Annyeong ! je me nomme Ishikawa Ryushi, je suis né un 06/06/1989, j'ai 21 ans et je suis de nationalité anglo-japonais, ce qui fait que je suis actuellement en 7ème année; la classe, n'est-ce pas ! Sinon, moi, je suis un Sang pur et je suis Hétérosexuel. Mon animal de compagnie, c'est un Boa Arc-en-ciel(Kibō âgée de 9 ans) et ma baguette mesure 38.5 cm, est en bois de prunellier et contient une poussière de fée.. Tant que j'y suis, la maison à laquelle je souhaiterais être réparti est Geobuk - par contre, je vous supplierais d'éviter Yongwang ! Et dans la vie, j'aimerais être Auror. Bon, c'est bien tout ça, mais si on passait aux choses sérieuses ?

n'incluez pas la question dans votre fiche, mais bien uniquement le chiffre de la question. c'est pour la netteté et la visibilité.

1. Les sirènes étaient surement les créatures les plus craintes et à la fois respectées du monde magique. Ryushi les connait surtout comme les créatures les plus dangereuses qui soient pour les être humains. Combien d’hommes étaient tombés entre leurs mains face à leurs chants si envoutants ? Beaucoup malheureusement et des personnes que n’avaient alors plus eu la possibilité de retourner auprès des siens. Un peu comme à l’image de son père qui s’était fait embarqué par la justice, accusé à tort d’avoir commis des actes répréhensibles pour ne pas dire des crimes sur des êtres sans défense qu’étaient les moldus. Il est donc évidant que si Ryushi assistait à une telle scène, l’image de son père se superposerait à la personne qu’il aime, le laissant quelques instants un peu choqué face à une telle vue. Il faut dire que cela avait été fort marquant pour lui de voir son père arrêtait de la sorte alors qu’il n’était encore qu’un jeune homme âgé tout au plus de douze ans. Après ce léger temps d’absence, pendant lequel il se serait perdu dans ses pensées, il est bien sur évidant qu’il ne risque pas de rester là sans rien faire. Comment un homme pouvait-il supporter de laisser quiconque entre les mains d’une menace sans avoir la moindre chance de se défendre ? Impossible, n’est ce pas ? En tout cas à ses yeux, l’intégrité que ses parents lui avaient inculquée ne pouvait le supporter en tant normal alors s’il s’agissait de la personne qui faisait battre si fort son cœur et pour qui il serait près à risquer sa vie pour la voir en vie, il y a aucun doute qu’il se lancerait à sa rescousse dans l’unique espoir de l’extirper des bras de cette menace. Après un léger instant de réflexion, il prendrait en main sa fine baguette au creux de ses doigts et s’élancerait à sa rencontre. Dans un premier temps, il se lancerait un sort afin de devenir sourd pour ne pas être à son tour la proie de ces créatures envoutantes s’il ne désirait pas échouer. Ensuite sans attendre une seule seconde, ayant toutes les compétences nécessaires pour devenir un bon auror, c'est-à-dire réactivité, connaissances et maitrise, il lancerait alors un sort de désillusion sur ces fameuses créatures avant de prendre délicatement la main de la jeune femme pour l’extirper de ce guet apens et l’amener très loin de cet endroit. Si cela ne marchait pas, il riposterait avec un sort de stupefixation autant de fois qu’il serait neccessaire ainsi qu’un bon sort d’amnésie partielle pour qu’elles ne se souviennent en aucune façon de leur rencontre…Elles sont tellement rancunières…

