Ahn Dylan i
pseudo : ash. messages : 139 i'm here since : 06/03/2011 points : 25292 age : 34 mood : je me porte plutôt bien. malgré le fait que je n'arrive pas à mettre les pendules à l'heure. my heart is : incomplet ; dirons certains. totalement libre ; dirons d'autres. wizard's spellbook : « hey, you might think that i'm crazy. but you know i'm just your type. gimme something good, don't wanna wait. i want it now. » les femmes ? un défi, un plaisir. enfin, défi est un bien grand mot : malgré les apparences, elles sont toutes plus faciles les unes que les autres. à tel point que, parfois, je frôle la lassitude. passer aux hommes ? jamais, et puis quoi encore ? qu'ils aillent se faire ramoner ailleurs ces sales travelos. en ce qui concerne l'amitié, j'aime la loyauté. le dévouement et la franchise. rien de plus agréable que de pouvoir faire confiance à ses potes et de savoir qu'ils feront des sacrifices pour sauver la relation si nécessaire. je suis un mec de ce genre. et je n'hésite pas à user de brutalité, si il faut. une fille particulière dans mon coeur ? non. pas de temps à perdre avec ces conneries. « i got this feeling in my veins this train is coming off the track. i'll ask polite if the devil needs a ride 'cause the angel on my right ain't hanging out with me tonight. » moi, un drogué ? carrément, pour une fois que le m.a.n voit juste. et je ne vais pas enfiler le costume de la victime et jouer une scène dramatique avec les misérables en musique de fond. je ne suis pas une lopette. d'ailleurs, que tous les pleurnichards de ce monde me laissent tranquille, j'ai pas que ça à foutre que de m'occuper d'eux en les écoutant h24 ; surtout pour voir qu'ils ne se préoccupent même pas de savoir comment, moi, je vais. moi aussi j'ai mes problèmes. on se retrouvera en enfer les gars. en attendant, laissez-moi me b- coiffer tranquille. « i guess nobody ever taught her not to speak with a full mouth 'cause this was it, like flicking on a switch. it felt so good I almost drove into the ditch. »
| Sujet: ahn dylan - (done) rude boy. Dim 27 Mar - 8:22 | |
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&derrière le sorcier... pseudo ash; âge 19; où as-tu connu le forum ? à l'ancienne; double-compte ? non; poste vacant ? non; présence sur le forum 7/7j; un mot de fin ? merci doo \o; exemple rpg 1526.
- Spoiler:
Elle était là, si radieuse, juste devant moi. Mes yeux étaient bloqués sur son visage. Sur ce sourire, si faible, qu'elle venait de m'accorder ; comme une faveur. Oh, oui, je pouvais tout à fait la comparer à une bodhisattva : elle se trouvait sur le chemin de l'éveil, m'obligeant à souffrir perpétuellement pour la rejoindre. Mais, en échange, elle me prenait la main. Elle m'accompagnait, me soufflant qu'elle avait le pouvoir d'écourter ma peine : mais le ferait-elle ? Sûrement pas. Si elle était revenue, après être partie si longtemps, c'est qu'elle avait la force et peut-être même l'envie de retrouver son quartier d'enfance. Et donc, d'un côté, qu'elle avait tourner la page. Notre page. & non, je ne l'avais pas oubliée. Sa remarque ne blessa pas, pour tout avouer. Il y avait des chances qu'elle soit rancunière, ce qui était tout à fait normal. Et puis, ce qu'elle disait était vrai : si, elle, elle avait le courage de revenir ici, moi j'avais le courage de la garder dans mon cœur. Comme un trésor. Ou alors c'était par lâcheté. Ou simplement parce que je ne pouvais pas m'en débarrasser. Oui, remarque, nombreuses avaient été les fois où j'avais essayé de jeter l'éponge, de passer à autre chose. De me trouver quelqu'un, de coucher avec et de me lancer dans une nouvelle histoire. Mais, à chaque fois, j'étais parti. Même si le tour semblait joué avant même que je m'investisse ne serait-ce qu'un peu. Je n'avais pas envie. Je ne voulais pas. C'était lily-rose, la privilégiée. Et je voulais qu'elle le reste, même si elle n'était plus là. Sa couronne était sans cesse au cœur des débats : « laisse-la tomber, elle est plus là, elle s'est barrée », « retrouve-la, c'est la femme de ta vie, non ? Même si