akiwa; school of witchraft&wizardry.
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 (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.

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Wang Joshua
Wang Joshua
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pseudo : lenalee
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mood : and i'm gonna kick your poncey soul. so wake the fack up.
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« mon bien heureux orgeuil » ils savent tous ce que je représente. qu’importe les surnoms, qu’importe les insultes. et je les emmerde un par un. j’irais renommer l’enfer de dante s’il faut. « j'aime les gourmandises », mes sucreries sont bien plus mauvaises et dégradantes que vos mets ridicules. quel junkie je fais ? que serais-je sans l’apport quotidien de mon fils ; kessy ? je l’ai ramassé à la petite cuillère, il me doit bien ça, ce chien galeux. « et la luxure me détend » si bien que j’en suis devenu un putain de satyriasis depuis toutes ces années. hommes, femmes, prostituées ou pas. de vulgaires objets capables de me soulager l'espace d'un instant. mon jouet du moment ? hyeri l’octopus. trainée, fille facile ou juste idiote ? va savoir, je m'en balance. « paresseux comme un pacha » et l’école ne m’intéresse pas. je préfère de loin m’amuser avec mes potes. que serais-je sans ma bande fidèle ? dylan, skyler, joonhae ou bien même jinjung. le must reste bohyun alias babo, gaffe ambulante ce dude mais j'le surkeef. avec eux le temps semble moins long et bien plus distrayant. « l’envie me mène à la colère, d’un pas rapide » tout ce que je ne peux obtenir, que cela concerne un objet ou une personne, a l’art de me mettre hors de moi. je suis seul maître du jeu. et bientôt hyejin sera mienne comme tout le reste, ma parole contre la sienne. « et je suis cet enfant si avare » mes biens m’appartiennent, je les ai dument gagné. ils me reviennent de droit et je ne supporte pas l’idée de les partager. qu’ils essayent, ces bâtards. ma belle et tendre noa ; canevas de la femme de ma vie. pour ne plus jamais voir ses larmes rouler le long de ses joues je deviendrais ce chien brutal.


(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeJeu 7 Avr - 5:38

Le bruit de l’eau s’était finalement arrêté après qu’il décide de tourner la manivelle, coupant sa douche matinale – si toutefois on avait encore l’audace d’appeler cette heure si tardive « la matinée », c’était plutôt sarcastique comme adjectif. Un grand bruit stressant se fit entendre dans les conduits, comme si quelqu’un tapait avec acharnement dans les tuyaux de cette vieille bâtisse. Il était habitué bien que la première fois l’ait plutôt inquiété, à croire que tout allait s’écrouler quelques secondes plus tard. L’eau, tantôt brûlante sur sa peau, s’accommodait à la température ambiante, perlant de ses cheveux trempés dans son dos et le faisant frissonner désagréablement. Celle-ci coulait jusqu’à ses chutes de reins, dans un sillon humide. Il était tard, et c’était sans doute pour cette raison que les douches étaient vidées de tout parasite, de tout emmerdeur susceptible de l’irriter dès son réveil. Car oui, en bon pacha, il avait sécher les premières heures pour rester dans son lit, prolongeant ainsi son temps de sommeil histoire se rétablir de sa soirée mouvementée de la veille. Il n’y avait rien eu de sexuel, loin de là – et c’était bien rare d’ailleurs. Il était simplement sorti à une petite soirée clandestine avec ses amis les plus proches, il s’était occupé de la musique une bonne partie de la nuit avant de remettre les armes pour terminer sa course endiablée au bar, avec dylan. De ses souvenirs les plus claires et avant le gros trou noir qui hantait son esprit, il s’était endormi comme une masse sur une table pleine de verres à moitié plein et s’était réveillé dans son lit, juste déchaussé et vêtu de ses vêtements et de sa veste. C’était peut-être dylan, joon hae ou bien même kessy qui l’y avait amené ? Peut-être avait-il consommé de la dope hier ? Très certainement d’ailleurs, ne le faisait-il pas quasi tous les jours ? C’était une habitude, encore plus lorsqu’il s’agissait d’une soirée tranquille avec ses amis. Sans ça, il n’était rien et sa soirée n’était pas accomplie, comme s’il n’avait pas atteint le but même donné à celle-ci. Alors il restait sur sa frustration et se sentait obligé de consommer encore plus ou de réitérer le lendemain sans même faire attention à se remettre de ses déboires. Il n’en avait pas besoin, c’est du moins ce qu’il estimait. Mais chaque réveil venait sonner le glas, lui rappeler qu’il avait exagéré, encore une fois. Il trainait une vilaine migraine tout le restant de la journée ainsi que des nausées atroces, comme si son estomac était précisément au bord de ses lèvres et son cerveau en train de rouler, se choquant brutalement aux parois de sa boite crânienne. La seule façon pour lui de se sortir de cet état était de recommencer à boire et se droguer le plus vite possible. En gros, il ne faisait qu’appliquer cet honorable conseil du « soigner le mal par le mal ». Et ça marchait parfaitement ! Évidemment, c’était toujours un peu compliqué au début, comme une profonde envie de crever qui hante l’esprit. Comme si ça allait faire pire que mieux et juste nous enfoncer au maximum. Ce n’était qu’une impression, finalement. Plus les minutes passaient, plus ce sentiment s’évaporait tout aussi facilement qu’il était apparu en nous le matin, au pénible réveil. Et ça repartait, tout rentrait dans l’ordre avec une facilité déconcertante. Qu’importe, ce n’était pas quelque chose qui tracassait joshua. Ni sa santé, ni celle des autres. Voilà pourquoi il n’avait aucun scrupule à trainer autrui avec lui, dans sa chute. Qu’elle soit constituée de drogues ou d’alcool ou bien même d’un autre vice comme le sexe. Il n’avait visiblement pas la même vision des choses que les autres, tant pis.

L’américain attrapa sa serviette blanche immaculée, l’enroulant autour de sa taille sans même prendre la peine d’essuyer son corps encore humide, ni ses cheveux. À la place il glissa une main dedans pour les ramener en arrière, ils étaient glacés. Il soupira, attrapant ses affaires de bain pour les ranger son sac avec ses vêtements de la veille. Il laissa le tout trainer ci et là, sortant de sa cabine pour se diriger près du miroir, il était plein de buée. Distinguant à peine sa silhouette, il choisit de se brosser les dents rapidement pendant que la vapeur d’eau se dissipait pour récupérer une vision plus nette. Finalement il décréta que tout ceci n’allait pas assez vite à son goût. Il se dirigea vers son sac et en extirpa sa baguette dans un soupir. Sans vraiment chercher longtemps dans ses souvenirs il lança un sort contre le miroir, pour en enlever la buée. Il ne savait plus dans quelles circonstances il l’avait appris mais il l’avait tout de suite trouvé très pratique, le gravant dans un coin de sa mémoire pour ne jamais l’oublier, digne d’une meuf. Ça l’amusait. joshua déposa sa baguette sur le coin du lavabo, passant une main sur son visage réveillé. Ses cernes avaient disparues et ses yeux n’étaient plus rouges, une chance, il pourrait sortir sans qu’on le regarde comme le plus grand junkie d’akiwa. Quoiqu’il n’en ait strictement rien à foutre du regard des autres, d’ailleurs, n’était-il pas apparu dans le man en compagnie de dylan et kessy ? Oui, cet article l’avait fait rire aux larmes. Dazzle s’improvisait conseiller ? Mais allez, qu’il ferme sa grande gueule, n’était-ce pas lui qui fantasmait à l’idée de voir les trois garçons jouer « aux playmobil » comme il l’avait si bien souligné ? Allez, pour sa petite blague il méritait bien un point en plus. Depuis quand l’homosexualité dégoutait joshua ? Il n’en savait rien pour dylan ou kessy, mais pour lui ce n’était pas une nouveauté. Bref, il attrapa son khol – car oui, il se maquillait ? Un peu de crayon pour accentuer ses yeux, et il n’avait aucun problème avec ça. En un tour de main il avait fait le contour de son œil droit, le rendant plus pénétrant. Il s’occupa de l’œil gauche tout aussi rapidement quand un hurlement se fit entendre dans son dos. La sirène lâcha le crayon dans un sursaut, celui-ci tombant dans le lavabo « putain de merde, c’est quoi ça maintenant ? »

Derechef il tourna les talons. Il n’y avait rien derrière lui, les douches semblaient toujours aussi vides que précédemment. Soupirant pour la énième fois il emboita le pas jusqu’à la porte menant vers le couloir, l’ouvrant à la volée voire un peu trop brutalement. Il tomba nez à nez avec une demoiselle de la maison du tentacule. Il était toujours aussi peu vêtu mais ne semblait pas incommodé par cela. Elle par contre sursauta si fort que le journal qu’elle tenait au creux de sa main tomba sur le sol, dévoilant son contenu. Des notes, des photos s’étalèrent ci et là, sans grand soin. Était-ce la vue de joshua qui l’avait fait sursauter ? Cela ne lui indiquait pas d’où venait ce hurlement. Il posa ses yeux cendrés sur la demoiselle bien plus petite que lui, s’excusant à peine de lui avoir fait peur et ne prenant même pas la peine de se pencher pour ramasser ses affaires. Elle n’avait qu’à mieux les tenir « oups. tu sais qui vient de hurler jusqu’à m’en éclater mon putain de tympan ? » il la fixait, avec une précision déroutante, pourquoi semblait-elle si tétanisée ? il n’y avait pas mort d’homme non plus … quoiqu’avec ce qu’il avait entendu quelques secondes plus tôt ce n’était pas impossible. Avec tout ce qu’il se passe à akiwa ces derniers temps. Et puis un fantôme hurlant de rire traversa le mur d’en face, s’adressant à l’ineo avec un sourire narquois « la queue entre les jambes mon garçon ! haha. » ce dernier pris le couloir en sens inverse poussant le même hurlement que celui dans la salle de bains, faisant grimacer josh. « saloperie de décapité, ah bon sang si t’étais pas déjà mort … ».

Lorsque le fantôme disparut en passant une nouvelle fois un mur, sans doute pour aller faire peur à d’autres personnes, le rouge contempla une nouvelle fois l’inconnue, rivant ses yeux vers les photos qui trônaient au sol. Il fut interpelé automatiquement, se penchant pour attraper trois d’entre elles où il apparaissait. Des photos volées, de toute évidence. Il décrocha un sourire charmeur, amusé. « j’ai un jumeau dans le bahut ou un clone ? il chercha ses yeux du regard, la déshabillant de ses iris. ou aurais-je une admiratrice secrète ? »


Dernière édition par Wang Joshua le Lun 11 Avr - 9:51, édité 1 fois
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Jung Hye Ri
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(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeJeu 7 Avr - 11:11

Cinq, six et sept. Voilà, toutes les photos étaient enfin rassemblées. Les meilleures, les mieux réussies, celles qui lui plaisaient le plus. Cela n'avait pas été facile de les obtenir : ça non. Elle avait donné des cours de soutien pendant tout un mois pour y parvenir. Et, mon dieu, la rouge qui avait les clichés était plus qu'en retard dans le programme ; à tel point que hyeri en était arrivée à se demander si son élève n'était pas juste attardée. Soupirant, soulagée, elle contempla chacune des photos du drogué. Mon dieu, elle était arrivée au point de non-retour : regardez-la, assise dans un fauteuil bleu roi, à caresser l'image du bout des doigts. Cela en était ridicule. Tellement risible. Et le pire dans tout ça, c'est qu'elle se voyait aussi. Oh oui, elle se voyait venir. C'est comme si elle était elle-même spectatrice de sa connerie. Elle pouvait s'observer s'enfoncer dans un état qui approchait celui de l'addiction. Elle avait travaillé pour obtenir des choses matérielles qui ne lui serviraient strictement à rien si ce n'est à se torturer. Volontairement. Secouant enfin la tête, comme pour sortir de ce fameux état, elle fourra les preuves de sa faiblesse entre les pages de son journal intime, les enfermant à jamais. Enfin, jusqu'à ce qu'elle sente à nouveau le besoin presque étouffant de raconter sa vie sur les pages jaunâtres de son fidèle ami qu'elle avait depuis son arrivée à akiwa. Posant ce dernier sur sa table de chevet, elle laissa son regard s'attarder sur le sol reluisant. Elle était piégée. Et dire qu'elle se moquait de ses camarades qui se prétendaient amoureuses ou carrément folles des rouges. Comme si il était réellement possible de ressentir plus que de la pitié ou de la compassion, en parlant de sentiments plutôt positifs, pour les sirènes. Ces êtres détestables. Oh oui, elle avait bien rigolé. Pour un temps. Parce qu'elle se trouvait insensible, pas du tout romantique et encore moins accro à un garçon ; à un connard, dans le contexte. Mais là, elle la fermait ; cette si jolie bouche qu'elle tenait de sa mère. Parce qu'elle aussi, à présent, méritait les critiques qu'elle avait faites à ses camarades. Elle n'avait plus son mot à dire ; c'était comme tendre une perche aux autres. Pour qu'ils lui renvoient la balle en plein visage. Se levant, quittant enfin son lit sur lequel elle était assise depuis une bonne vingtaine de minutes, elle se passa les mains dans les cheveux pour les démêler. « c'est toujours comme ça que ça commence. Je vais me pourrir la vie pour un garçon que je ne connais même pas » marmonna t-elle, marchant jusqu'au miroir qui ornait la large chambre des octopus. Faisant à présent face à son reflet, elle se pinça les lèvres tout en arrangeant sa coiffure. Juste histoire de ne pas donner aux autres l'impression qu'elle se négligeait. Parce que, même si elle n'était pas très maniaque à propos du physique, elle n'en restait pas moins une jeune fille soignée. Et elle aimait à être présentable, d'autant plus quand elle s'imaginait tomber sur joshua. Hors de question de le croiser en mode dimanche. Il fallait qu'elle soit parfaite. Cependant, perfection ne rimait pas avec maquillage concernant la muneo. Une simple crème et un anti-cernes faisaient largement l'affaire. Pas de parfum non plus. Son savon à la vanille lui suffisait. Se trouvant assez bien, la coréenne abandonna finalement le miroir, allant récupérer son journal intime pour le mettre en lieu sûr, quittant les appartements des bleus. Alors qu'elle venait de s'engouffrer dans le couloir, la belle vérifia que personne ne la suivait. Sait-on jamais. Les étudiants remarqueraient peut-être qu'elle accordait une attention toute particulière au document qui se trouvait entre ses bras, serré contre elle. Et, donc, trouveraient amusant de le lui dérober. Par la force ou la magie. Heureusement pour elle, c'était désert. Marchant rapidement, elle progressait : la salle sur demande n'était plus bien loin. Mais elle fut coupée dans sa marche lorsqu'un cri strident parvint à ses oreilles, la figeant sur place. Bordel, qu'est-ce que c'était ? à croire que l'on venait d'égorger un porc dans une pièce toute proche.

Avalant difficilement sa salive, la brunette jeta un coup d'oeil par dessus son épaule : oh non, pitié, pas de paranoïa injustifiée. Il fallait voir les choses en face : un fantôme. Oui, ou un étudiant effrayé face à un épouventard. Nous sommes à akiwa, bon sang, pas dans la maison d'un fou furieux ou dans une forêt aussi sombre que la nuit. C'était donc, de façon logique, quelque chose de tout à fait inoffensif. Et non pas une bête qui allait l'attaquer, là, en plein milieu du couloir ou qui comptait décimer les 3/4 des personnes présentes dans l'établissement. Plus de peur que de mal. Soupirant finalement, décompressant, elle fut vite interrompue à nouveau, un brun ouvrant, avec très peu de délicatesse, la porte des bains. Et la voilà qui se figeait encore une fois, lâchant cette fois-ci son journal. Et merde. Pourquoi était-elle si froussarde aujourd'hui ? Mh, sans doute parce que les habituels sécheurs n'étaient pas dans les couloirs. Ce qui était tout à fait incroyable à vrai dire. Et, bien qu'elle était préfète, elle ne se souvenait pas avoir entendu parler d'un évènement particulier qui aurait pu tous les rassembler ailleurs que dans ces passages venteux qu'ils semblaient tant aimer. « oups. tu sais qui vient de hurler jusqu’à m’en éclater mon putain de tympan ? » oh. mon. dieu. Ouvrant grand les yeux, ses lèvres s'entre-ouvrant, hyeri resta sans mots, ne fournissant aucune réponse à l'ineo. Pourquoi est-ce qu'il s'agissait de lui ? Pourquoi est-ce que c'était l'homme qu'elle voulait qui sortait à moitié nu et totalement trempé pour lui adresser la parole ? Paradis. Et, bien que le corps de joshua était des plus agréables à regarder, elle n'arrivait pas à décrocher son regard du visage de ce dernier. De la beauté ? De la classe ? De la perfection plutôt. Qu'on lui foute une claque. Dieu merci, un fantôme ne tarda pas à faire son apparition, permettant à la plus jeune de prendre conscience de la situation. Se baissant rapidement pour ramasser ce qui lui appartenait, dans les vapes, elle entendit à nouveau la voix du coréen qui semblait maudire le cadavre. Oh, elle, elle le remerciait du fond du coeur. Grâce à lui, elle pourrait peut-être sauver 1/4 de sa dignité. Mais, d'un autre côté, c'était de sa faute à lui si elle se retrouvait plantée là, comme une conne, à ramasser les clichés du mec qui se trouvait devant elle. Et au lieu de se la jouer cool, elle était bloquée. Muette. Et elle avait l'air de tout sauf d'être sociable, repêchant ses documents aussi vite qu'un écureuil protégeant ses glands. Si il voyait ça elle était (...) « j’ai un jumeau dans le bahut ou un clone ? ou aurais-je une admiratrice secrète ? » morte. Il venait de prendre quelques clichés, observant son propre visage sur ces dernières. Et, alors que lui souriait, hyeri, elle, ne sentait plus son coeur. Si il avait arrêté de battre ? Aussi sûrement qu'elle avait arrêté de respirer. Ce que c'était gênant. Et quel dommage qu'elle ne possède aucune cap d'invisibilité. L'affaire aurait été réglée et elle aurait pu éviter l'infarctus. « je. euh non. ce n'est pas à moi » réflexe, bien entendu ; et balivernes, aussi. Sa voix s'était faite hésitante et, déjà, le rouge lui montait au joues alors qu'elle se redressait, serrant à nouveau le journal contre elle. Qu'allait-elle faire ? Comment allait-elle se sortir de cette situation à la fois pénible et cruellement jouissive ? Non parce que se retrouver seule avec joshua et avoir toute son attention, ça, c'était un rêve. Mais passer pour une groupie, une folle furieuse ou une nymphomane, ça, c'était un pur cauchemar. « ce sont les photos pour le man. on m'avait juste demandé d'en choisir une pour l'article. c'était ça ou un cliché de toi en train de te récurer le nez » et elle s'enfonçait misérablement. Mais c'était crédible et hélas la seule chose qu'elle avait trouvée. Dire que tout ceci appartenait à une amie était beaucoup trop bateau alors mieux valait lui faire croire quelque chose de plus original, mh ?


