était bien incapable vu son caractère de masquer ses émotions et de jouer un personnage différent de sa vraie personnalité, le jeune muneo n’avait nullement les capacités pour devenir un bon acteur, ni être un bon manipulateur comme pouvait l’être certains de ses camarades. S’il y avait une personne qui connaissait parfaitement le muneo c’était bien Yano, et celui-ci ne devait nullement douter en cet instant de ces sentiments. Les regards qu’ils se lançaient entre eux, les mots doux qu’ils s’échangeaient étaient bien trop sincères pour que les deux jeunes muneos viennent à douter de chacun de leurs mots.

Le principal obstacle à leur amour, à leur couple serait sans aucun doute la famille de Yano, cette famille qui prônait le sang-pur mais avec finesse, il considérait les moldus comme des êtres faibles bien incapable de se défendre seul. Au-delà de leur avis péjoratif au sujet des moldus, pouvait se poser un second problème, le fait que Yano soit à l’heure actuelle fiancé à une Yunikon du nom de Min Sun Hee. Une difficulté ô notable, tant la demoiselle détenait une grande estime aux yeux de ses parents. Sa famille prônait les sangs-purs, comme la famille Wada le faisait depuis des siècles. Peut-être que la demoiselle ne supporterait pas de voir partir son fiance auprès d’un simple né moldu, et les conséquences en seraient tout aussi importante sur leur vie. Dès lors que ces parents découvriraient la relation qu’ils partageaient, Yano risquait sans aucun doute d’être renié par une grande partie de sa famille qui viendrait à mépriser cet homme qui avait cédé à la tentation. En plus d’être né moldu, le muneo aimait un homme, un élément ô important qui scellerait le sort de Yano. Le jeune préfet connaissait assez bien les parents de Yano pour savoir qu’ils n’accepteraient tout simplement pas leur relation et qu’il poserait un ultimatum sur le muneo. Lui qui avait accepté pendant toutes ses années de protéger son frère et sa sœur, allait tout simplement leur faire subir le même sort que celui-ci avait vécu pendant ses vingt dernières années. Si le muneo « abandonnait », sa famille, sa sœur devrait sans aucun doute devoir se marier à un homme qui rentrerait dans les rangs. Si un de leurs enfants étaient capable de fuir leur famille, les autres en seraient capable à leur tour ! Ainsi, sans aucun doute que leurs parents seraient encore plus stricts qu’ils n’avaient pu l’être auparavant. Leur amour déclencherait une série de conséquences ô importantes qui changeraient la vie des trois enfants de la digne et connue famille Wada. Mais même si Ki Suk connaissait déjà toutes ses conséquences, il ne reviendrait nullement sur ses choix, pour une fois dans sa vie il pouvait se montrer quelque peu égoïste et agir en ne considérant que sa propre personne, il le ferait.

Les mots qui avaient franchi ses lèvres quelques secondes plus tôt en étaient l’exacte preuve, ses mots qui avaient été prononcés avec une voix faible et meurtrie. Le jeune préfet ne se sentait pas capable de pouvoir supporter leur relation s’ils devaient vivre comme Yano le lui avait proposé. Attendre jusqu’à la majorité d’Eichii pour pouvoir prétendre à une réelle relation amoureuse épanouie. Se cacher pendant cinq années, ne pas pouvoir embrasser Yano lorsque ses envies les décideraient, ne pas pouvoir l’aimer comme un vrai couple le ferait, ne pas pouvoir admirer ses traits, son corps sans attirer le moindre regard curieux de l’un de ses camarades. Cette vie n’attirait nullement le préfet, lui qui avait toujours vécu dans la franchise et l’honnêteté. Paraitre était un art qu’il ne connaissait, un art inconnu qu’il n’avait nullement l’intention d’apprendre et tout particulièrement aux côtés de l’être aimé. Au-delà du fait de mentir à autrui, ce qui dérangeait en partie le muneo c’était de se duper ses sentiments, ses propres pensées dans ce jeu pour entrer dans la masse. Il ne cherchait nullement à ressembler à tous ces êtres parfaits qui cherchaient à montrer une apparence lisse, comme si leur vie ressemblait à celle des autres, ne possédait nullement de faiblesse. Non, Ki Suk ne voulait pas d’une telle vie, il voulait vivre au gré de ses sentiments, de ses envies ne s’occupant que peu du jugement des autres dans la limite du respectable. Le déroulement même de sa vie avait été quelque chose de peu banal, lui un simple humain s’était retrouvé détenteur de pouvoirs ô extraordinaires, dans ses veines coulaient de la magie, une substance qui lui permettait d’obtenir de nombreux avantages et tout particulièrement le droit d’accéder à une école qui lui permettait de dompter ses pouvoirs. Digne d’un manga, il s’était retrouvé du jour au lendemain sorcier et avait pénétré le monde magique avec stupeur et curiosité. Sa vie s’était alors transformée pour devenir quelque chose de fantastique et unique. Alors oui, le muneo ne voulait nullement perdre chaque instant de sa vie dans un mensonge de cinq ans qui pourraient briser chacun de ses rêves, briser sa vie tout particulièrement. En cinq années, tant d’évènements pouvaient se produire aussi dramatique que magnifique. Et si avant même qu’Eichii atteigne sa majorité, les parents de Yano décidaient l’organiser un mariage pour leur fils, comment cela allait-il se passer ? Yano accepterait-il de garder leur relation secrète et d’épouser Sun Hee pour protéger son frère et sa sœur ? Cela était possible même s’il ne doutait aucunement des sentiments de Yano à son égard, et cette idée ne pouvait que le faire souffrir comme tant d’autres hypothèses ô rocambolesque. Cinq ans c’était tellement long, tellement insupportable à vivre selon lui. Il ne pouvait certainement pas accepter une telle situation à l’heure actuelle quitte à devoir se séparer avec son aimé, ce qu’il redoutait et qu’il ne voulait nullement vivre. Les quelques mots qu’il avait prononcé avaient très bien représenté ces peurs et ces sentiments. Soit Yano acceptait ouvertement de l’aimer dès à présent, soit ils se séparaient simplement. Peut-être que les choix proposés étaient trop extrêmes mais à ces yeux, il n’y avait que ceux-ci de possible sans qu’ils aient à souffrir. Soit ils souffraient séparés, soit ils vivaient ensemble leur véritable amour aux yeux de tous. Mais même s’il croyait férocement en ces mots, recroquevillé sur lui-même, il redoutait d’entendre les mots maudits sortir de la bouche de Yano. Et si Yano n’acceptait par leur relation et souhaitait tout arrêter… et si l’amour qu’il ressentait à son égard n’était pas assez fort comparé aux difficultés qu’ils devraient subir une fois leur relation découverte ? Il serra plus franchement le drap dans ses mains, baissant légèrement le regard à l’attente d’une véritable bombe.

Comme si Yano avait entendu ses craintes les plus profondes, le muneo entrelaça leurs doigts, approchant leurs visages jusqu’à qu’il n’y ait plus que centimètres de séparations avant de lui murmurer des mots doux qui eurent le don de réchauffer chaque centimètre de son corps et spécialement son cœur. Chaque mot prononcé embellissait son cœur de joie. Le préfet était devenu primordial aux yeux de Yano, il ne se voyait tout simplement pas vivre sans lui et il préférait mourir plutôt que s’éloigner de lui alors qu’il savait que leurs sentiments étaient partagés. Quelques secondes passèrent avant que Yano ne continue ses propos pendant lesquels il se saisit tendrement du visage du préfet, se contenant alors de caresser ses lèvres avec ses doigts, comme pour apaiser chaque crainte du muneo de le voir s’éloigner de sa personne. Au travers de ces quelques mots et de ses gestes Yano venait de faire disparaitre chacune de ses peurs. Même s’il n’avait pas encore accepté ouvertement de se dévoiler ouvertement, ses gestes en étaient tant aussi significatifs. La suite des mots de Yano eurent certainement un effet positif sur sa propre conscience, Yano ne lui demandait pas de se cacher pendant tant d’années, seulement quelques semaines, mois le temps qu’il mette son frère et sa sœur au courant de la situation et des possibles conséquences sur leur vie. Ne pas les laisser au dépourvu face à cette situation. Ki Suk était bien incapable alors de refuser une telle demande, pas après ces paroles. Yano risquait à tout moment de se faire renier par les membres de sa famille, alors si au moins il pouvait essayer de se faire pardonner et encore aimer par son frère et sa sœur, bien sûr qu’il l’accepterait. S’il y avait bien une personne qui risquait de plus perdre au travers de leur amour, c’était bien Yano et pour le soutenir, Kisuk était prêt à se cacher quelques mois, même s’il savait qu’il en souffrirait d’une quelconque manière, mais c’était la moindre chose qu’il pouvait faire pour ne pas paraitre encore plus égoïste qu’il ne l’était. Les yeux tendres que lui lançait Yano ne pouvait alors que le faire céder, il ne voulait certainement pas que Yano ne souffre plus qu’en cet instant. Alors en caressant de sa main les traits du visage de Yano il se mit à lui répondre d’une voix tendre et douce.

« Yano, je t’aime tellement que je ne peux moi non plus m’imaginer une vie loin de toi, pas après tout ce qu’on a pu vivre avant d’en arriver à enfin s’avouer nos sentiments réciproques. On a tellement souffert ces derniers mois à être éloigné l’un de l’autre que je ne peux consentir de n’être pas à tes côtés, t’aimant comme je le voudrais, comme mon cœur me l’intimerait. Alors oui, même si je sais qu’on en souffrira tout autant l’un que l’autre, je suis prêt à accepter de nous cacher quelques mois, quelques semaines le temps de prévenir Aika et Eichii sur les conséquences de notre relation. Vivre loin de toi me semble tant douloureux, tant difficile que je ne peux qu’accepter même si je sais que l’on risque de souffrir en gardant une image de simple meilleurs amis mais pour toi, je suis prêt à l’accepter. Je t’aime trop pour ne pas répondre positivement à ta demande qui me semble correcte étant donné les circonstances. »

A son tour, il posa ses lèvres sur les lèvres de son amour tendrement comme pour sceller ses paroles dans ce baiser qui lui semblait bien significatifs. Pour Yano, il acceptait de souffrir encore mais dans la limite du raisonnable… quelques mois, ils pourraient tenir quelques mois en secret…

« Mais… tu me promets qu’on aura pendant ses longues semaines des moments à nous, ne ? Je veux pouvoir t’embrasser, te murmurer des mots doux même si nous devons nous cacher… j’ai besoin de t’aimer…»
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Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeMer 18 Mai - 3:43

Avoir peur était bien une chose à laquelle le jeune homme n’avait jamais eu vraiment à faire avant, sa rencontre avec le jeune homme qu’il était en train de caresser tendrement du bout des doigts. Il faut dire que le jeune homme avait été élevé dans une ambiance stricte et dure où la faiblesse n’était pas tolérée. Il est donc évidant que dès son plus jeune âge, ses parents avaient pris soin de faire de lui, un enfant à l’apparence sure de lui, un poil orgueilleuse même mais qui était aussi fort et droit que de la glace. Un jeune homme qui saurait faire face à toute situation dangereuse ou déstabilisante sans ciller comme se devait être un héritier de son calibre, illustre descendant d’une famille comme la sienne. A vrai dire, cet exercice était à l’époque bien facile pour lui car il ne craignait vraiment rien, ni personne. Confiant en ses capacités magiques, il savait que grâce à ses pouvoirs et ces connaissances sur les sorts et le monde magique, il pouvait a tout instant se sortir de toute situation dangereuse en toute circonstance, comme se le devait un futur auror. C’était uniquement pour remplir ce rôle qu’il avait été éduqué de cette façon et c’était dans une confiance aveugle que ses parents comptaient sur lui pour accomplir la dure tâche imbue à son rang. Héritier de la branche principale, il devait donc répondre à toutes les attentes que ce soit en terme d’image officielle, métier qu’il allait exercer, personne auprès de laquelle il devrait établir sa vie pour satisfaire les besoins et espérances familiales. La seule chose qu’on lui laissait faire sans broncher, c’était le choix tout particulier qu’il faisait en ce qui concernait ses amis. Ses parents avaient au moins eu le mérite de lui laisser la possibilité de choisir quelles personnes il souhaitait avoir autour de lui en tant qu’ami.

En toute honnêteté, ses parents avaient totalement confiance en son jugement et lorsqu’ils avaient rencontrés, le meilleur ami de leur fils héritier, ils avaient su qu’ils avaient bien fait car l’être, qui leur avait été présentés, était tout simplement un être délicieux bien qu’il fut un sang mélé mais cela avait peu d’importance puisque cet être avait du sang pur dans ces veines. Du moins, c’était ce que leur fils leur avait croire et faisait encore croire. Ils avaient pleinement conscience que le jeune homme avait un impact positif sur leur visage. Les traits de leur ainé, s’adoucissait toujours, semblait peu à peu s’épanouir et surtout il devenait un véritable homme. Un homme à l’image de celui qu’ils avaient toujours souhaité qu’il devienne bien qu’il avait tendance à donner une impression de fragilité face à ce garçon en particulier. Cependant ils ne disaient mot, se contentant seulement de veiller sur cette relation sans pour autant imaginer une seule seconde que cette tendresse entre les deux jeunes hommes n’était pas sans sous entendus. Des sens entendus qu’à l’époque, les deux jeunes hommes étaient loin d’avoir compris et qui maintenant à l’heure actuelle avait prit tout leurs impacts. Ils s’aimaient et peut être que déjà à l’époque leur amitié n’en était pas réellement une. Yano était bien incapable d’expliquer quand il avait commencé à développer des sentiments envers le jeune préfet qu’il aimait désormais si fort. Peut être est ce qu’il avait eu un coup de foudre pour lui dès leur première rencontre dans ce wagon qui les avaient mené à Akiwa ? Il y a avait de grande chance car ce jour là, il l’avait tout simplement accepté à ces côtés sans aucune aversion, aucune crainte d’être utilisé par cet être si innocent qu’il semblait et était à l’époque. Devant une telle pureté, gentillesse et tendresse, comment pouvait-il rester de marbre et ne pas s’attacher à celui-ci ? Yano qui avait toujours été éduqué en devant se méfier de quiconque, s’était alors laissé mené par son instinct, ce sentiment d’amitié qui était né au contact du jeune homme et surtout il s’était allé à ces gestes si tendres et désormais il ne se voyait plus vivre sans pouvoir caresser cette peau qui apaisait si facilement ses angoisses, ses craintes.

C’est en côtoyant Ki Suk, qu’il avait connu pour la première fois ce qu’était la peur. La crainte de perdre quelqu’un qu’on aimait et chérissait de tout son cœur. Tout cela était né au fond de sa poitrine lorsque le jeune homme avait commencé à sortir avec une charmante demoiselle comme lui. Lui, qui n’avait jusqu’alors jamais partagé le jeune homme avec quiconque, avec qui il passait la plupart de son temps, s’était retrouvé à passer au second plan et occuper la place qui devait être la sienne depuis toujours, celle d’un ami. Cette jalousie qu’il avait connu à ce moment là lui avait mise la puce à l’oreille et lorsqu’il avait comprit pourquoi, il avait voulu fuir ce qu’il éprouvait pour lui. Pourquoi ? La peur de le perdre tout simplement face à la folie de son amour avait été trop forte. Désormais qu’il pouvait être enfin libre de lui avouer ces sentiments sans aucune crainte, cette passion, qui l’enveloppait de ces bras depuis tant d’années, ne voulait pas le perdre au nom d’un devoir, d’une obligation à laquelle il était soumit depuis trop d’années. Il avait tenté d’être raisonnable encore une fois, incapable d’être inconscient ou insouciant de toutes les conséquences que cela sous entendait mais puisque, l’homme qu’il aimait et qu’il craignait le plus de perdre lui posait un ultimatum, il ne pouvait décidément plus taire ce qu’il ressentait, ce qu’il désirait.

Pour une fois, lui qui avait passé sa vie à répondre aux attentes des autres, il voulait également être à son tour égoïste et suivre la voix qu’il le désirait. Ce n’était pas un souhait nouveau puisqu’il avait toujours eu l’intention de quitter un jour ou l’autre sa famille pour poursuivre son rêve en marchant sur un chemin différent de celui sur lequel on voulait qu’il marche. C’est juste pour protéger son frère et sa sœur qu’il consentait encore à répondre à l’attente de ses parents mais pour Ki Suk, il voulait bien quitter sa position actuelle maintenant. Cependant en digne ainé, il voulait au moins avoir le temps de discuter avec les différentes personnes impliquées dans son histoire. Que ce soit Aika, Eichi, même Sun Hee, il voulait au moins être sincère et loyal envers un. Il voulait également trouver la manière la plus douce pour annoncer cette nouvelle à ces parents. Le fait d’aimer un sorcier né moldu, qui en plus de cela était un homme. Beaucoup d’éléments étaient contre lui mais qu’il pouvait-il ? Rien. Personne au monde ne choisissait la personne qu’il aimait et surtout il ne voulait en aucun cas changer qui était le jeune homme, dont il était fou d’amour. Mais qu’importe au fond la réaction de ses parents, cela n’avait que peu d’importance car sa décision était prise. La seule chose qu’il désirait désormais, c’était Ki Suk et personne d’autre et il ne reculerait devant quiconque pour pouvoir se tenir à ces côtés et l’aimer comme il le souhaitait. C’est pour cette raison qu’il voulait que Ki Suk lui fasse confiance et qu’il accepte sa demande. Il consentait à abandonner sa place mais il voulait le faire correctement en ayant au moins la chance de pouvoir se regarder ensuite dans la glace sans se trouver pathétique et navrant d’avoir laisser tout en plan sans explications qui leur étaient dues.

C’est donc avec une certaine inquiétude maitrisée qu’il le regardait avec tendresse en lui caressant les traits du visage. Il voulait qu’il ait confiance en lui, qu’il lui laisse au moins la possibilité d’arranger les choses avant de pouvoir s’aimer librement. Il avait pleinement conscience que cela allait être particulièrement difficile pour eux, autant pour lui que pour le jeune homme mais c’était inévitable…Ils n’avaient pas le choix, du moins le pensait-il réellement. Fermant doucement les yeux en sentant les doigts du jeune homme se poser sur les traits de son visage, il se laissa enivrer par ce doux contact qui avait le don de l’apaiser dans une certaine mesure. Son cœur quant à lui semblait prisonnier d’une douceur et d’un bien être qu’il se savait désormais dépendant plus qu’à toute autre chose. Un bonheur qui s’accentua en mesure des mots que prononçant le jeune homme. Sa voix si grave en temps normal était si douce et tendre dans son ton, ses mots si envoutants et si passionnés. Il lui avouait à son tour qu’il l’aimait, qu’il ne pouvait pas à son tour imaginer passer sa vie loin de lui, pas après avoir connu les derniers instants qu’ils venaient de vivre. Il avait l’impression folle de mourir de bonheur sous ces mots, réprimant déjà cette envie terrible qu’il avait de l’embrasser de nouveau, de le serrer contre lui alors que son cœur semblait se gonfler de bien être et d’un bonheur sans nom. Lorsqu’il consenti à répondre favorablement à sa demande, il ouvrit alors doucement les yeux pour les plonger dans ceux du jeune homme. Il n’était pas en train de rêver ? Il lui disait bien qu’il acceptait de se cacher quelques temps même s’ils allaient risquer de souffrir en gardant que l’image de simple amis mais que pour lui, il était prêt à l’accepter car il était bien trop amoureux de lui.

Il était tellement ravi, soulagé qu’il ne put s’empêcher un léger soupir de soulagement alors qu’il sentait les lèvres du jeune homme venir sceller ses paroles par un tendre baiser. Fermant doucement les yeux face à ce doux baiser, il ne put s’empêcher de sourire attendri et amoureusement aux paroles qui suivirent. Il lui demandait de lui promettre de trouver des moments rien qu’à eux, pour qu’il puisse l’embrasser, lui murmurait des mots doux car il avait besoin de l’aimer. C’était définitif, ce jeune homme allait définitivement causer sa perte car il ne pouvait résister à de telles paroles. Ki Suk se rendait-il vraiment compte du bonheur qu’il apportait à son cœur, à son être en murmurant de telles paroles ? A ces simples mots si évocateurs, son cœur se mit à battre encore plus fort alors qu’il rouvrait doucement les yeux pour les plonger dans ceux du jeune homme. Son regard était si doux, si tendre et à la fois si passionné. Ses lèvres se trouvaient juste en face des siennes et cette envie folle de le dévorer encore plus présente à l’attente de ces mots. Cependant il voulait profiter de ce léger instant en suspension entre la déclaration si franche et si passionnée du jeune homme et sa réponse. Glissant ses doigts sur les lèvres du jeune homme, il les effleura avec tendresse et sensualité, alors que son regard se faisait plus pénétrant et sensuel, avant de les faire se mouvoir sur sa nuque, la frôlant avec sensualité et volupté. Un sourire doux et attendri se dessina simplement sur ces lèvres alors qu’il s’approchait doucement de ces lèvres, ne laissant qu’un simple espace entre eux pour susurrer avec passion.

