Annyeong ! je me nomme Lee In Young, je suis né un treize février dix-neuf cent quatre vingt-douze, j'ai dix-neuf ans et je suis de nationalité coréenne, ce qui fait que je suis actuellement en cinquième année; la classe, n'est-ce pas ! Sinon, moi, je suis un sang-pur et je suis hétérosexuelle. Mon animal de compagnie, c'est un furet répondant au nom de Bran et ma baguette mesure 23 cm, en bois d'acacia, & contient une plume de phénix. Tant que j'y suis, la maison à laquelle je souhaiterais être réparti est Muneo - par contre, je vous supplierais d'éviter Ineo ! Et dans la vie, j'aimerais être ministre de la magie. Bon, c'est bien tout ça, mais si on passait aux choses sérieuses ?

n'incluez pas la question dans votre fiche, mais bien uniquement le chiffre de la question. c'est pour la netteté et la visibilité.

1. Pourquoi faudrait-il être toujours là, au mauvais moment ? Quand les choses vous tombe sur le coin de la figure, ça peut faire mal parfois. Comme à cet instant. Mais quand on est un sorcier, qui plus est d'une famille comme la mienne, qu'est-ce qui peut m'arrêter ? Et quand on est une bonne élève, toujours comme moi, alors il suffit de revoir quelques cours, rapidement dans notre tête, pour retrouver la formule idéale. Lashlabask. Expulsio. et... ah oui, un sortilège d'insonorisation autour de moi histoire de ne pas être atteinte par le chant mélodique de ces créatures. Avec tout ça, si je n'arrive pas à sortir mon ami de leurs griffes, alors je n'ai plus qu'à me reconvertir en troll ! Mais ça ne devrait pas être trop difficile et d'ailleurs, dès que j'aurais sauvé cet ami en question, il risquera de baisser dans mon estime. Comment peut-on se faire avoir par ce genre de créature que l'on sait être néfaste et tueuse ? Quel idée de se balader au bord de CE lac, CE jour, à CE moment quand JE passe par là ? Totalement incohérent. Mais mine de rien, je sens que je vais lui donner des cours particulier afin qu'il ou elle apprenne un peu à se défendre seul. Je ne pourrais pas toujours être là pour sauver les personnes que j'aime même si, je l'aimerais. Mais nom d'un dragon ! Qu'il faut être stupide...

2. Choix B : Manquer la chance d'avoir une très bonne note ? Jamais-de-la-vie ! C'est clair ? Ces amis ne la connaissent donc pas assez pour ne pas savoir ça ou quoi ? Vive les amis, hein ! Ceux qui sont sensé vous connaître sur le bout des doigts. Bref, autant dire qu'il est impossible, pour moi, de repousser un devoir même si c'est d'une heure. On sait comment c'est une fête. On se dit qu'on ne va pas y rester longtemps et finalement, vous remarquer que les heures se sont transformer en seconde, vous ne rentrez qu'au petit matin et macashwallou, le devoir dans le cululu et mauvaise note en prime. Mais comment faire si, en plus de ça, la partie la plus idiote de la population akiwaienne vient vous taquiner juste pour vous ennuyer... ? Alors là, si je remets la main sur celui, celle ou ceux qui ont osé faire ça... je les ligote à un arbre de la forêt et les laisse à la merci de la première créature carnivore qui peut passer. A moins qu'il ne craque et me révèle enfin la place de mes notes, là, on pourrait trouver un petit arrangement. Mais si, pour ça, je dois bloquer tout les élèves dans leur dortoir et les tenir enfermer pendant des heures en lâchant des lutins de Cornouailles en guise de torture, ça me convient parfaitement aussi. J'ai des tonnes d'idées tortionnaire encore jamais testé parce que je suis une personne gentille d'ordinaire. Je saurais peut-être, ainsi, où sont mes notes et je remettrais la main dessus coûte que coûte. Pas de doute. Il ne faut pas abuser de ma bonne personne, c'est tout.

