Annyeong ! je me nomme abe natsuko, je suis né un 19 Novembre 90, j'ai 20 ans et je suis de nationalité japonaise, ce qui fait que je suis actuellement en 5th; la classe, n'est-ce pas ! Sinon, moi, je suis un sang pur et je suis hétérosexuelle. Mon animal de compagnie, c'est un un poussiiiiin et ma baguette mesure 26.7 cm, en bois de chêne & contient un crin de sombral.. Tant que j'y suis, la maison à laquelle je souhaiterais être réparti est yunikon - par contre, je vous supplierais d'éviter // ! Et dans la vie, j'aimerais être peintre ? musicienne ? quelque chose dans cette branche. Bon, c'est bien tout ça, mais si on passait aux choses sérieuses ?



1. Comment y remédier ? Franchement ? Je n'en ai pas la moindre idée. Autant dire que je suis sorcière sans l'être, je n'écoute les cours que d'une oreille distraite donc par extension je n'ai aucune idée sur comment neutraliser ces foutues sirènes. Et j'aurais la gentillesse de ne pas faire l'amalgame avec les ineos - notez. Cela dit, une chose est sûre et certaine c'est que je dévoue corps et âme pour mes amis, pour ceux que j'aime et qui me rendent la pareille. Alors je foncerais sans réellement réfléchir, quitte à me laisser prendre à sa place ou à mourir avec cette personne-là. Stupide, dîtes-vous ? Pas vraiment à mes yeux. Je ne tolère que la présence de peu de monde dans mon monde, alors quand on y fait partie, c'est pour toujours. Et je pars du principe que ceux qui ont réussis à y parvenir méritent toute mon attention, ma loyauté et ma dévotion. Ainsi, je serais dans la capacité de me sacrifier pour n'importe lequel d'entre eux - c'est aussi simple que cela. Alors ... Oui, je ne sais pas ce qu'il faut faire contre ces satanés sirènes, mais j'y mettrais tous mes efforts afin de sortir mon ami de leurs griffes, point.

2. B : Sagesse n'est pas le terme que j'emploierais, pour être honnête. Je ne me risque à aller dans les fêtes que lorsque mes amis en questions me supplient au point de me prendre par les sentiments. Je n'aime pas beaucoup tout ce qui est fête et rassemblement de personnes qui boivent, s'amusent, rient et prennent tout le monde pour leurs amis. Je ne suis pas leur amie. Je ne veux pas l'être. Et c'est fortement désagréable d'avoir à subir - quand c'est le cas - des tentatives complètement risible de drague de la part des hommes, ou des compliments complètements ratés de la part des demoiselles un peu trop consommées qui me demandent avec quel shampoing je lave mes cheveux, comment je fais pour entretenir ma peau ... Tout ce genre de chose qui ont le don de me mettre mal à l'aise et de me faire renfermer sur moi-même encore davantage. Cela dit ! Il m'arrive également d'aller dans des fêtes pour veiller sur mes amis proches. Comme dans toutes ces satanés party, il va toujours y avoir un crétin qui va proposer des substances illicites, ou un pauvre con qui va se mettre en tête de faire boire les filles - parce que tout le monde sait que saoules elles ne pourront dire non à ses avances alors que le lendemain matin elles iront prendre une douche à 90° ... Tout ça pour dire que je viens parfois pour veiller au grain à ce qu'on ne tente pas trop de faire du mal à mon cercle très réduit d'amis. Comment ça maman ? C'est faux. Juste un peu ... attentionnée ... parfois ... rarement ... quand l'envie me prend, disons. Cela dit, si je ne vais pas à une fête et que j'entends qu'une amie à moi a été abusée même si je n'étais pas à ses côtés, croyez-moi, ça va barder.
Enfin bon. Je m'endors, je me fais voler mes notes et quoi ... ? Je dois les récupérer ? Obligatoirement ? à deux heures du matin alors que j'ai toujours la tête dans un endroit improbable ? Non que non. Je n'ai pas vraiment envie de me lever au beau milieu de la nuit. à quoi cela me servirait, de toutes façons ? Je dormais dessus - j'ai dû baver tiens - et ce n'est pas en dormant que j'apprenais, alors qu'ils s'en aillent avec mais, diantre, qu'ils arrêtent ces rires incessant - puis y'a quoi de drôle dans piquer des notes ? - parce que ça a le don d'irriter mes oreilles sensibles. Je me lève simplement, je leur hurle de la fermer, de bien réviser, je leur dis que j'espère pour eux qu'ils trouvent ça drôle et je les menace en leur disant que le croque-mitaine mangeait les gamins stupides, pis ... je vais me coucher tout simplement.