Dernière édition par Jung Hye Ri le Sam 9 Avr - 14:05, édité 1 fois
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(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeSam 9 Avr - 8:12

La demoiselle, encore inconnue au bataillon, jouait la carte du déni tout en justifiant cette panoplie de photos volées comme étant destinée au m.a.n. Le prenait-elle pour un imbécile fini ? Avait-il vraiment la tête du bon type innocent qui n’y voit rien, ou du moins, ne cherche pas plus loin que le bout de son nez ? Allons, il en avait déjà vu d’autres, des vertes et des pas mûres. Certes il n’était jamais tombé sur une fille ayant une série de photos à faire pâlir un mort, mais des admiratrices, il y en avait quelques-unes. Certaines plus folles que les autres et ce n’était pas toujours facile de les gérer au maximum. Surtout quand celles-ci commençaient à envahir sa vie, son espace vital. Entre elles et ses victimes pour lesquelles il prenait un malin plaisir à faire pleurer, il avait de quoi s’occuper tout au long d’une journée sans peine, sans même penser à s’ennuyer une seule seconde. Mais qu’importe, un sourire presque malsain s’étira sur ses lèvres carmins. Ses yeux battant des cils plusieurs fois alors qu’il feintait l’incompréhension totale, se rendait-elle compte de ce qu’elle était en train de faire ? Loin de lui l’idée de crier au scandale ou bien même de l’afficher devant toute l’école, elle et ses mensonges idiots. Non, il y voyait plutôt une ouverture, une nouvelle fille à ajouter à sa liste de victimes, de proies. Une fille qu’il pourrait torturer un petit peu quand ça lui chante, faire souffrir moralement et peut-être même faire tomber amoureuse de lui pour simplement éprouver cet irrésistible plaisir de la rejeter quelques semaines plus tard. Voir ses larmes couler le long de ses joues et sentir sa tristesse, très peu affecté par son état voire pas du tout. Lui, un monstre ? Bah, peut-être bien finalement, il n’était pas un rouge pour rien après tout. Et il se complaisait grandement dans cet état, la culpabilité lui était inconnue. À croire qu’il en était dépourvu, qu’il n’était pas né avec, tout simplement. Ce genre de caractéristique est traitée de deux façons différentes dans la psychologie. D’une part, elle est condamnable car c’est de cette façon que l’on « créée » un psychopathe, capable de tuer de sang-froid. D’une autre façon, on peut également créer un surhomme. Puisqu’il n’a pas de conscience, il ne connait aucune limite et n’est soumis à aucune dictature intérieur ; en d’autres termes, il est libre. Il bénéficie de la vraie liberté et non celle que l’on pense tous posséder généralement. Joshua, lui, n’avait rien d’un psychopathe ni même d’un surhomme. Bien qu’il éprouvait un plaisir presque malsain à faire du mal aux femmes, jamais il ne serait capable de tuer quelqu’un de sang froid ou du moins sans raison. De plus, il était bel et bien muni d’une conscience, limitée et concentrée sur d’autres points de sa personnalité. Complexe, cet adjectif pouvait également le définir même si beaucoup de gens pensaient avoir vite fait le tour de la question, le cataloguant de vulgaire bâtard obsédé par le sexe et les vices en tout genre. Le profil était vite fait et très peu honorable, il s’en fichait comme de l’an quarante et s’il fallait alimenter ce genre d’opinion, alors il prenait son temps et du plaisir à le faire.

Alors oui, il la contemplait toujours, appuyé contre le chambranle de la porte, son corps séchant doucement et soumis au froid du couloir, à la brise qui soufflait due aux courants d’air. Cela n’avait rien d’agréable et il pouvait sentir les poils s’hérisser sur son corps, frissonnant. Il opina lentement, son sourire ne quittant pas ses lèvres « et en bonne fille que tu es, tu t’es précipitée pour sauver mon image ? quelle grandeur d’âme. c’est vraiment gentil de ta part. ». Évidemment il était ironique, mais la situation demandait ce genre de traitement après tout. Avec nonchalance il glissa la paume brûlante de sa main sur son ventre nu, le caressant avec lenteur devant la donzelle. Qu’essayait-il de faire ? Peut-être d’attiser ce qu’il pensait voir en elle, chercher dans son regard quelque chose capable de lui certifier qu’elle était belle en bien de lui mentir. Oh, et puis, il n’avait pas besoin de l’analyser pour savoir qu’elle était une petite menteuse. Ces photos se trouvaient placées directement dans un journal intime. Elle venait d’avouer travailler pour cette connerie que représente le m.a.n ? Oh tiens, ne pouvait-il pas chercher un peu plus loin, fouiller un peu plus cette histoire ? Car si c’était bel et bien le cas, il se pourrait bien qu’il puisse remonter directement à dazzle pour lui casser quelques dents. Mais bon, soyons réalistes, n’est-ce pas ? Qu’est-ce que cette pauvre muneo pouvait bien faire avec le m.a.n. Il n’était pas dupe, vraiment. « mais donc, du coup, c’est à toi que je dois casser la gueule pour avoir écrit ce genre de torchon à mon sujet ? » dit-il dans un nouveau sourire, dévoilant sa rangée de dents impeccable. Et non, il n’allait pas frapper une fille même si l’idée ne lui avait jamais posé de problème. Il estimait que c’était la moindre des choses pour ces femmes qui ne cessent de clamer et de quémander l’égalité des sexes, de recevoir la monnaie de leur pièce. Mesdames sont capables de lever la main sur un homme ? Alors mesdames sont également capables d’accepter d’en recevoir tout autant, ainsi soit-il.

Une nouvelle fois il glissa sa main dans ses cheveux, les égouttant dans son dos. Les gouttes roulant jusqu’au bas de son dos et s’imprégnant finalement sur la serviette enroulée autour de sa taille. Il tenait certes à lui faire légèrement peur, mais il n’avait pas non plus envie qu’elle prenne la poudre d’escampette et s’en aille en courant le plus vite possible, tout en faisant bien attention à l’éviter pour le restant de ses jours à akiwa. Il empoigna sa nuque, la massant. Celle-ci douloureuse, sans doute à cause de sa petite virée nocturne de la nuit et d’avoir trop remué la tête en mixant son set de musique. Un bruit se fit entendre, levant le nez il remarqua une troupe de filles appartenant aux sirènes débarquer dans le couloir. S’ils restaient ainsi à le vue de tous, lui à moitié nu en compagnie de l'octopus, elles n’allaient pas se taire et s’empresseraient de mettre leur nez dans ses affaires faisant courir une multitude de rumeurs, d’autant plus qu’il était plutôt connu. Encore plus dans sa maison. D’un geste vif il attrapa le poignet de la bleue, la tirant vers la salle de bain et fermant finalement la porte à clé derrière elle. Rapidement elle se retrouva dos au mur, lui tout contre elle. La main du plus grand vint trouver refuge à côté du visage de la plus petite, l’encerclant. Son corps massif couvrant le sien, encore humide. « tu comptes me payer comment, maintenant que je t’ai tiré d’affaire ? elles n’auraient fait qu’une bouchée de toi, les rouges. ». Narquois et tellement sûr de lui à la fois. Évidemment, il attendait une compensation et de toutes façons, elle ne sortirait pas de cette salle sans être passée à l’action, sans avoir donné quelque chose en échange. Et s’il devait la forcer pour obtenir ce qu’il désire, alors il le ferait sans la moindre hésitation. Salaud ? Allons, il était juste en manque, comme à l’accoutumée. À défaut d’avoir de la dope sous la main, il avait de la chair tendre et douce à exploiter. Langoureusement il vint glisser sa main sur la joue de l’inconnue, ne se souciant même pas de connaitre son prénom. Pourquoi faire, d’ailleurs ? Ce n’était pas intéressant. De son pouce il caressa la commissure de ses lèvres, étonnement patient.

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Jung Hye Ri
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(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeSam 9 Avr - 13:42

Mais qu'est-ce qu'elle foutait bon sang ? Pourquoi se lançait-elle dans des mensonges qui ne lui seyaient guerre ? Bien qu'elle avait l'habitude de tourner autour du pot pour ne pas blesser son interlocuteur, là, elle était carrément en train de mentir pour sauver sa peau. Sa peau ? Non, peut-être pas ; mais sa fierté en tout cas. Passer pour une groupie ? Non merci. Vraiment. Même simplement pour une nana intéressée, ça ne la tentait pas. Et pourtant, c'était le cas. Elle n'aurait pas non plus donné corps et âme pour avoir joshua mais deux ou trois prières par semaine n'étaient pas de trop. La situation était plus que ridicule, elle était carrément désespérée. Tomber amoureuse, même si le terme était sans doute un peu trop fort -étant donné que le caractère du rouge était des plus désagréables, nul doute qu'elle était juste attirée physiquement parlant- d'un garçon comme ça devrait être interdit. C'était comme signer un contrat sans lire les phrases minuscules en bas de la page. Se faire piéger. Inconsciemment. Ou pas. Car, oui, elle avait conscience que ce mec était à éviter. Qu'il était toxique. Et pourtant elle n'arrivait pas à lutter, à le combattre ; à passer par dessus cette terrible attirance. Ce n'était pas étonnant qu'il ait autant de victimes. Qu'il s'agisse de filles ou de garçons. Rester de marbre face à une telle personne c'était comme éviter la peste bubonique au quatorzième siècle. Quelque chose de plus que rare, quasiment impossible. Et là, elle était face à lui. Petite, bleue et menteuse. Le portrait n'était pas très flatteur. Serrant avec possessivité son journal contre elle, elle espérait qu'il lui rende les photos : elle avait bûché pour les avoir, c'était les siennes maintenant. C'était son dû. Mais, d'un côté, il avait aussi des droits dessus. Parce qu'il s'agissait de clichés de sa personne : mais bon, qu'en avait-il à faire ? Il pouvait se voir dans un miroir, une flaque, un sol brillant à n'importe quelle heure de la journée ou de la nuit. Alors, excepté pour la faire souffrir, il n'avait aucune raison de les garder ; et, pour le moment, c'était la seule et unique chose qui la préoccupait. Se retrouver face à l'homme de ses rêves nu était certes intimidant mais pas insurmontable. Quoi que ? « et en bonne fille que tu es, tu t’es précipitée pour sauver mon image ? quelle grandeur d’âme. c’est vraiment gentil de ta part » c'était ironique, de toute évidence. Mais il fallait s'y attendre, ce n'était absolument pas une surprise qu'il réagisse de la sorte. Et encore, c'était plutôt bien qu'il use simplement d'ironie ; parce que du coup elle pouvait en rire au lieu de se braquer à cause d'un excès de franchise ou de méchanceté. Cependant, voilà, elle n'avait pas envie de rigoler. Ni même de sourire : elle était faite. Comme une souris face à un chat. Hyeri, qui faisait si attention à l'image qu'elle souhaitait offrir de sa propre personne à l'ineo, se retrouvait coincée dans la catégorie filles douteuses. Bon sang. Et dire qu'elle avait fait pas mal d'efforts pour rester discrète et ne pas communiquer sa faiblesse à son entourage histoire que tout ceci n'arrive pas aux oreilles de son bias. C'était un échec cuisant. Oh, mon dieu, et cette main qui glissait sur son ventre l'air de rien. Ses yeux, par réflexe, étaient descendus sur cette dernière, suivant son parcours. Un peu plus de discrétion, ma fille, lui intimait son inconscient. Ou sa conscience, allez savoir. Mais elle n'y arrivait pas, son regard était littéralement bloqué. « mais donc, du coup, c’est à toi que je dois casser la gueule pour avoir écrit ce genre de torchon à mon sujet ? » penchant la tête sur le côté, intriguée, la brunette chercha dans ses souvenirs : un torchon au sujet de joshua ? De quoi parlait-il ? Il lui fallut quelques secondes pour enfin tilter. Il parlait sûrement de l'article le concernant lui et deux autres rouges, à propos de la drogue. Article effrayant d'ailleurs. Cette pensée stagnant dans son esprit, l'octopus fronça légèrement les sourcils : pourtant, il n'avait rien d'un drogué même si, effectivement, il y avait de grandes chances qu'il en soit un.


Mais revenons-en au sujet : hyeri ne voulait pas se faire casser la gueule. Souffrir mentalement était une chose à laquelle elle était habituée, certes, mais les coups physiques demeuraient assez rares. Sentant une bouffée de stress se pointer, la coréenne avala silencieusement sa salive sans ajouter un mot. Que dire, de toutes façons ? Qu'elle n'était pas celle qui avait rédigé l'article ? Oh, mais nul doute qu'il le savait. Comment aurait-elle pu raconter, elle, jeune muneo, des choses aussi sales sur un homme qui lui faisait énormément d'effet ? C'était insensé et la demoiselle savait qu'il était inutile d'apporter des précisions même si elle en mourrait d'envie. Au cas où il se faisait des films. Parce que passer à la fois pour une admiratrice et pour une rageuse, ça, c'était beaucoup trop. Insurmontable. & elle continuait de rester là, plantée aussi droite qu'un piquet, les lèvres pincées ; lorsqu'un bruit parvint à ses oreilles, la sortant de son mutisme. Mais elle eut à peine le temps de tourner la tête en direction des rouges qu'elle fut traînée dans la salle des bains, son poignet se faisant capturer par la main du plus vieux. Aussitôt que le contact se fit, son rythme cardiaque s'accéléra et elle ferma les yeux brusquement, comme pour éviter un coup. Si il allait la frapper ? Oui, elle y avait pensé. C'était d'ailleurs la première chose qui lui était venue à l'esprit. Tout s'était passé si vite que ses pensées s'étaient mélangées. Se retrouvant enfermée dans ce lieu presque privé d'air à cause de la buée et de la chaleur étouffante, hyeri ré-ouvrit finalement les yeux, ses pupilles s'élargissant. joshua lui faisait toujours face mais la distance entre eux avait au moins été divisée par trois. Au secours. Enfin, non, elle ne voulait surtout pas que quelqu'un intervienne et vienne casser ce moment dont elle avait toujours rêvé mais ; elle était gênée. Oui, cruellement, bien qu'elle n'était pas timide de nature. Mais là il faut dire que la situation était spéciale. Bien plus que ça même, inespérée. La main de son interlocuteur glissa alors sur sa joue, la faisait frissonner de tout son long, la propulsant presque aussitôt dans un monde parallèle où sa vie serait plus que parfaite. Il ne la connaissait pas, non, mais il lui donnait déjà du rêve. Ce qu'il devait faire avec des dizaines de filles, d'ailleurs. Mais là, cette pensée, ce fait même, ne la dérangeait pas. Elle n'avait d'yeux que pour lui et son poul battait trop fortement dans ses tempes pour qu'elle n'arrive à se plonger dans des réflexions qui ne la mèneraient nulle part ; si ce n'est dans le monde actuel qui ne lui promettait que des déceptions. Là, elle avait l'impression de l'avoir pour elle seule. Ce qui était plus ou moins le cas, oui. Tandis que le pouce du plus vieux caressait la commissure de ses lèvres, hyeri inspira puis expira lentement, virant finalement son regard ailleurs alors que ses joues se tintaient d'un rouge beaucoup plus vif que le précédent. « tu comptes me payer comment, maintenant que je t’ai tirée d’affaire ? elles n’auraient fait qu’une bouchée de toi, les rouges » Que devait-elle faire ? Nul doute que sa faiblesse était clairement visible. Mais devait-elle se prêter au jeu ? Se mordant finalement la lèvre inférieure, sa gorge s'asséchant, elle lança d'une voix assez basse «  je ne suis pas responsable pour l'article. Et, pour tout avouer, je ne connais pas dazzle » ses yeux fixèrent alors un point invisible «  te payer ? je. Je n'en sais rien ? » elle se sentait comme arnaquée. Certes, il était beau. Certes, il était classe et, certes, il avait des qualités à la pelle. Mais elle se retrouvait dans la même posture que d'autres nanas avant elle et sentir ses jambes légèrement trembler à cause de l'épée de damoclès qui se trouvait au dessus de sa tête n'arrangeait pas les choses. «  qu'est-ce que tu veux ? » lâcha t-elle, penchant légèrement la tête en avant comme pour se créer un petit espace rien qu'à elle. Une bulle d'air. Merci cheveux, ils cachaient ainsi son visage et elle se sentait déjà beaucoup mieux.
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Wang Joshua
Wang Joshua
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« mon bien heureux orgeuil » ils savent tous ce que je représente. qu’importe les surnoms, qu’importe les insultes. et je les emmerde un par un. j’irais renommer l’enfer de dante s’il faut. « j'aime les gourmandises », mes sucreries sont bien plus mauvaises et dégradantes que vos mets ridicules. quel junkie je fais ? que serais-je sans l’apport quotidien de mon fils ; kessy ? je l’ai ramassé à la petite cuillère, il me doit bien ça, ce chien galeux. « et la luxure me détend » si bien que j’en suis devenu un putain de satyriasis depuis toutes ces années. hommes, femmes, prostituées ou pas. de vulgaires objets capables de me soulager l'espace d'un instant. mon jouet du moment ? hyeri l’octopus. trainée, fille facile ou juste idiote ? va savoir, je m'en balance. « paresseux comme un pacha » et l’école ne m’intéresse pas. je préfère de loin m’amuser avec mes potes. que serais-je sans ma bande fidèle ? dylan, skyler, joonhae ou bien même jinjung. le must reste bohyun alias babo, gaffe ambulante ce dude mais j'le surkeef. avec eux le temps semble moins long et bien plus distrayant. « l’envie me mène à la colère, d’un pas rapide » tout ce que je ne peux obtenir, que cela concerne un objet ou une personne, a l’art de me mettre hors de moi. je suis seul maître du jeu. et bientôt hyejin sera mienne comme tout le reste, ma parole contre la sienne. « et je suis cet enfant si avare » mes biens m’appartiennent, je les ai dument gagné. ils me reviennent de droit et je ne supporte pas l’idée de les partager. qu’ils essayent, ces bâtards. ma belle et tendre noa ; canevas de la femme de ma vie. pour ne plus jamais voir ses larmes rouler le long de ses joues je deviendrais ce chien brutal.