tu ne sais pas où elle est, n'abandonne pas », « écoute pas ces saloperies, y a tellement de femmes sur cette terre, ne va pas courir derrière une gamine qui casse les couilles » ; oh, oui, des avis j'en avais un paquet. On me les avait donnés, sans même que je les demande. Cette histoire m'était personnelle et si, même moi, je n'arrivais pas à trancher je ne vois pas comment d'autres auraient pu m'y pousser. Mon portrait de lily-rose était déjà merveilleusement peint. C'était la seule, l'unique. Et même si elle ne comptait pas revenir, je resterai là. Jour de chance, aujourd'hui je la retrouvais. Finalement, elle était revenue, mais, à mon avis, par pour ce que j'espérais. Alors que je la voyais prendre son dernier carton pour l'emmener à l'intérieur du bâtiment, mon cœur s'accéléra. J'avais envie. Envie de la prendre contre moi. Envie de lui rappeler à quel point j'avais pu l'aimer dans le passé et à quel point, aujourd'hui encore, ses sentiments étaient valables. Mais elle voulait se débarrasser de moi, je n'étais pas non plus dupe. Elle retournait à ses petites affaires, préférant plutôt aménager son nouvel appartement plutôt que de perdre dix petites minutes à discuter avec l'homme qu'elle avait désigné comme étant l'homme de sa vie. Quelque part, j'étais déçu. Déçu de voir qu'elle était passée à autre chose : mais pouvais-je réellement lui en vouloir ? Non, je le méritais. Je l'avais blessée, par égoïsme. Je ne dis pas non plus qu'il aurait mieux valu que je reste avec elle par pitié ou par amour. Parce qu'un jour où l'autre, ça aurait forcément aussi éclater. Et la séparation aurait sans doute été encore plus douloureuse et emprunte de haine. Alors, finalement, est-ce que j'avais pris la bonne décision ou pas ? Je l'ignorais toujours. Lily-rose me faisait tellement de mal à presque m'ignorer que j'en doutais : me séparer d'elle avait été une évidence à l'époque. Une solution de facilité, aussi. Je ne voulais pas qu'elle se mette à me détester, ou que cela m'arrive à moi. Préserver de bonnes relations avec elle, voilà ce que je voulais. Mais, alors que son absence me tuait, elle quittait les lieux. Et moi qui voulais juste me séparer d'elle dans le domaine de l'amour, j'en étais complètement écarté. Est-ce que c'était vraiment moi qui la jettais ? J'aurais aimé rester ami avec elle. J'aurais sans doute chercher à aller plus loin, par la suite ; à faire d'elle ma petite amie, encore une fois, mais je n'en avais pas eu l'occasion. Sensible ? Non, elle ne l'était pas tant que ça. Mais je n'avais pas imaginé, à l'époque, qu'elle puisse partir parce qu'elle se sentait vraiment mal. J'avais réussi à la rendre malade. Et pourtant, là, malgré le fait que j'avais conscience que sa vie avait été détruite en partie par moi, j'avais envie d'elle. Tellement fort. Pas nécessairement dans le domaine du sexe, même si pour moi l'amour ne pouvait être prouvé entièrement que par le biais de celui-ci, mais j'avais envie de la toucher. Poser ma main sur son épaule ne m'avait rien apporté. Cela avait été un automatisme et je ne me souvenais déjà plus de ce que cela avait pu m'apporter. Il fallait que je recommence. Ce n'était pas un devoir, ni encore même une obligation, mais un besoin. Oui, un besoin. Cette femme était toute ma vie. Je fis donc quelques pas vers elle, avant de lui prendre le carton des mains. Si j'allais l'aider ? Oh diable non. Je n'allais pas m'incruster chez elle en prétextant vouloir lui donner un coup de main. Son appartement, je m'en contre-fichais. Ses occupations de même. Je voulais juste virer cet objet encombrant de ses bras pour pouvoir m'occuper d'elle. Qu'elle veuille de moi ou non, au fond, ça ne comptait même plus. J'étais dépendant de cette gamine. J'avais besoin d'un contact plus que superficiel. Plus qu'automatique. M'humectant les lèvres, je laissais ses affaires tomber d'entre mes mains : qu'elles se brisent si elles le voulaient, ça ne serait qu'une maigre représentation de nos deux vies réunies. Le bruit de la collision, entre le carton et le sol, résonna dans le petit