3. Ah mais, on ne vous a jamais dit que j'étais la meilleure élève et que... que je n'ai aucune raison pour me trouver dans le couloir à cette heure-ci ? Aha... la bonne blague... Disons aussi que jamais je en dormirais en cours le lendemain mais qu'en même temps, je connais tout par coeur puisque ce professeur semble aimer radoter... Hum. Dans tous les cas, si me retrouver ici peut me coûter des heures de retenues et bien soit. Je n'ai pas l'habitude de stimuler (hey, arrête tes pensées perverses, t'es grillé ! è.e) et je suis fier d'être comme je suis alors tant pis. Ça sera ma première et dernière erreur. La prochaine fois, je resterais sagement dans la salle commune à tourner en rond plutôt que de me confronter à pareille personne. Et j'aurais l'occasion d'apprendre plutôt que de me faire enguirlander à tout bout de champ. Surtout que je ne veux pas du tout prendre la direction de mon frère alors oui, ça sera la première et dernière fois. J'assume ma bêtise, et je resterais tête baissée devant cette vieille mule à attendre ma sentence en lui expliquant bêtement que je n'avais pas sommeil. Point.

4. C'est quoi ça, une blague ? Si s'en ai une, elle est vraiment pas drôle. Comment oser me demander, à moi, parfaite jeune fille de confiance, de révéler les secrets que l'on m'a confié à quelqu'un que je ne connais pas ? Les directives ont été strictes. Ne rien dire. Alors je ne dirais rien. Pour ce qui est de cette personne, j'irais en référé au directeur. Il faut toujours se méfier et écouter les personnes de plus grandes confiances. Les personnes que l'ont connaissent. Et puis ça pourrait très bien être un teste pour savoir si je suis, ou non, quelqu'un de confiance ce qui, en soit, serait aussi très débile. Je suis une personne de confiance. Mais ça, tout le monde ne le sait pas forcément. Tout comme j'ignorerais totalement les propos, même si très intéressant, de cette personne, rien ne me garantie quand à la sincérité de ses propos et comme je dis, j'aime avoir des garanties. Vous ne trouvez pas que je ferais une bonne mafieuse ? *bam* ça a rien à faire ici, je sais.

5. Kekeke, moi je n'ai rien contre les moldus, qu'on soit bien clair. Je n'ai rien à voir non plus avec ces personnes, parce que nous avons de grande différence et nous ne faisons pas partie du même monde. De la même planète, oui, mais pas du même genre de vie et c'est ça qui nous différencie. Je n'ai rien contre eux mais je ne vais pas aller les vénérer non plus. Je préfère largement les sorciers, puisque ma famille et toute ma lignée en sont. Mais je répète, je ne vais pas aller les insulter que ce soit devant eux ou dans leur dos. Ils sont humain, après tout, non ? Mais je le répète, je suis une sorcière de sang-pur toute fois.

6. Je suis une fille de bonne famille, très bien élevée et, chez moi, la politesse est de rigueur mais vous ne me verrez pas faire de grandes manières tout de même. Je suis toujours préoccupé par ce qui est bien ou ce qui est mal et je suis toujours en train de mettre mon grain de sel, d'offrir des leçons de morales de sorte à pouvoir réellement juger les personnes en les connaissant par ailleurs. Je ne suis pas du genre à juger sans connaître même si, parfois, au premier abord, certaines personnes peuvent se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas. Et qui à dit que j'étais sage ? Ce n'est pas parce que je suis quelqu'un de Muneo, venant d'une grande famille populaire que je suis une fille modèle à prendre en exemple... quoi que si, vous pouvez me prendre en exemple quand même. Le truc c'est que je ne suis pas sage telle une bonne vierge, une sainte, non. J'aime bien les garçons, et même si je n'ai obéit qu'à un seul homme dans ma vie, j'ai enfreins la règle du baiser depuis longtemps. Et même si c'était interdit, à l'époque, je n'allais pas attendre que mes parents décident pour moi, c'est une chose qui doit se faire naturellement. Et l'amour, ça ne se commande pas, alors si je dois me cacher pour fréquenter, c'est la seule chose que je ferais dans le dos de mes géniteurs. Je garde l'image de la fille sage, présentable, élégante, modèle. Et ce, même aux yeux de ma famille qui semble rassurée de ne pas me voir finir comme mon frère. Et même moi j'en suis rassurée. Je n'aurais pas aimé être à sa place. Je ne me plaindrais jamais d'avoir eut tout ce que j'ai. Vivre sans avoir de besoins puisque j'ai toujours eu ce que je désirais que ça soit nourriture comme des vêtements ou des choses de décorations. Ce que je pourrais également dire, sur moi, c'est que je ne peux pas repousser les études. Pour moi, c'est une chose primordiale qui, sans ça, ne pourrait pas m'apporter un bel avenir. Je ne fais donc rien passer avant. Et il y a la famille, l'honneur, etc. Toutes ces choses sur mes petites épaules qui font que je suis obligé de me remuer pour continuer dans ma bonne lancée !