« Ki Suk…Tu n’es pas le seul à désirer tout cela…Mon être tout entier brûle de désir de ta personne... Je te fais la promesse qu’on trouvera des moments à nous, qu’on pourra s’aimer sans inquiétude, crainte car je ne pourrais pas survivre sans pouvoir te murmurer à quel point, je t’aime… que tu es beau, attirant et magnifique… Sans parler du fait que je veux plus que tout te toucher, sentir ma peau sur la tienne comme présentement… Et surtout, ce que je désire plus que tout faire, c’est ceci… »

Effleurant doucement le dos de la nuque de ses doigts, il attrapa en douceur celle ci et approcha le visage de son amour pour poser ses lèvres enfin sur les siennes avec tendresse. Se contentant seulement de les frôler dans un premier temps, il s’écarta quelques secondes pour venir de nouveau les capturer des siennes. Retenant prisonnière l’une de ces compagnes, il la caressa avec tendresse du bout de sa langue, sentant alors les lèvres du jeune homme désireuses de plus contact s’entrouvrir à ce doux baiser. Ne se faisant alors pas plus prier, il vint capturer de nouveau ses lèvres avec passion, pour caresser de sa langue, sa jumelle avant de les mêler dans une danse des plus sensuelles, ses doigts quant à eux caressaient avec avidité et tendresse la peau du jeune homme. Se laissant aller au bien être d’embrasser l’être qu’il aimait plus que tout, il glissa alors ses mains sur son cou pour descendre sur son torse, le caressant alors avec une passion non dissimulée. Lui dévorant ainsi les lèvres dans un baiser des plus langoureux, il n’était décidément pas résolu à les lâcher de sitôt. Désormais qu’il était en droit de les embrasser comme il le souhaitait, comme il en avait toujours eu envie, il ne risquait pas de se retenir et surement pas après de telles paroles venant de l’homme qu’il aimait plus que tout. Sentir la peau du jeune homme se mouvoir sous ses doigts, sentir l’odeur si particulière de son parfum enivrer tous ces sens, il avait l’impression qu’il pouvait à tout instant mourir de bonheur, de désir pour ce corps qui le rendait littéralement dingue.

Un corps qui était présentement nu sous les draps et qui était terriblement tentant mais il tentait de se raisonner, de ne pas se perdre dans sa folie mais l’envie était là. Fort heureusement la réalité le rattrapa puisqu’il se retrouva rapidement à bout de souffle, l’obligeant alors à cesser tout baiser et caresse. A bout de souffle, le regard embrumée par cette passion sans fond, il ne pu se retenir de gémir de frustration en quittant ces douces lèvres qui le rendait si fou. Ces lèvres si pulpeuses et gonflées dues au fait d’être si fougueusement embrasser, et qui l’appelaient de nouveau. Fermant doucement les yeux en se mordant doucement la lèvre, il susurra le souffle court.

« Ki Suk…Je suis fou de toi… »
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Je l'aime tellement, tellement... Se cacher me fait souffrir mais pour notre bien, nous devons le faire, assurément...
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeLun 30 Mai - 2:10

Désormais il n’y avait alors plus de choix possible pour les deux muneos, Ki Suk venait tout simplement d’accepter le fait que les deux jeunes hommes cachent leur relation aux yeux de tous, pour laisser le temps à Yano de prévenir son frère et sa sœur des conséquences de leur union sur leur vie. Ensuite, une fois cette étape passait, les deux jeunes hommes pourraient enfin vivre leur amour au grand jour, comme n’importe couple pouvait le faire à Akiwa. Il savait bien évidement qu’il avait pu paraitre égoïste en cet instant mais cela ne l’importait que peu. Ils auraient pu rester ainsi pendant cinq ans, à se cacher, à avoir peur à chaque minute ensemble que quelqu’un les surprenne et voit dans leurs gestes un quelconque sentiment qui dépasserait celui de l’amitié. Même si les deux muneos avaient été particulièrement proche pendant leurs cinquièmes années à se côtoyer, leurs gestes n’avaient été nullement si appuyé que maintenant, alors que les deux muneos connaissaient la véritable nature de leur lien. S’ils se devaient d’être discrets, ils ne pourraient que difficilement que retenir leurs gestes affectueux et amoureux pendant de si longues années, Ki Suk ne s’en sentait pas capable. Tout particulièrement sachant que leurs sentiments se retrouvaient réciproques, comment pourrait-il s’empêcher de l’embrasser lorsqu’il le souhaiterait, caresser sa peau, dévorer sa nuque de baisers, lui dire à quel point il l’aimait sans se soucier du monde qui les entourerait, peu importe le lieu dans lequel il se trouverait. Cinq années se trouvaient définitivement impossible à supporter pour le muneo, mais pour Yano il acceptait alors de se cacher quelque seulement quelques semaines, ces quelques semaines qui seraient difficile à vivre autant pour lui, que pour le jeune Wada. Chacun d’entre eux ressentirait ce besoin irrépétible de contacts entre eux, ne serait-ce que de toucher cette peau qui leur donnait tant envie. Comment pourraient-ils supporter toute cette douleur alors qu’il y avait à peine quelques heures alors qu’ils n’étaient alors que de simples amis, la distance qui les séparait les avait fait terriblement souffrir. Ki Suk avait bien remarqué que comme lui, Yano s’était retrouvé beaucoup moins heureux, souriant et plus renfermé sur lui-même depuis leur séparation. A présent, il pouvait trouver une explication alors logique à toutes ses souffrances qu’ils avaient affrontées mutuellement sans le savoir. Au-delà d’une simple amitié perdue lors de ses mois derniers, l’élément qui différenciait leur relation par rapport à une simple amitié avait été l’amour passionnel qui était présent en leurs corps. Le muneo ne pouvait nullement nier le fait d’avoir été attiré par le muneo depuis de nombreux mois mais il avait préféré grandement taire cette attirance, tout simplement plutôt que craindre de briser leur amitié en mille morceaux, comment pouvait-il seulement se douter que leurs sentiments se retrouvaient réciproques et leur relation était bien différente d’une banale amitié. Sans aucun doute que si les deux muneos n’avaient pas été aveuglé par leur amour à priori à sens unique, ils auraient pu être ensemble depuis de nombreuses semaines, ils n’auraient pas eu alors à affronter leur dure rencontre dans l’un des endroits les plus sombres de ce château, le trappe. Le lieu où enfin le muneo s’était rendu compte qu’il aimait son meilleur ami et sa souffrance n’avait été nullement si forte que lorsque celui-ci avait prononcé ses mots : « Il n’y a rien à dire… C’est ainsi. N’ai aucune crainte, je me préoccuperais plus de toi, je n’ai plus le temps de toute façon. Alors oublie tout simplement... » Plusieurs mois s’étaient écoulées et le muneo n’avait tout simplement pas pu oublier ses paroles, pas après avoir vécu cinq ans de sa vie à ses côtés. Son coeur s’était alors déchiré à ses mots et une unique larme s’était écoulée sur son visage, une seule larme qui était l’origine de son mal-être pendant de longues semaines, jusqu’à ce jour. L’état de Ki Suk s’était détérioré depuis ce jour, jusqu’à qu’il ne sourit plus que rarement aux côté de ses amis, sa bonne humeur et sa joie de vivre s’était évaporée, et personne n’avait pu vraiment le comprendre étant donné qu’il avait gardé ses sentiments au fond de lui. Ainsi, le muneo ne pouvait qu’être heureux du choix de Yano, celui-ci acceptait leur relation et serait prêt à l’afficher au monde entier mais ils devaient se contenter d’attendre quelques semaines, seulement quelques semaines. Ils en souffriraient mais le muneo lui avait demandé de lui faire confiance, que leurs problèmes se règleraient dès lors que Yano expliquerait la situation à son frère et sa sœur. Ki Suk pouvait le supporter pour l’être qu’il aimait, n’est-ce pas ?

Les paroles du jeune moldu à cet instant ne pouvaient être nullement plus sincères, à chaque mot qu’il prononçait s’était son cœur et ses sentiments qui prenaient possession de ses lèvres et son besoin principal d’aimer la personne qu’il chérissait, d’aimer Yano comme jamais il n’aimerait une autre personne. La petite amourette qu’il avait vécue avec son unique ex-petite amie n’était vraiment qu’une petite histoire sans aucun intérêt, l’amour qu’il portait envers Yano était bien plus important à ses yeux. Jamais il n’avait pu attendre son cœur battre si rapidement, se sentir si vivant qu’en la compagnie de son aujourd’hui officieusement petit ami. Le baiser qu’ils avaient échangé ne l’avait nullement laissé insensible quelques minutes auparavant, tout particulièrement lorsque leurs peaux avaient pu enfin se rencontrer dans ce lit, alors que ces mains avaient caressé ses reins avec tant de passion. Ses caresses n’avaient pas pu le laisser froid, les caresses qu’il avait prodiguées sur le corps de Yano en étant tant significatives, même fiévreux il avait répondu à chacun de ses gestes ne pouvant être insensible. En seulement quelques heures, la peau de Yano s’était transformée en une drogue dont il ne semblait plus pouvoir se passer, au risque de ne devenir qu’un être léthargique en manque. Et les mots que Yano venaient de prononcer ne le laissèrent alors que plus fou de lui : Ki Suk n’était pas le seul à ressentir ce besoin véritable d’aimer la personne chère à son cœur, son corps tout entier brûler pour sa personne, lui faisant alors la promesse qu’ils trouveront des moments rien qu’à eux, qu’ils pourront s’aimer sans inquiétude, une de ses craintes car il ne pourrait survivre sans avoir à murmurer à quel point il l’aimait, qu’il le trouvait magnifique et particulièrement attirant, et qu’il voulait particulièrement le toucher plus qu’à l’heure actuelle, plus que sentir sa peau sur la sienne. A chacun de ses mots, le désir de Ki Suk ne pouvait que s’accentuer, Yano prononçait ses mots si sensuellement, si passionnément que cela ne pouvait être le cas. Comment en aurait-il pu être autrement alors que l’être qu’il aimait lui murmurait des mots si passionnés en même temps qu’il caressait ô sensuellement ses lèvres avec ses doigts et le regardait avec tant de passion et d’amour. Non, vraiment, face à Yano Ki Suk n’était qu’un être faible qui ne pouvait que céder à la tentation et c’est donc avec un plaisir non caché qu’il fut heureux d’accueillir contre ses lèvres celles de Yano qu demandait un contact certain entre elles pour combler leur besoin, de se réunir encore et encore.

Soupirant alors de bien-être, il n’hésita que peu avant de laisser l’entier accès à sa bouche à Yano, entrouvrant ses lèvres pour qu’enfin leurs langues puissent se rencontrer, et enfin pouvoir se retrouver après tant de temps éloigné l’une de l’autre dans une danse passionnée et sensuelle qui ne pouvait laisser insensible les deux muneos. Ce fut donc avec un certain plaisir, qu’il se mit à son tour avec ses mains à caresser le corps que lui offrait son amoureux, ce corps qui l’avait tant fait fantasmer depuis des semaines et des semaines, et tout particulièrement son torse qui l’avait toujours fait rêver. Yano se rendait-il compte de la vision qu’il lui offrait, de ce torse ô musclé qui lui donnait tant envie depuis qu’il l’avait vu sous la pluie, en plein milieu du labyrinthe trempe sous un simple débardeur blanc qui ne laissait pas deviner ses formes, laissant apparaitre ses bouts de chairs. Et maintenant, qu’il avait le choix de pouvoir caresser celui-ci sans aucune gêne chacun de ses muscles, il le faisait, caressant presque qu’avec avidité celui-ci, Ki Suk était décidément fou de cet homme, de lui et de son corps qui le tentait à chaque instant un peu plus. Même s’il n’avait jamais eu à caresser ainsi une quelconque personne, il ne sentait nullement gêné par ses actions, la passion et le désir guidant seulement ses actions, même si elle se pouvait trouver parfois un peu maladroite, il n’était qu’un débutant dans ce domaine, un simple débutant qui ne demandait qu’à être guidé par l’homme qu’il aimait. Répondant aussi langoureusement au baiser, il caressait avec plus de ferveur ce torse et son torse, comme il le pouvait alors que Yano rapprochait leurs corps. Le contact de sa peau nue contre celle de Yano était décidément bien trop électrisant pour ne pas qu’il cède à sa passion et à son désir. A son tour il laissa échapper un doux gémissement alors que Yano cessait leur baiser pour reprendre sa respiration, et leur laissait le temps de se remettre ce baiser ô fabuleux.

Reprenant difficilement sa respiration il se mit à son tour à regarder Yano avec un air aussi embrumé que le sien par le plaisir qui les possédait. Les mots de Yano prononcée si sensuellement à son oreille le rendit encore plus fébrile, il n’avait aucune idée des mots prononcés par celui-ci mais une chose était sûre, la voix ô sexy de Yano le rendait incroyablement fou de désir et fou d’amour pour sa personne. Le muneo ne pouvait nullement être mieux que dans les bras de Yano alors qu’il lui donnait tant d’amour, personne ne pourrait égaler le digne hériter des Wada, il en était sûr. Personne ne pourrait l’aimer mieux que Yano, personne, c’était lui qui l’aimait aussi passionnément, et lui-même ne pourrait aimer un autre homme, personne ne pourrait être mieux que lui. Il en était persuadé, réellement persuadé. N’y tenant plus à son tour, il vint sceller ses lèvres sur celles de Yano, attrapant de sa main droite le visage de Yano pour le rapprocher du sien, et venir embrasser avec passion les siennes, ne pouvant tout simplement se passer de ses baisers, de ses lèvres, de cette langue qui le transporte dans un monde ô merveilleux, loin de tous les problèmes qu’ils pourraient affronter et devoir affronté avec le temps.

Cependant le muneo dut stopper son geste alors qu’il venait d’entendre non loin d’eux, approximativement aux escaliers de leur dortoir des bruits de pas en direction peut-être de leur chambre. Ki Suk laissa échapper alors un gémissement de frustration alors qu’il regardait Yano avec un regard encore embrumé par le plaisir et la passion. Ils ne pouvaient nullement arrêter de s’embrasser maintenant, vraiment pas, pas après avoir enfin le temps de s’aimer convenablement. S’ils devaient se cacher, quand pourraient-ils encore s’embrasser avec autant de liberté qu’en cet instant ? Non, leur chambre ne serait jamais libre, toujours occupé par un de leurs colocataires, leur emploi serait tellement chargé avec l’approche des examens, son travail de préfet. Dans combien de temps pourraient-ils profiter de Yano ? Ils devraient attendre si longtemps avant de se retrouver, tellement longtemps ! Ne pouvaient-il pas en ce 14 Février fêter dignement la fête de l’amour maintenant qu’ils formaient un vrai couple ? Non, il fallait indéniablement faire en sorte que personne ne les interrompe, pas alors qu’ils ne pourraient pas s’embrasser, se caresser librement avant tant de temps.

Ce fut alors en caressant tendrement le torse de Yano, qu’il se mit doucement à lui sourire, lui lançant un regard toujours ô passionné et rempli de désir, lui murmurant d’une voix ô douce et mielleuse : « Je t’en prie mon amour… ne me quitte pas maintenant, pas encore alors que nous ne savons même pas quand nous pourrons nous revoir seul à seul, j’ai tant besoin de t’embrasser, de te caresser encore… je t’en supplie ne me quitte pas maintenant. Peut-être qu’on ne pourra même s’échanger un baiser pendant des jours et des jours… j’ai besoin de toi, maintenant. Je t’en supplie…. Je t’aime tellement, tellement…. »
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | 2ms2atz
Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeLun 30 Mai - 5:01

Il était fou, le terme était totalement approprié pour ce qu’il était en train de ressentir pour le jeune homme qu’il tenait contre lui et dont il venait de lui murmurait ses simples mots au creux de l’oreille. Tout était vrai, sa folie était réelle et la passion qui était en train de le consommer tout autant. Il l’aimait, il en était plus que sur, encore plus qu’à l’époque où il avait cru que ses sentiments à son égard n’étaient peut être pas aussi innocent qu’il ne l’avait imaginé. A ce moment là, il s’était senti complètement perdu dans les abimes de son cœur car en même temps, il se croyait réellement fol amoureux de Jade, celle avec qui il partageait réellement des moments fantastiques à parler de ces créatures magiques qui constituaient sa plus grande passion. Il pensait réellement à cette époque, que l’affection qu’il lui portait était celle qu’on avait pour la personne qu’on aimait réellement. Il la couvrait d’attention, de tendresse, de baisers mais jamais auprès d’elle, il n’avait connu cette passion, cette fougue qui le dévorait les entrailles aux côtés de Ki Suk. Le désir qu’il éprouvait pour lui avait rapidement balayé, tout ce en croit il avait cru pendant ses quelques années où il s’était tenu aux côtés de Jade. Il avait seulement fallut que le corps de son meilleur ami, qui venait de commencer le Quiddich, ne prenne des formes pour que lui, ne commence à ressentir ce sentiment d’attirance qui ne lui était pas permit. Désirer son meilleur ami, souhaiter plus que tout frôler sa peau de ses doigts, de ses lèvres, avait été une pensée horrible mais maintenant qu’il avait tout compris, il savait quand réellement son amour pour Ki Suk avait débuté…et s’il se l’était avoué réellement un peu plus tôt, tout aurait surement pu être évité.

Mais au moins ces périodes de souffrance qu’ils avaient du traversés, chacun de leur côté ne pouvait alors que renforcer leurs sentiments, leurs relations. Yano en était plus que sur tout autant il était persuadé de la force et de la profondeur de ses sentiments pour Ki Suk. Pour lui, il était désormais prêt à tout et surtout il ne se sentait réellement plus capable de vivre si loin de lui, pas après ce qu’ils venaient de vivre ce soir. L’obliger à se tenir loin de lui reviendrait seulement à lui arracher le cœur de la poitrine et de le condamner à la tourmente pour le reste de sa vie. Une pensée qui lui était insupportable et qu’il ne désirait pour rien au monde voir arriver, quitte à passer pour un égoïste de première, un nombriliste qui ne pensait qu’à son bonheur personnel. Un bonheur duquel il était devenu dépendant dès sa rencontre avec l’être qui possédait le total contrôle sur son âme. Désormais, Ki Suk était résolument la seule personne à pouvoir faire de lui, un homme heureux et entier et il en avait pleinement conscience.

Le cœur au bord des lèvres, les yeux embrumés par une passion sans nom alors que ses doigts s’étaient perdus sur sa peau si délicate et douce, il ne pouvait n’être que fou, littéralement dingue du jeune homme qui se trouvait contre lui. Ses lèvres étaient désormais prisonnières de celle du jeune homme, il venait à peine de les quitter qu’il ne désirait plus qu’une chose, les embrasser de nouveau avec toute la fougue que ses doigts provoquées à son corps. L’embrasser, le caresser était résolument la seule chose dont il se sentait capable de penser à l’heure actuelle. Incapable de se détacher de cette passion, il tentait cependant de calmer ses frisons, son désir d’explorer plus intimement la peau de son amour mais l’envie était présente. Une envie trop présente car elle revenait de plus belle alors qu’il sentait le souffle tout autant coupé du jeune muneo près de son oreille et l’odeur de sa chair venir enivrer ses sens. Il avait tellement envie de lui, il en avait l’intime conviction mais quelque part, il se retenait de lui avouer ses pensées préférant se mordre les lèvres doucement pour tenter de calmer ses pulsions. Lorsque son regard croisa celui si embrumé de son amoureux, l’envie de le faire sien se fit de plus en plus cruelle à son esprit. Il avait l’air tellement d’apprécier ses baisers, ses caresses et son corps semblait de plus en plus réclamer son être…Il n’y avait alors rien de préjudiciable au fait de le désirer, n’est ce pas ?

Soupirant doucement de bien être pour tenter de se calmer comme il avait pu le faire dans la trappe, il ne pu alors que frissonner et gémir faiblement lorsqu’il sentit les lèvres du jeune homme capturer de nouveau ses lèvres pour les baiser. Un baiser dans lequel il se noyait littéralement, incapable de reprendre ses esprits, totalement envouté par les lèvres et le corps du jeune homme qui l’embrassaient avec autant de fougue. Il avait tout simplement l’impression de mourir, ne pouvant alors que laisser les frisons de bien être prendre possession de son échine alors que ce désir doublait d’intensité dans le fond de son ventre. Pervers ? Il avait l’impression de le devenir mais l’appel de la chair, de celle du jeune homme prenait totalement possession de toutes ses pensées rationnelles. Lorsqu’il le sentit s’éloigner de ses lèvres, il eut l’impression folle d’être frustré plus que la dernière fois où il les avait laissés s’échapper de son emprise dans cette trappe. Seulement la réalité les rattrapa sans doute trop vite pour lui, pour eux alors qu’il s’apprêtait déjà à revenir capturer les lèvres du préfet des siennes, trop enivré pour pouvoir se retenir d’un tel geste. Il désirait tellement l’embrasser, s’en en devenait une idée fixe et une véritable drogue… Gémissant doucement de frustration, il ferma doucement les yeux pour tenter de se calmer, de reprendre ses esprits alors que la réalité de la situation se frayait un passage dans son esprit trop embrumé.

C’était fini, ce doux instant de passion devait absolument prendre fin sous peine d’être prit sur le fait mais il ne le voulait pas, c’était bien trop cruel alors qu’ils venaient juste de s’enflammer de nouveau, de laisser libre cours à leur être de se témoigner la passion qui avait prise le contrôle de leur âme. Quand allaient-ils enfin avoir l’occasion de se trouver de nouveau seuls, ici ou dans un autre lieu ? Il ne pouvait le dire et l’idée de cesser tous ces baisers et caresses le rendait malade au fond de son âme. C’est pour cette raison qu’il ne put s’empêcher de nouveau de soupirer doucement lorsqu’il sentit doucement Kisuk lui caresser le torse, l’obligeant alors à rouvrir ses yeux pour affronter son regard. Ce regard qui se voulait être autant passionné et rempli de désir qu’auparavant et dont il se sentait prisonnier alors qu’il lui formulait sa demande. Sa voix était tellement douce et mielleuse le rendant littéralement dingue susurrant les doux murmures que son propre cœur lui intimait. Lui non plus, il ne voulait pas le quitter maintenant alors qu’ils ne savaient pas quand ils pourraient de nouveau être capable de s’embrasser, de se toucher…Comment résister à de telles paroles alors que lui-même lui disait qu’il avait besoin de le toucher, de l’embrasser, le suppliant même. Il se mordit les lèvres pour tenter de contrôler ses pulsions mais c’était trop lui en demander là.

Alors sans un mot, il s’approcha des lèvres, les embrassant fougueusement avec un léger brin de sauvagerie. Il avait l’impression de devenir dingue, est ce que Ki Suk se rendait compte à quel point c’était dur de résister après de tels mots, supplications ? S’obligeant alors à s’éloigner de cette bouche qui lui faisait perdre ses moyens, il se mordit fortement les lèvres pour ne pas gémir alors qu’il s’intimait de se calmer alors qu’il murmurait contre celles-ci dans un ton rauque prit par un certain plaisir.