2. CHOIX A. L’examen de botanique ? Pour quelqu’un qui a passé près de deux à travers des forêts et des fôrets à travers toute l’Angleterre, on peut dire que le jeune homme se connait en plante et en arbre. Que voulez vous quand sa mère et lui ne trouvait pas de viande à disposition laissée par mégarde par un chasseur, un touriste ou un habitant du coin, ils faisaient avec ce qu’ils avaient…Ainsi sa mère en profiter pour lui donner des cours de botanie, qui a dit que sa mère n’avait jamais perdu le nord ? Selon ces principes, qui n’oublions pas été issus d’une famille japonaise donc très strictes, leur fuite ne signifiait pas pour autant faire de son enfant, un inculte et puis ça leur permettait d’échanger quelques mots autre que les éternels « je suis désolé Ryu… », C’est « Vraiment désolée… » Lorsqu’ils avaient faillis se faire attrapés et brimés. Ainsi de cette façon il parvenait à apercevoir le visage tendre et passionné de sa mère qui avec le temps rendait ses traits fatigués et obscurs bien plus enclin à une certaine beauté encore plus saisissantes qu’auparavant. Elle était tellement si belle et redevenait celle qu’il avait toujours connus alors comment ne pas être réceptif à son apprentissage ? Il est donc évidant qu’il n’aurait pas eu besoin de réviser et puis une soirée entre amis pour fêter le sport international des sorciers, si on ne veut pas paraitre marginal, on ne peut pas le rater et même s’il ne s’agit que d’une vulgaire coupe des maisons, qui pourtant était déjà source de conflit dans toute l’école. Il aurait peut être pu y jouer si seulement il ne risquait pas à tout instant de voir sa véritable identité éclater au grand jour alors en bon camarade de maison, il aurait accompagné ses amis et en aurait peut être profité pour courtiser quelques demoiselles ? Pourquoi pas, tant qu’il n’était pas amoureux, il n’était pas du genre exclusif et puis le charme anglais dans son accent et ses manières avait tendance à en faire fantasmer plus d’une. Malheureusement le temps a filé plus rapidement qu’il ne le pensait et le voici désormais devant le gardien de leur école, qui refuse obstinément de lui ouvrir…petit problème, voir très gros problème à l’horizon, en effet. Dans ce cas, il se contenterait de le saluer en tout bon élève qui se doit et lui demanderait bien gentiment qu’il le laisse rentrer pour la bonne et simple raison « Et si « Grimraudeer » était dans le coin, Monsieur ? Imaginez qu’il m’attaque et que cette histoire se fait connaitre, il va s’en dire que cela risque d’apporter une image négative à toute l’école et j’imagine sans trop de mal que la plupart des parents des élèves de cette école n’hésiteront pas à changer l’établissement de leurs descendants. Cependant si tel est votre désir de me laisser à la porte, très bien j’attendrais jusqu’ici le levé du soleil au risque de mourir de froid… » Après tout attendre dans le froid, c’était rien pour lui, même s’il avait quand même eu la chance de dormir dans une tente sorcière…cela n’empêchait pas d’avoir froid lorsqu’il faisait pratiquement -15 dehors et que le feu n’était plus animé, non ?

3. Ne pas dormir la nuit est une chose qui lui arrive communément pour diverses raisons. A cause du traumatisme qu’il a subit étant enfant, il a tendance à avoir un sommeil des plus légers et souvent il lui arrive de dormir peu et mal. Alors il est fréquent qu’à la suite d’un cauchemar, ce qui est une chose habituelle pour lui, il prenne Kibô avec lui pour se rendre dans un coin isolé de l’école où il peut être sur de ne pas être ni vu, ni écouter. Kibô est à ses yeux, pas bien différente à une petite sœur, il veille sur elle comme on peut veiller sur un proche, lui conférant un statut que peu d’animaux de compagnie peuvent se vanter d’avoir auprès de ses maitres. Elle faisait partie de la dernière portée de l’élevage de ses parents et fut l’unique spécimen qu’il avait pu amener avec lui dans leur fuite désespérée lorsqu’ils s’étaient faits brimés comme des dangereux criminels. Elle était donc devenue au fil du temps, une petite sœur à laquelle il tenait et prenait terriblement soin. Étant fourchelang de naissance, une certaine complicité était née entre eux et désormais elle faisait office de mère, de sœur, de confidente. Il est donc évidant que lorsqu’il lui parle, il a tendance à parler directement en fourchelang et non en japonais, en anglais ou en corée…Pour pas se faire repérer, il préfère donc se mettre à l’écart pour lui parler. Dans ce cas, il est en effet possible qu’il croise cette vilaine chouette au détour d’un couloir et il a déjà une excuse toute trouvé. « Désolée Madame, en me réveillant au cours de la nuit, j’ai remarque Kibô était sortie de la chambre. Ayant eu peur qu’elle ne s’attaque à une pauvre bête innocente appartenant à un de mes camarades, j’ai prit la permission d’aller à sa recherche. L’ayant retrouvé, je me dirigeais de ce pas vers mes dortoirs. Désolé pour le dérangement » Lancerait-il dans un ton calme, maitrisé et doux, souriant légèrement comme dans un sourire désolé, bien qu’il n’en penserait pas un seul mot. Au pire des cas, il se prendrait quoi ? Deux heures de colles tout au plus, non ?

4. Un professeur qu’il ne connait pas alors qu’il est en septième année ? C’est possible ? Parce que soyons logique s’il est un ainé de cette école, il est indéniable qu’il a déjà eu l’occasion de croiser voir de discuter avec l’ensemble des professeurs et donc il est fort probable qu’il doute de l’intégrité de ce suspicieux personnage. Étant un jeune homme de confiance, il n’est pas dans ses valeurs de divulguer une quelconque information concernant un secret qu’on lui aurait dévoilé ou toutes informations confidentielles. Il est donc évidant qu’il fixerait surement le fameux homme en question et se contenterait de sourire poliment en ajoutant : « Je suis désolé mais M.YSH ne m’a pas informé de la chose et quand bien même vous seriez dans le vrai, je ne l’ai nullement à ma disposition, je ne peux donc pas vous le remettre et ne le désire nullement. Comme vous dites les ordres sont des règles à suivre et si vous décidez que mon acte de prudence mérite une quelconque sanction, je l’accepte. Dans tous les cas, je vous demanderai donc d’aller vous plaindre à M.YSH, sur ce, je vous souhaite une bonne journée. » il s’inclinerait surement comme le veut les convenances et filerait tout droit vers le bureau du directeur pour lui faire part des différents détails physiques qu’il a retenu concernant cet étrange personnage.