(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeDim 10 Avr - 4:19

Et elle jouait si bien l’innocente, la petite fille prise au piège, embarquée contre sa volonté et bien docile face à ses malfaiteurs. Mais était-ce réellement contre sa volonté à cet instant précis ? Elle ne semblait pas désireuse de quitter l’endroit, de s’enfuir en courant comme un lièvre qui se sent en danger. Ses pieds fermement ancrés dans le sol ne donnaient pas l’apparence de vouloir gambader, le cœur battant à tout rompre à cause de l’adrénaline et du stress omniprésent. Le sang ne battait pas violemment dans ses tempes et, bien qu’embarrassée, elle restait là. Appuyée contre le mur fait de carrelages, attendant sa sentence comme une coupable ayant accepté ses crimes. Parce qu’elle savait pertinemment qu’elle lui avait menti, qu’elle s’était elle-même enfoncé dans l’abysse du ridicule et que, maintenant, elle devait payer les pots cassés au prix le plus cher. Les rouges du couloir n’étaient qu’une pâle excuse pour profiter d’elle, qu’en avait-il à faire des commérages et des rumeurs ? Qu’en avait-il à faire d’attirer une mauvaise image à l’octopus ? Qu’elle se démerde, qu’elle en crève s’il faut, même. N’était-elle pas assez grande pour se tirer d’affaire, et puis, elle n’était rien d’autre qu’une bleue. Faire partie de la maison des fayots nécessite que l’on soit trainé en justice encore et encore, que l’on soit exposé à tous. Aux moqueries, aux gossips et aux mauvais traitements. Les têtes de turcs, les victimes toutes désignées d’akiwa. N’était-ce pas là leur seul et unique rôle dans cette école ? Encore plus aux yeux des rouges qui ne les considéraient que comme des jouets, des passetemps. Bon pour s’amuser, pour satisfaire leurs besoins de soumission et de contrôle, leurs coups de gueule et leurs méchancetés. Des amuse-gueules, ni plus ni moins. C’était pareil pour joshua, lui aussi ressentait de genre de désirs. Mais ça ne concernait pas uniquement les octopus, loin de là. Tout le monde pouvait rentrer sur son tableau de chasse, d’autres ineos également. Pour le coup il était ouvert d’esprit, tolérant. Pouvait-on être raciste en parlant de torture ? Sans doute, la sélection est primordiale pour augmenter le plaisir, pour obtenir les réactions que l’on désire voir et manipuler. Il est important de faire des pronostics, d’être capable de se plonger dans le futur et d’en faire toutes sortes de probabilités pour ne pas devenir, à son tour, une victime. « c’est une bonne question, ça. tu as une petite idée ? » Manipulateur, calculateur et tout ce qui s’en suit ; les qualités requises et ultimes pour être le parfait connard dans cette école, peut-être même sur terre. Il était loin du compte au niveau planétaire mais quant à savoir ce qu’il représentait à akiwa, alors oui ; il battait certains records, oui, il était une valeur sûre. Ce n’était, certes, pas un mérite. Quoique certaines personnes devaient se sentir honorées d’être désignées comme les pires dans x ou y catégorie. Il faut de tout pour faire un monde après tout, non ? Lui n’y voyait aucune victoire, rien à gagner en particulier. Il savait juste qu’il se sentait bien et qu’il ne voulait rien changer à sa vie, même si elle en dérangeait quelques-uns. Mais était-ce réellement la vérité ? Joshua arrivait-il à être détesté pour ce qu’il représente ? Oh, peut-être, sûrement même. Le paradoxe là-dedans c’est qu’il était désiré au même titre, si pas plus fort et souvent pas ces personnes qui disent le détester. En fait, c’était peut-être cette attirance pour lui, qu’elles détestaient ; un cercle vicieux où il était bon de ne pas mettre les pieds pour s’en sortir indemne. Il est évident que lui y prenait plaisir, adorait se sentir désiré et détesté à la fois pour ces mêmes raisons. Peu importe.

Lentement il retira son pouce de la commissure de ses lèvres, laissant glisser ses doigts le long de sa gorge assez lentement. Ils foulaient sa peau avec tellement d’aisance, la frôlant à peine pour provoquer des frissons sur le corps de la plus frêle. Ce qu’il aimait ça, les tester. Jouer avec leur corps car elles n’étaient pas capable de le maitriser, de mettre de halte là sans se faire violence. Elle n’avait pas l’air d’être soumise à un trop plein de fierté, et c’était peut-être sa docilité qui l’intéressait. Joshua n’était, de toute façon, pas très difficile et ne se cantonnait pas qu’à un seul et unique style de fille. Il les aimait dans tous les genres ; tigresses, soumises, sournoises, honteuses parfois même frigides. Il obtenait toujours ce qu’il voulait et cela représentait une sorte de challenge, oui, ça mettait un peu de piment dans sa vie. Lorsque le jeu devenait trop facile ou répétitif, il arrivait parfois qu’il se lasse et mette rapidement terme à tout ce cinéma, les brusquant. Il n’abandonnait que très rarement une proie qui avait réussi à capter son attention. L’octopus, elle, l’avait amusé et attiré à la fois. Elle n’était pas vilaine, non. Vraiment. L’idée de s’en faire une nouvelle victime ne lui déplaisait pas. Son corps, bien que frêle, était plaisant à voir et il se doutait déjà d’une chose ; cette peau devait être agréable à manipuler, à rougir et à faire souffrir. Et comme elle ne semblait pas indifférente à son charme, son charisme hors norme, le travail ne s’annonçait pas bien difficile. L’américain tenait maintenant l’épaule de la bleue, son regard rivé dans le sien et son sourire trônant toujours fièrement sur ses lèvres. « t’as de jolies lèvres, tu le sais ? » il battait des cils une nouvelle fois, glissant ses yeux sur le corps de la jeune fille, détaillant sa poitrine peu apparente mais bien présente. « que penses-tu de … me montrer ce que tu sais faire avec cette bouche, par exemple ? » l’embrasser ? Non, ce n’était pas ce qu’il attendait. Que faire des embrassades, elles ne servent qu’à l’exciter et combler la parole. C’était bien un truc de gonzesse, ça.

Sans grande délicatesse il se recula légèrement, décollant sa main de son épaule pour attraper le journal intime qu’elle tenait toujours fermement au creux de son bras. Il ouvrit la couverture, glissant les photos qu’il avait trouvées au sol dedans, le refermant sans prendre la peine de fouiller plus. Il s’en fichait, tout ceci n’était qu’un bon prétexte pour lui. Et tant mieux si elle se sentait redevable, et tant mieux si elle avait des vues sur lui. Ça ne faisait que lui faciliter le travail. Évidemment il ne l’avait jamais vraiment remarqué avant aujourd’hui, mais voilà. Mademoiselle était tombée dans son propre piège, mais n’était-ce pas ce qu’elle attendait au final ? Voilà, il ne faisait que lui vendre du rêve. Et si c’était ce qu’elle désirait jusqu’au plus profond de son âme, alors il n’y avait pas d’objection. Sans crier gare il jeta le journal au sol, celui-ci tombant lourdement sur le carrelage pour filer se coincer en dessous d’un lavabo. Il n’en avait rien à foutre et elle n’avait pas besoin de ses photos actuellement puisqu’il était là, devant elle, en chair et en os. « laisse tomber cette vieille paperasse, tu veux ? » il vint alors rapprocher son corps d’elle, glissant une de ses jambes entre ses cuisses étonnamment chaudes. Son ventre nu se collant à ses vêtements et quelques mèches de ses cheveux revenant devant son visage, se collant parfois à ses lèvres. « … et si tu me suçais plutôt, mh ? » et bien sûr, la vulgarité lui sied à merveille.
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Jung Hye Ri
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MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeDim 10 Avr - 9:58

« c’est une bonne question, ça. tu as une petite idée ? » non, elle n'en avait pas. Devait-elle le payer, lui filer le malheureux billet qu'elle avait dans sa poche ? Ou bien lui donner des cours gratuits ou encore, carrément, faire ses devoirs à sa place ? Généralement, c'est ce qu'on lui demandait. Du moins, il s'agissait là des requêtes générales qu'elle recevait lorsqu'elle se retrouvait dans une situation délicate. Avec toutes les maisons sauf la sienne, bien évidemment. Et lorsque cela arrivait, il suffisait qu'on lui mette un coup de pression pour qu'elle accepte. Non pas qu'elle était particulièrement faible, mais disons que ses bourreaux avaient trouvé son point faible : son entourage. Alors une ou deux menaces étaient assez ; et, craintive, hyeri se laissait marcher dessus. Oh, oui, elle pouvait les agiter, ses petits poings : mais cela ne servait à rien. D'un côté, parce que sa force était ridicule et, de l'autre, parce que, jusque là, seules des bandes ou des personnes de sexe masculin avaient perturbé son quotidien. Et aujourd'hui, c'était l'homme de ses rêves qui se tenait devant elle, réclamant une compensation pour sa bonne action. Quelle bonne action ? À l'entendre, il l'avait sauvée des griffes d'une bande de sirènes à la rage sans égal. Mais oui, sans doute était-ce vrai. Les rouges l'auraient humiliée illico en l'apercevant. Soit parce qu'elle était simplement une muneo, soit parce qu'elle était en compagnie d'un des plus beaux garçons de leur maison. Voire de l'école. Jalouses ? Oui, elles le seraient sans doute. Et elles auraient déversé leur haine sur la coréenne, sans s'imposer une seule limite. Lui couper les cheveux, la mordre, la griffer, lui lancer des sorts (…) oh, ce n'était pas les tortures qui manquaient, qu'elles soient physiques ou mentales. Mais heureusement, oui, joshua lui avait évité une souffrance inutile. Toujours dos au mur, sa respiration contrastant avec son rythme cardiaque rapide, la brune se passa sa langue sur ses lèvres lorsque son interlocuteur retira son pouce, caressant à présent sa gorge. Les frissons ? Ils étaient bien là, grimpant le long de son échine. Elle frémissait. Autant de plaisir que d'anticipation. Qu'allait-il lui faire, que lui voulait-il ? Si l'on se fiait à sa réputation, son désir tombait sous le sens : du sexe. Et, bien que cette pensée ne la dérangeait pas, se transformer en poupée gonflable, ça, en revanche, ça la bloquait. Et pourtant, dieu seul sait le nombre de fois où elle avait rêvé d'embrasser ou de carrément passer à l'acte avec l'ineo. Lui, une obsession, un fantasme ? Oui, en quelques sortes. Elle le désirait, presque ardemment, mais ce n'était que dans sa tête ça. Dans son imagination, ses songes. En réalité, elle n'avait pas suffisamment le feu au cul ou la conscience tranquille pour se donner de la sorte ou se plier aux désirs, voire caprices, du brun. Alors elle restait là, immobile, savourant silencieusement les faibles caresses de son aîné. Et cela lui faisait plaisir, bien que le signal d'alarme résonnait dans son crâne. S'enfuir ou se donner ? Ni l'un ni l'autre. Figer le temps ou obliger joshua à boire un filtre d'amour, ça, en revanche, elle était prête à le faire. Et tout de suite. Mais elle n'avait rien sous la main. Pas le matériel nécessaire. Elle se contenterait donc d'attendre les propositions du plus vieux tout en sachant pertinemment qu'elle n'était pas spécialement en mesure de les lui accorder. « t’as de jolies lèvres, tu le sais ? »

hyeri figea son regard sur le sourire de son interlocuteur. C'était un sous-entendu ça, non ? Voulait-il qu'elle l'embrasse ? Un baiser pour commencer le jeu, sans doute. Ou peut-être pas, même si les bisous étaient souvent une monnaie d'échange. Peu importe ce qu'il attendait, ce compliment lui faisait plaisir. Il trouvait ses lèvres jolies. C'était donc un bon point pour elle. Et, même si les filles qu'il trouvait belles étaient nombreuses si l'on se fiait à son nombre de coucheries, il n'empêche qu'elle faisait peut-être, voire sûrement, partie de celles-ci. « que penses-tu de… me montrer ce que tu sais faire avec cette bouche, par exemple ? » alors que le brun glissait son regard sur son corps, la coréenne se mordilla la lèvre inférieure. C'est ça ? Il voulait qu'elle l'embrasse. C'était évident. & il voulait qu'elle le fasse d'elle-même. Qu'elle se trahisse, qu'elle s'achève, toute seule. Belle stratégie pour flatter son égo. Mais elle se tâtait encore. Malgré l'envie qui la tiraillait, elle hésitait. Passer pour une fille facile n'était pas à l'ordre du jour mais, se refuser à un tel plaisir insoupçonné, ça, c'était hors de question. Tandis qu'elle pesait le pour et le contre, ou du moins qu'elle tentait de le faire, dans sa tête, son journal intime lui fut arraché des mains et jeté plus loin. Pourquoi ? Par chance, il n'avait pas regardé les pages ; lu quelques phrases, remarqué d'autres photos. Parce qu'elle se serait sentie encore plus honteuse, plus coupable. « laisse tomber cette vieille paperasse, tu veux ? » c'était plus un ordre qu'autre chose. Et, malgré l'importance que cette vieille paperasse avait à ses yeux, elle resta clouée au mur. Au fond d'elle, elle était intimidée, impressionnée. Et complètement sous le charme. Sentant la cuisse du plus vieux se glisser entre les siennes, la brunette retint sa respiration, pinçant les lèvres. Qui, que, quoi ? Une vague de chaleur se diffusa au creux de son ventre, la faisant légèrement serrer les jambes. Oui, elle était excitée. Par un geste aussi simple. Mais il touchait un point sensible. Combien de fois l'avait-elle imaginé en train de la (…) plus elle restait avec lui, à respirer le même air, plus elle se sentait différente. Changée. Plus faible. Et sans doute même plus perverse. Ce n'était pas réellement le mot mais le désir grandissant à l'intérieur de son corps la rendait plus chaude. Oui, plus chaude. Et sans doute moins grande gueule. Si ça avait été jisuk, nul doute qu'il se serait mangé une bonne grosse claque. «… et si tu me suçais plutôt, mh ? » bien que cette question était plus que vulgaire et déplacée, hyeri eut l'impression de se transformer en robinet. Oh, ça coulait. Et c'était plus que gênant. Incontrôlable. Et elle, elle était irrécupérable. Au fil des secondes, elle sentait sa résistance diminuer. «  te suc- ? Non. Pardon. Autre chose peut-être ? » souffla t-elle, portant une de ses mains à son front tandis qu'elle posait l'autre sur sa propre joue. Elle était brûlante. Mais pas moyen, elle n'allait pas mettre sa jolie bouche sur le membre de joshua comme une vulgaire catin. Déglutissant, le regard fuyant, elle ajouta « je peux peut-être faire tes devoirs ou. Je ne sais pas mais je ne suis pas une fille comme ça » elle était à court d'idées et déboussolée. Que faire, que faire, que faire ? Prenant un semblant de courage à deux mains, elle vint poser ces dernières sur les épaules de son interlocuteur, faisant pression pour l'éloigner de son corps enflammé. « tu pourrais t'habiller s'il-te-plaît ? On parlera de ça après, je ne vais pas m'enfuir » véridique. Elle lui devait quelque chose ? Elle lui rendrait donc la monnaie de sa pièce. Mais pas de cette façon.
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Wang Joshua
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(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeLun 11 Avr - 9:36