« D’accord…Tout ce que tu veux, mon amour. »

Fermant doucement les yeux, il s’éloigna alors de lui pour tenter de regagner ses esprits alors qu’il se dirigeait vers la porte de leur chambre, baguette à la main, sur laquelle il s’appuya pour reprendre son souffle. Fiévreux ? On pouvait véritablement dire qu’il était, son corps était prit par des frisons et il transpirait quelque peu à cause de la passion qui avait prit l’entière possession de son être. Ki Suk était en train de lui faire perdre la tête et il n’arrivait plus à se retenir. C’est pour cette raison que lorsqu’il vit la poignée de leur porte se tourner, il appuya sur son bras pour éviter qu’elle puisse s’ouvrir plus qu’elle ne l’était déjà en train de le faire.

« Bonsoir, Sun Chang, Jing Jung. Je suis désolé mais Ki Suk est rentré totalement fiévreux tout à l’heure et il souffre le martyr encore à l’heure actuelle. Je suis allé voir l’infirmière mais impossible de la trouver dans l’école, elle aussi a du prendre sa soirée…Et en toute honnêteté, je crois que je suis également atteint par ce virus. Je pense dont que pour éviter la contagion, il serait mieux que vous dormiez ailleurs, c’est pour votre santé que je vous dis ça. Vous savez où vous pouvez aller dormir ? »

Malade, toute personne qui le voyait dans l’état actuel dans lequel il se trouvait pouvait croire qu’il était. Il avait un mal fou à parler sans frissonner, ni se mordre les lèvres tellement il sentait son corps bruler littéralement d’envie de claquer cette porte pour revenir vers Ki Suk. Voyant que les deux jeunes hommes lui lancèrent qu’ils comprenaient, ou du moins Jin Jung, qui était le seul à pouvoir parler, il leur souhaita bonne nuit. Après un énième désolé, il ferma la porte et resta coller à celle-ci alors qu’il entendait les jeunes hommes faire route arrière. Soulagé, il laissa un léger soupir s’extirper de ses lèvres alors qu’il fermait les yeux pour tenter de reprendre ses esprits. Il ne pouvait pas rester dans cet état sinon il allait finir par le prendre de gré ou de force et à vrai dire, il commençait à s’inquiéter. Jusqu’à ce jour, il n’avait jamais autant désiré une personne que Ki Suk mais qu’en était-il du jeune homme ? Peut être que lui ne souhaitait pas aller plus loin pour le moment et qu’il ne désirait seulement que l’embrasser et le toucher, rien de plus. Fermant la porte à l’aide d’un sort, il ouvrit doucement les yeux et fixa Ki Suk dans un air passionné rempli de désir.

« Ki Suk…Tu vas me rendre dingue si ça continue…J'ai l'impression de mourir de désir… »

Honteux de ses mots et de cette confession faite à son tour, il ferma doucement les yeux en serrant les poings pour tenter de se calmer mais cela était impossible. Son cœur, son corps et son âme, ne réclamaient désormais qu’une chose ; Ki Suk.
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeMar 31 Mai - 4:10

La passion, en cet instant seul la passion dirigeait le corps et les pensées de Ki Suk. Sa raison n’était plus la meneuse de son esprit dès le moment où ses lèvres avaient eu le luxe de rencontrer de nouveau les lèvres de Yano, où sa peau nue avait enfin eu un seul contact avec celle de son meilleur ami. Jamais Ki Suk durant ses vingts dernières années n’avait eu à mettre de côté sa raison dans sa conduite, s’il avait été reparti comme Yano dans les rangs des muneos c’était bien qu’une grande partie de son comportement s’expliquait par celle-ci. Ses principales qualités étaient qu’il soit sage et réfléchi, peut-être ce qui avait fait en sorte qu’il soit le digne représentant des muneos depuis quelques mois déjà. Seulement en cet instant, tous ses principes de vie semblaient s’être évaporés en quelques instants. Comment en aurait-il pu être autrement alors qu’ils pouvaient répondre à ses besoins et désirs primaires, ceux de pouvoir caresser cette peau qui lui donnait tant envie de la dévorer, de la déguster tant qu’il disposait de la possibilité de le faire. Ainsi à chaque baiser échangé avec Yano, il lui démontrait, alors que leurs langues se mêlaient entre elles, tout l’amour qui lui portait et nécessairement de cette passion qui possédait chacun des parties de son corps. Chaque caresse sur le corps de Yano en était l’une de ses nombreuses preuves, Yano ne pouvait nullement douter de la véracité de ses sentiments et de sa passion. Ki Suk se trouvait un trop mauvais acteur pour ne serait-ce qu’interpréter une fausse passion en ces gestes, tout particulièrement alors qu’il n’était qu’un simple débutant en matière d’amour et de relations amoureuses. Tous ces gestes n’étaient guidés que par ses sentiments et cette passion qui le dévorait, il n’était qu’un novice, un simple novice qui pouvait se montrer parfois maladroit dans ses actions. Face à Yano se trouvait alors un nouveau Ki Suk, ou disons que le muneo avait la chance de pouvoir une face de sa personnalité jusqu’à ce jour voilée n’ayant jamais encore rencontré le vrai amour. Sans aucun doute que le muneo resterait surpris du comportement futur de Ki Suk en cette soirée qui serait la première fois où il exposerait pour le côté passionnel de son caractère. Lui qui se trouvait déjà passionné avec chacune des personnes qu’il aimait ne pouvait que l’être plus au côté de Yano, l’être qu’il chérissait le plus dans sa vie depuis de nombreuses années et plus particulièrement depuis ses quelques semaines même éloigné de sa personne. Yano était l’homme de sa vie et la personne qui méritait le plus son amour, il en était persuadé.

C’était donc avec un certain plaisir qu’il embrassait les lèvres de Yano, caressant tendrement son torse avant de lui murmurer ses mots qui se trouvait être l’exact traduction de ses sentiments antérieurs. Le muneo ne voulait nullement que leur relation s’arrête ainsi alors qu’aucun des deux ne savait s’ils pourraient se voir dans un possible futur. Même si le muneo lui avait promis d’avoir des moments rien qu’à eux dans les prochaines semaines, aucun d’eux n’était capable à l’heure actuelle de confirmer ses propos, principalement en ces temps noirs où la surveillance des couloirs s’étaient accrues suite aux sombres menaces qui pesaient sur le monde magique. La surveillance allait définitivement les empêcher de se voir en secret, voir deux élèves rentrer dans une salle de classe vide surveillant les alentours pouvaient paraitre bien suspect pour les nombreux demi-géants qui allaient bientôt peupler l’école. Alors oui, il était indéniable qu’ils n’auraient que peu de moments pour eux deux et en cet instant, ils se devaient de faire tout pour préserver ce moment et répondre à ce désir ardent de pouvoir caresser et embrasser la moindre peau du corps de Yano. Le muneo ne s’était même pas rendu compte que le ton de sa voix était devenu mielleux au fur et à mesure des paroles, ni qu’il le supplier de ne pas l’abandonner, pas alors qu’ils ne savaient nullement quand ils pourraient à leur tour s’aimer même en secret, pour que personne ne découvre leur relation.

Le jeune muneo ne put s’empêcher d’être heureux à la fin de ses mots, tout particulièrement lorsqu’il vit Yano reprendre ses lèvres avec un brin de sauvagerie. Yano n’avait même pas eu à prononcer une phrase qu’il comprit immédiatement le message qu’il venait de lui transmettre. Tout comme lui, le muneo désirait caresser sa peau, l’embrasser tant qu’ils le pouvaient encore, tant que cela leur était permis avant qu’une quelconque personne ne vienne les interrompre, avant qu’ils ne daignent se séparer pour ne pas se faire surprendre par une quelconque personne et tout particulièrement leurs colocataires qui pouvaient se douter de leur relation étant donné qu’ils vivaient avec eux chaque journée. Si seulement, les deux muneos auraient pu peut-être profiter ne serait-ce que du statut du préfet pour pouvoir obtenir une chambre particulière, comme certaines autres écoles du monde magique le faisaient. Ainsi ils auraient pu peut-être se voir plus souvent à l’abri des regards, il n’y aurait rien d’étrange au fait que son meilleur ami passe du temps avec lui le soir, voit même qu’il s’endormirait dans celle-ci, fatigué de sa journée. Les examens et les cours pouvaient se trouver être épuisant ! Deux muneos réunis un soir ne pouvaient nullement être ensemble pour élaborer un plan contre l’école ou toutes autorités qu’ils jugeraient incapable de pouvoir répondre aux besoins spécifiques de la population sorcière de Corée ou même du peuple moldu, deux muneos ne pouvaient nullement commencer à former une bande organisée spécialisée dans les renversements de gouvernements. Cependant, cela n’était nullement réalisable par quiconque étant donné que les préfets ne disposaient pas d’une chambre particulière, peut-être était-ce alors l’occasion de venir en parler avec le directeur, peut-être accepterait-il alors et ainsi ils pourraient chacun se voir chaque soir dans cette chambre, ou du moins quelques soirs dans la semaine à l’abri de tous les regards curieux et indiscrets de leurs camarades. Cette option était peut-être à étudier, voire à en faire une requête aux prochaines réunions de l’académie. Enfin-là n’était nullement le moment d’y songer, la seule chose que demandait son être était de prolonger le contact entre leur deux corps et de pouvoir enfin réunir leurs lèvres pour ne jamais se séparer, son corps étant devenu en seulement quelques minutes une addiction à laquelle il ne pouvait plus se passer.

Il ne savait nullement comment Yano allait réussir à promettre ses paroles, faire en sorte que le moment qu’ils partageaient ne s’arrête pas si rapidement. Relevant les yeux tendrement, restant toujours assis sur le lit pour préserver sa position initiale, gardant le bas de son corps encore un peu caché par les draps du lit, il observa toujours avec un regard brumeux celui-ci de se lever et se diriger vers la porte, avant que leurs colocataires n’entrent et découvrent leur relation. Son esprit fut cependant passionné par l’apparition du corps de Yano seulement vêtu de son bas de pyjama dans son champs de vision, la vue que lui offrait son désormais petit ami était simplement magnifique. Yano possédait un corps à damner, ô désirable qui ne pouvait le laisser insensible, tout particulièrement ce torse qu’il ne pouvait s’empêchait de manger du regard lorsqu’il eut à se lever, et qu’il se trouvait désormais contre la porte, à parler à leurs colocataires qui souhaitaient pénétrer dans la pièce pour enfin se reposer. Il eut un certain mal cependant à entendre les paroles de Yano, son esprit étant encore perturbé par toute la passion qui avait pris part dans son corps, son souffle étant encore erratique et son corps encore marqué cette passion sans fin. Une chose était sûre cependant, Yano semblait avoir trouvé le moyen de ne pas les faire entrer et d’enfin faire en sorte qu’ils se retrouvent seuls, il semblerait qu’il se soit fait lui aussi passé pour une personne fiévreuse et ainsi, faire fuir leurs colocataires. Enfin, en cet instant Ki Suk ne s’en préoccupait que peu maintenant que Yano avait réussi, ayant même jusqu’à fermer la porte à l’aide d’un sort.

Le regard ô passionné que lui lança Yano ne put que le laisser plus pantois, et ivre de désir. Yano se retrouvait dingue de lui et il avait l’impression de mourir de désir à ses côtés. Ses mots semblaient alors raisonner dans son esprit continuellement alors que son souffle se faisait plus difficilement, les mots de Yano venaient tout simplement de décrire les plus secrètes pensées du muneo, Ki Suk désirait indéniablement Yano en cet instant et cela ne pouvait qu’accentuer après les mots de Yano. Fermant les yeux à son tour, il essayait tout de même de garder son calme face à l’assaut de désir qui le possédait. Jamais dans sa vie il ne s’était vu devenir une personne aussi demandeuse d’amour et de contacts envers une personne, et cela ne pouvait que le gêner d’une quelconque manière. Il ne savait nullement comment réagir, il ne s’était jamais vu si passionné et cela lui paraissait quelque peu étrange. Etait-ce donc l’amour qui transformait tout son être, qui le faisait devenir un autre homme, qui le rendait si dépendant de ce corps. Déglutissant doucement, il détourna à son tour ses yeux du corps prononçant difficilement et avec hésitation ces quelques mots, pour tenter de se calmer et d’avouer à Yano certaines informations encore inconnues à sa personne.

« Yano… je suis aussi… dans le même état que toi … mais… je ne sais comment agir… ni si mes actions sont vraiment appropriées… c’est la première fois … que je me trouve dans cet… état, si passionné par une personne… je… »

Le muneo ne put continuer ses mots alors qu’il se sentait si gêné face à son désir, ce désir qui possédait son corps. Est-ce que Yano allait seulement réussir à le comprendre en cet instant ? Il ne le savait nullement, après tout, il avait 19 ans et ne paraissait pas être un adolescent qui faisait face à son désir pour la première fois pour une personne. Il n’en avait d’ailleurs jamais parlé à Yano ou à quiconque de son entourage, il se sentait tellement novice par moment… déglutissant doucement, il accrocha ses mains au drap de Yano comme précédemment.

« Je dois…. te paraitre… tellement ridicule… »
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | 2ms2atz
Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeMar 31 Mai - 6:48

Jamais jusqu’à ce jour, il n’avait cru être aussi près du bord de la folie et pourtant, son corps était incroyablement brulant, ses sens totalement en éveil alors qu’il tentait de retrouver ses esprits. Il avait tellement du mal à retrouver ses idées claires, alors que son corps devenait de plus en plus fébrile, face à toute cette chaleur qui semblait prendre totalement possession de son être. Il n’y avait rien à faire, il brulait littéralement de désir. Chose rien d’anormal quand on connaissait les tourments qui avaient habités le jeune homme depuis qu’il avait découvert son attirance pour le jeune homme. Le désir charnel était très rapidement venu à son esprit, emplissant ses nuits de rêves à la fois fabuleusement érotiques dans lesquels il serrait dans ses bras, le corps si tentateur de l’homme dont il était éprit. Des rêves à la fois doux et cruels pour lui car il s’en voulait toujours d’avoir de telles pensées, songes envers cet homme, qui était normalement son meilleur ami et pour qui ce genre de pensées étaient totalement prohibées. Pourtant son corps le désirait plus que sa raison ne pouvait le supporter, ce qui rendait la situation actuelle encore plus perturbante pour le jeune homme qu’il était.

Il avait tellement envie de lui, son corps, son cœur, son âme, s’étaient tellement emplis de sa personne que désormais qu’il savait qu’il pouvait l’avoir, qu’il était enfin en droit de le serrer de ses bras et de lui faire partager de façon plus concrète ses sentiments, il ne pouvait plus s’empêcher d’y penser. Surtout pas après une telle supplication de la part de son aimé, qui lui avait avoué aussi ouvertement qu’il désirait plus que tout resté à ses côtés, continuer de l’embrasser et de le caresser de la façon la plus naturelle qu’il soit. Il mentirait s’il n’avouait pas que lui aussi ne désirait pas cela. Pourtant cela l’effrayait…Oui, il avait peur de ce qu’il était capable de faire dans un tel état. La passion avait prit littéralement le contrôle de son corps, de ses pensées et il devait bien reconnaitre que les simples mots qu’il était parvenu à susurrer, collé dos à cette porte, n’avait fait qu’approfondir sa gêne, son envie. Son cœur battait à une allure quasi inhumaine, ses mains étaient moites et il se sentait plus lui-même. Passionné, le jeune homme l’avait toujours été et malgré que cela puisse constituer un handicap pour certaines choses, il était toujours parvenu à maitriser cet aspect de sa personnalité qu’il jugeait parfois trop présente en lui. Ce soir, malheureusement pour lui son côté passionné était totalement en train d’exploser d’autant plus qu’il se savait désormais seul en présence de la personne qui avait occupé toutes ses pensées, ses tourments au cours de ses derniers mois, dernières années lorsqu’il tentait encore de déterminé pourquoi, il était incapable de rester de marbre devant le corps de son ami, qui était toujours assit sur son lit.

Il n’osait à peine relever le regard vers lui sans avoir l’horrible impression qu’il ne pourrait plus se contrôler et il viendrait l’embrasser avec fougue, juste pour venir faire taire ce petit monstre au fond de son ventre qui lui intimait de retourner auprès de l’être qui hanter ses nuits. Se calmer, c’était résolument la seule option qu’il lui restait et pour cela, il ne devait pas le regarder, ni même songer un seul instant qu’ils allaient être seuls cette nuit. Il n’était quand même pas un homme faible, n’est ce pas ? Bien entendu, il avait été élevé pour être toujours maitre de lui et ne laisser surement pas ses sentiments venir alterner son jugement, ni même ses actes mais ce soir c’était tout simplement trop lui en demander. Impossible de faire comme si rien ne s’était passé alors que Ki Suk était désormais son petit ami, qu’il était enfin même de façon officieuse, la personne avec laquelle il décidait de lier sa vie. Pour Ki Suk, il était prêt à tout et en même temps son amour pour lui, l’empêchait d’accueillir avec joie cette explosion de désir qui était en train de lui ronger l’échine. Non, il ne pourrait jamais se pardonner s’il devait laisser cette fougue et cette bestialité prendre le dessus de ses sentiments, qui quant à eux étaient extrêmement purs à la base. Il voulait l’enlacer, l’embrasser, le caresser avec amoureux, tendresse, explorer pour la première fois, sa chair d’une manière totalement romantique et non avec sauvagerie pour tenter d’assouvir ses pulsions qui n’avaient fait qu’être frustrées au cours de ses mois passer à le désirer.

C’est dans cet état de tourmente qu’il se trouva après avoir susurrer une telle confession, alors qu’il était incapable de réguler la température de son corps, de faire taire toutes ses envies de prendre le contrôle de son être. Alors il serrait fortement sa baguette entre ses mains, se mordait les lèvres avec ferveur pour ne pas céder, flancher face à tout cela et surtout il ne le regardait pas…Il refusait de le faire avant d’avoir pu être en mesure de surpasser la raison de son cœur et de se calmer. Oui, il allait y parvenir comme tout à l’heure où il avait cru devenir dingue en caressant son corps nu pour le nettoyer. S’il était parvenu à le faire un peu plus tôt alors rien ne l’empêchait de le faire désormais. Et ce même s’il avait pu apercevoir l’état dans lequel il avait pu mettre son ange en lui lançant cette cruelle confession, il allait y parvenir. Alors il se força à calmer les battements de son corps en apposant sa main sur sa poitrine alors qu’il gardait résolument ses yeux fermés pour reprendre son souffle. Inspirer, expirer, de longues secondes se furent les seuls mots qu’il consentait à penser et il sentait peu à peu son corps se calmer. L’afflux de chaleur semblait se laisser vaincre par sa raison qui peu à peu reprenait sa place initiale de catalyseur dans son esprit mais le désir était toujours bel et bien présent en lui. Il se contenta alors de déglutir pour faire taire cette soif qu’il avait de contact avec Ki Suk, cet être qu’il aimait plus que tout au monde.

Mais il parvint seulement à reprendre réellement ses sens que lorsque le jeune homme pour qui son corps s’enflammait, prit enfin la parole. Sa voix était troublée, les idées quelques peu embrouillées. Il lui avouait que lui aussi était dans le même état que lui mais qu’il ne savait pas comment agir, si même ses actions étaient réellement appropriées car c’était la première fois qu’il se trouvait dans cet état, si passionné pour une personne. Lorsqu’il l’entendit lui murmurer que c’était la première fois…la première fois qu’il désirait quelqu’un, il ouvrit alors les yeux de nouveau pour les plonger dans ceux du jeune homme, cherchant un indice dans son regard, dans son comportement qui pourrait venir appuyer ce qu’il était en train de penser. Etait-ce réellement ce qu’il était en train de penser ? Etait-il en train de lui avouer qu’il ne l’avait jamais fait avec quiconque, ni même avec son ex petite amie ? Il tentait de se calmer, de garder les idées claires mais le bonheur que lui apportait cette idée était bien trop dense pour qu’il puisse la canaliser, faire en sorte de ne pas être atteint par ses mots mais la vérité était là…Si tel était le cas, il allait mourir de bonheur, Ki Suk finirait par avoir sa peau en plus de le rendre totalement fou de lui. Pourtant le regard gêné que le jeune homme porté ainsi que ses derniers mots dans lesquels il lui murmurait qu’il devait être ridicule à ses yeux, l’achevèrent tout simplement. Il avait raison, il était donc puceau…L’homme qu’il aimait plus que tout s’était préservé dans une certaine façon pour lui. Incapable de camoufler ses sentiments, ainsi que le bonheur montre qui prenait totalement possession de son corps, de son âme, il sentit ses yeux s’embrumer peu à peu alors qu’il avait l’impression de mourir sous cette douce chaleur.

S’il ne s’était pas déjà retenu, il aurait surement gémit de bonheur mais il se mordait les lèvres bien fermement pour ne pas commettre une telle idiotie, cependant il ne pouvait pas faire comme si cela ne lui faisait rien alors dans un murmure étranglé par tout ce bonheur qui était en train de le dévorer de l’intérieur, il susurra : « Tu vas finir par me tuer…Ki Suk…Si tu continues à me rendre si heureux… »

Son regard était incroyablement troublé, embrumé par des larmes de bonheur qu’il tentait de garder en lui mais cette fois ci, c’était trop lui en demander. Alors sans un mot, il s’approcha doucement du jeune homme pour glisser les doigts de sa main libre derrière sa nuque, la frôlant avec tendresse et amour. Ses yeux exprimaient parfaitement le bonheur qui l’habitait, ils étaient doux et tendres alors que son autre main lui caressait doucement la joue du bout des doigts pour marquer au fer chaud sa peau dans son esprit. Il ne savait pas quoi dire, ni quoi faire tellement il se sentait fébrile. Son cœur exposait littéralement dans sa poitrine à cause de ce flagrant bonheur, ses lèvres ne désiraient qu’une chose retrouver ses jumelles. Il le dévorait tout simplement du regard tâchant de trouver les bons mots pour exprimer ce qu’il ressentait réellement. C’est donc dans un geste doux qu’il s’approcha de sa bouche pour y poser la sienne tout simplement pour l’embrasser avec tendresse, laissant alors sa langue venir caresser les lèvres du jeune homme. Ses doigts quant à eux continuaient leurs caresses sur sa douce peau, cherchant à lui faire comprendre à quel point, il était heureux de ce qu’il venait de lui avouer. Il se contenant alors seulement de glisser ses mains sur sa peau pour les poser sur les draps du lit, s’éloignant doucement de son visage pour poser son front contre celui de son amour.

