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 Sexe baby Sexe, Ils trouvent que c'est un délice, baby sexe [Feat. Song Wan]

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Matsuo Sachiko
Matsuo Sachiko
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Sexe baby Sexe, Ils trouvent que c'est un délice, baby sexe [Feat. Song Wan] 391936001303914539
Il y a des choses dans la vie qui sont préférables d'oublier & pourtant malgré ce besoin d'oublier, il est difficile de faire un trait sur certaines choses, sur certaines personnes. J'ai beau me dire que Yamada Ren, c'est de l'histoire ancienne, qu'il n'est plus celui que j'ai tant apprécié, je n'arrive pas à totalement l'oublier. Si je le faisais, la situation serait beaucoup plus simple. Fais-je devoir utiliser les grands moyens pour le supprimer de mon esprit ? Surtout que la situation risque d'empirer après la nouvelle qui m'attend. Cessons de penser à ça, il me semble que j'ai d'autres chats à fouetter, comme par exemple, un certain Kwon Han Byul. Par sa faute & depuis ma fameuse apparition dans le m.a.n, ma réputation est ruinée. Comment est que je vais faire pour qu'on ait une nouvelle image de moi ? Je le déteste & je compte bien me venger. J'ai besoin de réconfort, tout de suite & la seule personne qui puisse me procurer ce soutien est mon meilleur ami, Yoon Ki Suk, sauf que depuis quelques temps, il tente de m'éviter. Je ne comprends pas son comportement. Aurais-je fais quelque chose de mal ? Il ne me semble pas. J'aimerai le voir, lui parler, mais je n'ose pas car j'ai peur qu'il ne daigne pas me parler.
La seule personne qu'il me reste finalement, c'est Lee Dong Su. Même si depuis notre fameux soir, j'ai du mal à le voir comme avant, mais fort heureusement, notre relation est toujours la même & je l'apprécie toujours autant mon Oppa !



Sexe baby Sexe, Ils trouvent que c'est un délice, baby sexe [Feat. Song Wan] _
MessageSujet: Sexe baby Sexe, Ils trouvent que c'est un délice, baby sexe [Feat. Song Wan]   Sexe baby Sexe, Ils trouvent que c'est un délice, baby sexe [Feat. Song Wan] Icon_minitimeJeu 2 Juin - 4:16

Comme le disait si bien Buytendijk « Seul, notre propre corps peut nous torturer ». Il n’avait pas tort lorsqu’il prononça ses mots. En effet, le corps était l’unique moyen de ressentir & de percevoir les diverses émotions, sensations, douleurs, que le monde conservait. Sans corps, il n’y avait rien, sans corps, l’humain ne pouvait concevoir son existence. Le corps était le tout, le contenu & le contenant. Le corps était fait d’un mécanisme particulier qui permettait ainsi à l’Homme de comprendre sa nature & de se torturer. Le corps semblait futile & pourtant il était loin de l’être. Le corps était un avantage comme un désavantage. Mais quelle situation était plus difficile, plus délicate entre ressentir & ne rien ressentir ? L’individu se plaignait souvent que son corps le torturait, lui rendait la vie impossible alors qu’il le rendait tout aussi heureux. S’émouvoir, pleurer, crier, avoir mal, être apeuré, ressentir les vives sensations, avoir le goût, sauter, sourire, chanter, s’emmitoufler. Tout cela était le pouvoir que le corps exerçait sur l’humain. Sans corps, l’être vivant n’était pas être. Porter le poids du corps n’était pas aisé, mais ce n’était pas non plus une difficulté qui était insurmontable. Accepter le corps, même torturé, était la plus sage décision. Le corps engendrait bien des pêchés qui étaient parfaitement réfutés par les lois des religions & de la société. Par exemple, le corps était soumis à des pulsions, à des envies hormonales, qui le poussaient à déjouer les règles de la nature & à succomber à la luxure. Le corps faisait naître le désir & le désir nourrissait le vice de l’humain & le vice était la faiblesse de l’Homme. Tout Homme, qui avait vécu sur Terre, avait déjà eu un sentiment douloureux & ardent au niveau du bassin, le poussant ainsi à transgresser les normes & valeurs mises en place par les pouvoirs. Un Homme ne pouvait rester placide face à ses convoitises. Malgré le fait qu’il tentait de s’éloigner de ce vice, il finissait toujours par céder à la tentation car celle-ci était bien trop embrasée pour la contenir fort longtemps. L’Homme avait ses impuissances, des moments où même sa conscience & ses principes n’y pouvaient rien. L’humain ne pouvait pas garder un perpétuel contrôle sur lui-même, il n’en avait pas la possibilité. C’était comme avancer une thèse erronée que l’on préférait tout de même présenter. Malgré ce côté factice on continuait à présenter cette fameuse thèse & au final, on se brûlait les ailes. Il fallait donc choisir la bonne issue. Avouer cette faute & ne pas se faire blâmer ou rester dans le mensonge & finir avec un rabaissement. Sentir le plaisir dévorait notre âme était un appel vers la dérision dont il fallait répondre par le positif car en laissant ce désir entrait en nous, on finissait toujours par devenir complètement obnubilé par cette soif. Autant avoir une once de contrôler que pas du tout. C’était la seule échappatoire qui s’offrait à nous. Si on dérivait du sentier, on pouvait perdre rapidement la tête.