Oh bien sûr il ne s’attendait pas à ce qu’elle accepte bien gentiment, sourire aux lèvres en réalisant l’action imposée sans rechigner. Même si la muneo éprouvait une attirance plus que remarquable pour lui, cela ne voulait pas dire qu’elle était prête à se donner aussi facilement, dommage, cela lui aurait évité de dépenser sa salive inutilement. Elle se faisait du mal pour rien, à essayer de le repousser de la sorte, car lui était bien déterminé à obtenir ce qu’il désirait. Si ce n’était pas une fellation, alors il choisirait autre chose. Après tout, peut-être qu’elle était pucelle et que ça la gênait fortement. Bien qu’il faille une première fois à tout il n’allait pas faire le salaud à ce point. Elle ne l’avait pas cherché, elle n’avait rien fait de mal. En d’autres circonstances, oui, il l’aurait humilié au maximum pour lui faire comprendre sa douleur. D’un autre côté il aimait les novices, leurs mouvements maladroits et leurs hésitations, mais juste à dose limitée. Parfois il préférait largement se perdre dans les méandres du plaisir charnel avec une fille plus expérimentée, capable de le mettre à l’aise et d’apaiser ses sens. Il se faisait guider quelque part, bien qu’il soit le seul à réellement mener la danse. Ses désirs passaient avant ceux des autres, c’était une évidence même. Égoïste, il se fichait pas mal de la satisfaction d’autrui. Ce n’était qu’un bonus en plus du sien. S’il était le seul à éprouver quoique ce soit et bien ça ne le dérangerait pas. Il n’était pas rare qu’il jouisse et délaisse son partenaire sans même prendre la peine de lui faire atteindre l’orgasme. Il avait des mains non ? Qu’il se termine tout seul, lui était venu et c’était bien le principal. Il fonctionnait parfois comme un film pornographique, si matériel et maintenant un rôle d’acteur, ne voyant de son nombril. Bah ? Il n’avait pas besoin de faire atteindre l’orgasme à son partenaire pour lui donner du plaisir, c’est qu’il se débrouillait plutôt bien. Vachement bien même ! Mais bref, la question ne concernait pas ce qu’il était capable de faire ou pas dans une relation purement sexuelle, mais plutôt ce que l’inconnue allait faire pour le dédommager. De quoi parlait-elle, là ? De devoirs ? Allons, c’était certainement une plaisanterie, n’est-ce pas ? Avait-il réellement la tête du type qui veut se faire payer en leçon de rattrapage ou en travail scolaire ? Il n’avait besoin de personne pour ça, encore moins d’une fille appartenant à la maison des fayots. Mais bon, belle tentative. Malheureusement elle échouait sur toute la ligne, s’enfonçant le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Il était fin prêt à être payé en nature, par un geste non pas commercial mais bel et bien sexuel. Elle n’était pas en mesure de lui tirer une pipe ? Passons, il pourrait bien fermer les yeux là-dessus, mais simplement parce qu’elle avait une bonne tête et que, aujourd’hui, il était de bonne humeur. Mais qu’elle n’envisage aucune bavure, vraiment. La situation pourrait bien s’inverser du tout au tout et le gentil homme tantôt tolérant pourrait très bien devenir le pire salaud né sur cette terre. Avec nonchalance il leva les yeux vers le plafond sans réellement le voir. Il semblait si loin d’ailleurs, il n’avait jamais remarqué à quel point les salles de bains pouvaient être si hautes, enfin peu importe. Bombant le torse en inspirant il glissa l’autre main sur le mur, la bloquant. Tout aussi rapidement qu’elle l’avait repoussé, il reprenait son territoire, envahissant le sien. Il pencha la tête sur elle, la vue en direction de son minuscule décolleté qu’il fixait avec un intérêt bien visible. « tu plaisantes j’imagine ? j’en ai rien à branler de ce que tu me proposes là. » dit-il en recollant un nouvelle fois son ventre au sien. Elle lui demandait ensuite de se s’habiller. Oh, elle était gênée ? Il se retint d’enlever le seul et unique vêtement qui couvrait alors son intimité ; sa serviette de bain.

Avec lenteur il faufila ses doigts dans ses cheveux, attrapant une mèche pour la repousser derrière son oreille droite. Il n’hésita pas à caresser celle-ci, se hissant jusqu’à sa nuque pour la masser. Il rougissait sa peau sans vraiment faire attention mais délicat à la fois. Frêle, il n’avait aucune envie de la casser ou de lui faire du mal ; pas maintenant du moins. « pourquoi j’irais me rhabiller ? tu crois vraiment tu vas passer entre les mailles du filet ? allons jeune fille. ». L’américain ne retint pas son soupir, quelque peu exaspéré. Il fallait arrêter d’y croire parfois, et simplement se faire à l’idée, non ? Était-elle trop niaise pour imaginer ou juste trop croyante ? Non, il doutait sérieusement mais c’était bien son droit de tenter sa chance après tout. Joshua se courba ensuite au-dessus de la jeune fille, sa main glissant le long de son bras pour rencontrer ses doigts alors que ses lèvres se rapprochaient dangereusement des siennes. Il s’arrêta à quelques centimètres de son visage, son souffle chaud caressant les lèvres de l’inconnue, la torturant d’une certaine façon. Il aimait bien jouer comme ça, analyser les réactions de ses jouets, de ses victimes peu importe l’appellation. Parfois elles étaient différentes et d’autres, c’était tout le contraire. Il retrouvait x ou y ressemblances et c’était drôle d’en faire la comparaison. Il ne comptait pas l’embrasser, et ce, pour les mêmes raisons que précédemment. Il changea sa trajectoire au dernier instant, collant sa joue à la sienne et soufflant contre sa nuque et son oreille. Il pouvait la sentir frissonner, se recroqueviller sur elle-même. Il lui faisait de l’effet et, là, à cet instant précis, il adorait ça. « je veux du sexe, simplement. » Simplement. Oui, pour lui cet acte était quelque chose de normal, une habitude. Il n’arrivait plus à concevoir que cela pouvait représenter une étape compliquée pour certaines personnes. Il était même prêt à la guider pour ce faire, lui montrer quelques trucs. Les rudiments du moins. Le tout était de savoir si elle allait être réceptive et pas trop fine bouche. Il n’était pas prêt à le supporter de toute façon. Avec malice il glissa sa main le long du flanc de la muneo, caressant sa peau qu’il imaginait douce au-dessus de ses vêtements. Elle portait l’uniforme estival de sa maison, bleu et or donc. Ravissante cette petite jupe, ça allait lui faciliter le travail. Derechef il faufila sa main entre ses cuisses, les griffant légèrement pour rougir sa peau. Soupirant contre son cou, il glissa sa langue contre sa chaire pour finalement l’embrasser de ses lèvres douces. Ses doigts remontèrent tout aussi rapidement, faisant pression contre la culotte de l’octopus. Non, il n’avait pas envie d’être lent et de jouer à la dinette. D’ailleurs, il caressa son intimité de la paume de sa main, la chauffant assez vite. Alors qu’il suçait le lobe de son oreille avec lenteur il écarta le tissu de son sous-vêtement, le bout de son index glissant en elle avec une facilité déconcertante. Wow. C’était quoi ça ? Pour lui faire de l’effet c’était assez violent et la comparer à un robinet n’était en aucun cas exagéré. Qu’importe, il progressait lentement en elle, la pénétrant d’un deuxième doigt avec un sourire « eh ben ! t’es en train de te déshydrater … » oh tiens … comment elle s’appelait cette meuf ? « ton petit nom, c’est quoi mh ? » dit-il tout en agitant rapidement ses doigts au fond de son corps, cherchant son point g sous l'habitude.
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Jung Hye Ri
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(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeMar 12 Avr - 2:45

« tu plaisantes j’imagine ? j’en ai rien à branler de ce que tu me proposes là » il la gênait. Autant parce qu'il l'intimidait que parce qu'il ne la laissait pas tranquille. Oui, d'un côté elle ne voulait pas qu'il arrête parce que cela signifiait la reprise d'un quotidien plus que déprimant. Mais, d'un autre côté, jouer le jeu ne l'aiderait pas davantage : un peu de plaisir puis, encore un fois, le retour à la normale. Mais, cette fois-ci, avec de la colère en plus ; parce qu'il lui aurait fait goûter à ses lèvres, à son corps. Il lui aurait donné du rêve pour lui imposer le cauchemar juste après. Le revoir avec des filles, de toutes les maisons, draguer, coucher à droite et à gauche, la snober. Non, elle ne voulait pas faire partie des filles qui s'étaient faites avoir. Elle préférait de loin garder sa fierté et râler dans son coin en regrettant de ne pas avoir fait de bêtises avec. Les regrets ou le supplice ? Premier choix, bien entendu. Mais voilà, il jouait avec sa patience, revenant près d'elle, la bloquant. Certes, elle pouvait toujours se baisser et passer sous un de ses bras, mais il ne tarda pas à coller à nouveau son corps au sien, la privant ainsi de ce dernier espoir. Une bonne claque dans sa gueule ? Oui, mais non. Parce que là, il s'agissait de joshua et que, conne comme elle l'était sans doute, elle se disait qu'il y avait peut-être une petite chance qu'elle fasse la différence avec toutes les autres nanas aux yeux du brun. Au fond d'elle, elle savait que c'était peine perdue. Mais l'espoir fait vivre, non ? Donc elle restait là, ne refusant en aucun cas les contacts. Passait-elle pour une fille facile ? Ou une casse-couilles ? Sûrement un peu des deux. Bon : il ne voulait pas qu'elle l'aide scolairement parlant. Alors que pouvait-elle bien faire ? Qu'avait-elle à proposer ? Les doigts du plus vieux se glissèrent dans ses cheveux puis sur sa nuque, la faisant frissonner. Elle aimait bien la douceur de ses gestes, il marquait un point. Mais son but n'en restait pas moins noir et, totalement impossible. Pas moyen qu'elle s'offre comme ça, comme l'avaient fait des dizaines de filles avant elle. « pourquoi j’irais me rhabiller ? tu crois vraiment tu vas passer entre les mailles du filet ? allons jeune fille » si la lumière avait été éteinte et qu'elle ne l'avait jamais vu de sa vie, nul doute qu'elle aurait pensé que c'était un pédophile. Jeune fille ? Croyait-il avoir vingt ans de plus qu'elle ? Ce détail fit sourire la coréenne alors que, pourtant, le reste de la phrase n'avait absolument rien d'amusant. Elle n'allait pas échapper à l'ineo ? Cela ne l'étonnait pas, ils étaient bien réputés pour être égoïstes, brutaux si nécessaire ? Alors, oui, elle aussi était persuadée qu'il ne s'arrêterait pas là. Et c'est, en partie, ce qui lui faisait peur. Croisant le regard du plus vieux, elle ne tarda pas à quitter son sourire : okay, là, ce n'était plus drôle. Plus elle restait là, plus il refusait ses propositions, plus elle se sentait en danger et la pression montait. Elle ne voulait pas se faire violer. Mais il n'irait pas jusque là : il ne fallait pas oublier qu'ils étaient dans un établissement scolaire et qu'il se ferait carrément virer si cela venait à sortir de cette pièce. Cependant, il s'y prenait bien et si quelqu'un avait été présent dans la salle des bains, nul doute qu'il aurait immédiatement pensé que hyeri était d'accord avec sa sentence. Le coréen lui caressait le bras, ses lèvres s'approchant de celles de la plus jeune. Les yeux noirs de cette dernière se posèrent sur la bouche de son interlocuteur : elle était captivée. Allait-il l'embrasser ? Il gagnait un point de plus. Et, même si les finalités de cette histoire ne changeaient pas, entre le oui et le non, là, elle aimait ça. La tournure des choses était déjà beaucoup plus plaisante. Et sa résistance s'envolait. La voilà qui, maintenant, décollait légèrement sa tête du mur, ses lèvres rosées s'entre-ouvrant. Oh, elle le voyait s'avancer avec lenteur mais elle n'était pas encore certaine du but de cette entreprise. Apparemment il s'agissait simplement de la provoquer : parce qu'il venait à l'instant de détourner son attention, venant souffler près de son oreille. Le salaud. Sentant un brin d'irritation pointer son nez, la brunette fronça les sourcils, se retenant de soupirer trop fort pour ne pas se trahir. « je veux du sexe, simplement » simplement, c'est ça ? Parce qu'il croyait que c'était aussi facile qu'un claquement de doigts que de coucher avec une personne ? Apparemment, oui. Mais alors qu'avec les nymphomanes ou les catins. Ou encore, les faibles. Parce que là c'était juste hors de question : bien que le désir grimpait, en aucun cas elle se laisserait aller en sa compagnie même si, oui, il lui plaisait à tel point qu'elle en devenait presque accro.

Mais le physique n'était largement pas suffisant pour passer l'étape du sexe. Soupirant, fortement cette fois-ci, hyeri répliqua aussitôt « hors de question ». Plus vite c'était dit, plus vite c'était clair. Histoire qu'il ne lui reproche pas de ne pas avoir assez bien exprimé son point de vue. Parce qu'il pourrait s'en servir contre elle après, pour la torturer et la rendre un peu plus coupable de sa propre connerie. Mais l'anglo-coréenne ne tarda pas à tourner la tête dans le sens opposé à celle de son rival, serrant les dents. Et une nouvelle vague de chaleur, une : la main de joshua venait de se glisser entre ses jambes, les griffant, avant de remonter jusqu'à sa culotte déjà trop mouillée. Et mince. Resserrant les cuisses, hyeri essaya d'exprimer son refus comme elle le pouvait. Mais cela ne se voyait pas assez, hein ? Sentir cette paume brûlante contre sa partie intime était loin, très loin, d'être désagréable ; à tel point qu'elle s'en mordit la lèvre inférieure, fermant les yeux : il fallait qu'elle se ressaisisse. Qu'elle trouve un moyen efficace de se débarrasser de lui ou, carrément, de le faire tomber amoureux. L'option un semblait de toute évidence plus facile que la seconde, bien que tout aussi compliquée. L'index de son interlocuteur se glissa alors dans sa propre intimité sans qu'elle n'ait le temps de le voir venir. Par réflexe, elle ramena ses mains sur les épaules du drogué, faisant pression : oh non. Il allait se rendre compte de l'effet qu'il lui faisait, de l'emprise qu'il avait sur elle malgré ses faux airs de rebelle. Un deuxième doigt vient alors la détruire un peu plus : une agréable sensation l'accompagnait, arrachant aussitôt un faible gémissement à la muneo. Automatiquement, elle porta sa main à sa bouche, la plaquant sur ses lèvres. Ce n'était pas sa faute. Non, jamais. « eh ben ! t’es en train de te déshydrater… » elle s'en rendait compte, oui, pouvant-elle même entendre ce bruit qui traduisait la faiblesse de son corps. « ton petit nom, c’est quoi mh ? » fermant les yeux, fortement, serrant un peu plus ses cuisses d'ores et déjà humides, elle enleva sa main de sa bouche, venant la plaquer, cette fois-ci, sur celle de son interlocuteur. Il accentuait sa gêne avec ses remarques à la con. Son autre main, elle, abandonna finalement l'épaule de l'ineo pour venir attraper le poignet coupable du plaisir, essayant de le bloquer. La blague : ils n'avaient pas du tout la même force et le désir était handicapant, divisant de deux cette dernière. Rouvrant les yeux, difficilement, hyeri lança, la respiration rapide « arrête ça... » son nom ? Elle s'en balançait, il n'avait qu'à lui demander avant. Là, elle avait un peu du mal à réfléchir, voire carrément à écouter, son ventre se contractant. Bon dieu, ça faisait du bien, elle ne pouvait le nier. De quand datait son dernier partage avec un homme ? Une bonne année, ouais. Plus ou moins. Elle était donc extrêmement sensible, là. Et ce n'était pas sa veine, étant donné qu'elle l'était déjà énormément de nature. Les doigts de joshua frottant agréablement à l'intérieur de son corps, tapant presque sadiquement au fond de son intimité ; tout ça, c'était trop. Elle en perdait la tête. Ses fantasmes se mélangeaient à la réalité, la plongeant dans un état second. Il ne fallait pas qu'elle faiblisse, elle le savait, mais que pouvait-elle faire, là ? Elle ne pouvait, en tout cas, pas empêcher son camarade de lui procurer ce plaisir si oppressant contre lequel elle ne pouvait lutter. Respirant fortement, elle essayait de contrôler son corps et, particulièrement, l'orgasme qui était déjà en train de poindre au creux de son ventre. Si il arrivait, c'en était fini d'elle. Il prendrait la confiance et s'acharnerait sans doute un peu plus. Et puis, si il découvrait qu'elle était (…) « ah, merde » gémit-elle soudainement, passant rapidement ses bras autour du cou du plus vieux, l'attirant contre son corps brûlant. Game over. L'orgasme était là, cet enfoiré, la faisant se contracter fortement autour des doigts du rouge, un filet de mouille creusant son chemin comme il le pouvait. Mais déjà, elle ne pensait plus à l'image qu'elle pouvait donner, ses jambes tremblant de façon incontrôlée.
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Wang Joshua
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« mon bien heureux orgeuil » ils savent tous ce que je représente. qu’importe les surnoms, qu’importe les insultes. et je les emmerde un par un. j’irais renommer l’enfer de dante s’il faut. « j'aime les gourmandises », mes sucreries sont bien plus mauvaises et dégradantes que vos mets ridicules. quel junkie je fais ? que serais-je sans l’apport quotidien de mon fils ; kessy ? je l’ai ramassé à la petite cuillère, il me doit bien ça, ce chien galeux. « et la luxure me détend » si bien que j’en suis devenu un putain de satyriasis depuis toutes ces années. hommes, femmes, prostituées ou pas. de vulgaires objets capables de me soulager l'espace d'un instant. mon jouet du moment ? hyeri l’octopus. trainée, fille facile ou juste idiote ? va savoir, je m'en balance. « paresseux comme un pacha » et l’école ne m’intéresse pas. je préfère de loin m’amuser avec mes potes. que serais-je sans ma bande fidèle ? dylan, skyler, joonhae ou bien même jinjung. le must reste bohyun alias babo, gaffe ambulante ce dude mais j'le surkeef. avec eux le temps semble moins long et bien plus distrayant. « l’envie me mène à la colère, d’un pas rapide » tout ce que je ne peux obtenir, que cela concerne un objet ou une personne, a l’art de me mettre hors de moi. je suis seul maître du jeu. et bientôt hyejin sera mienne comme tout le reste, ma parole contre la sienne. « et je suis cet enfant si avare » mes biens m’appartiennent, je les ai dument gagné. ils me reviennent de droit et je ne supporte pas l’idée de les partager. qu’ils essayent, ces bâtards. ma belle et tendre noa ; canevas de la femme de ma vie. pour ne plus jamais voir ses larmes rouler le long de ses joues je deviendrais ce chien brutal.