« Tu es loin d’être ridicule mon amour…Oh bien loin de ça, tu es tout simplement magnifique. J’ai l’impression qu’à chaque instant, je pourrais mourir de bonheur à tes côtés…Je…Si je ne me trompe pas…Si c’est vraiment le cas et que je serais ton premier…Oh mon dieu… » Murmura-t-il doucement en fermant les yeux pour canaliser les flux de bonheur qui le tirailler de toute part, se mordant alors les lèvres pour contenir son bonheur, il ajouta. « C’est surement le plus beau cadeau que tu pouvais me faire, mon amour… »

Submergé par son bonheur, il laissa échapper un petit rire nerveux alors que son souffle se faisait de plus en plus difficile. Il avait tellement du mal à calmer ses frisons, le bonheur qui l’habitait. Il se contenta alors de l’embrasser doucement de nouveau, n’hésitant pas cette fois ci d’approfondir son baiser. Capturant de nouveau ses douces lèvres des siennes, il lui intima de lui laisser le champ libre pour venir capturer sa langue de la sienne. Trouvant enfin sa compère dans cette bouche tant désirée, il vint la caresser avec tendresse avant de la mêler de nouveau à la sienne, ne cherchant même pas à réprimer ce gémissement de bonheur s’inviter à ce baiser qui se voulait tout simplement merveilleux et électrisant. Il ne chercha nullement à rendre le baiser plus passionné comme ceux qu’ils avaient auparavant échangés, il se contenta de cette tendresse jusqu’à que le manque d’air se fit ressentir et qu’il du s’éloigner de ses lèvres, gémissant doucement de bien être alors qu’il se contentait de reprendre ses esprits en sentant le souffle du jeune homme sur les siennes, les yeux résolument clos.

« Je…J’attendrais le temps qu’il faudra et même si je dois reconnaitre que j’ai envie de toi présentement, encore plus après de telles paroles…que c’est dur d’y résister mais je me contenterais de ce que toi, tu souhaites. En aucun cas, je ne veux te forcer à rien. Je t’aime trop pour te faire le moindre mal, désormais. » Murmura-t-il alors tout simplement dans un ton doux et tendre en venant baiser tendrement sa joue pour glisser sur sa nuque pour l’embrasser avec tendre.

Oui, si ce soir, il devait seulement se contenter de caresses chastes et pures, de baisers tout aussi tendres, il se sentait la force de le supporter…Car désormais il savait qu’il serait le premier pour le jeune homme et que pour rien au monde, il ne souhaiterait faire de sa première fois une mauvaise expérience mais surtout il désirait intimement de faire de cette nuit, la plus merveilleuse de toute sa vie…Et ce pour eux deux.
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Yoon Ki Suk
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeLun 27 Juin - 11:12

La passion, le désir, tous les sentiments et sensations que pouvaient engendrer le fait d'aimer une personne avait toujours été inconnus au jeune homme, pour la simple raison qu'il n'avait pas eu à ressentir cet amour pour une personne différente à Yano. La seule petite amie qu'il avait eu à Akiwa n'avait pas animé en lui ce désir et cette passion qui prenait rapidement place en son être intérieur à la simple vue du corps vêtu de Yano, se rendait-il compte qu'il se trouvait être incroyablement séduisant et désirable même habillé avec des vêtements les plus banals qu'il puisse exister ? Le simple uniforme de l'école pourtant si fade sur les autres, le rendant si attirant, si irrésistible que rester de marbre devant lui rester bien impossible, tout particulièrement pour lui qui avait passé ses vingts premières années d'existence loin des joies et plaisirs de la chair, ce plaisir que tout adolescent et personne censée ne pouvait qu'apprécier et demander. Et de ce fait, il se sentait certainement gêné et bien inexpérimenté par rapport à son aimé qui avait déjà vécu ce plaisir auprès de demoiselles et notamment sa petite amie avec laquelle il était sorti pendant de nombreux mois, sans compter les quelques soirées de débauche. Il allait quoiqu'il arrive faire pale figure à côté de Yano et craignait sa réaction lorsqu'il découvrirait le fait que du haut de ses 20 ans, il se trouvait encore être puceau, vierge de toutes relations même intimes avec une personne. Il n'avait jamais eu le désir de prolonger le contact humain pour ressentir du plaisir, il s'était cru à un moment bien insensible et frigide à tout plaisir, mais il s'était rapidement rendu compte que s'il n'avait pas réagit au contact de la peau de son ancienne petite amie, c'était pour l'unique raison qu'il se trouvait attiré par les hommes et non les femmes, mais cela il avait préféré le garder pour lui et n'en parler à quiconque. Jusqu'à ce jour, il n'avait jamais parlé avec Yano - qui était pourtant son meilleur ami- de sujets comme le sexe, cela n'avait pas eu jusqu'à ce jour une place dans leur amitié. C'était l'une des raisons pour lesquelles Yano se trouvait bien ignorant de son état, il ne pouvait être mis au courant étant donné le silence de ses sujets lorsqu'ils se trouvaient ensemble. Ki Suk se trouvait indéniablement attiré par les hommes mais jamais il n'avait voulu tenter l'expérience, l'angoisse, la peur régnait, il voulait toujours attendre la bonne personne avant de passer à l'acte, une première fois était toujours tant significative, surtout pour lui qui avait des principes de vies quelque peu droit, ne voulant jamais tomber dans la déviance. Sans aucun doute que certaines personnes le trouvaient trop coincé mais il ne s'en préoccupation guère, préférant continuer sa vie comme il l'avait toujours fait, suivant une certaine droiture et une vie sans remous, entre deux livres à la bibliothèque. Mais face à l'homme qu'il aimait, il se sentait bien ridicule de n'avoir jamais goûté au plaisir de la chair, il avait tellement peur d'être si faible à côté de lui et donner une mauvaise impression de lui. Voila l'une des raisons pour lesquelles une fois qu'il eut prononcer ses mots, le muneo se recroquevilla sur lui-même, lui qui était par nature peu confiant ne pouvait définitivement qu'être gêné. C'était la première fois où il se trouvait si passionné, si pris par la passion durant ses dernières années auprès d'une personne et se sentait bien maladroit, il ne savait nullement si son comportement se trouvait accorder à ses sentiments et à ce qu'attendait son aimé. Depuis le moment où ils s'étaient déclarés leurs sentiments, il avait seulement agi en fonction de ses envies et sentiments, lorsqu'il avait embrassé Yano, seul ses sens avaient guidés son corps, réclamant toujours et encore le moindre contact avec cette peau qu'il désirait tant. Cette peau qui ne demandait que de l'attention, qui ne demandait qu'à être caressé par ses mains, cette peau qui l'avait tant fait fantasmé en cette soirée et qui le faisait toujours fantasmer alors que Yano se dressait à seulement quelques mètres de lui et lui donner l'irrécupérable envie de la caresser encore. Le corps de Yano était sans aucun doute sa faiblesse, il ne pourrait sans doute jamais résister à ce corps si envoûtant.

Ce fut donc avec appréhension qu'il attendit la réaction de Yano face à ses mots, il ne pouvait seulement deviner la réaction qu'allait avoir une fois qu'il aurait entendu ses mots. Lui, se sentait tellement ridicule en cet instant devant l'homme qu'il aimait. Il se sentait tellement être un débutant à ses côtés qu'il ne pouvait que guetter la moindre de ses réactions, le moindre froncement de sourcil tant l'être aimé le préoccupait. Il savait bien évidement que Yano avait sans doute cru que pendant les quelques semaines où il était sorti avec sa petite amie, ils étaient passé à l'acte, ce qui était relativement normal, sa petite amie était belle, il n'aurait eu aucune raison qu'ils n'aient pas cédé à l'acte de chair auprès de celle-ci. C'est pourquoi les mots de Yano ne purent que le surprendre, ne se rendant pas compte du bonheur que vivait Yano à l'annonce de son encore virginité. Yano venait tout simplement de lui avouer qu'il était ravagé par le bonheur, qu'il ne pouvait nullement le rendre si heureux.

Ki Suk releva alors doucement les yeux alors que la silhouette de Yano se rapprochait de lui, gardant toujours une posture gênée face à ces dernières révélations même si ce fait ne semblait aucunement dérangé l'être aimé. En seulement quelques instants, sa silhouette s'était retrouvée si près de lui et frôlait de ses doigts sa nuque, lui prodiguant des caresses qui ne put que calmer son angoisse naturelle. Le contact de la peau de Yano sur la sienne avait été toujours eu cet effet sur lui, un effet de bien-être et de réconfort lorsqu'il se trouvait particulièrement gêné. Le regard que lui lança alors Yano ne fit que taire chacune de ses appréhensions, Yano avait posé un regard si tendre, si amoureux tandis qu'il caressait son visage, faisant disparaître chacune de ses angoisses. Yano en plus de l'apaiser au travers de ses gestes venaient tout simplement de lui avouer qu'il était heureux de savoir qu'il allait être le premier de Ki Suk, ce qui ne put que le rendre heureux tout comme Ki Suk l'était au plus profond de lui. La personne qu'il aimait le plus au monde allait être celle qui lui ferait goûter au plaisir de la chair, ce plaisir que tant de personnes demandaient et vivaient à chaque instant, comment aurait-il pu alors être différemment ? Yano allait être la première personne qui allait lui faire partager ce plaisir, ce moment qui ne pourrait qu'être merveilleux à ses côtés, le muneo était tellement aimant avec lui alors le moment où ils passeraient à l'acte ne pourrait qu'être parfait. Il en était persuadé, Yano ne pourrait jamais le décevoir.


Heureux, il accueillit alors avec bonheur le contact de leurs deux bouches dans un baiser tendre, la langue de Yano demandeuse de contact avec ses lèvres, ce à lequel il répondrait avec plaisir si Yano n'avait pas cessé le baiser de lui-même. Ki Suk avait sans cesse besoin de goûter ses lèvres qu'il avait tant désiré pendant ses longues semaines à admirer l'être aimé. Maintenant qu'il avait enfin la possibilité de profiter pleinement de ce contact, il n'y avait aucune raison qu'il ne se retienne. Il laisse échapper alors un fin sourire tandis que Yano posait son front sur le sien, le regardant tout aussi amoureusement avant qu'il n'entende les mots prononcés de Yano qui ne purent qu’accélérer le rythme cardiaque de son cœur. Comment pouvait-il seulement résister à Yano alors que celui-ci venait de prononcer des paroles ô merveilleuses. Son aimé ne le trouvait nullement ridicule de n'avoir jamais goûté au goût de la chair, il en était ravi considérant ce fait comme le plus merveilleux des cadeaux qu'il pouvait lui offrir, Yano allait être le premier et l'unique personne qui allait lui faire goûter au plaisir qu'était la chair. Il n'eut pas le temps de répondre avant que Yano ne reprenne possession de ses lèvres, les goûtant avec plus d'avidité dans un baiser rempli de tendresse, faisant alors rencontre leurs deux langues qui ne demandaient qu'à encore se retrouver dans un balai ô sensuel qui faisait revivre en Ki Suk cette délicieuse passion qui possédait tout son corps au moindre contact qu'il avait avec le corps de Yano. Répondant alors au baiser, gémissant presque de bonheur à son tour alors que de sa main il venait caresser à son tour le corps de Yano, et principalement le haut de ses bras, ne voulant nullement s'empêcher de profiter du corps qu'il lui était offert, en prodiguant des gestes tendres et doux en l'adresse de Yano. Sa langue n'avait pas rencontré sa jumelle seulement depuis quelques minutes mais ce contact lui avait tant manqué, tellement qu'il ne voulait tout simplement arrêté ce baiser ô merveilleux.

Ce fut Yano qui stoppa le premier le baiser, l'oxygène venant lui manquer, mais ne pouvant cependant de prononcer des mots qui ne furent qu'augmenter le désir qu'il éprouvait Yano. Yano se trouvait si parfait, tellement parfait à ses yeux. Yano venait de lui annoncer que tout simplement il était prêt à attendre le temps qu'il faudrait avant de passer à l'acte, il laisserait le temps à Ki Suk de s'adapter même si en cet instant il ne pouvait plus que le désirer face à ses mots. Ce qui était aussi valable pour le jeune muneo, comment pouvait-on seulement résister à lui en entendant de si belles paroles, alors qu'il venait tendrement baiser sa nuque de baisers qui ne faisait qu'accentuer son désir tant ses baisers lui semblaient si brûlants, si transporteurs d'un désir jusqu'alors inconnu. Comment avait seulement-il fait pour ne pas avoir envie de goûter ce plaisir jusqu'à ce jour ? Cela devait incontestablement être dû au fait qu'il n'avait jamais rencontré jusqu'à ce jour la personne tant aimante de Yano, ce côté tant passionné de Yano qui ne pouvait le laisser de marbre.

Ce fut donc avec un peu plus de confiance en lui, guidé par la passion qui habitait son être, qu'il se mit doucement à caresser les reins de Yano avec sa main droite, venant relever le visage de Yano pour qu'il croise son regard ô désireux de contact et de passions. Même si cela pouvait paraître précipité, il avait en lui ce besoin ardent d'être en contact avec le corps de Yano et il se sentait prêt désormais à agir en conséquence. Il se contenta alors seulement de poser tendrement ses lèvres sur celles de Yano, avant de délicatement caresser de sa langue les lèvres de Yano, n'hésitant pas à approfondit le baiser et retrouver enfin sa compère dans une danse langoureuse, une danse dans laquelle il laissa échapper un gémissement de bien-être. Pendant ce temps, sa main remonta doucement sur le torse de Yano afin de le caresser de la manière la plus naturelle qu'il soit, ses doigts venant caresser sa peau, non loin de ses bouts de chairs. Ki Suk arrêta doucement alors le baiser et ses caresses avant de murmurer d'une voix troublée par le plaisir à Yano.

« Ce que je souhaite ce n'est que tu ne résistes nullement à cette envie. Tout simplement parce qu'en cet instant j'ai tout aussi envie que toi... c'est la première fois que je ressens un désir si fort et je ne veux pas que cela s'arrête, pas alors que tu prononces des mots si fabuleux, si envoûtants pour ma personne... Je me sens incontestablement prêt mon amour... je veux connaître ce plaisir dans tes bras. Vraiment... je veux profiter de ces instants de bonheur à tes côtés. »

Il termina ses mots, venant caresser le doux visage de Yano en le regardant amoureusement et avide de plaisir.
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Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeMar 28 Juin - 2:19

Attendre. A l’heure actuelle, c’était le seul mot auquel il consentait à bien vouloir penser à travers toutes ses idées qui se mélangeaient dans son esprit. Des idées plus ou moins convenables, des idées emplies d’une certaines tendresse, de gestes qu’il souhaitait avoir envers le jeune homme qui se trouvait face à lui, des idées qu’il tentait plus que tout de contenir à l’aide de ce simple mot. Oui, malgré tout cela, malgré le désir ardent que Ki Suk réveillait en lui, il se sentait ou du moins tâchait de trouver en lui le courage de l’attendre, de patienter en se contentant de ce que celui-ci voulait bien lui offrir ce soir. Si Ki Suk désirait seulement qu’il l’embrasse, qu’il le caresse le plus innocemment possible dans une certaine mesure et ne surtout pas aller plus loin que du chaste baiser et caresse, il le ferait. L’amour qu’il portait à l’intention de Ki Suk était bien trop grand, bien trop fort pour qu’il essaye de le tenter en son âme et conscience en ayant en son attention des gestes qui pourraient lui faire changer d’avis. Plus que tout être au monde, Yano, qui était loin d’être un novice dans ce genre de contact physique avec autrui en comparaison de l’homme qu’il chérissait, savait quels étaient les points sensibles d’une personne, les endroits clés qui feraient qu’une personne cède à toute avance venant d’une autre. Une fois animé par le désir, le plaisir, l’être humain était une chose bien incapable de se contrôler, qui souhaitait plus que tout satisfaire un besoin qui venait de naitre en lui sans pouvoir réellement y résister. Ainsi, il mentirait en disant que malgré ses paroles, le désir de le faire sien, de s’approprier de façon définitive la première fois de cet homme n’était pas encore en train de faire sa place dans son esprit. L’appétit qu’il avait de cette chair, de ce corps, de cette âme était bien trop vif, bien trop profond pour être capable de ne point y penser.

Après tout, le parfum si exquis de la chair de celui-ci mêlait à son eau de Cologne était en train d’emplir tous ses sens. L’odeur qui s’en dégageait mêlait à celle de sa transpiration ne faisait que le rendre de plus en plus fébrile alors qu’il déposait ses lèvres sur sa nuque, la baisant avec une tendresse et une passion quasi évidente. Chaque contact que ses lèvres avaient avec cette nuque étaient une véritable torture pour lui, qui ne pouvait alors que ressentir encore plus l’appétit qu’il avait de venir faire glisser celles-ci sur l’entière chair de cet être qui était totalement nu sous ses yeux. Nu, il était résolument dénudé, seulement protégé par ce drap qui constituait entre eux deux une barrière qu’il désirait plus tout détruire, venir dégager de ses doigts, sans pour autant le faire véritablement. Pourquoi ? Tout simplement parce que si il le faisait, il ne pourrait plus se contenir, tâcher de réprimer cette cupidité qu’il avait de ressentir le moindre frison au contact de l’être aimé. Cette soif insatiable occupait résolument chacune de ses pensées désirant plus que tout apporter un bien être immense à l’être qu’il tenait entre ses bras. Ainsi à travers ses doux baisers apposés sur cette délicate nuque, il souhaitait que Ki Suk se sente incroyablement bien ainsi, qu’il continue de désirer ses lèvres sur sa chair, se sentir fébrile et heureux de tout contact qu’il pouvait y avoir entre eux deux et ainsi se laisser soupirer, apprécier tous ses gestes. La seule chose que Yano lui demandait en retour était tout simplement un soupir, un indice qui pourrait lui faire comprendre qu’il appréciait et approuvait son geste. Rien de plus. Il était assez sage, assez raisonné pour ne pas s’écarter du droit chemin et respecter ses envies, ses désirs.

Du moins était ce qu’il tentait de se persuader car son cœur ne pouvait pas s’empêcher de tambouriner dans sa poitrine, ses sens totalement en éveil semblaient peu à peu le rendre encore plus fébrile que jamais alors qu’il avait l’impression folle de marquer au fer rouge la chair du jeune homme au moindre contact entre leurs deux peaux. S’arrêtant quelques secondes pour tenter de calmer ses tumultueux tourments effleurant seulement sa chair de son souffle incroyablement brulant de désir pour sa personne, il se laissa gagner par l’odeur de son parfum, profitant ainsi de cette impression de bien être qu’il avait toujours ressenti en la personne de Ki Suk. C’était vraiment incroyable à quel point on pouvait se sentir si vivant, si heureux lorsqu’on se retrouvait auprès de l’être aimé. Ainsi, il aurait pu rester éternellement comme ceci auprès de kisuk, se contentant seulement de ce bien être vital qui lui avait tellement manqué au cours de ses derniers mois… Comment avait-il pu simplement s’en passer ? C’était bien une chose à laquelle, il était bien incapable de répondre tellement elle n’avait pas ou plus de sens à ses yeux. Désormais, plus que n’importe qui d’autre au monde, il était en droit de se tenir ainsi auprès de lui, de laisser son parfum venir caresser ses sens et ressentir ainsi ce bien être. Perdu dans ce bonheur vital, il ne pu s’empêcher de retenir ce léger soupir d’aise accompagné de frisons lorsqu’il sentit doucement la main du jeune homme venir frôler ses reins, le rendant tout simplement fébrile. Soupirant ainsi son doux prénom, il ouvrit délicatement les yeux alors qu’il sentait son autre main venir relever son visage établissant de nouveau le contact visuel. Dieu, qu’il était incroyablement facile de lire dans le regard de Ki Suk ou peut être était-ce parce qu’il le connaissait mieux que quiconque ? Dans tous les cas, il ne pouvait pas à son âme et conscience restait insensible à ses pupilles si intenses, emplies de passion et de désir. Tout comme, il était en train de le faire depuis bon nombres de minutes, Ki Suk le dévorait tout simplement du regard, lui susurrant muettement qu’il avait envie de lui. Non, il ne rêvait pas et ses yeux, ses incroyables gestes sur ses reins venaient appuyer ses pensées alors qu’il sentait de nouveau les lèvres du jeune homme prendre possession des siennes tendrement.

Fermant de nouveau les yeux, il se laissa pleinement allé au baiser tendre que le jeune homme lui offrait. Délicatement et avec plaisir, il savoura cet exquis baiser, soupirant d’aise au contact de cette délicieuse langue sur ses lèvres, lui demandant alors discrètement qu’il lui donne pleinement accès à sa bouche, pour retrouver sa compagne. C’est donc sans plus de cérémonie qu’il accéda à sa requête, entrouvrant alors ses lèvres alors que se rejoignaient celles-ci dans une danse des plus envoutantes et sensuelles qui lui faisait tout simplement perdre la tête. Toujours en appui sur ses deux bras qui entouraient le jeune homme, il ne pu s’empêcher de gémir doucement en sentant les doigts du jeune homme se faufiler sur la chair de son torse, la frôlant pour la caresser avec passion. Chaque endroit que le jeune homme frôlait semblait d’un seul coup être aussi chaud que de la braise, le rendant totalement fébrile, désireux de contacts plus prononcés entre eux deux. Ses sens étaient résolument en train de le rendre pantois, guidant ainsi chaque fait et geste de sa part. C’est donc tout naturellement qu’il bomba délicatement le torse pour que le jeune homme puisse le caresser plus fermement, plus intimement alors que celui-ci quittait délicatement ses lèvres, le frustrant momentanément. S’apprêtant déjà à répondre à son baiser de la façon la plus naturelle qu’il soit, il ne pu rester de marbre face à la voix ô remplie de désir avec laquelle le jeune homme était en train de s’exprimer.