hall alors que je saisissais la nuque de la plus jeune entre mes deux mains, tendrement, l'approchant de moi. Mes lèvres effleurèrent les miennes, tandis que je me penchais pour planter mon regard d'encre dans le sien : m'avait-elle oublié, ou faisait-elle semblant ? N'éprouvait-elle plus rien pour moi ? Pouvait-elle réellement se satisfaire de ça ? Après ce qu'elle avait enduré, c'était presque devenu une habitude pour elle que de se défaire des gens, oui, mais je ne comptais pas la laisser faire. Je ne voulais pas y croire. Alors j'essayais de comprendre, ne la quittant pas des yeux, mon corps se collant au sien « lily-rose » murmurais-je, la faisant doucement reculer jusqu'au mur jusqu'à la bloquer contre « ne me dis pas que je ne suis plus rien pour toi, je t'en prie » mon regard s'assombrit, mes mains venant à présent cueillir son doux visage. Si je faisais pitié ? Oui, il y avait de grandes chances. Mais je n'en avais même plus conscience. Mes lèvres n'hésitèrent pas à aller à la rencontre des siennes, venant y déposer de précieux baisers contre. Qu'elle me gifle, qu'elle me remette à ma place, qu'elle mette les points sur les i. J'en avais besoin. J'avais balancé notre relation dans un placard que j'avais ensuite fermée à double tour. Mais les fantômes étaient bien là et, si elle pouvait m'aider, qu'elle le fasse. Je ne pouvais pas me contrôler, mon corps ne me répondait plus. J'étais réduit à l'état d'esclave. Je voulais tellement sentir à nouveau son parfum, la douceur de sa peau, de ses cheveux, de ses lèvres, de ses caresses. Avoir à nouveau toute son attention. Faire un bond de deux ans en arrière et prendre sur moi pour ne pas la rayer de ma vie, officiellement. Parce qu'officieusement elle était restée là, gravée dans mon cœur. Indispensable. De toute évidence, oui, elle m'était indispensable[/e]: elle m'était vitale, de toutes les sortes possibles. Et, même des souvenirs ou mon imagination pouvaient me faire avancer. Mais, par la même occasion, ils étaient aussi responsables de mon manque : ils me le rappelaient sans cesse, l'apaisaient un peu, puis me remettaient inévitablement dans une situation délicate. Me rappeler tous les bons moments avec lily-rose, m'en imaginer d'autres, ça n'allait qu'un temps : parce que les minutes d'après, son absence venait me poignarder. Je pouvais juste me raccrocher à toutes ces illusions pour m'offrir un peu d'elle, un peu de plaisir, un peu d'amour. Mais la réalité revenait au galop, me laissant jamais de répit : cercle vicieux. Alors, comment me retenir alors qu'elle était revenue ? Pas vers moi, certes, mais elle était quand même dans ma ville ; à nouveau. Elle était revenue aux sources, pénétrant une nouvelle fois dans ma vie, même si, clairement, elle n'en était jamais réellement partie. Alors comment, [i]comment vouliez-vous que je garde mes mains dans mes poches, à bêtement la regarder et lui sourire ? Un an de couple avec cette femme était enregistré dans ma mémoire. C'était à la fois une torture et un plaisir. Malsain, oui, mais inévitable.
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Jimmy L'octopus pseudo : jimmy. messages : 286 i'm here since : 14/09/2010 points : 26429
age : 626 mood : travaillant. ^3^ my heart is : à tous les élèves. ♥
| Sujet: Re: ahn dylan - (done) rude boy. Dim 27 Mar - 8:27 | |
| INEO
Dans cette maison se retrouvent généralement nos élèves les plus rusés. On les voit généralement comme les méchants de l'école, mais pourtant, on se trompe souvent à leurs sujets... qui dit qu'ils n'ont pas un cœur d'or derrière cette allure froide et fière que portent nos rouges ? On ne sait jamais trop quoi penser d'eux, que ce soit au niveau des cours ou de la vie en général. Sont-ils tous si fourbes et tricheurs qu'ils en ont l'air ? Attention cependant, qui s'y frotte s'y pique. Votre animal d'emblème est la sirène et votre couleur officielle est le ROUGE. Actuellement, vos préfets se nomment Yang Joon Hae & Wa Rei. Maintenant, si vous voulez bien vous attabler...
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