(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeLun 18 Avr - 0:45

Coupable. Elle avait beau lui destiner mille refus, son corps la trahissait avec un aplomb plus que déroutant. Ah, les joies de la nature ! Touchée directement en un point capable de lui faire renoncer à ses plus grandes valeurs et le tour était joué, il en avait fait céder des biens plus coriaces que ça. Qu’elle plie l’échine et lui baise les pieds puisqu’elle n’était pas capable de lui tenir tête plus de dix minutes. Fille facile ? Catin ou bien même idiote ? Qu’importe, ça n’avait pas vraiment de valeur aux yeux de la sirène. Tout ce qui l’importait à cet instant précis était de passer à l’acte et de se faire du bien. Plus vulgairement dit « se vider ». Évidemment, c’était elle qu’il était en train de toucher en ce moment et c’était donc elle qui éprouvait du plaisir. Il ne faisait rien de plus que de la manipuler encore et encore, c’était une façon de lui mettre le couteau sous la gorge en quelque sorte. Il s’assurait de ne pas se retrouver bredouille comme un idiot, les bras ballants. Au moins, si elle désirait mettre terme à quoique ce soit par la suite, elle devrait aussi payer le prix de la frustration suprême. Et il fallait une force de caractère assez étonnante pour résister aux plaisirs de l’acte sexuel. D’ailleurs lui n’en avait aucune, pas étonnant pour ce satyriasis, n’est-ce pas ? Joshua avait toujours apprécié la luxure. Ça avait commencé dans sa jeunesse, à l’aube de ses treize ans. Il avait décidé de perdre sa virginité avec une prostituée pour tout de suite acquérir de l’expérience. Il voulait également réussir son premier coup plutôt que de se heurter à un mur ou perdre sa confiance à la suite d’un échec cuisant. Par la suite il accumula ; à l’école, dans ses amis, un peu partout où il allait à une cadence totalement démesurée. Il enchainait sans vergogne, sans répit. N’éprouvant qu’une banale attirance purement sexuelle pour x ou y. Parfois – tout comme aujourd’hui – il ne se tracassait même pas de savoir qui était son partenaire, quel était son prénom, son âge ou ses hobbys. L’acte se faisait sans grande cérémonie, tout naturellement. Ensuite il repartait sans demander son reste, sans même chercher à retrouver cette personne ou s’intéresser un peu plus à elle. Elle retournait dans le décor, dans le tableau géant où il l’avait remarqué. Et lui, en bon insatiable, en sélectionnait une autre et ainsi de suite jusqu’à aujourd’hui : cet octopus pris au piège dans sa cage dorée. Quel bel oiseau que voilà, il n’était pas déçu du détour ! Il aurait même bien remercié cet affreux fantôme pour avoir poussé un hurlement digne de ce nom, le faisant sortir de sa petite toilette « matinale ».

Maintenant elle ne savait plus quoi faire, comment se comporter. Il pouvait voir dans ses yeux qu’elle était soumise à un dilemme intérieur, luttant et cédant à la fois à ses avances. À ses caresses plus qu’insistantes puisqu’il était occupé à masser l’intérieur de son corps chaud. Brûlant d’ailleurs et terriblement humide. Une vague de chaleur vint lui torturer les entrailles, remontant jusqu’à sa gorge. Oh oui, il en avait terriblement envie, il éprouvait ce besoin qui le rongeait littéralement de l’intérieur, qui lui martelait la tête avec force. Si faible, terriblement « homme » dans ses réactions. « on dirait que tu commences à comprendre où je veux en venir exactement. c’est vrai que c’est drôlement intelligent un muneo, tiens ! allez, tu aimes ça. » L’américain continua ainsi quelques minutes à une cadence plutôt lente, prenant le temps de masser les parois intimes de sa partenaire. Elle ne semblait plus vouloir le repousser donc il pouvait prendre un peu plus d’aise, gagner de la profondeur. Son corps était échauffé, sulfureux. Il criait et quémandait du plaisir, acteur et à la fois scénariste. La donzelle gagnait des points au fur et à mesure, ses glapissements étouffés contre ses mains lui faisaient terriblement envie. Sans demander son reste il prit une pointe d’accélération, allant crescendo, toujours plus vite. Après quelques secondes, poignet échauffé, il tapait de ses deux doigts et sans délicatesse au fond d’elle, ne cherchant plus qu’à la faire crier de plaisir. Il ne fallut pas longtemps à l’octopus pour se laisser aller à l’orgasme, c’est du moins ce qu’il en déduit après avoir vu et senti ceci ; un fin filet de cyprine chaud coulait entre ses doigts, sur la paume et le dos de sa main. Tiens, était-ce possible de mouiller autant ou était-elle une femme fontaine ? De toutes ses aventures, il n’avait eu le cas qu’une seule fois : assez impressionnant d’ailleurs. Cela ne l’avait pas ragouté, pas du tout même. C’était une expérience à vivre et si le partenaire a une hygiène irréprochable alors, pourquoi pas ? Il ne doutait pas de celle de la demoiselle. Là, actuellement, il n’avait rien à lui reprocher si ce n’est son manque de réactivité. Fermons les yeux là-dessus, peut-être était-elle trop timide et qu’il fallait un peu la chauffer histoire de la mettre dans le feu de l’action. Quoiqu’il en soit, il préférait nettement son manque de réactivité à ses refus ou le fait qu’elle puisse le repousser. Tant qu’il pouvait prendre les devants dans la facilité, alors ça lui suffisait. Joshua arqua légèrement les sourcils, plantant son regard dans celui de la brune alors que ses doigts continuaient de s’agiter dans son corps. D’un geste brusque il se retira, laissant la petite pression du jet de cyprine sortir. Elle inonda les cuisses de la muneo, celle-ci perdue dans ses gémissements alors qu’il admirait le tableau en silence. Eh bien, il avait des surprises de jour en jour, s’il avait su qu’une petite fontaine se cachait entre les murs d’akiwa, il se serait jeté dessus depuis bien longtemps, et ce, afin de se divertir. Car oui, c’était drôle à voir, à toucher. C’était également drôle de s’amuser avec ce genre de filles puisqu’elles étaient capables d’accumuler plus d’orgasmes que la moyenne générale. « évidemment que tu aimes ça, ton corps parle à ta place. » derechef il vint glisser ses doigts imprégnés de mouille entre les lèvres cerises de la jeune fille ; caressant sa langue du bout de ceux-ci. Il rendait la scène un peu plus vulgaire, un peu plus excitante à ses yeux. Il n’avait rien d’un prince charmant et même si elle le l’imaginait, il fallait bien qu’elle le comprenne et qu’il lui montre. Désenchantée ? Ou pas finalement, peut-être qu’elle aimait ça. Lui s’en fichait bien de son avis, la scène lui plaisait telle qu’elle. « t’es une petite fontaine, hm ! dis-moi quel goût ça a ? » elle était le mieux placée pour lui dire, là. Lui n’avait aucune envie de goûter à l’instant précis. Pas qu’il soit dégouté ou n’importe quoi d’autre, juste que la regarder se morfondre sous le poids de la culpabilité était plus distrayant qu’autre chose. C’était loin d’être fini à ses yeux et elle allait bien passer à la casserole. Qu’elle le désire ou pas, il n’était pas à ça prêt. La forcer un petit peu, ce n’est pas la première fois qu’il le ferait. Sa conscience n’était aucunement touchée par ce genre d’action, peut-être même que c’est elle qui le poussait à agir de la sorte.

Il pouvait sentir son membre gonflé sous sa serviette de bain, heureux de ne porter aucun sous-vêtement. Il se serait très certainement senti trop à l’étroit. Peut-être même douloureux. Il n’avait qu’à enlever le dernier bout de tissus qui cachait son corps pour se sentir libéré de toute pression, de tout poids sur les épaules. Mais ce n’était pas encore le bon moment, il devait encore jouer un peu avec la belle inconnue. Fort plaisante maintenant qu’il était un peu plus renseigné sur son corps. Alors, comment allait-il s’y prendre. Quelle torture exquise allait-il lui servir sur un plateau d’argent pour la voir se morfondre encore plus dans la culpabilité. Pouvait-il la rendre folle, la tremper de la tête aux pieds ? Un vrai défi en soi ! Amusé, il était à son affaire, glissant les deux doigts tantôt présent dans la bouche de la jeune fille sur son clitoris, lui aussi tout enflé. Il l’agita doucement, le titillant avec malice. De son autre main il soutenait le corps encore tremblant de l’octopus, devenu brasier sous la vague du premier orgasme. Allait-elle perdre la tête ? Joshua était bien déterminé à vouloir perdre la sienne. Bien que frêle, son corps était agréable, c’est le moins qu’on puisse dire. Il n’avait d’yeux que pour elle à l’instant précis ; se sentait-elle aux anges ? « tu veux toujours pas me sucer ? je pourrais bien te la mettre en bouche par la force, si je le désire. ou peut-être que tu veux te faire prendre tout de suite ? »
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Jung Hye Ri
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(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeMar 19 Avr - 13:20

« évidemment que tu aimes ça, ton corps parle à ta place. » comme si elle avait besoin qu'il le lui rappelle. Oui, elle aimait ça : l'orgasme n'était-il pas, justement, le résultat du plaisir qu'elle tirait, le feu d'artifices ? Sa faiblesse ne venait pas seulement du fait qu'elle était très sensible aux contacts corporels, non ; elle craquait totalement pour l'ineo. Et c'était surtout pour ça que l'explosion au creux de son ventre était arrivée aussi rapidement. Parce que cela faisait longtemps qu'elle en rêvait. Pas de cet acte sexuel, bien entendu -quoi que-, mais du premier contact avec joshua. Nombreuses avaient été les fois où elle s'était faite des scénarios dans sa tête : s'imaginant être accostée par le beau brun ; à chaque fois pour une raison différente. Soit elle se faisait aider, soit elle jouait au jeu de la séduction avec lui. Mais, bien sûr, rien de cela n'arriverait jamais et, ça, elle le savait. C'était un rouge. Un méchant, un égoïste. Un salaud. Jamais il ne lui aurait tendu la main. En revanche, peut-être bien que l'espoir numéro deux était possible. Peut-être, oui, qu'il aurait tenté, un jour, de la séduire. Mais là, étrangement, hyeri n'y croyait plus trop. Joshua avait de loin dépasser les règles du jeu, allant droit au but. Il ne faisait même pas attention aux termes qu'il employait, usant de vulgarité comme si elle n'était qu'une simple poupée. Un jouet d'ordre sexuel comme il devait sûrement en avoir des centaines et encore, là, c'était sans doute en sous-estimer le nombre. Les jambes toujours tremblantes, la brunette gardait les yeux clos, comme si elle espérait partir dans un nuage de fumée d'un instant à l'autre. Disparaître. Ne jamais avoir été là, face à lui, si petite et si faible. Ce n'était pas là l'image qu'elle s'était donnée dans ses dernières visions : oh non, elle avait été très taquine et fière. Joueuse. Forte. Là elle avait les pieds en plein dans le plat. Elle se sentait ridicule, malgré le plaisir qui pouvait encore couler rapidement dans ses veines ; oui, ça avait été bon. Carrément, même ; à tel point qu'elle avait attrapé joshua sans même se poser la moindre question. Pour l'avoir contre son corps au moment où elle se sentait plonger dans un océan de bien être ; et de gêne. Qu'est-ce qui se passait ? Pourquoi cédait-elle aussi vite ? Elle n'avait même pas eu la force de retenir le poignet du brun, de le bloquer, pour qu'il arrête ses bienfaits. Non, en vérité, elle s'était laissée aller, comme si elle n'attendait que ça. Passait-elle pour une catin ? Les doigts de son interlocuteur se trouvaient dans sa bouche depuis quelques secondes et elle n'avait pas encore percuté. Comme si elle se trouvait dans une brèche temporelle. Son esprit, du moins. Son corps, lui, était bien là. Encore tremblant, ses lèvres et son palais supportant ce goût salé qu'il lui imposait. « t’es une petite fontaine, hm ! dis-moi quel goût ça a ? » mon dieu, qu'est-ce que c'était que ce comportement ? Tournait-elle dans un film x ? Où la caméra était-elle cachée ? C'est simple, elle avait l'impression d'être droguée. Deux de tension. Elle ne contrôlait plus rien, ne suivait plus rien. Pourquoi lui demandait-il une chose pareille ? Non, pourquoi lui faisait-il goûter ça, plutôt ? Reculant la tête, la secouant légèrement comme pour se réveiller, hyeri lança «  je. Quoi ? Non. » de quoi parlait-elle ? Elle-même ne savait pas. Elle s'embrouillait. De quoi, d'ailleurs, parlait joshua ? Avait-il posé une question ? Elle se sentait mal. Très mal. Pas à sa place. Elle ne se reconnaissait pas. C'est comme si elle se retrouvait dans la peau d'une nymphomane. D'une fille prête à céder pour un mec attirant comme sûrement une douzaine d'autres l'étaient.