Les mots qu’il exprimait étaient tout simplement en train de le rendre ivre d’amour, de désir pour sa personne. Le jeune préfet se rendait-il compte de l’impact que ceux-ci pouvaient avoir sur son être ? Si oui, il fallait qu’il accepte la sentence de tout cela, qu’il accepte le fait que le jeune homme qu’il était le dévore littéralement, lui fasse ainsi découvrir le plaisir charnel de la façon la plus exquise qu’il soit. Il ne pouvait plus dorénavant lutter contre les battements euphoriques, déraisonnés de son organe vital, ni contre cette chaleur quasi anormale qui était en train de lui dévorer l’échine….Comment combattre une telle chose alors que l’être responsable de son état était en train de lui susurrer qu’il ne désirait pas qu’il lutte contre son désir car il le souhaitait également, que c’était la première fois qu’il ressentait une soif si envoutante pour un autre être, ne souhaitant tout simplement pas que ce sentiment disparaisse. Non, il voulait bruler encore sous cette enivrante chaleur, fondre sous les mots si fabuleux qu’il avait eu à son attention, qu’il se sentait prêt à recevoir son amour, ce plaisir ardent au creux de ses bras, voulant profiter plus que tout de ce moment de bonheur à ses côtés. A ses mots, ses simples mots, il avait l’impression de perdre totalement la tête, ne pouvant alors s’empêcher de se mordre délicatement les lèvres pour tenter de canaliser ce brulant désir qui était en train de faire des ravages dans tout son corps, menaçant à tout d’instant d’exploser pour le jeune homme. C’est donc tout naturellement qu’il rouvrit délicatement les paupières pour regarder droit dans les yeux l’être qui était responsable de son état. Son regard se voulait être terriblement sensuel, érotique, alors qu’il glissait doucement l’une de ses mains encore posée délicatement sur le matelas de son lit pour venir frôler la chair de ses bras remontant vers cette main qui caressait son visage pour la prendre dans ses mains l’obligeant alors à quitter sa peau pour venir la cueillir, la baiser contre ses lèvres.

A cet instant précis, les mots qu’il pouvait prononcer avaient que très peu d’importance. A quoi bon parler alors que son corps s’exprimait pour sa personne, ayant à son attention des gestes qui étaient plus qu’éloquents. C’est donc tout naturellement qu’il baigna le creux de sa main de ses lèvres, l’embrassant avec plus ou moins de passion, de fougue alors que son regard se faisait tout simplement pénétrant, laissant pleinement exprimer ce que ses mots avaient pu provoquer en lui. Il semblait alors que la raison n’avait plus aucune raison d’exister entre eux, encore une fois ils venaient de créer autour d’eux une boule, un monde à eux où seules leurs deux personnes pouvaient coexister et ce, ensemble. Assoiffée, son âme, son être et son corps l’étaient assurément. Encore plus avide de contact qu’auparavant, il guida la main du jeune homme contre son torse pour qu’il puisse comprendre ce qu’il ressentait, éprouvait à l’heure actuelle. Une bombe, voici ce qu’était devenu son cœur en moins d’une minute après les mots du jeune homme. C’était à peine si on pouvait entendre les battements de celui-ci tellement ils se faisaient rapides et incessant. Savourant ce bien être en sentant ce doux contact, il soupira doucement en s’approchant des lèvres du jeune homme alors qu’il relâchait cette main qui avait été pendant quelques temps sa prisonnière malgré elle. Lorsqu’il se trouva à quelques millimètres de celles-ci, son souffle effleurant sa peau si délicate, il susurra dans une voix emplie d’un désir ardent et de sensualité.

« Si c’est réellement ce que tu désires, alors je me ferais un plaisir de te faire connaitre ce bonheur… Ce soir, je te ferais donc rêver, vivre le plus merveilleux des moments de toute ta vie…Fais moi confiance… laisse moi te guider… »

A travers ses mots, on pouvait y lire un certain orgueil, confiance qui semblait bien vaniteuse mais il ne mentait pas. Il savait s’y faire, savait plus que quiconque au monde déceler en Ki Suk, les endroits qui lui feraient du bien tout simplement parce qu’il était assurément sur terre, la seule personne à le connaitre aussi parfaitement. De plus, il était résolu à ne rechercher que le plaisir du jeune homme, oui lui faire gouter à la subtilité du contact charnel, le faire gémir rien qu’avec ses doigts, ses lèvres. Cette idée le rendait ivre de bonheur et il ne pouvait plus se contenir après de telles paroles de sa part alors délicatement il susurra ces dernières paroles : « laisse-moi t’aimer, mon amour… ». Il reprit doucement possession de ses lèvres dans un baiser des plus sensuels et tendres alors qu’il l’intimait avec subtilité à se longer sur le lit, le surplombant ainsi à son tour comme auparavant à travers le tissu du drap recouvrant alors l’être pour qui son corps s’enflammait totalement. Glissant ses jambes autour de la taille de celui-ci, ses mains se glissèrent autour de sa nuque pour la caresser du bout des doigts, continuant ainsi ce baiser qui se voulait tout simplement électrisant et envoutant. Sentant l’air lui manquer, il se décida tout simplement à relâcher ses lèvres, le souffle court alors qu’il se relevait doucement pour observer son corps, cette merveilleuse chair qui se trouvait sous lui et qu’il commençait déjà à caresser délicatement du bout des doigts, le dévorant alors sans aucune retenue du regard qui lui murmurait ô combien il était magnifique à l’heure actuelle.

Animé ainsi par le désir, le bonheur de pouvoir le caresser enfin comme son cœur lui intimait, il frôla chaque muscle de son torse du bout des doigts, les laissant trainer avec sensualité sur sa chair si délicate alors que ses lèvres se glissèrent avec douceur sur les traits de son visage pour l’embrasser tendrement du bout de ses lèvres. C’était comme s’il lui dévorer la mâchoire se dirigeant ainsi vers le creux de son oreille en continuant toute ses merveilleuse attentions que se soit à travers de ses lèvres ou ses doigts. « Tu es si beau mon amour...si tu savais...mm. » Susurra-t-il délicatement dans une voix ô remplie par l’émotion et de désir, alors que ses mains frôler du bout des doigts, ses bouts de chair savourant leur beauté pour les titiller. Bien que murmurer au creux de son oreille et en japonais, Ki Suk ne pouvait ignorer ce que ses mots pouvaient bien signifier alors qu’il faisait tout en sorte pour le rendre incroyablement fébrile à ses gestes, ses lèvres, son corps. Chaque geste qu’il opérait était sensuel que ce soit la lenteur avec laquelle ses lèvres se glisser sur sa peau, ou celle de ses doigts qui parcouraient sa peau si immaculée, tout n’étaient que prédiqués que pour le rendre encore plus fou de désir, brulant et demandeur d’encore plus d’attention de sa part. A travers ses doux et sensuels titillement autour de ses bouts de chairs, il ne pouvait s’empêcher de sourire en les voyant se durcir à chaque passage de ses doigts, sentir sa cage thoracique se surélevait pour touché sa chair qui se trouvait qu’à quelques centimètres de sa personne, sans parler de ce cœur qui tambourinait sous ses doigts. Dieu, il avait tant rêvé de cet instant, de ce moment où il pourrait le caresser de cette façon, le rendre littéralement dingue de plaisir qu’il avait encore du mal à réaliser la chose, si ce n’est de continuer encore et encore de le caresser et l’embrasser. C’est donc dans un léger gémissement de bien être et de désir qu’il entreprit doucement de lui baiser la nuque avec sensualité, continuant ses taquineries, caresses sur cette partie ô sensible de tout homme alors qu’il sentait leur deux bassins collés l’un à l’autre, frissonnant à chaque instant que leur deux peau, corps, se rencontrer dans cet instant ô combien sensuel qu’ils étaient en train de partager.

Tout semblait être trop irréel à ses yeux et pourtant il ne rêvait pas, il était bel et bien en train de caresser son ange, lui dévorer la mâchoire, la gorge sans oublier cette pomme d’Adam qui l’avait toujours rendu dingue de ses lèvres y laissant de jolies marques de légers suçons à son passage alors qu’il bombait du dos pour descendre sur ce corps. Reculant petit à petit à l’aide de ses doigts, le tissu qui constituait une barrière pour qu’il puisse admirer l’ensemble corps de son amant, afin qu’il puisse tout simplement le dévorer du regard, il vint rapidement échanger ses doigts par ses lèvres prenant alors prisonnier l’un de ses boutons de chair pour le titiller, laissant alors cette douce chaleur l’envahir, chose qui ne devait pas passé inaperçu aux yeux du préfet qui pouvait sentir doucement se former contre lui, une légère bosse contre son bas ventre, tout près du sien alors qu’il susurrait en relâchant son prisonnier plongeant alors son regard dans le sien, d’une voix emplie de désir et de sensualité.« Ki Suk…mon amour…tu es tellement beau, si désirable, si érotique…si tu savais… J’ai l’impression de mourir de désir…C’est la première fois que cela m’arrive…»

Il ne mentait pas, il n’aurait jamais osé lui faire une telle chose. Il se sentait mourir de désir, c’était vrai car plus il l’embrassait, le caressait plus son corps, son cœur et son âme désirait encore plus fort qu’une chose : Ki Suk.
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Yoon Ki Suk
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Je l'aime tellement, tellement... Se cacher me fait souffrir mais pour notre bien, nous devons le faire, assurément...
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeDim 10 Juil - 5:02

Yano, en cet instant seul ce nom importait le jeune muneo, l'école pouvait bien se faire attaquer par une armée de mangemort qu'il ne voudrait pas se détacher du corps de son aimé. Il avait tant rêvé de cet instant qu'il ne pouvait ne serait-ce que songer à quitter ses bras l'instant de quelques minutes, Comment pourrait-il avoir envie de ce corps tant désiré qui le rendait esclave de ses sens en seulement un regard vers lui, ce corps qui collait au sien ne pouvait que lui faire ressentir une sensation de bien-être, comme cette douce sensation de ne pouvait qu'être complet à ses côtés, Yano se trouvait être la seule personne avec laquelle il pouvait se sentir si complet, si aimé et protégé. Le muneo le lui avait prouvé tant de fois depuis leur première rencontre qu'il serait à ses côtés prêt à le défendre contre vents et marées, cette soirée en était l'une des exactes preuves alors que Ki Suk s'était retrouvé quelque peu fiévreux, croyant dur comme fer pouvoir venir en l'aide de leurs animaux qui pouvaient se retrouver coincé entre les couloirs du labyrinthe. C'était Yano alors que le le muneo perdait peut-être un peu la raison suite à sa fièvre, qui était venu le sauver en le persuadant de rentrer dans leur dortoir pour qu'il se soigne avant d'affronter de nouveau le froid, de venir secourir leurs animaux prisonniers, Yano avait préféré s'occuper d'abord de lui avant de s'attaquer à la recherche finale de leurs animaux. Comment ne pourrait-il pas penser que celui-ci serait prêt à tout pour le secourir, le protéger, l'aimer comme s'il était la plus belle merveille du monde. C'était dans des moments comme ceux-ci qu'il se rendait compte que personne, mise à part Yano, ne pouvait répondre à ses besoins. Yano était l'unique personne qui pouvait faire battre son cœur si rapidement, qui pouvait le rendre si heureux, si complet, si amoureux, si fou de lui. Jamais, il n'avait eu à ressentir ce besoin féroce de sentir la peau d'un homme contre la sienne, ce besoin viscéral de ressentir cette douce fièvre qui prenait doucement possession de son corps au moindre effleurement de leur peau, au moindre murmure de la voix de l'être aimé qui lui murmurait des mots si doux, si tentateurs, Personne ne pouvait résister à de tels mots prononcés par l'être aimé et tout particulièrement Ki Suk qui n'avait que rêvé de cet instant près de Yano,

Les baisers qu'ils venaient d'échanger ne pouvait que le rendre plus brûlant de désirs, le contact de leurs deux lèvres, de leurs langues qui se trouvaient enfin réunis dans un baiser enivrant. En seulement quelques heures, ces baisers étaient devenus addictifs pour le muneo qui ne pouvait que songer désormais à encore et toujours embrasser les lèvres de Yano, caressant de sa main ce torse qui l'avait toujours fait fantasmé et rêvé. Il avait seulement songer à quitter ses lèvres pour prononcer ces mots qu'il ne pouvait garder pour lui. Ki Suk n'avait nullement envie que Yano résiste à ses envies, à ses pulsions, il avait tellement envie en cet instant de goûter au plaisir de la chair en compagnie de l'être aimé, ce plaisir ne pourrait être que magnifique avec lui. Les quelques brides de plaisirs qu'il avait eu la chance de ressentir en cette soirée avait suffit à le faire devenir ivre de désir. Alors il ne doutait nullement qu'il ne pourrait qu'apprécier et aimer goûter ce plaisir avec sa personne, Yano se trouvait si aimant qu'il ne pouvait nullement douter de ceci. Jamais il ne pourrait souffrir à ces côtés, il en était persuadé et voulait profiter de ces instants de bonheur à ses côtés, tant que le temps le leur permettait. Dans combien de temps pourraient-ils profiter pleinement l'un de l'autre ? Il n'en avait aucune envie et préférer ne pas y penser tellement l'idée de devoir se cacher le faisait souffrir. Les semaines qui allaient se dérouler allait être particulièrement difficile, il serait dans l’incapacité d'aimer librement son aimé, l'embrasser quand il le souhaiterait, lui susurrer des mots doux au creux de son oreille, caresser cette peau qu'il aimait tant. Comment pourrait-il seulement alors résister à ne pas céder à ce plaisir en cet instant ? Non, cela était tout simplement impossible, son corps et son cœur lui susurrait de céder au plaisir de la chair en cet instant, son corps qui se trouvait être en feu après seulement les quelques caresses qu'ils venaient de partager.

Le comportement de Yano ne put que confirmer ses plus secrètes pensées, Le regard que lui lançait en cet instant se trouvait être rempli de sensualité, d'érotisme et ne le laissait nullement insensible. Face à ce regard, son rythme cardiaque ne peut s'accentuer tant le désir se trouvait présent dans son regard, un regard dans lequel on pouvait lire l'essentiel de son désir, de la passion qui dévorait son être à l'entente de ses mots. Sentir contre sa main le rythme cardiaque de son aimé ne put que le rendre encore plus esclave de ses sentiments, le cœur de Yano semblait être devenu fou, incontrôlable une fois qu'il eut entendu ses paroles. Un léger rougissement apparut sur ses joues alors que Yano s'était rapproché de son visage, ne laissant que quelques centimètres de séparations entre leurs lèvres venant prononcer des mots qui ne purent que le rendre encore plus fou et envieux de contacts avec son aimé.

Avec l'aide de ses quelques mots, Yano venait tout simplement de conquérir une nouvelle fois le cœur du muneo, Celui-ci venait de lui promettre de le faire rêver, de lui faire connaître le bonheur dans ses bras, de lui faire connaître le vrai plaisir de la chair, de lui faire vivre la plus belle nuit de sa vie. Cette promesse, il ne doutait nullement en celle-ci, Yano se trouvait bien trop aimant et passionné pour ne pas l'accomplir et le rendre plus fou, s'il y avait une personne en ce monde qui connaissait le jeune homme c'était bien son aimé. Même s'il ne pouvait s’empêcher d'être particulièrement jaloux de la première femme qui avait fait goûté au plaisir de la chair, en cet instant le fait de savoir que Yano se trouvait être le plus expérimenté ne le dérangeait plus vraiment, Yano par ses gestes le rendrait totalement fou et passionné par ce corps, ne pouvant alors plus se passer ne serait-ce que de quelques heures de celui-ci, Yano allait le rendre assurément fou, il le lui avait promis, tout comme le fait de le guider dans ce rêve éveillé. Il ne put que sourire à ses mots, rougissant doucement face à l'afflux de désir qui prenait place dans son être. L'idée de n'être plus qu'une poupée dans les mains de Yano pris par le plaisir ne pouvait vraiment que l'attirer, il n'y avait sans doute rien de plus merveilleux que de ressentir tant de plaisirs à ses côtés, sa vie lui paraîtrait alors si terne.

Soupirant de bien-être au contact de ses lèvres et de ces compères, il obéit sagement à Yano venant s’allonger dans les draps du lit, laissant à Yano le fait de le surplomber et de reprendre possession de ses lèvres dans un langoureux baiser. Les yeux fermés, le muneo ne pouvait que ressentir plus fortement les sensations qui prenaient possession de son corps, cette douce chaleur qui semblait être de plus en plus présente à chaque agissement de son aimé et tout particulièrement en cet instant alors que Yano caressait sa nuque tendrement, ne pouvant que se sentir frissonner de plaisir à cette simple caresse. Si à cette simple caresse il se sentait si électrisé, dans quel état se trouverait-il lorsqu'il se sentirait toucher le bonheur ? Il ne préférait pas savoir sachant bien évidement la réponse, il ne serait qu'une masse gémissante quémandant encore et toujours plus d'attention de la part de son aimé. Ne voulant nullement rester inerte, le muneo perdu dans ce baiser échangé, fit doucement glisser sa main sur le haut du torse de Yano, ce torse qui l'avait tant de fois fait rêvé, n'hésitant pas à y prodiguer quelques caresses sensuelles ne pouvant résister à toucher ce corps ô désirable.  Ki Suk le laisserait l'aimer, Yano ne pouvait nullement en douter, pas après les presque supplices du jeune homme qui lui demandait de lui faire goûter à ce plaisir.

Fou, le muneo avait l'impression de le devenir alors que Yano relâchait tendrement ses lèvres, venant dévorer à présent le creux de son oreille. Le doux murmure à son oreille et ses attentions ne purent que le rendre plus fébrile, le muneo ne pouvant s’empêcher de laisser échapper un doux gémissement. La voix si sensuelle de Yano le transportait dans un monde de plaisir, tandis que celui-ci venait caresser ses bouts de chairs dans l'intention de le rendre encore plus aliéné. Ce qui ne manquait pas d'être le cas en vue des presque gémissements que laissait échapper Ki Suk, Se rendait-il compte que celui-ci ne devenait qu'une simple masse gémissante ? Ivre de bonheur et de plaisir, il laissa à son tour ses mains glisser sur le corps de son aimé, délaissant quelque peu son torse pour venir caresser son dos avec sensualité, faisant glisser ses doigts avec lenteur, à la recherche du moindre contact avec cette peau, désirant transmettre à son aimé le flux de plaisir qui traversait son propre corps, qui faisait battre son cœur à un rythme endiablée, qui animait peu à peu son bas ventre. Le jeune préfet ne s'était sans doute jamais senti plus vivant qu'en cet instant, Yano se trouvait être tellement parfait, il ne manquerait nullement à sa promesse

Ki Suk crut sentir son cœur défaillir aux légers suçons que Yano venait de déposer sur sa pomme d'adam, le laissant dans un état ô fébrile, alors que celui-ci prenait à présent entre ses lèvres ses bouts de chairs, venant faire disparaître les quelques brides restantes de sa raison. C'était la première fois qu'il ressentait ce doux plaisir, ce besoin viscéral de ressentir encore plus ce contact fou et brûlant, ne voulant plus que ressentir ces sensations, oubliant chacune de ses angoisses et ses craintes. Soupirant de bien-être, fermant les yeux face à l'afflux de plaisir dans son corps, il mêla les doigts de sa main dans ses doux cheveux, avant de venir caresser les traits du visage de l'être qui allait l'emmener doucement vers ce paradis ô inconnu, murmurant à son tour entre plusieurs soupirs de plaisir.

«  C'est la première fois que je ressens ce désir viscéral … et j'en suis plus qu'heureux mon Yano de le ressentir à tes côtés... tellement heureux. A chaque seconde qui s'écoule j'ai l'impression de brûler un peu plus de désir... Tu es tellement désirable Mon Yano... tellement. »

Il termina sa phrase avec un soupir de bien-être alors que son désormais amant reprenait entre ses lèvres ses bouts de chairs. En cet instant, on pouvait lire sur le visage de Ki Suk, un visage pris par ce plaisir sans fin alors que son torse se levait sans cesse à la recherche de plus de contacts, son cœur battant à un rythme effréné, son corps frissonnant à son tour tandis que son bas ventre petit à petit semblait prendre réellement forme, se réveiller.

«  Mon amour... tu … es si merveilleux... »

Ne voulant nullement rester passif face à toutes ses attentions, il continua encore à caresser son visage de sa main libre, en venant même à griffer son dos alors que son corps fut pris par un soudain plaisir. Se relevant seulement de quelques centimètres, il vint à l'aide de sa main caresser de nouveau ce torse ô désirable, ce torse parfaitement musclé qui ne demandait que de l'attention, venant effleurer ses bouts de chairs.
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Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeDim 10 Juil - 8:05

Ki Suk…Ce simple prénom, qui avait été pendant de longs mois la cause de ses plus tumultueux tourments, était désormais la principale cause de sa folie. Une folie passionnée dans laquelle, il avait tout simplement l’impression de perdre la tête. Jusqu’à aujourd’hui, il avait déjà connu le plaisir charnel, on pouvait même dire qu’il était assez expérimenté pour un jeune homme de son âge mais jamais encore à ce jour, il n’avait eu l’impression de mourir de désir. Un désir qui ne semblait point avoir de fond tellement il se trouvait être terriblement ardent et tout simplement envoutant. A l’heure actuelle, il ne pouvait plus penser à autre chose qu’à l’homme, cet ange pour qui son cœur était en train de s’enflammer. Au fur et à mesure que les secondes, les minutes s’écoulaient presque totalement interminables et captivantes, il avait tout simplement l’impression de devenir un être possédé par une folie qui n’avait point de nom et un seul responsable : ce jeune homme qui se tenait sous lui dont il ne pouvait s’empêcher de désirer au-delà de ce que sa raison lui intimait. Il avait tellement rêvé d’avoir de tels gestes à son intention, tellement désiré de pouvoir le voir frissonner sous ses doigts, ses lèvres, son corps que la réalité semblait être bien loin au-delà de ses rêves les plus passionnés. Pourtant, des rêves érotiques dans lesquels il avait songé à lui avaient été une cruelle torture pour lui, lui qui désirait plus que tout les effacer de sa mémoire mais en vain. Durant de longs mois, il s’était blâmé d’avoir de telles pensées à son intention avant de conclure à la terrible réalité, celle de le voir comme il se devait de voir, de désirer une autre personne pour qui son cœur s’était totalement éprie. L’envie de lui faire l’amour, le voir devenir fou grâce à ses mots, ses gestes, était devenue une véritable obsession et à l’heure actuelle bien qu’il était persuadé d’être bien éveillé et que tout cela était la réalité, il ne pouvait s’empêcher de tenter de garder pied, canaliser toutes ses pensées érotiques et sensuelles que son esprit, son cœur désirait assouvir et ce pour la première fois de sa vie.