5. Il pense que par coutumes et traditions, aux yeux des gens, les lignées descendantes de cet illustre ancêtre qu’est Salazard Serpentard se doivent de mépriser les sorciers dits de naissance « moldue ». Cependant en ce qui concerne la branche de cette famille, peut être du au fait qu’elle n’est pas une lignée directe à celle de cet illustre sorcier, ils ne lui ont en aucun enseigné à haïr cette catégorie de sorcier. Après tout, ce n’est pas le sang qui fait d’un sorcier, un bon sorcier, c’est ses capacités à retenir les rudiments de la magie, de les appliquer qui font de lui ce qu’il est. De plus, il exècre de tout son cœur, tout acte de brimade auxquels peuvent être soumis les enfants, apprentis sorciers étant issus de familles moldues, ou pour toute autre raison. Lorsqu’il assiste à une telle scène, son sang à tendance à ne faire qu’un tour et il a toujours tendance à venir à leur rescousse, généralement il se contente seulement de faire diversion en lançant qu’un professeur arrive sous peu mais lorsqu’il voit qu’il y a une inégalité entre le brimé et les agresseurs, il n’hésite pas à dégainer sa baguette pour leur faire passer le gout de s’attaquer à plus faible que soit.

6. Fils ainé, il est l’un de ces fameux héritiers de ses grandes fortunes Anglaises. Venant tout droit d’une lignée rattaché au fameux Salazard Serpentard, il est un fourchelang comme l’est son père et toute la lignée de celui-ci. Marié à sa Japonaise de mère qu’il avait rencontré lors d’un voyage, ils se sont tous les deux établis en Angleterre où ils y ont construis leur vie. Issu de familles riches et bien établis, ils ont toujours eu les moyens de survivre sans dépenser le moindre galon et la réputation d’une lignée du fameux grand sorcier aux teintes vertes y est surement pour quelque chose, ou peut être est-ce la quantité hallucinante de reptiles qui vivaient dans le domaine ? Qui sait. Malgré tout ce bonheur que constituait sa vie, rien à l’époque aurait pu entacher la bonne entente au sein de l’unité familiale. Du moins c’était ce qu’il pensait à l’époque car à l’aube de son douzième anniversaire, des détraqueurs accompagné par divers aurors avaient apparus sur le pas de leur porte, arrêtant son père pour accusation d’être un fidèle mangemort, qui aurait commis des actes horribles sur les corps de plusieurs moldus peu de temps auparavant. A partir de ce jour, tout changea radicalement pour le jeune homme. Discrédité aux yeux de tous, bafoué comme des vulgaires vermines toute bonne à mépriser et à écraser, il fut contrait de quitter le domaine familial en compagnie de sa mère pour cesser toute brimade. Réduit à n’être que de pauvres vagabonds, vivant comme des êtres primitifs en se déplaçant de ville en ville comme s’ils étaient de vulgaires criminels, le jeune en garde encore une certaine blessure, traumatisme qui se révèle souvent au grand jour lorsqu’il se retrouve face à un élève en train de se faire brimer ou lorsque tard la nuit, il est assaillit par de forts cauchemars comme s’il refaisait un bond dans le temps et qu’il était de nouveau ce jeune homme tout crasseux, vêtu de haillons car il ne pouvait en faire autrement au risque de finir brimer par ces sorciers qui voyaient en lui et sa mère, des mangemorts résolus qui pouvaient à tout instant faire du mal à qui que ce soit…Malgré cette époque assez funeste de sa vie, il n’a pas perdu tout ses espoirs, bien au contraire. Le jeune homme est resté très ouvert d’esprit, rien de bien étonnant pour un jeune homme d’une intelligence tel que lui, fin observateur et aimable. Il fut élevé comme un gentleman et encore à l’heure actuelle, personne ne peut supposer qu’il est passé près de 3 ans de sa vie à trainer dans les rues comme un vulgaire mendiant. D’un nature très calme, tolérant quoiqu’un peu froid aux premiers abords lorsqu’on ne le connait pas, le jeune homme se révèle être très rapidement un homme amical, souriant et attentionné…Une façade amicale et gentille pour éloigner les gens des possibles questionnements qu’ils pourraient avoir à son sujet. Après tout lorsqu’on est gentil, prévenant, amical, qui aurait l’idée de penser que tout cela cache quelque chose de bien moins rose ? Personne et c’est bien mieux ainsi. Il est donc évidant que le jeune homme à tout du profit du bon gendre et du bon garçon et qu’il arrive à charmer bons nombres de ses camarades avec son regard doux et ses sourires de véritable petit ange. Mais derrière cette facette de jeune homme parfait, il n’en reste pas moins un garçon qu’il est un jeune homme très secret, un peu prétentieux et rancunier sur les bords, qui est encore traumatisé par la cruauté humaine et qui par conséquent s’attache que peu souvent réellement aux gens, ayant toujours cette horrible impression qu’à tout instant ceux-ci peuvent se retourner contre lui et devenir ainsi leur pire ennemi…