Et si, aujourd'hui, elle était dans cette situation, qui pouvait certifier que cela ne se reproduirait pas à plusieurs reprises, avec d'autres personnes ? Rien que d'y penser, la coréenne se sentit prise d'un vertige. Merde. Et, alors qu'elle essayait de mettre un peu d'ordre dans ses pensées, une nouvelle bouffée de chaleur se propagea dans son bas-ventre, la faisant flancher. Heureusement que son assiégeant la tenait parce que, sinon, nul doute qu'elle se serait lamentablement assise par terre, ses jambes ne pouvant plus la soutenir. Elle était parcourue de spasmes oui, voilà ; à cause du précédant orgasme et des nouvelles sensations qu'elle ressentait à cause des doigts joueurs de joshua. Pourquoi continuait-il ? N'était-elle pas assez trempée pour le rendre satisfait ? Ou, voulait-il simplement qu'elle se sente un peu plus coupable ? Oui, ça devait être ça. Faisant retomber ses bras le long de son corps, la bleue serra les poings, comme pour se donner du courage. Il fallait qu'elle se calme. Ce n'était qu'un garçon. Un ineo qui plus est. Mais. Mais, elle l'admirait. Pourquoi ? Elle n'en savait rien du tout mais elle avait passé pas mal de temps à l'observer ; en vrai, ou sur des photos, et elle se sentait fondre à chaque fois. Suffisait d'un regard pour que naisse une envie dans son corps d'adolescente. L'adolescence, ça devait être ça. L'attirance pour des inconnus ; pour des rebelles. Elle n'avait pas de quoi se justifier. Se mordant la lèvre inférieure, elle serra les cuisses, comme soudainement animée par la flamme de la rébellion. Peut-être parce que son orgasme était déjà passé et que donc, elle retrouvait une pointe de force. Mentale, en tout cas. Elle allait mieux. Plus ou moins vidée. Soulagée. Et elle ne voulait pas que cette situation empire ; elle ne voulait pas que son image soit dégradée davantage. Même si, à mon avis, elle passait déjà pour une nana facile. Elle en avait conscience, c'était loin d'être une surprise. Mais elle se ressaisissait maintenant. « tu veux toujours pas me sucer ? je pourrais bien te la mettre en bouche par la force, si je le désire. ou peut-être que tu veux te faire prendre tout de suite ? » bordel. Comment pouvait-il lui faire autant d'effet avec une telle franchise si vulgaire ? Aimait-elle ça ? Non, ce n'était pas son genre. C'était simplement le fait qu'il s'agisse de joshua qui devait autant la troubler. « non. J'ai pas envie. Juste. Partir. » allons, ne savait-elle plus faire des phrases correctes ? Sa gorge était serrée. La muneo était perdue ; autant à cause de ses sentiments qu'à cause des actions du plus vieux. Elle se bloquait. Se braquait. Si elle voulait vraiment partir ? Non, et oui. Elle voulait fuir, se remettre en questions, reconstruire sa muraille. Mais d'un autre côté, elle voulait profiter à fond de ce moment parce que c'était peut-être la seule fois où elle aurait le droit à autant d'attention de la part de joshua. Voire l'unique. Ce que cela pouvait être difficile de se décider, d'agir. Là, elle était comme un légume, immobile et pratiquement muette, son corps continuant de la trahir. Lentement, elle vint finalement attraper le poignet de l'ineo, pour le bloquer. « stop. C'est trop. » elle ne l'avait pas vu venir la première fois mais là, ça serait être idiote -et une salope- que de continuer à s'enfoncer dans tout ce bordel.
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Wang Joshua
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« mon bien heureux orgeuil » ils savent tous ce que je représente. qu’importe les surnoms, qu’importe les insultes. et je les emmerde un par un. j’irais renommer l’enfer de dante s’il faut. « j'aime les gourmandises », mes sucreries sont bien plus mauvaises et dégradantes que vos mets ridicules. quel junkie je fais ? que serais-je sans l’apport quotidien de mon fils ; kessy ? je l’ai ramassé à la petite cuillère, il me doit bien ça, ce chien galeux. « et la luxure me détend » si bien que j’en suis devenu un putain de satyriasis depuis toutes ces années. hommes, femmes, prostituées ou pas. de vulgaires objets capables de me soulager l'espace d'un instant. mon jouet du moment ? hyeri l’octopus. trainée, fille facile ou juste idiote ? va savoir, je m'en balance. « paresseux comme un pacha » et l’école ne m’intéresse pas. je préfère de loin m’amuser avec mes potes. que serais-je sans ma bande fidèle ? dylan, skyler, joonhae ou bien même jinjung. le must reste bohyun alias babo, gaffe ambulante ce dude mais j'le surkeef. avec eux le temps semble moins long et bien plus distrayant. « l’envie me mène à la colère, d’un pas rapide » tout ce que je ne peux obtenir, que cela concerne un objet ou une personne, a l’art de me mettre hors de moi. je suis seul maître du jeu. et bientôt hyejin sera mienne comme tout le reste, ma parole contre la sienne. « et je suis cet enfant si avare » mes biens m’appartiennent, je les ai dument gagné. ils me reviennent de droit et je ne supporte pas l’idée de les partager. qu’ils essayent, ces bâtards. ma belle et tendre noa ; canevas de la femme de ma vie. pour ne plus jamais voir ses larmes rouler le long de ses joues je deviendrais ce chien brutal.


(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeMar 19 Avr - 16:04

La voilà qui prenait les armes, l’arrêtant dans sa course ; son ascension impressionnante. Bien mal placée puisqu’elle n’avait aucune influence, aucune force dans les bras pour mettre terme à tout ce cinéma, ce jeu grotesque qui se déroulait dans les douches. Elle s’épuisait pour des prunes, du vent. C’était inutile et le pire là-dedans, c’est qu’elle devait en être parfaitement consciente. Elle soulageait uniquement sa conscience histoire d’être capable de se dire plus tard : je lui ai tenu tête du mieux que je le pouvais. Histoire d’être encore capable de se regarder dans un miroir. Paquet de mensonges, rien de plus. Pourquoi ne comprenait-elle pas qu’elle n’avait rien à prouver ? Pas à lui du moins, la seule personne à convaincre dans cette salle, c’était bien elle, si fragile. Faible, certes, bien docile malgré son désarroi latent et sa bonne foi. Remarquable et méprisable en soi. Qu’importe ses fondements, ses bonnes valeurs. Les grandes lignes qui pouvaient dicter sa vie jusque-là. Tout ça était remis en question, bafoué par un homme sans scrupule. Hautain, égoïste et terriblement lunatique. D’un souffle il était capable de détruire la constante d’une vie, la philosophie toute entière d’un être unique et propre. Il bousculait sans la moindre vergogne, semant la pagaille dans les idées, les biens fondés d’autrui. Et il aimait ça, être le battement d’aile capable de casser qui bon lui semble. Peut-être pas d’apparence, peut-être pas physiquement. Mais dans la tête il pouvait être l’égal d’une bombe nucléaire. Il était une arme vicieuse et perfide, heureuse d’exister pour faire le mal comme si c’était un art. Ainsi soit-il ! Il n’eut aucun mal à retirer la main de l’octopus, la bloquant facilement contre le mur humide et glacial. Allons, il avait bien plus de force qu’elle, ses gestes emplis de sens ne servaient strictement à rien, mais c’était bien essayé. Il arrêta de la torturer l’espace de quelques secondes, rivant son regard vers elle ; souriant. Rapidement et avec un soupçon de brutalité il attrapa son menton, la forçant à lui tenir tête. Elle pouvait bien fermer les yeux si elle le désirait, mais au fond d’elle l’image de joshua était gravée sur ses paupières. Même les yeux clos, elle pouvait le voir distinctement. Il n’était pas le dernier des imbéciles sur cette terre, il savait comment s’y prendre. Quels gestes faire pour obtenir exactement ce qu’il désirait. Et oui, il faisait partie de ce genre de personne, malheureusement. Ou heureusement pour elle ? Il avait bien assez d’expérience pour eux deux alors elle pouvait bien se reposer sur lui, se laisser faire. Il n’avait pas besoin d’être créatif de toute façon, il n’avait personne à impressionner. L’inconnue l’était déjà bien assez, non ? Laissons l’originalité de côté et restons-en aux bonnes vieilles habitudes. L’américain se pencha lentement au-dessus d’elle, la couvrant de son corps massif une nouvelle fois. « cesse de te plaindre, tu me casses les oreilles et les pieds, accessoirement. » Malicieusement ses lèvres vinrent trouver refuge contre celles de la muneo ; il l’embrassait, oui. Ses lèvres cerises avaient finalement bon goût et il ne regrettait pas de déplacement. Oh, cela n’avait rien d’étonnant, en fait. Il ne faisait que suivre ses envies et son petit doigt lui disait que c’était une bonne façon de lui faire mettre un genou à terre. Et bientôt elle serait à sa totale portée, inévitablement. Soumise, carrément. Elle était faible face à lui, il l’avait bel et bien compris depuis que ses yeux s’étaient posés sur les photos volées quelques minutes auparavant. Mais il ne savait pas à quel point. Parfois cela concernait juste son physique plutôt avantageux. Parfois elles éprouvaient réellement des sentiments à son égard et le jeu était nettement plus simple. Pas besoin de les charmer, pas besoin d’incarner le fantasme parfait pour les faire tomber dans le sentimental pur et dur. Le travail était déjà fait. Ici, c’était un mystère. Avide de curiosité il se retint de poser une quelconque question à ce sujet. Il préférait nettement la tester, d’abord sexuellement et bien avisé. Il fallait qu’il se confectionne un plan, cette sinécure avait du bon ; elle allait au moins l’occuper l’espace de quelques jours, peut-être même quelques semaines. Le « quelques mois » relevait du miracle puisqu’il se laissait très vite de ses conquêtes. Mais qui sait ? Ne jamais dire jamais, en gros. Oui, il ne pouvait pas savoir de quoi demain serait fait.

Il n’avait pas décollé sa bouche de la sienne, l’entrouvrant malicieusement pour glisser sa langue entre ses lèvres douces et encore fraichement nappées de la cyprine abandonnée par ses doigts quelques minutes plus tôt. Elle avait bon goût ; son corps avait bon goût même, tant mieux. Du grand cru ! Il vint caresser la langue chaude de l’octopus lentement, glissant la sienne autour et jouant avec. Jeu de sensualité excitant, éveillant les sens au plus haut point. Lui-même commençait à s’enflammer fortement, désireux d’accélérer les choses, de passer à la vitesse supérieure. Il était gourmand et avide, très peu patient d’ailleurs. Mais ça ce n’était pas une nouveauté. Une fois que la machine était lancée c’était impossible de faire marche arrière. Bon, elle commençait à connaitre la chansonnette, elle n’avait plus qu’à crier mais là encore il allait vite en avoir marre. Et que faisait-on dans ces cas-là ? Enfoncer la petite culotte dans la bouche, par exemple. Il avait eu recours plusieurs fois à ce système, notamment quand elles étaient trop bruyantes. Bon il aviserait en temps voulu, ici, elle pouvait bien crier autant qu’elle le voulait avant que quelqu’un désire s’aventurer dans la salle de bain à cette heure si avancée de la journée. Quasi tous les élèves étaient en cours, de toute façon, une chance ! Ils pouvaient être bruyants donc. « tu préfères que je te pénètre devant ou … » ou quoi ? Il ne proposait pas de choisir entre ses deux orifices, loin de là. Il parlait simplement d’une position. « oh. capote ! ». il venait de s’en souvenir à la dernière minute. Très peu emballé par le fait de faire des gosses à cette nana ou s’attraper quelque chose, il préférait être préventif. Seulement sa réserve se trouvait à l’autre bout de la salle, près de son sac. Pas décontenancé pour un sous, il attrapa le poignet de la demoiselle avec fermeté, la trainant derrière lui sans la moindre délicatesse. Arrivé à ses affaires il put extraire un préservatif rapidement, déchirant l’aluminium. La sirène retira la serviette enroulée autour de sa taille, dévoilant son membre dressé et plutôt avenant. En deux temps trois mouvements il l’enfila avec facilité, trop habitué sans doute. C’en était fini le temps des chichis, des attentions presque obsessionnelles. Il reprit une nouvelle fois son poignet en main la forçant à se tourner, plaquant le buste de la muneo au mur. D’un geste rapide il fit rouler sa culotte sur ses cuisses, la débarrassant finalement du vêtement inutile. Il caressa la rondeur de son séant, empoignant sa fesse droite dans sa main tout en masturbant sa verge de l’autre. L’ineo osa même lui donner la fessée, amusé. « par derrière c’est vachement sexy, tu sais. ». Évidemment, ce n’était que son avis après tout. Sans tourner autour de pot il attrapa la cuisse de l’inconnue – puisqu’elle n’avait pas voulu lui donner son prénom – et s’immisça en elle, la pénétrant de sa verge dure et chaude. Il n’eut aucun mal à progresser en elle, trempée de l’intérieur jusqu’à buter au fond de son corps. Joshua poussa un grognement rauque, son membre emprisonné entre les parois chaudes et humides de sa partenaire, entreprenant un mouvement plutôt lent pour frotter contre celles-ci. L’américain vint coller son torse brûlant à son dos, passant sa main libre sur son ventre pour la maintenir tout contre lui. Ses lèvres se faufilèrent jusqu’à l’oreille de la bleue pour y mordiller et lécher le lobe ; y gémir doucement aussi, même. La cadence augmentant au fur et à mesure du temps, martelant un peu plus vite son bas ventre à chaque coup de rein. Il pouvait sentir sa mouille brûlante couler entre ses cuisses et sur son pubis, l’excitant. Doucement, il vint faire pression de sa main contre le bas du ventre de l’inconnue, à l’endroit même où sa verge venait masser l’intérieur de son vagin « tu peux me sentir, ici, en toi ? est-ce que ça te plait ? » et, oui, évidemment, que ça lui plaisait.
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Jung Hye Ri
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(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeMer 20 Avr - 2:39

« cesse de te plaindre, tu me casses les oreilles et les pieds, accessoirement. » ferme et décidé. Il n'allait pas la laisser partir comme ça. Encore moins après lui avoir procuré du plaisir sans rien avoir reçu retour. Oui, parce que joshua était exactement ce genre-là ; à marchander, à attendre la monnaie de sa pièce. Il ne faisait jamais rien au hasard, cela se voyait, se ressentait. Elle était piégée. Si seulement elle avait usé de force ou de ruse un peu plus tôt ? Le premier point n'aurait sans doute rien changé du tout : inoffensive, faiblarde, ses coups auraient été vains. Et ce, même si elle avait été réellement en colère -il en fallait de toutes façons beaucoup pour qu'elle en vienne à lever la main sur quelqu'un, pacifiste de nature-. Concernant le point numéro deux, il aurait fallu qu'elle soit vraiment très forte mentalement ; et comme déjà 90% de son être tout entier attendait quelque chose de la part de joshua, être rusée relevait de l'impossible. De l'indésirable. Fuir les griffes de l'ineo ? Non, elle n'y avait pas réellement pensé. Parce qu'elle ne le voulait pas. Cette situation était si imprévue et si inespérée qu'elle n'avait pas eu envie de tout gâcher en réfléchissant intelligemment pour se débarrasser de lui. Et puis, y serait-elle arrivée ? Peut-être, mais elle aurait eu des remords. Ou pas. En fait, elle n'en savait rien du tout. Elle s'était laissée aller, point final et à la ligne. Les lèvres de joshua vinrent retrouver les siennes, les embrassant. Surprise, hyeri rouvrit enfin les yeux, n'ayant pas cédé sous la brutalité mais lâchant les armes pour un peu de douceur. Non, elle ne le repoussait pas. Au contraire, la voilà qui répondait au baiser, caressant à son tour la langue du plus vieux, lentement. Où était passée la flamme de la rébellion ? Telle était la question. Elle ne voulait pas se faire prendre, supporter le comportement insultant du rouge. Se faire respecter, était-ce trop demandé ? Sûrement, oui, pour un gars qui ne respectait aucune femme, les alignant toutes les unes derrière les autres comme si il ne s'agissait là que d'une simple brochette. D'un encas. Des êtres humains, elles ? Pas à ses yeux. De simples objets, peut-être des défis. Mais elles ne représentaient rien d'intéressant, si ce n'était un moyen de se soulager. Gardant ses bras le long de son corps, la brunette relâcha néanmoins la pression, dé-serrant les poings. Là, il était beaucoup plus sympathique, à l'embrasser ; à lui donner autre chose que de la vulgarité, des doigts ou de la mouille. Sincèrement. Et c'était l'unique raison pour laquelle elle se perdait contre ses lèvres ; le remercier ? Possible, dans un sens. Mais là, elle était plutôt en train de se convaincre que les intentions de joshua n'étaient pas toutes mauvaises. Peut-être voulait-il lui faire ça bien ? Peut-être se rendait-il compte du mal qu'il lui faisait avec ses actions manquant cruellement de tendresse ? Peut-être voulait-il se rattraper ? Pour ne pas avoir à la forcer, ou simplement parce que, finalement, il éprouvait quelque chose pour elle. Ne serait-ce que de la sympathie. User d'amour pour l'obtenir ? Comme si il avait besoin de ça pour se lier à une fille. Il suffisait que, lui, ait envie de quelque chose pour qu'il force l'autre à accepter. Pour qu'il lui impose son choix, ses désirs. « tu préfères que je te pénètre devant ou … » et le voilà qui recommençait. C'était un cas désespéré. Et, une nouvelle fois, les espoirs de la plus jeune s'envolaient. Se vider, voilà, c'était ça, son choix, son désir. La prendre, se masturber à l'intérieur de son corps, se libérer et se barrer. Prenant à la fois son pied et la fierté de hyeri. Se pinçant les lèvres, secouant négativement la tête, muette, cette dernière s'interrogeait : que faire ? Définitivement. Lui en foutre une et se barrer. Il n'était pas fait pour elle. Pour aucun être humain d'ailleurs. Sauf peut-être un masochiste prêt à passer sa vie à lui courir après et juste recevoir une dose de sexe en échange. C'était perdre beaucoup pour gagner queudal. Du moins, rien de constructif ou de permanent. Se laisser mourir sous les attentes. « oh. capote ! » borné, égoïste. Mais au moins raisonnable, voire responsable. Heureusement, d'ailleurs, qu'il ne faisait pas partie de ces mecs qui faisaient ça sans protéger parce que, là, elle aurait pu se tirer une balle juste après.