Une obsession qu’il ne parvenait pas à effacer de son esprit et ce d’autant plus que cet être si fantastique, si merveilleux et sublime lui avait donné l’autorisation de le rendre fou sous ses doigts, de lui faire gouter au paradis qu’on ne pouvait trouver qu’auprès d’un échange sensuel avec la personne tant désirée et aimée. Se mordant délicatement les lèvres en observant la vue si imprenable que lui offrait son ange, il avait du mal à retenir son émoi, son excitation alors qu’il venait tout juste de lui dévorer pleinement la nuque de ses lèvres, y laissant de légers suçons apposés sur celle-ci que pour approfondir le plaisir de cet être, qui découvrait dans ses bras pour la première fois, ce que cela signifiait réellement d’être aimé. Ki Suk était tout simplement magnifique, encore plus que d’habitude alors qu’il l’avait vu rougir sous ses mots ô bien sensuels, érotiques et prétentieux. Il avait bien conscience qu’il était en train de montrer au jeune homme, une facette de sa personnalité qu’il n’avait pu lui montrer jusqu’à ce jour car elle aurait été totalement déplacée. Yano, qui se trouvait être un homme passionné, aimé, attentionné était résolument le plus merveilleux amant qu’un homme ou une femme pouvait espérer d’avoir dans son lit. Lorsqu’il se détachait des chaines de sa raison, la passion, la folie qui guidait chacun de ses gestes, qui se voulaient charnels, n’étaient dictées que par les battements de son cœur et de son âme. Autant dire que pour l’instant, ainsi penché au dessus de l’être aimé, sa raison s’était tout simplement fait la malle, le laissant alors pleinement savourer ce moment si sensuel qu’ils étaient en train de vivre tous les deux, brulant peu à peu chacun de leur côté face aux attentions de l’être qu’ils désiraient et chérissaient plus que tout au monde.

Déjà mortellement excité par ses propres caresses sur le corps de Ki suk, il ne pouvait alors que devenir plus fou lorsqu’il avait senti les doigts du jeune homme se glisser sur sa peau si brulant de désir. Ki Suk ne pouvait résolument plus ignorer à quel point, il le désirait plus que sa propre raison le lui permettait, n’est ce pas ? Pas alors qu’il ne pouvait que soupirer d’aise en renforçant ses propres caresses sur sa chair, ses bouts de chairs et cette nuque qui semblaient tellement attendre, réclamer sa présence. Il avait tellement désiré entendre ce doux son, qui ne pouvait que se dégager de cette gorge, qu’on pouvait véritablement dire qu’il mettait un pied d’honneur à le provoquer, lui donner envie de le laisser doucement s’échapper de ses lèvres. Un doux gémissement qui ne fit que le rendre encore plus fébrile, dépendant de l’envie déchirante qui lui dévorer le ventre alors qu’il brulait sous la chaleur des doigts du jeune homme qui parcouraient si lentement et avec passion son dos. C’était si exquis de sentir sa peau contre la sienne, de sentir son cœur battre à la même vitesse hallucinante que le sien, un organe vital recherchant alors qu’à approfondir cette fièvre qui était en train de le rendre, tout comme elle était simplement en train de les faire devenir fou l’un de l’autre.

Sentant alors peu à peu l’intimité du jeune homme prendre forme à travers le tissu du drap tout près de la sienne, il ne pouvait alors que se sentir encore plus attirer par l’expression ô tentatrice et sensuelle du jeune homme. C’était tellement envoutant et planant de le caresser de cette façon alors que ses douces lèvres titiller avec passion ces bouts de chairs qui semblaient plus qu’apprécier cette délicieuses tortures, alors que cet ange si magnifique soupirait de plaisir face à tout ceci. Comment Ki Suk escomptait-il qu’il reste de marbre face à son plaisir, ce désir qui peu à peu était en train de lui faire perdre toute raison ? Il n’avait pas besoin que le jeune homme lui susurre quoique ce soit, son corps parlait pour lui et s’enflammait à chaque nouvelle caresse sur son corps, sur cette partie si sensible de son torse alors qu’il mêlait ses doigts dans ses cheveux pour lui exprimait ô combien il appréciait ce bien être. Lorsqu’il entendit la voix ô remplie de désir de son ange qui lui avouait que c’était la première fois qu’il ressentait ce désir viscéral, qu’il en était plus qu’heureux de le ressentir auprès de lui, près de SON Yano, il ne pu s’empêcher de se sentir encore plus enflammé à ses mots qui exprimaient ô combien leurs sentiments étaient réciproques. Souriant doucement, il reprit doucement son bout de chair et le mordilla avec passion, laissant sa langue venir le frôler alors que le jeune muneo, son ange semblait être prit par le plaisir flagrant qu’il était en train d’apporter à son être, sentant alors son corps se soulevait doucement pour venir à sa rencontre. Des contacts furtifs car il cherchait à le rendre dingue, il ne pouvait s’empêcher de le dévorer du regard en prodiguant ses caresses. Qu’il était beau, si désirable…ça en devenait presque un crime car c’était la première fois qu’il ressentait un tel appétit sexuel envers une autre personne. Un appétit qui se voulait à la fois chaste, tendre et passionné mais également totalement irraisonné. Il le voulait, il le désirait de tout son être et pourtant à l’heure actuelle, il se contentait de lui faire connaitre des caresses encore bien chastes comparées à celles qu’il avait réellement à l’esprit.

Yano ne pouvait que se sentir satisfait de la situation alors que Ki Suk soupirait d’aise, réclamant alors mille et une attention de sa part, son cœur manqua à chaque instant de rendre l’âme tout comme le sien présentement, se sentant alors tout simplement excité. Gémissant doucement aux caresses du jeune homme sur son visage alors qu’il le dévorait de ses lèvres, il ne pu que relâcher son tendre prisonnier alors qu’il lui susurrait ses paroles si tendres, si démonstratrices du bien être qu’il lui apportait. Un état de bien être qu’il ressentait également alors qu’il le voyait se relever doucement de quelques centimètres pour venir caresser son torse, venant effleurer ses bouts de chairs.

« Ahh… Mon amour… Tu vas me rendre fou… » Susurra-t-il dans un léger gémissement de plaisir alors qu’il se sentait bomber doucement du torse pour ressentir encore plus ce contact entre leur deux chair.

Ses yeux le dévoraient d’un regard des plus sensuels alors qu’il glissait doucement du bout de ses doigts le tissu de son draps pour venir caresser afin son bas ventre du bout des doigts. Victime de cette douce torture, il se mordit délicatement les lèvres, laissant glisser sa langue sur celles-ci pour tenter d’étancher cette soif qu’il avait de cet être se retenant doucement de donner un léger coup de rein alors que son être le désirait plus que tout. Impatient, il l’était dans une certaine mesure alors qu’il ne pouvait plus se retenir, perdu dans ce plaisir qui le retenait prisonnier de ses bras. Il était loin de supposer à quel point la vue qu’il était en train de montrer à son ange était ô bien sensuelle mais c’était plus fort que lui. C’est donc avec naturel qu’il glissa doucement ses doigts sur sa peau, venant caresser sa peau si exquise de ses reins alors qu’il s’allongeait avec sensualité sur lui pour venir l’embrasser avec passion et fougue. Capturant délicieusement sa langue de la sienne, il ne retint aucun gémissement de sa part et se laissa pleinement enivré par cette chaleur qui le dévorait au contact de leurs deux langues, bouches, peaux liées dans une danse des plus sensuelles. Mouvant doucement son corps contre le bassin du jeune homme, il glissa délicatement ses doigts sur la peau si immaculée des fesses du jeune homme, la frôlant délicatement reculant alors plus franchement ce tissu si dérangeant à ses yeux qui encore quelques minutes auparavant était le seul gardien de sa raison. Il ne pouvait plus résister, l’envie de lui faire du bien étant bien trop ancrée à son esprit et son âme bien trop faible pour rester de marbre face à l’émoi de son amour. Relâchant alors ses prisonnières, il lui mordit délicatement les lèvres alors que son regard se faisait si pénétrant, si tentateur, si prit par le plaisir. Laissant sa langue venir gouter à ces lèvres si désirantes, les effleurant seulement alors que leurs souffles si brulant se mêlaient, il susurra délicatement en venant caresser sa nuque du bout des doigts avec tendresse.

« Tu es bien plus désirable mon amour, que tu ne puisses l’imaginer… J’ai terriblement envie de toi… Je veux te voir gémir et geindre sous mes mots, mes lèvres, mes doigts… C’est peut être pervers mais c’est la première fois que je désire à ce point une autre personne…mm… »

Ne lui laissant alors aucunement le temps de répondre à sa terrible confession, il l’embrassa de nouveau avec fougue et passion alors que son corps se mouvait sensuellement contre celui de son ange. Laissant ses doigts caressaient sa peau si délicieuse, il fit de nouveau glisser le tissu du drap pour qu’elle ne représente plus aucun obstacle frôlant alors cette intimité tant désirée du jeune juste un temps. Une intimité qui semblait avoir prise forme grâce à ses merveilleuses attentions et une victime potentielle de sa passion ô débordante. Ne pouvant alors résister à cet état de fébrilité de la part de son amour, similaire à l’état qui était en train de l’habiter, il laissa doucement ses doigts remonter à l’extrémité de celle-ci pour la caresser du bout des doigts, marquant ainsi son doux contour. Ce simple geste de sa part ne fit qu’approfondir son désir ardent alors qu’il relâchait ses prisonnières dans un souffle court venant continuer ses baisers sur les traits de son visage, le dévorant tout simplement de nouveau de ses lèvres. C’est très naturellement qu’il laissa glisser ses doigts sur la longueur de cette intimité de façon très légère en première lieu lors de deux ou trois passages puis très délicatement il la prit plus fermement entre ses doigts commençant alors de doux vas et vient avec sensualité et tendresse. C’était si exquis de le sentir si ferme et dur entre ses doigts, qu’il ne pu s’empêcher de gémir doucement venant alors susurrer au creux de son oreille poursuivant alors ses douces et merveilleuses caresses sur son intimité. « Ki Suk, laisses-toi aller, ressens pleinement ce bonheur que je t’apporte…tu es si désirable. »

Il lui avait promit de lui faire perdre la tête, n’est ce pas ? C’était une promesse qu’il allait promptement respecter et Ki Suk devait se préparer à vivre le bonheur le plus total dans ses bras.
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Yoon Ki Suk
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeVen 15 Juil - 2:41

Fou, en cet instant Ki Suk pensait l'être. Il se trouvait être totalement fou de l'être qui lui prodiguait des sensations ô renversantes en lui. Leurs deux corps collés, sentir la peau de Yano contre la sienne avait quelque chose d’électrisant pour le jeune muneo qui avait tant de fois rêvé inconsciemment de caresser cette délicieuse peau qui ne demandait qu'à être caressé par ses mains. La vue que lui offrait Yano ne pouvait le laisser insensible, Yano n'était uniquement vêtu en cet instant que d'un simple bas de pyjama, d'aucun haut qui n'aurait pu cacher son torse musclé du regard envoûté de Ki Suk. Son torse était bien l'un des éléments qui avait toujours donné envie au jeune préfet, combien de fois dans leur chambre n'avait-il pas cherché à l'admirer au détour d'un regard alors qu'il se déshabillait seulement à quelques mètres de lui. La tentation était tellement forte qu'il ne pouvait que céder à la tentation et l'admirer avec un certain plaisir, il n'était qu'un simple adolescent qui avait devant lui le corps de l'être qu'il aimait, il lui était alors tout simplement impossible de ne pas céder. Le muneo avait beau n'avoir jamais eu de relations avec une femme ou un homme, ses désirs n'en étaient pas pour autant inexistants. Plusieurs fois il s'était retrouvé à regarder discrètement ses camarades, cherchant notamment à expliquer la raison de son non intéressement à la gente féminine et son absence de désir. Ce n'est qu'au bout d'un certain temps qu'il s'était rendu compte qu'il se trouve attiré par la gente masculine, par les muscles des courbes masculines. Seulement dans le cas de Yano, il ne s'agissait pas seulement d'une simple attirance, les sentiments que ressentait Ki Suk envers Yano était bien plus fort, Ki Suk aimait indéniablement son meilleur ami d'un amour passionné et fort. Son amour pour sa personne surpassait la simple attirance qu'il avait ressentit pour certain de ces camarades, Yano était la personne à ce jour qui comptait le plus pour le muneo, une personne pour laquelle il ne serait sans doute plus rien sans elle. C'est cette personne qui au delà des sentiments amoureux, lui permettait de ressentir tant de désirs, qui lui permettait de ressentir ce feu qui prenait possession de son corps, cette même personne qui attisait son désir à chacune de ses caresses et particulièrement sur une zone spécifique hétérogène de son corps.

Tandis que Ki Suk s'était levé légèrement pour venir caresser les bouts de chairs, essayant à son tour de rendre chacune des caresses que pouvait lui prodiguer son aimé et désormais amant. Les lèvres de Yano sur ses bouts de chairs le rendait totalement fou et ivre de désir, tel qu'il ne l'avait jamais été en ces courtes années d'existence. Sentir cette langue caressait ce point sensible de toute homme faisait apparaître des sensation de bien-être profond, le faisant alors soupirer de plaisir, le transportant dans un univers jusqu'à alors inconnu. Ses yeux laissaient transparaître l'ensemble de ses émotions, du désir, de la passion et l'irrésistible envie de prolonger le contact entre leur deux corps. La tête légèrement penché en arrière alors que ses doigts glissaient sensuellement sur la poitrine, il laissa échapper un léger gémissement de bien-être tandis que Yano s'appliquait à approfondir cette douce fièvre qui faisait battre son cœur à un rythme endiablée, qui soulevait son torse à la recherche de ce contact. Son esprit avait depuis bien longtemps quitter son corps pour uniquement laisser place à la passion, cette passion qui dévorait chaque pore de son être. C'était celle-ci qui avait poussé Ki Suk à prononcer les mots qui rendait si fébrile son amant, il ressentait le besoin d'extérioriser chacune des sensations qui le traversait. Entendre les murmures de Yano ne put alors que l'enchanter, Yano semblait apprécier à son tour les douces caresses sur son torse, ses bouts de chairs venant à leur tour se durcir au contact de ses doigts. Rendre si faible l'homme que l'on aimait était quelque chose de bien merveilleux, entendre ses doux gémissements faisait frissonner le jeune préfet, Yano était si magnifique ainsi, il ne pouvait que l'aimer davantage à sa vue.

Seulement sa concentration dériva rapidement sur l'une des mains de son amant qui glissait sur le drap qui recouvrait la partie inférieur de son corps et particulièrement vers son bas ventre éveillé par tout l'amour qu'ils avaient partagé depuis plusieurs minutes, sentir la langue de Yano sur ses boutons de chairs avaient été tant appréciable pour son corps brûlant qui avait au travers de son bas ventre montré à tel point les attentions de Yano avait été appréciées. La légère caresse de ses doigts sur son bas ventre le fit frissonner quelques instants, sentir une main étrangère effleurer son intimité avait quelque chose de bien extraordinaire à ses yeux, jamais jusqu'à ce jour son corps n'avait été touché par une quelconque personne de cette façon et dans le but d'assouvir son désir. Il eut seulement le temps de relever les yeux pour affronter le regard de son amant que le contact s'estompa, ses mains venant glisser sur ses reins dénudés de toutes barrières, s'allongeant tout simplement contre lui alors qu'il venait cueillir entre ses lèvres ces compères dans un langoureux baiser auquel Ki Suk s'empressa de répondre, les baisers de Yano étaient si électrisant. Les yeux alors fermés pour profiter pleinement de ce baiser, le muneo fit glisser ses doigts sur le dos dénudé de son amant, le caressant tendrement et sensuellement, comme il l'avait fait quelques minutes auparavant. La peau de Yano était si douce, si parfaite, si musclée, comment pouvait-il seulement résister à l'idée de profiter de cette occasion pour toucher ce corps ô sublime. Il laissa échapper un doux soupir alors qu'il sentait ses mains effleurait ses fesses, venant soulever et repousser ce drap pour pouvoir admirer et caresser librement le corps du jeune préfet. La sensation de bien-être qui prenait possession de son corps ne faisait que s'accentuer alors que Yano continuait ses dignes caresses sur son corps, sans oublier ses baisers brûlants qui dévoraient sa douce chair. Le muneo laissa échapper un soupir de frustration, pourquoi donc son aimé devait-il arrêter ce baiser si électrisant ? Seulement celui-ci fit taire sa frustration en venant mordre ses lèvres alors que son regard se faisait si pénétrant, si tentateur, son corps ne put que frissonner à cette vie si sensuelle, faisant accentuer la présence de son désir. Yano était tellement désirable.

Les mots prononcés par son aimant firent de nouveau colorer ses joues d'un joli rouge, un rouge passionné, ses propos étaient si sensuels, tellement sensuels. Yano avait terriblement envie de lui, il désirait le voir gémir, le voir geindre sous ses mots, ses lèvres, ses doigts. Ces simples mots eurent le mérite d'accentuer son désir, Ki Suk désirait tellement devenir ainsi, de devenir dépendant et quémandeur d'attentions de sa part, gémir sous les doigts de l'être qui faisait battre son cœur, de ne devenir qu'une simple masse gémissante, esclave de son amant. Alors qu'il allait répondre tout aussi positivement à ses paroles, il fut couper par un baiser langoureux et sauvage de son amant, qui fit disparaître son envie de parler. Sentir leurs langues se mêlaient dans un ballet sensuel était délicieux, la passion qu'il partageait était si puissante qu'il ne pouvait simplement pas résister à répondre à son baiser, venant caresser à son tour son dos si musclé et désirable. Il crut défaillir en sentant la main de son amant revenir frôler son entrejambe, ce seul léger contact entre leur deux corps venant faire grandir le plaisir fort qu'il ressentait pour la personne de Yano. Seulement quelques instants plus tard, ses mains vinrent caresser directement son intimité remontant sur son extrémité, marquant son contour. Le muneo laissa échapper un doux gémissement venant mordre ses propres lèvres désormais libres de leurs jumelles, il lui semblait devenir fou, fou de désir et de l'être qui lui prodiguait tant de plaisir. Les baisers tendres déposés sur son visage ne le laissèrent nullement insensible, chacun des baisers, chacun des gestes de Yano le menait dans un monde empli de bonheur, de plaisir et d'envie. Soupirant de bien-être, il s'accrocha au dos de Yano alors que celui-ci commençait à effectuer des va-et-vient sur son intimité, ses doigts s'accrochaient sur la peau pour tenter de garder un contact avec la réalité. Il se sentait devenir de plus en plus dur à chacun de ses va-et-vient, son visage était pris par un plaisir sans fin, son corps se soulevait inconsciemment à la recherche du moindre contact qui pouvait approfondir ce plaisir. Ce corps qui ressentait pour la première fois ce plaisir sans fin, toutes ses sensations qui le traversaient et qui semblait en être déjà dépendant. Comment ne pourrait-il pas aimer tout ce que lui prodiguer Yano ? Il lui avait promis qu'en cette soirée il lui ferait passer la plus merveilleuse des nuits et à présent le muneo ne pouvait plus douter de ses paroles, pas alors qu'il lui faisait tant de bien.

Laissant échapper un énième gémissement de bien-être, il s'accrocha plus franchement au dos de Yano tandis que le muneo lui susurrait des mots qui attisèrent encore son plaisir. Yano voulait que Ki Suk se laisse complètement aller au bonheur qu'il lui apportait, était-seulement possible qu'il se sente encore mieux alors qu'en cet instant il avait déjà l'impression de mourir de bonheur dans ses bras face au bonheur qui le traversait. Si cela était seulement possible, il ne refuserait nullement son offre, s'il pouvait mourir entre ses bras de plaisir il l'accepterait sans aucun doute. Il ne s'était tout simplement jamais senti si bien qu'en cet instant. A présent alors, il ne retiendrait nullement un seul de ses gémissements qui souhaitait franchir ses lèvres, il se laisserait simplement aller à son plaisir, au grand ravissement de son aimé, sans aucun doute. Sa tête légèrement penché en arrière il ne put s’empêcher de prononcer d'une voix prise par le plaisir et le désir, une voix sensuelle qui ne laisserait sans doute pas insensible. « Aah. C'est si... bon... tellement... »

Possédé par une passion fulgurante, il fit doucement glisser ses mains au niveau des reins de son amant, venant caresser sa peau, désireuse d'attention de sa part. Venant déposer de légères griffures sur son corps alors qu'il se sentit peu à peu brûler de l'intérieur face à l'afflux de bien-être. Ses mains descendaient doucement sur le haut de ses fesses encore recouvertes de son pyjama et de son boxer. Faufilant ses mains sous son pyjama et son boxer, il vint sensuellement caresser ses fesses musclées, qui n'attendait que ses mains pour répondre à leur besoin d'être caressé, venant même à faire descendre son boxer et son bas au niveau d'une dizaine de centimètres jusqu'à atteindre ses cuisses, pour les libérer de cette prison de tissu. Guidé par son plaisir, il vint frôler à son tour le bas ventre de Yano érigé seulement quelques instants avant de revenir caresser ses douces fesses dont il était fou. Si Yano essayait de le rendre fou avec chacun des gestes, lui aussi pouvait le rendre fou pour lui faire partager le bonheur et plaisir qu'il ressentait.