3. Oh. Situation de panique, c'est ça l'idée ? Eh bien ... Je ne sais pas trop, je ne suis pas vraiment du genre à ... à paniquer. Les professeurs sont régulièrement habitués à mes "absences mentales" si je puis dire. Ils disent souvent que Abe Natsuko n'a pas pieds à terre et qu'elle a souvent la tête dans les nuages à rêver sur un peu tout et n'importe quoi et à voir des choses complètement étranges, loufoques ou pour ainsi dire impossible. Il n'est pas faux de dire que je suis rarement connectée à la réalité et que je préfère souvent m'isoler et rester tranquille dans mon petit monde à moi en défiant quiconque de venir me briser cette petite bulle. C'est pour cette raison que je pense que ma très chère professeur ne me fera pas vraiment de remarques, sachant pertinemment que ce sera inutile et que je ne l'écouterais pas. Vraiment. Elle aura beau me faire une morale de dix minutes comprenant les deux minutes où elle me menacera de m'envoyer en colle, les deux autres où elle me rappellera ô combien ma moyenne est trop juste pour que je puisse me permettre de transgresser les règles, etc etc ... Je lui répondrais sans l'ombre d'un doute uniquement par un sourire ( et encore ) accompagné d'un "oui madaaame." qui ne sera absolument pas pensé. Et elle le saura si bien qu'elle laissera tomber - à mon avis toujours. Auquel cas, si elle insiste, je prendrais donc le chemin de mon dortoir et je m'endormirais allègrement sur ma table le lendemain matin. C'est inévitable, de toutes façons, non ?

4. Que faire ? Lui coller ma main dans sa face, c'est faisable ?! Non, mais il m'a prise pour un blaireau ou quoi ? Pensait-il réellement l'ombre d'une seule seconde que moi je lui donnerais un dossier qui m'a été confié par le directeur en personne ? Et c'est quoi ce chantage minable, là ? Me coller parce que je suis fidèle au directeur ? La blague. Je sens que je vais mourir de rire quant à voir son motif sur la feuille de colle « collée pendant trois mois car elle refusait de me laisser voir un dossier classé confidentiel lui ayant été remis par le directeur. » Vraiment trop drôle. Qu'il me colle pendant trois mois s'il ose, je n'irais pas. Non pas que je n'aime pas être collée - ça m'est égal - mais pour un motif pareil, ce serait simplement impossible. Alors, oui tiens. Qu'il me colle s'il ose, et surtout, surtout, qu'il n'insiste pas avec ce grand sourire ... pas rassurant du tout, parce que je promets que je lui colle réellement une raclé. Prof ou pas. Usurpateur, va.

5. Être une fière sang-pure ne signifie pas automatiquement que je voue une haine sans-bornes aux jeunes sorciers moldus - loin de là. Il est peut-être véridique de dire que j'aurais certainement tendance à plus aller vers les sang-pur si, un jour, je deviens sociable mais n'est-ce pas normal ? Je suis persuadée que, eux, font pareil. On se sent obligés d'aller vers ceux qui nous ressemblent pour éviter les rejets, mh. Toutefois, je ne fais nullement partie de ces racistes raciaux. Je reste neutre dans l'histoire. Je suis blanche - blanche comme neige et je passe simplement mon chemin si un sang-pur vient à s'attaquer à un moldu. Pas que je m'en fiche, c'est juste que ... si, je m'en fiche, en fait, mais j'ai surtout peu envie d'attirer l'attention sur moi en me mettant à dos une bande de sang-purs qui ne pensent qu'à traumatiser les pauvres gamins. Toutefois, si jamais le moldus maltraité en question se révèle être l'un de mes proches et que je passe à proximité, oubliez ce que je viens de dire. Cette fois, je me fiche d'attirer l'attention et je viens le défendre. C'est aussi simple que cela.

6. Précisément, qui je suis, vous ne le saurez jamais. Il est beaucoup plus aisé de connaître son encyclopédie de sortilèges que de savoir qui je suis réellement. Beaucoup peuvent vous dire que je suis une aliénée ou une originale comme ils disent. C'est pas complètement faux, je déteste aller dans le même sens que les autres, je préfère être une personne unique, à part, et cette volonté que j'ai toujours manifesté depuis mon plus jeune âge est devenu rapidement un trait de caractère à part entière. C'est un réflexe, quand on a le choix entre deux choses, qu'une grosse majorité prend le choix a et que la seconde prend le choix b, eh bien je choisis le c. J'ai des habitudes que l'on pourrait qualifier d'étranges, peut-être, sur un sol dallé je ne marche pas sur les lignes, je garde mes yeux sur le sol et je sautille de carreaux en carreaux, hurlant comme si on me tuait si jamais j'ai le malheur de toucher une ligne noire. Je suis plutôt silencieuse dans mon genre, ceci ne faisant qu'accentuer l'aura "bizarre" qui se dégage de ma petite personne, mais cela n'est dû qu'à mon asociabilité maladive. Ce n'est pas parce que j'estime que le monde est pourri et que l'être humain est détestable, non, c'est plutôt parce que je suis dans mon monde et que je vis très bien ma petite solitude. Et je n'accepte que rarement d'être dérangée, en réalité ... Cela dit, une fois que l'on parvient à entrer dans mon petit monde imaginaire, alors il est très facile de me voir sourire, de me voir rire et être la fille la plus aimable au monde. Mais ... Pour arriver à ce stade-là, il faut parfois que ça prenne des années et des années. Parfois pour avoir le "privilège" d'y entrer, d'autres fois pour se ramasser un vent magistral. Game Over. Try again ?