Dieu seul sait toutes les saloperies qu'il aurait pu attraper vu le nombre de nanas qu'il avait touchées. Et puis, elle ne voulait pas non plus risquer de tomber enceinte de quelqu'un d'aussi agaçant. D'aussi détestable, dans le fond. Se faisant traîner d'un bout à l'autre de la pièce, la muneo tapa du pied, tentant de ralentir son assiégeant. Risible. Joshua n'éprouvait aucune difficulté à la faire changer de place. Et c'est en moins d'une minute qu'il enfila sa protection, la brunette tournant la tête à temps pour ne pas voir son membre. Prude ? Non, pas spécialement, mais elle ne voulait rien entendre. Rien découvrir. Pas comme ça. Elle ne voulait plus rien avoir à faire avec lui. Tirant sur son propre poignet, cette fois-ci avec une pointe d'énervement, elle espérait échapper au courroux de l'ineo. Oui, là elle avait peur. Et c'est sûrement avec plus de force que précédemment qu'elle essaya de l'arrêter, secouant son bras en reculant rapidement. Non, non, non. Elle le voyait venir. Il ne déconnait pas. Au contraire, il était plus que certain, plus que décidé. Paniquant, elle n'arriva cependant pas à lui fausser compagnie, se retrouvant coincée contre le mur froid, poussant quelque chose qui ressemblait à un cri. Autant de surprise que de peur d'ailleurs ; sa voix résonnant dans la large pièce. Merde, merde, merde. Posant ses deux mains sur la pierre glacée, elle poussa fortement contre, se redressant, tandis que le brun faisait glisser sa culotte sur ses cuisses. « par derrière c’est vachement sexy, tu sais. » tournant la tête pour le voir, le regard presque suppliant, elle constata qu'il se masturbait près d'elle, empoignant une de ses fesses comme si il en testait la texture. La qualité. Un objet, un achat. Cauchemar ; qui s'intensifia lorsque la verge épaisse de joshua se glissa en elle, la faisant se contracter en étouffant un gémissement de douleur. C'était plus gros que la normale, clairement, et elle n'avait pas eu de rapports depuis un bon bout de temps. Et ce n'était pas les doigts experts du brun qui l'avaient réhabituée à encaisser une telle chose. Un tel monstre. Le souffle coupé, elle abandonna sa tentative de fuite pour le moment, griffant les pierres en fermant les yeux ; posant son front contre la surface froide. C'était si bizarre de sentir à nouveau quelqu'un à l'intérieur d'elle. Joshua se lança dans une lente série de va-et-vient, apaisant sa faim de sexe tout en attrapant l'octopus, la maintenant. La douleur s'effaçait au fil des secondes : dieu merci, heureusement que son corps n'était pas contre cette intrusion. Sinon elle se serait sûrement retrouvée à pleurer, sèche comme le désert. Là, non, ses cuisses, voire ses jambes entières, étaient trempées, comme l'intérieur de son propre vagin, étroit. Un peu trop d'ailleurs. Elle se sentait étouffée. Elle suffoquait. Et pourtant, et pourtant. L'ineo s'approcha dangereusement de son oreille, point sensible, lui offrant quelques marques qui, en temps normal, passeraient pour un semblant d'affection. Là, c'était bon. Cette entreprise venait de faire tomber une nouvelle barrière chez la coréenne, la faisant gémir ridiculement. Oh, oui, elle avait toujours la possibilité de contrôler ce qui sortait de sa bouche. Quitte à s'arracher la gorge pour en retenir les preuves de plaisir. La verge du brun allant et venant plus rapidement à l'intérieur de son corps brûlant la fit se cambrer, ses cheveux lisses glissant sur le côté, libérant son cou. Inspire, expire. Inspire, expire. Son intimité avait du mal à contenir le membre gonflé du plus vieux, la tiraillant. « tu peux me sentir, ici, en toi ? est-ce que ça te plait ? » s'étouffant une nouvelle fois, retenant un gémissement, hyeri pencha la tête en avant, regardant le sol mouillé. Si ça lui plaisait ? Oui. Non. Peut-être. D'accord, carrément. Mais il n'empêche que cette situation lui déplaisait dans le fond. Cependant, voilà. C'était joshua, encore et toujours, et malgré cette fermeté dont il usait, de son manque de gêne, de son manque de respect, il la faisait fondre. Littéralement. Et le sentir buter au fond d'elle, rapidement ou non, c'était plus qu'agréable. Alors, oui, elle perdait la tête, ses yeux se refermant automatiquement alors qu'elle se concentrait sur ses gestes, resserrant les jambes. Lui donner une réponse ? Et puis quoi encore. Non, elle ne nourrirait pas son égo en confirmant, c'était largement visible.
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Wang Joshua
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MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeMar 3 Mai - 14:01

Elle s’était cantonnée dans le mutisme, n’alignant aucun mot, ne formant aucune phrase ou bien même une onomatopée peu singulière, pas la moindre. Il n’y avait que ses gémissements ; plutôt étouffés, mourant sur ses lèvres pour ne pas lui montrer à quel point il était en train de lui faire du bien. Ah, elle voulait jouer à ce petit jeu-là ? Parce que oui, elle semblait toujours contre l’idée de coucher avec lui bien qu’attirée, voire entièrement sous son charme. Elle n’était donc pas à sa merci, elle n’était pas sous son total contrôle ? Tiens, en voilà un, de défi ! Quelque part c’était normal, cela prouvait qu’elle n’avait rien d’une fille facile, bien qu’au bout d’un moment l’idée de lutter perpétuellement contre la même chose, le même état d’esprit venait à agacer l’américain. Fort heureusement elle était bien moins forte, moins imposante que lui pour faire trôner ses choix. Et tout cela fonctionnait comme la loi du plus fort, c’était lui qui l’emportait. Il était le mâle dominant, le mâle alpha. C’était certes bestial, mais au fond, l’être humain fonctionnait bel et bien comme les animaux tout en ayant un coté pervers et mauvais en plus. Faire le mal juste par plaisir, est-ce qu’un animal était capable de faire ça ? Il s’en fichait, cela n’avait aucune importance à l’instant présent. Plus qu’égoïste, il se focalisait sur son propre plaisir, sur ce qu’il était en train de ressentir à l’instant présent bien à l’étroit dans la cavité vaginale de sa partenaire forcée. Ah, elle n’était pas déplaisante et la chaleur de son corps le nourrissait. Il se sentait revivre comme à pratiquement chaque rapport sexuel. Bon(ne) ou mauvais(e) partenaire, il avait eu de tout. Le choix était large et il n’était pas toujours facile d’évaluer la marchandise avant d’y avoir goûté. La seule chose dont il était certain, c’est qu’il ne réitérait jamais avec un mauvais coup ayant très peu l’envie de perdre son temps. Par contre, quand ça en valait la peine il n’hésitait pas à recommencer, histoire de voir les progrès ; un peu comme un professeur. Vocation peut-être ? Certainement pas, lui donner des cours ? Peut-être d’éducation sexuel et encore, rien de très pédagogique dans un sens, plutôt malsain mais cela n’avait rien de surprenant de sa part. Aujourd’hui son élève n’était rien d’autre que cette ravissante octopus dont il ne connaissait toujours pas l’identité. Oui, au fond ça l’agaçait un peu. Être incapable de mettre un nom sur un visage pendant l’acte et non sous l’emprise de la drogue, ça avait un petit je ne sais quoi assez irritant. Mais ce n’était que son humble avis, ce genre de situation arrivait encore souvent donc il était habitué, cela n’avait plus vraiment d’effet sur lui ou sur son comportement. C’était futile et si elle voulait jouer la mystérieuse, et bien qu’elle s’amuse. Elle devra porter sur la conscience d’avoir été baisée par un type qu’elle admire mais qui, lui, en revanche, ne connait même pas son prénom. Peu importe, après cet instant elle devra porter tout le poids de la culpabilité, de l’impuissance et du mal-être ; la croix et la bannière. Belle grosse croix d’ailleurs, comme ce qu’il était en train de lui infliger au creux de ses reins. Enfin, infliger c’était peut-être un bien grand mot. Vu toute la mouille qui était en train d’abonder, se faufilant comme elle le pouvait entre ses parois et sa verge pour sortir, il doutait sincèrement que tout ce dont il était en train de lui « infliger » soit un réel supplice. « bah alors, t’as perdu ta langue ? si je voulais que tu fermes ta gueule je te l’aurais dit. » gémissements étouffés, presque insignifiant ? Il en avait marre, il n’était pas là pour jouer à la dinette et maintenant qu’ils ne pouvaient plus reculer en arrière, elle pouvait bien se lâcher un peu non ? Y mettre du sien, juste un peu. Il pouvait bien taffer pour deux, mais tout de même. Merde ! Un peu de bonne volonté ma grande, ça n’a jamais tué personne.

Et puis, peut-être qu’il ne la possédait pas assez fort ou qu’il ne la faisait pas assez rêver. Elle en voulait peut-être plus ? Et même si ce n’était pas le cas il était déterminé à la faire hurler de plaisir. Qu’on l’entende ou pas, qu’est-ce qu’il en avait à branler ? Rien, strictement rien mais il savait que ça allait faire monter son plaisir crescendo ; le faire exploser même. Il n’avait pas besoin de se justifier, il en avant envie, point. Et puis pourquoi n’avait-elle pas répondu à sa question ? Pourquoi tentait-elle de faire taire ses gémissements. Il sentait la colère monter au fond de lui. Était-elle en train de le tester ou est-ce qu’elle voulait clairement lui dire qu’elle n’était pas satisfaite ? C’est qu’on ne badine pas avec ce genre de sujet. Vexé ? Pas tellement, il n’était juste pas capable d’interpréter les choses correctement et usant de maladresse il perdait vite le contrôle en tombant sans la brutalité. Elle n’allait pas y échapper bien qu’il était aussi le genre de garçon à aligner douceur et violence. « putain, jamais contente les gonzesses, je rêve. t’en as pas marre de me casser les couilles ? » le changement était assez soudain mais piqué au vif on ne pouvait s'en défaire. Ni elle, ni personne d’autre. Machinalement il glissa ses doigts dans les cheveux de l’inconnue se retirant de son corps dans délicatesse. Il se recula légèrement, l’éloignant du mur en tirant sur sa chevelure brune. Prenant une impulsion et sachant pertinemment qu’il usait de force et de douleur sur elle, il la propulsa au sol. La silhouette de la demoiselle s’effondra à plat ventre sur le sol comme si elle était décousue, totalement cassée. Elle pouvait bien s’être fait mal ou cassé un os, ce n’était pas très important. Au moins il aurait le luxe de l’entendre et l’idée de sceller ses lèvres une nouvelle fois ne lui passerait plus par l’esprit.« on va voir si t’as toujours envie de te la jouer muette tiens. ». Blasé il s’approcha de son corps décharné mais pourtant si désirable sur le sol, s’accroupissant entre ses cuisses qu’il écarta après avoir soulevé son bassin brutalement. Derechef il attrapa sa verge et la dirigea vers l’entrée de son intimité, la pénétrant une nouvelle fois brusquement, tapant au fond de son corps d’un coup sec. Lui-même lâcha un gémissement, amusé du rôle qu’il s’était attribué. Mais c’était tellement « lui » quelque part, ça lui manquait. Il n’avait pas peur de choquer, il n’avait pas peur de blesser, et c’était bien ce qu’on attendant d’un connard, non ? Au moins il s’assumait tel quel.

Il reprit un directement un cadence poussée, son bassin venant taper régulièrement et toujours plus rapidement contre le fessier de la bleue. Non, elle ne pouvait décidément plus se la jouer silencieuse. Lui si habitué était incapable de se taire, ses gémissements rauques ressemblant parfois à des grognements se perdaient dans l’immense pièce, résonnant contre les murs humides et froids. Au fur et à mesure que le temps passait il sentait la douleur lancinante dans ses genoux, dans la cambrure de son dos, il s’épuisait mais le plaisir reçu en valait la chandelle. Il n’était pas décidé à s’arrêter quitte à avoir mal aux jambes pendant une semaine. Il vint une nouvelle fois glisser sa main le long de la colonne vertébrale de la donzelle, attrapant ses cheveux. Il la força à relever la tête brusquement dans un coup de rein violent et profond. « à la hauteur de tes espérances, stalkeuse ? » dit-il dans un rire sarcastique. dénigrée ? Oui, peut-être bien, et alors ? Ce n’est pas comme s’il la connaissait finalement. Et ce n’est pas faute d’avoir été sympa les premières minutes.
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Jung Hye Ri
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(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeDim 8 Mai - 12:04

« on va voir si t’as toujours envie de te la jouer muette tiens. » il était malade. Hyeri ferma les yeux ; bordel, ses coudes et ses mains la brûlaient, autant que ses genoux. Mais quel connard ; il avait osé la jeter au sol comme une vulgaire poupée. La pensait-il indestructible ? Tentait-il de voir à quel point elle était insensible ? Il finirait par la tuer si c'était le cas. Mais à l'humble avis de la muneo, là, il voulait juste lui faire du mal. Parce qu'il était irrité, frustré ou alors juste violent de nature. Peu importe la raison, il n'était pas sain d'esprit pour en arriver à la traiter comme ça. S'en foutait-il réellement des blessures qu'il lui infligeait ? Autant physiques que morales. Vu son érection, ça ne le gênait aucunement. Au contraire, c'était à croire que toute cette mise en scène l'excitait davantage. Pervers. Se mordant la lèvre, la brune eut à peine le temps d'appuyer ses mains au sol, pour se redresser, que l'ineo revenait déjà la charge, l'empêchant de s'enfuir ; nouvelle pénétration, profonde, sèche, et cruellement bonne. C'était à en perdre la tête. Elle le haïssait tellement, lui et ses mauvaises manies et pourtant. Et pourtant, c'était sûrement un des passages les plus agréables, si on ne comptait pas une certaine douleur physique, de son existence. C'était joshua, et sa réputation n'était pas mal fondée. Au contraire, il avait même été sous-estimé. Lâchant un gémissement, ressemblant plus à un cri qu'autre chose, la coréenne serra les poings en appuyant son front au sol. « pu-tain. » en temps normal, elle n'était pas grossière. Bien au contraire, elle luttait contre la vulgarité, prônant le respect et la politesse. Mais là, il était difficile de rester sage, gentille, et encore moins de marbre. Il la tuait ce mec. Sexuellement parlant, il était un dieu. Oui ? Enfin, peut-être pas. Mais ses compétences dans ce domaine n'étaient de toute évidence pas discutables. Bien qu'il soit violent, il n'empêchait que le plaisir était là. Peut-être que cela était simplement lié à la grosseur dans son membre ? Dans le fond, des recherches plus approfondies n'étaient pas une mauvaise idée. Cela lui ferait sans doute une excuse de plus contre joshua si il désirait lui pourrir la vie après ce sombre épisode. Respirant plus fortement, ses gémissements se perdant par ci par là, la bleue se cambra, offrant ainsi une vue plus appétissante à son assiégeant. Ne devait-elle pas apprécier ce viol ? À la place d'en pleurer tout le long. D'un côté, elle se sentirait coupable, clairement, mais de l'autre, elle pourrait se libérer et ne pas gâcher son propre plaisir à force de se retourner le crâne avec la préservation de sa fierté. Le rouge n'était pas aveugle et le fait qu'elle essaye de rester muette ne devait sans doute pas changer grand-chose pour lui : ça nourrissait sa frustration, d'accord, mais il était persuadé qu'elle aimait ça. Et c'était le cas. C'était même visible. Alors elle pouvait se sermonner intérieurement, ça ne modifierait pas la conclusion de ce bordel. « pardonne-moi... » souffla t-elle, assez bas pour que le brun n'entende pas, une nouvelle série de gémissements s'encombrant dans sa gorge ; lâchés sous le coup de reins qui suivit peu de temps après. À qui demandait-elle le pardon ? C'était une bonne question, mais sans doute à elle-même. À sa fierté. À sa sœur, peut-être ? Elle s'en voulait d'être aussi faible, aussi sensible. Amoureuse, bêtement. De lui, d'un connard, d'un ineo, d'un bourreau des cœurs, d'un violeur, d'une brute. Si on faisait le calcul, elle avait plus à perdre qu'à gagner. La récompense était bien maigre, tout autant que ses espérances. Elle ne pouvait rien attendre de joshua, si ce n'était qu'il continue de gémir de la sorte, aussi sensuellement. Ou qu'il la regarde, de temps en temps, en pensant à ce moment. Si, toutefois, sa mémoire bourrée de souvenirs de ce genre était assez grande pour enregistrer celui-ci. Dans le fond, elle espérait, oui, qu'elle ne serait pas oubliée comme ça.

Un sentiment de peur s'installa alors en elle, une bouffée de stress se propageant dans la totalité de son corps en même temps qu'une forte vague de plaisir. Allait-il l'effacer de ses pensées, après ça ? Comme si elle n'avait été qu'une tâche à accomplir, une coche dans son emploi du temps chargé ? Ne désirant en aucun cas que cela arrive, la coréenne se redressa lorsqu'il tira sur ses cheveux, se cambrant au maximum pour paraître un peu plus désirable. Que pouvait-elle faire d'autre ? Passer pour une pute était hors de question. Pour une fille frigide aussi. Une coincée, une nana qu'il ne chercherait sans doute plus jamais à contacter. Non, pitié, pas ça. Redevenir invisible aux yeux du rouge après autant de temps à faire des efforts, pas moyen. Quels efforts, me direz-vous ? Voyez, même eux demeuraient invisibles. Et pourtant, la demoiselle consacrait pas mal de son temps libre à l'entretient de sa peau. Pour qu'elle soit parfaite. Douce, belle. Histoire qu'elle devienne jolie sans artifices. Peut-être n'était-ce pas le genre de nanas que joshua visait mais, pour une fois, c'est elle qui avait toute son attention. Alors elle allait en profiter. Mieux valait qu'elle n'ait aucun regret. Et puis, elle ne pouvait que se laisser aller, là, sous les coups de reins diaboliquement jouissifs de son agresseur ? C'était de la triche. Non seulement ça faisait longtemps qu'elle était célibataire mais, en plus de ça, elle se retrouvait face à un expert en la matière. « à la hauteur de tes espérances, stalkeuse ? » et plus que ça, même. La brunette hocha la tête, ailleurs, sans aucun doute perdue dans ses pensées et dans ces sensations plus qu'agréables. Stalkeuse ? Oh, il pouvait bien l'appeler comme il voulait. Elle était sous son contrôle total, en ce moment même. La dernière barrière venait de lâcher. Vivre le moment présent, voilà ce qui importait. La priorité. Laissant ses soupirs et ses gémissements passer ses lèvres sans même tenter de les retenir, l'octopus lança ; « hyeri. Je m'... je m'appelle hyeri. » dur d'aligner des mots sans se planter une fois entre les mains d'un vendeur de rêves. Les joues rouges, la jeune fille tourna légèrement la tête, qu'elle avait basse, afin de regarder le plus vieux. Ses yeux étaient sans doute voilés de plaisir, mais elle s'en moquait. Elle voulait l'observer, l'admirer, quitte à se battre contre la dernière marque de fierté qui persistait dans sa tête. S'humectant les lèvres, elle baissa les armes, définitivement, fondant sous chaque geste de l'assiégeant, son bas-ventre devenant un brasier. Et ce ne fut que lorsqu'il lâcha ses cheveux qu'elle colla son buste au sol, étirant ses bras, venant de nouveau appuyer son front contre le carrelage froid. « ça fait... du bien. » il doit s'en douter, mais merci de le préciser hyeri. Mais elle n'avait plus pieds, ce pourquoi elle n'analysait même plus ses pensées avant de les transformer en phrases. Respirant bruyamment, elle ramena une de ses mains dans son dos, cherchant celles de joshua. Elle se contenta de la hanche du garçon, la poussant doucement pour qu'il arrête. Elle ne lui laissa d'ailleurs pas vraiment le temps de réagir, s'avançant un peu pour pouvoir serrer les cuisses, coinçant plus ou moins ses jambes entre celles de son partenaire, de sorte à rendre son intimité encore plus étroite qu'elle ne l'était déjà. Ni une ni deux, elle recula, entamant une série d'ondulations. Elle voulait lui faire du bien aussi. Et quitte à être ridicule, pourquoi pas ? Peu importe si ses égratignures la brûlaient davantage sous les frottements.