Laissant échapper un énième soupir de bien-être, il vint capturer les lèvres de Yano dans les siennes, passant sa langue sur ses lèvres pour approfondir ce baiser tandis qu'il accentuait ses caresses sur les fesses de son amant. Tout son corps semblait brûler en cet instant, ne demande qu'une chose voulant ressentir toujours et encore plus de plaisir. Chaque caresse de Yano sur son corps le rendait peu à peu plus dur, son entrejambe prenant véritablement forme face à l'afflux de sang principalement dû à son excitation. Yano était tout simplement parfait à ses yeux, il était sans doute le plus merveilleux des amants. Il ne pourrait nullement regretter d'avoir cédé à sa passion.

«  Yano... tu... es.... si...parfait. » murmura-t-il entre deux baisers fougueux.
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Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
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MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeVen 15 Juil - 7:42

Yano avait la sensation totale de perdre peu à peu pied de la réalité alors que ses caresses sur le corps de son amant se faisaient de plus en plus prononcées. C’était tellement envoutant de le tenir aussi fermement entre ses doigts, de sentir son corps devenir de plus en plus tendu, excité face à toutes ses caresses alors qu’il se sentait pleinement envouté par cette douce chaleur qui enveloppait son être à chaque seconde qui s’écoulait. Ki Suk était d’une beauté telle, fatale même, capable de tenter n’importe quel hétérosexuel qui aurait pu le trouver dans l’état dans lequel il se trouvait présentement. Il faut dire que les caresses du jeune homme en question sur son corps n’étaient pas étrangères à l’état de fébrilité dans lequel il se trouvait alors que son besoin vital de contact se faisait de plus en plus présent en sa personne. Il le désirait tellement que ça en devenait une obsession qu’il était incapable de faire taire alors qu’il continuait ses douces caresses sur cette intimité qui a chaque geste semblait prendre de plus en plus forme entre ses doigts. Il semblait alors bien loin le calme et paisible jeune préfet des bleus, encore bien innocent en réalité alors que petit à petit il devenait un objet de fantasme vivant, son fantasme à lui. Yano ne pouvait s’empêcher de le dévorer du regard, il lui était alors désormais impensable de mettre un terme à ce moment qu’ils étaient en train de vivre. S’il était réellement possible de la faire, il aurait mit le temps sur pause, le temps de se rassasier d’une telle expression, d’un tel bien être vital qui prenait peu à peu possession de cet ange qu’il chérissait et désirait tellement, comme pour tenter de combler son propre besoin primaire et à la fois si naturel, qui semblait peu à peu le dévorer de l’intérieur. Cette expression qu’il affichait, si prise par le plaisir était tout simplement en train de lui faire perdre littéralement la tête et les mots qu’il venait de prononcer en était la preuve parfaite.

Après avoir vu une telle expression sur son visage, il désirait bien plus du jeune homme que ses simples et doux gémissements. A vrai dire, il chérissait le moment où il le verrait alors quitter la terre ferme pour découvrir ce que signifiait réellement être prit dans le plaisir, ce que provoquait en l’être humain le moment où celui-ci aboutissait à son désir personnel. Si ses souvenirs étaient bien exacts, jusqu’à ce jour, il ne s’était jamais senti si mortellement excité que par la vue d’un corps prisonnier des chaines de la passion, de sa passion en redemandant encore et encore…Il était donc évident qu’il avait alors l’impression d’être un faux expérimenté, que lui aussi découvrait en même temps que son ange, ce qu’était réellement faire l’amour avec l’être qu’on désirait et chérissait si fort. Dieu, qu’en comparaison les sentiments qu’il avait pu éprouver pour Jade semblaient bien faibles, comparé à tout cet amour, ce désir qui était en train de le consumer de l’intérieur. Désormais il n’avait qu’une idée en tête, assouvir et répondre aux requêtes de cet homme, cet ange qui se trouvait sous lui alors qu’il lui dévorait la nuque de ses lèvres, laissant ses propres gémissements de bien être s’extirper de ses lèvres sous ses caresses. Comment pouvait-il rester en son âme et conscience de marbre face à ses rougissements, à ses regards ô remplis d’un plaisir sans nom alors que ses doigts tentés de lui apporter en retour tout le bonheur que lui-même était en train de lui prodiguer ? Impossible et son envie et son besoin d’être aimé également, ne pouvait résolument pas rejeter une telle chose, de tels gestes de sa part. Il se retrouvait alors esclave de ses sentiments, de son désir tout autant que le jeune homme, sentant les doigts de son amant se balader sur la peau si ferme de son torse, de son dos alors qu’il lui dévorait les lèvres de baisers tout aussi fougueux que passionné. Fébrile face à ce doux contact entre ses doigts et cette intimité si tendue, il ne pouvait retenir ses mots de s’extirper de ses lèvres alors que ses lèvres lui dévoraient tout simplement la nuque. Impossible de rester insensible face à cet ange qui se sentait défaillir face à ce contact entre eux deux, cette caresse, se mordant alors les lèvres tout simplement en gémissant de bien être. Il semblait peu à peu à son tour atteint par la même folie qui était en train de lui faire perdre toute raison pour son plus grand plaisir.

Sentir alors les doigts du jeune préfet se glisser sur son dos, s’accrochant à sa peau alors qu’il commençait à lui prodiguer de douces caresses, c’était tellement savoureux, planant et érotique. A chaque geste qu’il lui prodiguait, il le voyait peu à peu devenir fou, n’hésitant plus à soulever son corps pour venir à la rencontre du sien. C’était tellement exquis de voir son corps être tellement honnête et désireux de sa personne, si merveilleux. Dévorant alors sa nuque de baisers, il ne pouvait s’empêcher de la mordiller doucement, l’embrassant avec fougue alors qu’il le voyait réagir favorablement à sa requête, se laissant alors pleinement allé, gémissant encore et encore. Sa peau était si brulante, si exquise, la sueur qui pouvait s’écoulait de celle-ci baignant son corps d’une légère couche d’eau similaire à celle qui était en train d’apparaitre sur la sienne également ne faisait qu’approfondir la beauté, la sensualité de ce corps. Se mordant alors les lèvres, il assistait impuissant dans une certaine mesure au bonheur de son amant alors que celui-ci penchait la tête en arrière pour gémir ô combien cela lui faisait énormément de bien. Sa voix était si envoutante, si excitante et lui bien trop faible pour y résister alors qu’il accélérait la cadence de ses vas et vient, cherchant à admirer encore plus longtemps ce visage si magnifique, le prenant plus fortement entre ses doigts. Cela le rendait tellement fou de bonheur de le voir ainsi, prit dans son plaisir qu’il ne pouvait pas s’empêcher de se sentir lui-même se tendre doucement au creux de son boxer qui peu à peu devenir une prison dans laquelle il se sentait à l’étroit. Déglutissant doucement, il se contentait alors seulement de le caresser plus franchement, le dévorant de son regard brulant alors qu’il sentait doucement les doigts du jeune homme se glisser au creux de ses reins, les caressant. La chaleur et les frisons qui le parcoururent à ce moment là, semblaient alors lui arracher les derniers brins de raison qui auraient pu être restée en sa personne alors qu’il se laissait pleinement gémir doucement de bien être au creux de l’oreille de son ange en venant mordiller son oreille avec passion. Les légères griffures qu’il déposa tendrement sur sa peau, signe évidant qu’il était possédé par une passion sans nom dont il était lui le principal responsable, il soupira plus fortement en le titillant plus franchement au niveau de l’entrejambe. Cette merveilleuse intimité qui semblait de plus en plus dur, si excitée par toutes les innombrables caresses qu’il lui apportait…C’était tellement fabuleux rien qu’à cette idée alors lorsqu’il sentit les doigts du jeune homme caresser ses fesses à travers les pans de son pyjamas encore bien présent sur son corps avant de les glisser sous le tissu de celui-ci et de son boxer pour les frôler à même la peau, il se laissa pleinement allé à ce bien être.

Il avait eu beau lui promettre de lui apporter que du bien être, privilégiant son ange au détriment de sa personne, il lui était tout simplement impossible de ne pas profiter de cette caresse, de ce contact alors que son être le réclamait de tout son âme. Se mordant alors les lèvres en réprimant un doux et sensuel gémissement, il sentit peu à peu le jeune homme le délivrer de sa prison de tissu, laissant alors sa chair découvrir la température assez tiède de la pièce avant de bruler quelques secondes après sous le contact de ces doigts qui découvrait celle-ci. Sentant alors le tissu de ses vêtements être au creux de ses genoux, il s’en débarrassa rapidement de main de maitre, se retrouvant alors simplement nu face à l’être qui était en train de lui apporter tant de bien être. C’était si merveilleux de se sentir afin libre, nullement comprimé dans une prison de tissu, qu’il soupira d’aise, gémissant doucement en sentant les mains du jeune homme effleurer quelques instant sa propre intimité, le frustrant alors comme jamais. Se mordant alors les lèvres pour tenter de réprimer cette frustration de se faire connaitre, il se laissa alors pleinement embrasser par son ange, mêlant alors leurs langues dans un baiser des plus sensuels alors qu’il sentait les doigts du jeune homme caressaient ses fesses. Leurs corps alors si proches étaient à peine séparé que par une distance dérisoire et Yano bien trop faible ne pouvait alors résister à cette envie qu’il avait de sentir l’intimité du jeune homme contre la sienne, pas après de telles paroles de son ange. S’il était parfait à ses yeux, il l’était tout autant aux siens. Son plaisir personnel semblait peu à peu prendre de l’ampleur et son esprit trop désireux ou trop vaniteux pour certains avaient une soif insatiable pour résister à ce qu’il désirait plus que tout désormais.

C’est donc pris par son propre plaisir, qu’il glissa de nouveau ses cuisses autour de la taille du jeune homme quittant momentanément de ses doigts l’intimité de celui-ci pour y coller la sienne. Sentant alors leurs deux intimités se rencontrer pour la première fois, il se cambra doucement venant mordre les lèvres du jeune homme alors qu’il susurrait dans une voix ô emplie de passion et désir. « Je vais devenir fou mon amour…Tu es si parfait…si magnifique mon ange…ahh »

Il ne mentait pas, il semblait peu à peu perdre la tête d’autant plus que les caresses sur ses cuisses, ses fesses étaient tellement exquises alors c’est sans se poser d’autres questions qu’il suivit ses envies l’embrassant alors sauvagement avec fougue sans aucune retenue. Capturant alors ses lèvres et cette langue qu’il venait tout juste de quitter avec toute cette passion et ce désir qui lui dévorait les entrailles, il glissa seulement ses doigts entre les cuisses du jeune homme pour les griffer doucement, les frôlant avant de venir caresser ses magnifiques fesses, si douces, si musclées. Des fesses qui étaient ô bien loin de le rendre insensible et qui éveillaient en lui tant de pensées si peu louables. Prenant en main celles-ci, bien qu’un peu restreint du à leur position actuelle, il glissa doucement ses doigts sur celle-ci avec sensualité alors qu’il prodiguait des coups de reins sensuels et maitrisé bien que désireux amèrement de contact entre leurs deux personnes. Il le désirait tellement, si profondément à l’heure actuelle, qu’il ne pouvait désormais être pleinement heureux que lorsqu’ils seraient parvenus, qu’il aurait parvenu à le rendre complètement fou de lui, de son corps. C’est pour cette raison qu’il n’hésitait pas à griffer ses belles fesses laissant leur deux intimité se rencontraient dans une danse des plus enivrantes et sensuelles. Se laissant alors pleinement aller à toute cette passion, cette fougue, il lui mordait les lèvres le temps de reprendre son souffle alors qu’il gémissait tout simplement de bien être, encore et encore de façon de plus en plus sensuelle et envoutante d’une voix ô emplie d’un plaisir indescriptible alors qu’il ne pouvait s’empêcher de le dévorer du regard, accentuant ses gestes dès l’instant où il le voyait réagir favorablement à ses gestes.

« Tu es…si…érotique mon amour…si désirable… » Susurra-t-il une énième fois alors qu’il quittait ses lèvres pour venir embrasser cette nuque qui lui manquait déjà tellement, n’hésitant pas cette fois ci à la mordre avec passion alors continuait inlassablement ses coups de reins ajoutant dans un râle. « hmm… J’ai tellement envie de toi, Ki Suk… si tu savais, mon amour… »

Etait-il en train de trahir sa promesse ? Il n’en savait fichtrement rien…Perdu dans son plaisir, par les caresses du jeune homme et la rencontre si envoutante de leur deux corps qui se caressait à travers ses coups de bassins, il ne parvenait plus à garder la tête hors de l’eau et c’est dans un doux râle qu’il ajouta seulement : « Fais moi l’amour…Je t'en prie...Je te veux…je veux te sentir en moi… » Si seulement Ki Suk avait pu comprendre le japonais…Peut être que celui-ci aurait pu comprendre toute la portée des mots qu’il venait d’exprimer et aussi la haute signification de ceux-ci.
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wizard's spellbook : [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | 2hwe5ts→ Aimer Yano.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeDim 24 Juil - 9:41

Une masse gémissante, Ki Suk n'était devenu qu'une masse gémissante dans les draps du lit de son aimé. Toutes les pensée cohérentes qu'il aurait pu avoir avait simplement disparu dès lors que son corps était entré en contact avec celui de son amant. Ce corps qu'il désirait particulièrement, ce corps si parfait, si musclé, si désirable qui faisait naître en lui ce feu dévastateur. Ce corps qui lui prodiguait des soins qui l'emmenaient peu à peu dans un univers jusqu'à ce jour inconnu. Les caresses de son aimé sur son entrejambe ne pouvait nullement le laisser insensible, pas alors qu'il lui murmurait en même temps des mots doux qui ne pouvaient que lui permettre de ressentir encore plus de plaisir., tout comme ses mots sensuels, ses caresses, ses baisers transcendants déposés sur son cou, sur sa pomme d'adam. La passion qui le possédait était si forte, il voulait approfondir le contact de leur corps à chaque instant, ne pouvant tout simplement plus se trouver séparer de cette douce peau. Ses mains caressaient tendrement cette peau, cette peau désormais presque nu, uniquement couverte d'un bas de pyjama qui s'était retrouvé au niveau de ses genoux. Le muneo n'avait tout simplement pas pu résister à caresser librement celles-ci, seul son désir était maître de son corps et celui-ci le guidait dans le moindre de ses gestes, le guidait pour faire partager à son amant tout ce plaisir qui avait pris possession de son corps. La vue du torse nu de Yano le rendait fou de désir pour cet être, ce torse qui serait sans aucun doute sa plus grande faiblesse, chaque courbe musclé de celui-ci était un appel à la luxure, un appel pour l'être qu'il l'était, pour l'être qui n'avait jamais jusqu'à ce jour goûter au plaisir de la chair auprès d'aucune femme, d'aucun homme. Et le muneo ne pouvait plus désormais regrettait le fait de n'avoir jamais connu ce plaisir avec une autre personne, Yano était définitivement l'être qui lui était destiné, personne ne pourrait l'aimer autant que lui, personne ne pourrait faire battre son cœur si rapidement, personne ne pourrait lui transmettre tant de plaisir. Yano était le seul et l'unique qui faisait naître en lui ce désir ardent. Les yeux rivés vers son amant, le muneo ne pouvait que déguster la vue que lui offrait celui-ci, dévorant du regard ce corps : ses lèvres, ce visage ô séduisant, ces muscles si fermes, la moindre de ses courbes. Un obsession l'habitait, celle de ne jamais cesser de caresser ce corps et d'approfondir à chaque instant le contact entre leurs deux corps. Sa main venait joindre ses pensées, alors qu'il ne cessait de toucher la tendre peau des fesses de Yano, effleurant seulement une fois son entrejambe à la recherche d'échanger ce bien-être. Yano lui avait demander de ressentir pleinement que lui apporter Yano, ce qu'il ne manquait nullement de faire en geignant son plaisir de sa voix si grave et sensuelle. Les longs va-et-vient sur son intimité en étant la principale cause, il tentait cependant de limiter ces gémissements, venant capturer dans un baiser langoureux les lèvres de Yano, faisant rencontrer leurs langues dans ce baiser ô dévastateur. Ki Suk avait pour intention de profiter de chacun de ses instants aux côtés de son aimé.

Le muneo ne put que laisser échapper un gémissement de frustration lorsque Yano libéra de sa main le sexe de Ki Suk désormais dur et empli de plaisir, d'excitation. Pourquoi Yano devait-il s'arrêter en cet instant ? Cherchait-il à le frustrer et faire naître en lui un désir encore plus ardent, le désir d'approfondir le contact jusqu'à la déraison ? Si cela était son intention, il pouvait être certain de l'avoir réussi. Ki Suk ne souhaitait qu'une chose, approfondir ce contact et découvrir le vrai plaisir à ses côtés, ce plaisir qui avait emmené, depuis la création de l'homme, les hommes au pêcher originel. Seulement, ses pensées disparurent rapidement lorsque Yano changea de position subitement, lâchant son intimité et venant le surplomber, glissant ses cuisses autour de sa taille et venant faire rencontrer leurs deux intimités, pour la première fois. Le muneo ne put que laisser échapper un doux gémissement, tandis que Yano venait mordre ses lèvres et lui susurrer d'une voix ô emplie de passion et désir qu'il le rendait fou, qu'il se trouvait être si magnifique ainsi pris par ce plaisir sans fin. Il ne put nullement répondre à ses mots, Yano venant l'embrasser sauvagement quelques instants plus tard, sans aucune retenue, ce qui le rendit aussi fou, venant gémir entre ses lèvres possédé par ce désir. Ce baiser était si électrisant, sentir sur son corps ses doigts glisser sur sa peau, sentir ces doigts glisser sur ses cuisses en feu, griffer sa peau lui envoyait tant de frissons, le faisant trembler de désir pour cet être magnifique qui l'emmenait droit au paradis. Les caresses que lui produisaient Yano sur ses fesses ne le laissait non plus sans reste, sentir ses mains était si électrisant, la poigne sur celles-ci ne le laissant pas insensible, pas alors que Yano prodiguait en même des coups de reins, faisant rencontrer à nouveau leur deux intimités si dures et fermes, empli de désirs, dans une danse envoûtante et sensuelle. Sentir l'entrejambe de Yano contre la sienne, ne faisait qu'accentuer son plaisir, ses coups de reins étaient si transportant. Ki Suk devait inconditionnellement totalement fou de Yano, véritablement fou de l'être qui faisait battre son cœur et rendait son corps si brûlant. Le lendemain il lui resterait sans doute d’innombrables griffures sur son corps représentatives du plaisir qu'il les avaient possédé en cette soirée, en cette nuit magique qu'ils ne pourraient jamais oublier. Accompagnant les coups de reins de Yano, il laissait échapper des gémissement de sa voix fébrile, entrecoupé par les morsures sur ses lèvres de Yano, pris par ce plaisir, entre deux échanges langoureux.

Les lèvres de son aimé quittèrent leur compères, pour venir embrasser sa nuque, la mordant, accentuant ses coups de reins sur leur deux intimités, rendant encore plus dur leurs intimités. La sensation de leur deux intimités collés se rencontrant dans de deux incessant va-et vient était merveilleuse, tellement captivante qu'en cet instant il ne souhaitait plus qu'approfondir ce bien-être, ne faire plus qu'un avec ce corps pour enfin vivre le vrai plaisir, le plaisir charnel. Cette pensée ne fit qu'accentuer son plaisir, désireux de ce corps si splendide, qui faisait naître en lui des pensées jusqu'à ce jour inconnues. Ki Suk désirait indéniablement le muneo qui se trouvait sur lui et les mors prononcés par son aimé n’arrangèrent pas son désir, à ce rythme, il ne pourrait tout simplement plus se retenir. Seulement celui-ci continua ses propos et ceux-ci furent sans doute les mots qui firent définitivement détruire toute barrière de retenue. Yano le désirait, Yano voulait qu'il lui fasse l'amour, cherchait-il vraiment à le rendre fou ? Ki Suk ne comprit pas le reste de la phrase, ne parlant pas japonais, mais les quelques mots qu'il prononça suffirent à lui faire comprendre l'importance de chacun de ses mots. Yano désirait réellement qu'il lui fasse l'amour, qu'il lui fasse découvrir le vrai plaisir entre ses bras. Yano leur permettait en cette nuit de découvrir le plaisir qu'il pouvait découvrir à deux, le plaisir de découvrir pour la première fois cette terrible addiction. En cette nuit, Yano venait tout simplement de lui offrir sa « virginité » en tant qu'hommes, ce qu'il ne manquait pas de recevoir comme un véritable trésor auquel il prendrait soin, même si c'était sa première fois à lui aussi, il essaierait de faire son mieux pour rendre totalement fou son aimé, même s'il risquait d'être maladroit. Il suffisait seulement de se laisser guider par la passion, continuer encore à agir comme son corps et son cœur le lui disait, tout simplement.

Alors d'une voix désireuse il prononça ses quelques mots, ne cessant de continuer d'accompagner les coups de reins de son aimé, caressant encore ses fesses « Tout ce que tu veux mon Yano... »

Ne laissant nullement le temps de répondre à son aimé, il renversa la situation, pesant sur son corps pour faire renverser Yano et venir le surplomber de toute sa hauteur. Profitant de cet instant pour admirer le corps de son aimé, plaçant ses jambes autour de sa taille. Venant effectuer de nouveau de merveilleux coup de reins faisant rencontrer leur intimités une nouvelle fois, ne se lassant pas du visage pris par le plaisir de son bien aimé. Soupirant de bien-être, il vint se coucher contre son corps, venant coller leurs deux corps, venant caresser de sa main gauche le flanc des reins de yano, venant mordre le cou de son aimé pour y laisser quelques traces. Peu importe si le lendemain on pourrait y voir des traces de leur baiser, seul le fait d'aimer ce corps le préoccupait vraiment. De sa langue il vint doucement lécher cette peau et particulièrement cette pomme d'adam qui l'attirait. Venant caresser le torse de son aimé de sa main libre, pour y venir caresser ses bouts de chairs dressés, alors qu'il susurrait d'une voie ô désireuse sur sa nuque: « j'ai tellement envie de toi Mon Yano... tellement... » terminant ses mots en mordant la peau de sa nuque, la suçotant ensuite pour y laisser de jolies marques rouges comme pour marquer Yano, pour montrer que l'être sous lui lui appartenait. Yano lui appartenait indéniablement, personne ne pouvait à présent toucher cet être ô fabuleux qui faisait battre son cœur et qui lui permettait de vivre une vie si magnifique, Yano était lui, à personne d'autre.