Dernière édition par Jung Hye Ri le Mer 11 Mai - 22:31, édité 1 fois
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Wang Joshua
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« mon bien heureux orgeuil » ils savent tous ce que je représente. qu’importe les surnoms, qu’importe les insultes. et je les emmerde un par un. j’irais renommer l’enfer de dante s’il faut. « j'aime les gourmandises », mes sucreries sont bien plus mauvaises et dégradantes que vos mets ridicules. quel junkie je fais ? que serais-je sans l’apport quotidien de mon fils ; kessy ? je l’ai ramassé à la petite cuillère, il me doit bien ça, ce chien galeux. « et la luxure me détend » si bien que j’en suis devenu un putain de satyriasis depuis toutes ces années. hommes, femmes, prostituées ou pas. de vulgaires objets capables de me soulager l'espace d'un instant. mon jouet du moment ? hyeri l’octopus. trainée, fille facile ou juste idiote ? va savoir, je m'en balance. « paresseux comme un pacha » et l’école ne m’intéresse pas. je préfère de loin m’amuser avec mes potes. que serais-je sans ma bande fidèle ? dylan, skyler, joonhae ou bien même jinjung. le must reste bohyun alias babo, gaffe ambulante ce dude mais j'le surkeef. avec eux le temps semble moins long et bien plus distrayant. « l’envie me mène à la colère, d’un pas rapide » tout ce que je ne peux obtenir, que cela concerne un objet ou une personne, a l’art de me mettre hors de moi. je suis seul maître du jeu. et bientôt hyejin sera mienne comme tout le reste, ma parole contre la sienne. « et je suis cet enfant si avare » mes biens m’appartiennent, je les ai dument gagné. ils me reviennent de droit et je ne supporte pas l’idée de les partager. qu’ils essayent, ces bâtards. ma belle et tendre noa ; canevas de la femme de ma vie. pour ne plus jamais voir ses larmes rouler le long de ses joues je deviendrais ce chien brutal.


(nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. _
MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeMer 11 Mai - 16:47

Et puis soudain, comme si de rien n’était ; elle lui avoua son prénom. Se sentait-elle envahie par quelque chose, totalement noyée ? Possédée par un démon sans doute, celui-là même qui était en train de lui délier la langue et toutes ses chaines. Celui qui cassait ses barrières mentales les unes après les autres sans la moindre délicatesse. Il y avait bel et bien quelque chose qui avait changé en elle, joshua pouvait la sentir plus libérée et moins réticente. Finalement ses menaces avaient eu raison d’elle, et l’octopus avait docilement plié l’échine face à l’autorité, le dragon. Tant mieux, l’inverse aurait vraiment eu la fâcheuse tendance de le mettre hors de lui jusqu’à un point de non-retour. Lancé dans une série de mouvements plutôt brusques, il s’était arrêté l’espace de quelques secondes, un vague sourire amusé sur les lèvres. Un sourire de vainqueur puisqu’en réalité il ne voyait que sa petite victoire sur elle. Oui, elle avait fait la sourde oreille, l’avait cherché jusqu’à ce qu’il devienne violent et la jette au sol. Et la voilà qui cédait au moindre petit coup de reins un peu trop brutal. Peut-être n’attendait-elle que ça, au fond ? Et si ce n’était pas vraiment le cas, pourquoi s’était-elle entichée de lui ? Ne connaissait-elle pas sa réputation ? Y avait-il quelqu’un dans cette putain d’école qui ne connaissait pas encore l’existence de cette sirène ? Ou alors était-elle simplement sado-maso ? C’est vrai, peut-être que cette hyeri était tout simplement masochiste ! Pourquoi chercher midi à quatorze heure. Et la seule raison pouvant expliquer son attirance envers joshua devait être son besoin de domination. Bien sûr, qui mieux qu’un ineo pour satisfaire ce genre de désir malsain ? Cela dit il n’était pas là pour se torturer l’esprit à essayer de comprendre comment pouvait bien fonctionner cette fille ou bien même déchiffrer les idées saugrenues qui lui passaient par la tête, comme par exemple pour prendre des photos volées de lui et se les trimballer dans un journal dans les couloirs d’akiwa. D’ailleurs, il s’en fichait, non ? Loin de lui l’idée de vouloir rester en contact avec elle. Il n’y avait décidément pas de place pour cette fille dans sa vie et il ne voulait rien savoir d’elle non plus. Il ne trouvait rien d’important à retenir si ce n’était sa capacité à mouiller sans limite. Non, vraiment, cette octopus n’était pas intéressante. Sans doute était-il trop connard pour penser de la sorte ou pas assez tolérant, allez savoir. De plus il couchait rarement plus d’une fois avec la même personne. Ça arrivait encore bien de temps en temps certes, mais il fallait vraiment que celle-ci lui marque l’esprit, le captive du début à la fin jusqu’à créer une obsession dans sa tête, envahir ses pensées et le mette au pied du mur. Jusqu’à ce qu’il soit en manque ou n’arrive plus à se satisfaire avec quelqu’un d’autre. Il se sentait alors obligé de la posséder une nouvelle fois, de réitérer tous les fantasmes enterrés, toutes ces choses qui l’auraient frustrées auparavant. Peut-être que hyeri allait générer ce genre de besoin chez lui – c’est vrai, une fontaine quoi ! Ce n’est pas tous les jours qu’il a droit à ce genre de traitement – mais il était bien incapable de le dire. Ce qu’il savait, là maintenant, c’est que les bienfaits étaient présents et qu’une fois soulagé il allait la virer tout aussi rapidement de sa vie et des douches, accessoirement. Alors oui, il devait sans doute être trop cruel. Mais lui offrir de l’attention, n’était-ce pas pire, au final ? Faux qui plus est, au moins il savait se respecter ; lui et ses valeurs. Il n’avait rien d’un être tendre, amoureux ou attentif. Pire encore il détestait cela sans raison. Non pas parce que ça faisait de lui une personne banale, plate et sans aucun intérêt, mais parce qu’il ne supportait pas cet asservissement quasi-total voire total qu’infligeaient les sentiments. Et l’amour entraine inévitablement l’asservissement et toutes ces autres conneries dont il se tient très loin. Et puis, comment peut-on parler d’amour alors qu’il avait quasiment forcé cette fille, sans même la connaitre ? Du grand n’importe quoi en somme. Mais peut-être que quelques malades pouvaient trouver une part d’amour là-dedans, il en faut pour tous les goûts, n’est-ce pas ? Même les plus mauvais de la terre. Qu’importe les maux.

Quoiqu’il en soit il ne pouvait pas faire autrement. Ayant repris sa cadence folle, il martelait de nouveau le bas ventre de la jeune fille pendant de longues minutes ; accélérant et décélérant à tout bout de champ pour changer les sensations, pour ne pas s’enterrer dans la monotonie la plus totale. Non elle ne devait pas s’habituer à ce qu’il était en train de lui faire et lui devait économiser ses forces jusqu’au dernier coup de reins. Comme pour la course, il faut toujours tout donner à la fin histoire de devancer les adversaires, les prendre par surprise. Alors quelque part elle pouvait bien prendre le pli, s’accommoder pour être mieux étonnée par la suite. Mais le but était bel et bien de faire grimper le baromètre, sa chaleur interne. Il devait l’emmener jusqu’à l’orgasme sans pour autant l’y faire plonger. Une forme de torture en soit, la faire languir un peu plus et lui faire prendre conscience qu’au final elle n’est qu’une petite chienne qui a soif de se faire dominer et de prendre son pied, que tout ce qu’elle avait pu dire auparavant n’avait plus de valeur désormais. Casser l’image qu’elle s’était donné, en gros. Sa verge durcie frottant toujours contre les parois vaginales de la donzelle, il n’arrivait même plus à taire ses gémissements plutôt rauques. Il savait qu’il n’en avait plus pour longtemps mais voulait faire durer le plaisir au maximum. La mouille toujours abondante de la jeune fille ruisselait sur le pubis de joshua ainsi que sur ses cuisses et les siennes. Le bruit de son bassin tapant sans délicatesse contre celui de l’octopus devint de plus en plus brutal, remplaçant bientôt leurs gémissements. « évidemment que ça fait du bien. » et ça sonnait plus comme une fatalité qu’autre chose. Non mais sérieusement, à quoi s’attendait-elle ? Enfin, ça avait au moins le mérite de lui flatter l’égo, encore et toujours. Empoignant les cheveux de la jeune fille il s’insinua en elle encore plus profondément, venant mordre son épaule après s’être courbé au-dessus d’elle, frottant agréablement son torse brûlant contre son dos.

Les minutes s’enchainèrent tout aussi rapidement, épuisé de plus en plus, les genoux lancinants. Mais faisant durer le plaisir au maximum, histoire de lui laisser un souvenir digne de ce nom. Et peut-être qu’en sortant d’ici elle allait courir écrire dans son fameux journal ses péripéties ; aujourd’hui joshua m’a fait l’amour – car peut-être que dans sa tête, ça sonnerait comme ça. Un acte moins ragoutant – et j’ai adoré ça. Et peut-être allait-elle développer une obsession à son égard, encore plus forte que cette présentement. En réalité il ne savait pas du tout comment elle allait se comporter avec lui, il espérait juste ne pas écoper d’une folle furieuse capable de lui écrire des lettres d’amour avec son sang. « aah. j'espère pour toi que tu vas bientôt jouir, parce que je ne compte pas faire des prolongations après avoir éjaculé. » bah quoi ? C’est vrai, y a jamais que son petit plaisir qui compte. Et puis elle avait déjà joui une première fois, là, c’était bonus quoi.
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Jung Hye Ri
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MessageSujet: Re: (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi.   (nc-17.) there's no other superstar. paparazzi. Icon_minitimeSam 28 Mai - 8:29

« évidemment que ça fait du bien. » et c'était comme si elle le connaissait déjà par cœur. Il était si imbus de sa personne que sa réponse avait été devinable à des kilomètres à la ronde. Il n'avait pas pu se taire, garder son évidence pour lui-même ; c'était trop lui demander. Il voulait avoir raison et, lorsqu'il obtenait l'objet de ses désirs -de gré ou de force-, il ne pouvait s'empêcher de tout faire pour que ce dernier aille dans son sens. Joshua était fier de ses capacités dans le domaine du sexe, de son talent, même. Mais devait-il le bien qu'il procurait à son expérience ou, plus bêtement, à la simple grosseur de son membre ? C'était une bonne question. Peut-être était-ce les deux combinés. Mais, peu importe, il était sûrement plus avantagé que la moitié des coréens, ce n'était donc pas négligeable comme détail. Et puis, de toutes manières, l'entendre se vanter dans un moment pareil ne la dérangeait pas plus que ça. C'est à peine si elle avait conscience de la situation dans laquelle elle était plongée tant le plaisir la submergeait. Son corps entier tremblait, subissant les coups de reins du plus vieux. Visage au sol, buste de même, elle observait son assiégeant sans dire mot. Elle gémissait voilà tout, serrant les dents et les poings sous chaque nouvelle sensation qui l'entraînait lentement vers l'orgasme. Ce n'était pas spécialement cette brutalité dont il faisait preuve qui lui plaisait, bien au contraire, elle n'était pas vraiment friande de cette force dont il usait. Du moins, disons qu'elle n'appréciait pas d'être dominée par des coups -sans mauvais jeu de mots- : être plaquée à un mur, jetée au sol (...) non, définitivement, elle n'aimait pas ça. Ce qu'elle appréciait était une toute autre chose : ce cher joshua. Simplement. Il était peut-être un beau salaud, mais l'adjectif le désignant avait un très grand pouvoir, comme ce caractère si mauvais qui lui allait pourtant si bien. Et puis, dans le fond, on ne décide pas du coup de foudre, n'est-ce pas ? Si cela n'avait été qu'une histoire de choix, alors nul doute que notre brunette aurait fini sa vie seule avec des centaines d'enfants venus d'on ne sait où. Mais voilà, la vie n'était pas faite comme ça et, à ce jour, elle était amoureuse à en devenir dingue de ce rouge. Alors, oui, elle se taisait et ne cherchait plus à comprendre, se laissant faire ; mieux, elle participait à ces ébats de son plein gré. La fierté étant partie, elle continuait d'onduler, plus rapidement, essayant de se calquer sur les gestes de son aîné. Les doigts de ce dernier attrapant ses cheveux, hyeri se redressa légèrement, s'appuyant à nouveau sur ses mains pour décoller le haut de son corps du sol : il ne pouvait pas s'empêcher de la traiter comme un animal ou elle hallucinait ? Remarque, il devait bien être du genre macho ou un trou, je prends, je me casse ; donc il n'y avait plus grand chose de bien étonnant à ce jour. « aah. j'espère pour toi que tu vas bientôt jouir, parce que je ne compte pas faire des prolongations après avoir éjaculé. » voilà qui était franc, comme toujours depuis le début de l'acte. Il ne mâchait pas ses mots, les balançant sans la moindre gêne, le moindre tact. Il disait ce qui lui passait par l'esprit, se fichant bien de la réaction que pourrait avoir la muneo.

Et, quoi, qu'allait-elle faire de toutes façons ? Elle se faisait déjà maîtriser, ce n'était pas des paroles blessantes qui allaient empêcher joshua d'en venir à sa fin. Non, il s'acharnerait, violent, une nouvelle fois sur elle jusqu'à ce qu'il se vide. Là, seulement, il l'abandonnerait. Mais il était beaucoup trop proche du plaisir total pour se braquer et s'arrêter si hyeri répondait, mordante. Oh, non, non. Et puis, que pouvait-elle bien dire ? Hors de question qu'elle lui fasse comprendre, clairement, qu'elle voulait que ça dure encore plus longtemps. Indéfiniment, même. Et puis, ça serait exiger beaucoup trop de lui : elle avait déjà la chance de l'intéresser depuis une bonne demi-heure. De ce fait, elle ne pouvait pas non plus demander la lune. Hochant la tête, hyeri se força à se concentrer ; il fallait qu'elle se lâche complètement, qu'elle ne s'intéresse plus qu'au plaisir impressionnant qu'elle ressentait. Qu'elle se laisse venir, simplement. Penchant la tête en arrière, toujours gémissante, elle mit donc fin aux dernières barrières, roulant des hanches beaucoup plus rapidement, les frottements à l'intérieur de son corps s'intensifiant et propageant dans son bas-ventre une chaleur presque étouffante. La voilà qui avait une respiration saccadée, le souffle court, tentant vainement d'atténuer ses propres ondulations pour faire durer l'attente, des fourmillements déjà bien présents entre ses cuisses, annonciateurs de l'orgasme. Elle était à quelques secondes d'exploser et, pourtant, elle luttait encore, essayant de franchir la dernière barrière tout en ralentissant au moment où elle sentait que ça allait partir. Pourquoi ? Les dernières secondes de conscience. Les dernières secondes avec joshua, aussi, sans doute. Elle désirait donc faire durer le moment un peu plus longtemps. Mais elle n'en pouvait plus. Et se forcer ainsi à combattre le plaisir était plus que difficile. Ce pourquoi elle finit, inévitablement, par jouir, se cambrant violemment, serrant les dents au maximum. Une nuée de gémissements vinrent se bloquer dans sa gorge tandis que le plaisir fusait dans ses veines, traversant la totalité de son corps. Le premier réflexe fut sa main droite qu'elle cala entre ses jambes, espérant retenir le nouveau jet qui la rendait si honteuse. La mouille glissa entre ses doigts, alors que son bras et ses jambes tremblaient fortement, des spasmes se pointant. C'était bon, fort, et les derniers coups de reins profonds et saccadés de son amant ne firent qu’amplifier chaque intense vague de chaleur qui la submergeait. L'ampleur était telle que des cris, brefs, passèrent finalement ses lèvres pincées, résonnant dans la large pièce. Bon, d'accord, encore un point pour l'ego de joshua.
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