Souriant doucement contre sa nuque, il continua ainsi pendant plusieurs dizaines de secondes à mordiller ce cou, sans jamais blesser son aimé. Soupirant de bien-être en effectuant un dernier coup de rein entre deux intimités, il vint doucement reculer de quelques centimètres, venant baiser de ses douces lèvres le torse de son aimé, effleurant avec sa langue les boutons de chairs de son aimé, tandis que ses mains se retrouvait à présent sur ses fesses à les cajoler, les caressant comme s'il s'agissait de l'une des plus grandes merveilles de ce monde, ses fesses qui faisaient naître en lui des pensées peu catholiques. Ses baisers descendirent doucement jusqu'à atteindre son ventre, ses abdominaux si parfait, Yano possédait définitivement un corps de dieu, un corps d’apollon pour lequel il ne pourrait que céder, sa faiblesse étant à ce jour Yano, l'être qui faisait naître en lui de tels pensées, n'oubliant pas de caresser encore ses fesses si musclées. Il était en train de faire une fixation sur ses fesses et s'en rendait bien compte, sans aucun doute une de ces innombrables futures faiblesses.

Soupirant doucement de bien-être, il vint caresser plus franchement celles-ci, descendant doucement jusqu'au haut de ses cuisses, les griffant généralement alors qu'il embrassait avec plus de passion ces abdominaux, venant même les caresser de sa langue, traçant chaque muscle, essayant d'enregistrer le moindre des traits de son corps. Souriant, il vint déposer un baiser sur ses muscles avant de venir déposer quelques baisers sur le haut de ses cuisses, venant déplacer l'une de ses mains non loin de son entrejambe, l'effleurant à peine alors qu'il continuait ses innombrables baisers sur le haut de ses cuisses. Souriant doucement il vint regarder le doux visage de son bien aimé alors qu'avec sa main il vint enfin rencontrer l'entrejambe de son amant. Effectuant alors de doux va et vient dessus, guettant la moindre réaction du corps de Yano, jusqu'à accélérer peu à peu ses gestes s'extasiant du regard de Yano. Heureux alors de cette vue, il fit sans doute ce qu'il ne pensait jamais faire, il déplaça ses baisers jusqu'à rencontrer l'entrejambe de son aimé, déposant uniquement des baisers sur celle-ci qui semblait prendre de plus en plus de vigueur. D'une voix suave il vont alors prononcer ses mots : « Si tu savais comme tu es magnifique en cet instant, tu es sans doute la personne la plus désirable de ce monde.. tu es si exquis. Je veux définitivement être la seule personne à te voir ainsi... Mon Yano tu es si parfait, si tu savais dans quel état je suis... » dit-il alors qu'il accentuait ses va et vient sur son intimité, venant faire rencontre sa langue avec celle-ci quelques instants, ne se lassant pas de la vue que lui offrait son aimé. Il voulait entendre Yano le supplier, définitivement le supplier... entendre ces supplications allait être tellement électrisant.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | 2ms2atz
Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | 2hwe5ts


[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | Icon_minitimeDim 24 Juil - 13:16

Brulant, son corps l’était plus que tout, possédé par une chaleur qui ne semblait point baisser et ne faisait qu’augmentait en fonction des secondes, minutes qui s’écoulaient lentement depuis quelques dizaines de minutes. C’était comme si un feu était en train de lui consumer l’être, sans qu’il puisse l’éteindre d’une quelconque manière quel qu’elle soit et qu’il était résolument retenu prisonnier des bras de celui-ci. Contraint de bruler par ces flammes, ces étincelles qui semblaient le rendre plus fou que jamais, sans qu’il puisse tenter de se rattraper à un quelconque brin de conscience qui pourrait lui permettre de garder quelque peu pied sur terre. La folie était résolument en train de gagner la bataille, contre son esprit qui tentait de rester le plus rationnel possible alors que sa passion, son désir ne faisait que se quintupler et se multiplier dans tout son être avec une seule idée en tête : assouvir cette envie irrationnelle. Un envie irrationnelle qu’il avait de se sentir encore plus proche de l’être pour qui son être s’enflammait de la sorte et pour que rien au monde, il ne souhaitait être détaché à l’heure actuelle. Impossible pour lui, de rester de marbre face à l’être pour qui son cœur, son âme et son corps s’enflammait de la sorte. Cela faisait tant de temps qu’il le désirait de la sorte, tant de mois, d’années passées à le désirer dans ses rêves les plus inavouables. Des rêves qui semblaient peu à peu prendre contenance, devenir réels alors qu’il découvrait enfin ce bonheur tant recherché. Ki Suk était résolument la seule personne capable sur terre de le rendre aussi vivant qu’il ne l’était à l’heure actuelle. Il n’y avait qu’auprès de sa personne qu’il pouvait se sentir si libre, si heureux de rire, de sourire et de surtout d’avouer ses plus sombres et tendre secrets. Auprès de lui, il n’avait jamais senti de barrière, de frontières bien délimitées sauf celles qu’il s’était toujours définis. Peut être que s’il s’était avoués ses sentiments plus tôt, s’il avait eu le courage d’assumer la puissance de cet amour qui lui dévorait les entrailles et qui le retenait prisonnier de celui-ci depuis tant de temps pour cet être qu’il tenait tout contre lui, peut être que le feu qui était en train de le dévorer aurait pu être moins vivaces. Cependant cette frustration, ce désir qui avait animé chacune de ses nuits, de ses journées pour cet être qui éveillait en lui, un tel besoin de contact, était désormais une obsession qu’il devait quoiqu’il arrive assouvir.

Un besoin, un désir qui ne faisait qu’augmentait alors qu’il sentait les doigts du jeune homme caressaient la peau désormais nues de ses fesses alors qu’il en faisait de même sur les siennes, faisant ainsi se rencontrer leurs intimités dans une danse des plus envoutantes et des plus déchirantes. Son corps ne pouvait alors qu’être traversé par des frisons de délice, de bien être alors qu’il ne se lassait nullement de l’embrasser, de lui dévorer les lèvres des siennes pour tenter de canaliser cette chaleur qui avait raison de lui. Ce bien être semblait alors si naturel, si vital pour son être et pourtant il n’était que le fruit de son envie de contacts charnels, de luxure et de l’explosion de son amour et de sa passion pour cet être qui était résolument longé sous lieu. C’était si exquis de le sentir contre lui, de sentir son être s’enflammer de la même façon que le sien, de ne devenir qu’avec lui, que des masses gémissantes à la recherche d’un bien être qu’ils ne pourraient qu’acquérir que grâce à l’autre. Les coups de reins qu’il lui prodiguait était si exquis, si électrisants et si déroutant, c’était comme s’il découvrait pour la première fois ce que cela pouvait lui apportait, comme s’il était à son tour qu’un simple débutant qu’il découvrait pour la première fois ce que cela voulait vraiment dire faire l’amour à une autre personne. Jusqu’à ce jour, lui qui avait connu bien nombre de partenaires toutes féminines, il devait bien reconnaitre qu’à cet instant précis son expérience n’avait que bien peu d’importance car il ne s’était jamais senti si excité que par de telles caresses et pourtant…Son corps à cet instant précis semblait n’être qu’une masse qui réclamait encore et encore des caresses de la part de son partenaire venant faire taire tout simplement son désir initial. Lui, qui avait fait la promesse à son amant de le faire rêver, de lui faire connaitre le bonheur des plus totaux au détriment de sa personne, n’était devenu désormais qu’un être qui désirait à son tour d’être aimé. Oui, il souhaitait plus que tout recevoir son amour, son attention, bruler sous ses gestes, sous ses lèvres et perdre la tête à ses côtés, se laisser posséder par son être tout simplement. Cette envie bien entendue, n’était pas sans incidence et il en avait pleinement conscience.

D’ailleurs, il s’était déjà résolu à être le dominé durant cette ô merveilleuse soirée pour la simple et bonne raison qu’il souhaitait que ça soit la plus merveilleuse pour son amant et surtout il désirait qu’elle soit sans douleur pour lui… Cela signifiait donc qu’il acceptait de lui offrir sa première fois, en tant qu’homme, dominé sans aucun regret. Bien qu’il doive reconnaitre que cette idée n’avait point été celle qu’il avait envisagée dans ses rêves les plus passionnés, il ne pouvait désormais dire que celle-ci le repoussait car à l’heure actuelle, il était résolument en train de lui supplier de lui faire connaitre ce bonheur. Il se sentait tellement possédé par une fièvre sans fond, animé par son désir qu’il ne désirait qu’une chose, connaitre encore plus de frisons à son contact et surtout plus que tout, il désirait être la raison de sa folie, de son bonheur total…oui il chérissait plus que tout cet instant où il le verrait atteindre ce bonheur grâce à lui. Ce bonheur qui était résolument en train de lui déchirait les entrailles, le rendant encore plus passionnés dans le moindre de ses faits et gestes alors qu’il lui dévorait la nuque pour tenter d’étancher cette soif de désir qui ne semblait point avoir de fond, le rendant tout simplement ivre de cet être. Il ne savait point qu’avait pu être l’effet qu’avait eu sur son ange, cette supplique, cette demande si formelle de ses attentes actuelles mais s’il n’était point résolu à y accéder, il ferait en sorte qu’elle devienne une envie pour cet être, qu’importe la technique employée…C’était peut être déraisonné et il en avait bien conscience mais désormais il ne possédait plus de raison et son être n’était à la recherche qu’une seule chose : Ki Suk. Le préfet était donc le seul être qui occupait les moindres de ses pensées, de ses envies et il ne pouvait plus en être autrement. Mouvant ainsi son bassin contre le sien, dévorant cette nuque de morsures, de suçons comme pour tenter de marquer cet être de sa personne, il ne réfléchit plus, ne pensait plus à rien, si ce n’est de rechercher ce bonheur à ses côtés et de surtout lui montrer ô combien son être le désirait.

Ce contact entre leur deux peaux était si irrésistible, si transcendant alors qu’il le sentait faire de même, accompagnant ses coups pour venir approfondir ce bien être viscéral qui le rendait tout simplement fou, l’obligeant à gémir contre sa nuque, brulant d’une fièvre sans nom. Son cœur semblait tambourinait comme un déraisonné au fond de sa poitrine alors que ses sens semblaient le rendre de plus en plus ivre. L’odeur de sa peau, de son parfum mêlé à cette sueur qui semblait les recouvrir depuis quelques minutes, comme si on avait volontairement augmenté la température de la pièce, sans parler de ce corps, qui se relevait difficilement comme le sien pour tenter de reprendre un bol d’air, de regagner une quelconque respiration normale en vain, condamné à suffoquer face à tout cet amour, était résolument en train de lui faire perdre totalement pied. Se laissant alors seulement gémir contre cette nuque qu’il ne pouvait nullement cessait de baigner de ses lèvres brulantes de désir, il ne pu que frissonner d’impatience lorsqu’il le sentit caresser si franchement ses fesses, lui donnant alors un énième coup de rein alors qu’il lui susurrait dans une voix ô remplie de désir qu’il ferait tout ce qu’il voudrait, l’appelant de nouveau son Yano. Dieu, qu’il devenait fou à chaque fois qu’il le surnommait ainsi, c’était comme s’il était résolument sa propriété, comme si personne ne pouvait un jour venir prendre sa place à ses côtes, autre que lui… C’était tellement effrayant à quel point, ils se comprenaient et pensaient exactement à l’identique. Depuis toujours leur amitié, leur relation avait été fusionnelle mais désormais elle devenait pratiquement irréaliste et pourtant elle était bien réelle, si passionné, si démente pour eux deux. Ils s’appartenaient désormais que l’un à l’autre et plus personne ne pourrait venir contredire cette réalité qui aurait pourtant du éclater plus tôt mais qui pourtant devait encore tenir secret pour le moment …

C’est donc sans résistance qu’il laissa son ange renversait la situation, le surplombant à son tour avec une telle sensualité qu’il avait l’impression qu’il pourrait perdre à tout instant sans respiration encore plus profondément qu’il lui était actuellement difficile de respirer. Il était si beau, si sexy et surtout si érotique, qu’il ne pu s’empêcher de déglutir en observant son ange le dévorer du regard, alors qu’il se sentait encore plus brulant face à cette vue que lui offrait cet homme qui semblait alors si confiant, si maitre de lui-même… Ki Suk se rendait-il bien compte qu’à cet instant précis, il aurait tué quiconque qui aurait pu apercevoir ce regard, qu’il était en train de lui lancer avec cet air si dominateur ? C’était comme s’il avait devant lui, une autre personne, un autre Ki Suk tout en sachant qu’il s’agissait de lui et que ce qu’il était en train de découvrir, n’était qu’une nouvelle facette de sa personne. Une facette qu’il désirait monopoliser que pour sa personne et qu’il ne souhaitait nullement qu’il la montre à qui que ce soit. Sentant ses jambes se coller à sa taille de nouveau ainsi que son intimité se placer de nouveau contre la sienne, qui l’avait abandonné pendant quelques secondes qui lui avait paru une éternité, il ne pu s’empêcher de gémir de bien être en fermant doucement les yeux pour profiter de ce contact si exquis, si transcendant en se mordant si sensuellement les lèvres pour canaliser son bien être. Un bien être qui ne pu que s’affermir lorsqu’il le senti de nouveau se longer sur lui dans un mouvement si sensuel qu’il se sentait traverser de toute part par des frissons de bonheur à la communion de leur deux être alors qu’il le frôlait, caressait le flanc de ses reins, mordant sa nuque pour y laisser quelques traces qui ne pouvait que le rendre encore plus fou d’envie. Ki Suk était-il résolument décidé de le rendre fou, de vouloir lui faire perdre la tête pour qu’il le supplie de lui faire du bien ? Si c’était son but, il s’y prenait à merveille alors qu’il s’était pourtant promit le contraire. Prit à son propre piège ? Surement et désormais il recevait les assauts de son ange, gémissant sous cette langue, ces lèvres qui le recouvrait d’attentions, qui lui dévorait la nuque, la pomme d’Adam. Soulevant son torse pour ressentir encore plus intimement le contact de sa peau sur la sienne, il ne pouvait s’empêcher de fermer les yeux totalement transporté par ce plaisir qui lui dévorait les entrailles alors que le jeune homme continuait ses caresses sur ses bouts de chairs, qui ne faisait que le rendre encore plus fou, désireux de sa personne.

Lorsqu’il sentit les dents du jeune homme lui mordre si sensuellement la peau en lui avouant qu’il avait tellement envie de lui, qui lui appartenait désormais, il ne pu s’empêcher de gémir plus franchement alors qu’il susurrait dans une voix si exquise, si tourmentée par ce bien être vital. « Moi aussi…mon Ki Suk…Je t’en prie… » Par ces mots, il lui demandait de continuer, de poursuivre ses caresses, de l’aimer alors qu’il glissait de nouveau sa main sur son torse pour le caresser à son tour, ayant un besoin plus que vital de le caresser, de sentir ses doigts se mouvoir sur sa peau si délicate alors qu’il frôlait à son tour ses bouts de chairs, se cambrant doucement pour ressentir plus intimement son intimité rencontrer celle de son ange. Un contact qui prit fin quelques secondes plus tard alors qu’il penchait la tête en arrière, frustré de cette séparation entre leur deux corps. « Ah…Ki Suk… » Gémit-il dans une voix ô significative de son mal être et de son besoin de lui. Il n’avait point idée à quel point son expression était des plus sensuelles, des plus érotiques et à vrai dire, il n’avait pas le luxe de pouvoir réfléchir si ce n’est de savoir que ce contact se faisait désirer et qu’il ne le ressentait plus actuellement. Un mal être qui sembla rapidement disparaitre lorsqu’il sentit les lèvres du jeune homme baiser son torse venant effleurer ses bouts de chairs alors qu’il bombait du torse pour ressentir ce bien être, gémissant face à tout cela. Les mains de Ki Suk sur ses fesses, les cajolant même de tout son amour, le rendait ivre d’envie, de bonheur et il ne désirait plus qu’une chose : continuer à être caresser de la sorte, quitte à ne devenir qu’une masse gémissante qui réclamerait l’attention de cet homme, qui semblait désormais si déterminé à lui rendre au centuple le bonheur qu’il lui avait prodigué peu de temps auparavant. Se mordant alors les lèvres pour retenir ses gémissements de plus en plus présent, il ne pouvait que se cambrer plus durement alors qu’il sentait ses lèvres se glisser peu à peu sur son torse descendant vers ses abdos pour venir à ses cuisses, sentant alors l’une de ses mains se poser non loin de son intimité qui semblait plus qu’impatiente, si tendue, si demandeuse d’attention.

« Je…ah… » Susurra-t-il doucement, incapable de retenir ses mots alors qu’il sentait désormais cette douce main venir prendre au creux de celle-ci, son intimité si tendue exerçant des doux vas et vient qui le transcendèrent de toute part, alors qu’il tentait de maitriser son excitation en vain. Il lui semblait alors quitter la terre ferme sans espoir de retour alors qu’il ressentait en plus de ces incroyables caresses, ses si douces et attirantes lèvres venir embrasser celle-ci du bout des lèvres, son intimité prenant alors de plus en plus forme au creux de cette main. Les mots qu’il prononça ne virent que le rendre encore plus désireux, avides de contacts alors qu’il le sentait accélérer le mouvement, l’obligeant alors à geindre plus fermement alors qu’il se cambrait. Il devenait fou, il le sentait et pourtant il en voulait toujours plus alors qu’il l’entendait lui dire qu’il était magnifique, qu’il était sans doute la personne la plus désirable de ce monde…si exquis…Qu’il désirait définitivement être la seule personne à le voir ainsi…son parfait Yano. Ces mots le rendaient dingue et il ne pu s’empêcher de gémir tout simplement dans un râle bien sensuel lorsqu’il sentit sa langue venir au contact de son intimité, le rendant tout simplement pantois. Ki Suk était si masculin, si dominateur et pourtant si érotique, il devenait fou…Il n’avait pas conscience de ce qu’il disait, ni même ce qu’il faisait mais il serra de ses doigts le tissu du drap et d’un mouvement de reins suppliant muettement le jeune homme de lui accorder ce bien être vital qu’il était en train de lui faire découvrir du bout de sa langue. Oui, il le désirait, il voulait sentir ces lèvres, cette bouche le dévorer, lui faire connaitre ce bien être tout simplement trop tentant pour son corps qui était résolument prit par le plaisir, prisonnier de ses vas et vient incessant sur son intimité qui lui faisait perdre totalement la tête. Cependant le jeune homme semblait résolu à résister à ses suppliques muettes, se contentant seulement d’effleurer du bout de ses lèvres, de sa langue cette extrémité qui désirait tellement plus que de vulgaire coups de langues ou baisers.

Prenant alors appuis sur ses bras, il releva son buste et observant son ange venir le titiller de la sorte alors qu’il se sentait totalement défaillir, se mordant les lèvres avec force pour ne pas geindre. Fermant alors doucement les yeux, en déglutissant avec difficulté, il susurra seulement dans un murmure presque inaudible. « Mon amour… Mon Ki Suk… Je t’en prie… Ah… » Sentant alors la langue du jeune homme le titiller de nouveau, il pencha la tête en arrière en ajouta simplement. « Prend le, s’il te plait…Je… Je vais devenir fou… Ki Suk…» Comme s’il s’agissait des mots que le jeune homme désirait entendre, il le sentit venir embrasser plus fermement son intimité de ses lèvres, continuant inlassablement ses vas et vient qui le rendait tout simplement pantois, l’obligeant alors à gémir le doux prénom de son amant alors que ses doigts se mêlait doucement dans les cheveux de son bourreau ou amant, se laissant pleinement aller à ce bien être. Lorsqu’il le sentit le prendre enfin en bouche, laissant sa douce et brulante langue venir couvrir sa virilité de toute sa longueur, il ne pu que geindre plus intimement, sentant alors ses doigts venir renforcer leur étreinte dans la chevelure de son amant, qui lui apportait un tel bien être. Le sentant alors commencer à exercer de doux va-et-vient sur son intimité qui semblait complètement folle face à toutes ces attentions, il se laissa pleinement gémir à chaque geste qu’il lui prédiquait, n’hésitant pas à bouger ses reins pour venir à la rencontre cette bouche dont il se sentait désormais prisonnier et qui semblait s’amuser à vouloir le frustrer. Ne tenant plus, c’est dans un énième gémissement qu’il trouva la force d’ouvrir le tiroir de sa table de chevet pour en retirer un flacon de lubrifiant et des préservatifs qu’il avait par pure précautions. Les déposants alors près de lui alors qu’il donnait malgré lui un léger coup de rein pour ressentir encore plus intimement cette bouche sur sa virilité, il susurra seulement. « Mon amour…si tu continues, je… Je ne vais pas tenir et je…non je veux jouir avec toi et en te sentant en moi alors… S’il te plait… Fais-moi enfin l’amour… Prépare-moi… »

Sa voix était si suave, si étranglée par le plaisir monstre qu’il ressentait et qui semblait encore bien plus désireuse de contact avec son ange… Bien qu’il savait que cela allait être douloureux pour lui, qu’il allait surement avoir du mal à trouver un bien être vital lorsqu’il le sentirait en lui, il désirait plus que tout le sentir en lui et ça c’était bien une chose sur laquelle, il ne souhaitait nullement revenir.
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