La japonaise, Sachiko, avait certains fondements qu’elle désirait préserver à tout prix. Néanmoins, elle ne parvenait pas à les tenir tous les jours. Énormément de personne la pensait innocente & certainement vierge. Certes, elle n’avait pas eu de relations avec un homme depuis un moment déjà & elle s’était promise de ne plus avoir de rapports avant de sortir concrètement avec une personne, mais cela ne signifiait pas qu’elle était pure réellement. Sachiko n’était pas non plus une dévergondée, au contraire, toujours passive, elle était dans la catégorie des personnes de l’école étant un certain modèle pour les nouveaux. Elle était classée de manière juste mais d’un côté, ce comportement de petite fille sage n’était pas véritablement son vrai visage. Elle pouvait avoir des pensées saugrenues ou encore elle agissait de temps en temps comme une fille n’ayant aucun principe & qui se contrefichait royalement de tout ce qui pouvait tourner autour d’elle. Finalement, la jeune fille avait deux tempéraments complètement différents. De un, elle était sage, elle était attentive en classe, elle avait toujours d’excellentes notes, elle faisait à chaque fois les durs travaux que l’école lui demandait, elle voulait jouer son rôle de préfet, bref, elle était conforme aux désirs de l’école. De deux, elle était une fille qui goûtait parfois aux déboires scolaires, qui avait déjà goûté à de dangereuses substances illicites, qui se rendait aux fêtes, qui avait, rarement mais un peu quand même, des relations poussées avec le sexe opposé. Sachiko était donc constituée de deux comportements. Toutefois, depuis quelques temps, elle s’était assagie. A cause de l’atmosphère pesante qui régnait dans Akiwa, elle tentait de rester calme & surtout, elle préférait rester dans l’ombre, à l’écart de toutes les rumeurs. Dans cette école, tout parvenait aux oreilles du M.a.n & il suffisait d’être affiché dans ce journal d’étudiant, pour perdre sa notoriété. Hors là, le moment n’était pas venu de la perdre, en tout cas pour la jeune fille. Trop d’atrocités s’étaient passées dans l’école, il ne devait plus avoir de débordements. De plus, les directeurs des maisons avaient bien expliqué aux élèves qu’un seul faux pas pouvait leur être fatal & ils avaient avertis les préfets des maisons en leur spécifiant qu’ils devaient être le modèle pour chaque étudiant car au moindre remonté, ils allaient avoir des soucis. Il y avait suffisamment de problèmes pour en rajouter un autre. Les préfets devaient donc rester tranquilles pendant longtemps. Par conséquent, ils ne pouvaient pas se rendre aux fêtes organisées, ou encore avoir de relation sexuelle au sein de l’école, ou utiliser de la magie noire pour corrompre ou punir les élèves désobligeants. Sachiko avait très bien compris le message ce jour-là & elle s’éloignait de toutes personnes qui pouvaient la nuire ou la poussaient à des choses peu saines.

Mais il arrivait que le destin ait un goût amer & notamment un goût sadique. A tout moment, un évènement perturbateur pouvait surgir & déstabiliser la jeune femme. Elle pressentait depuis quelques temps déjà que quelque chose d’imprévu surviendrait. Elle guettait & appréhendait d’ors & déjà ce moment fatidique. Elle était tout de même apeurée car elle avait la sensation de savoir ce qui allait se dérouler, mais d’un côté elle était dans le doute. Étant dans le doute, elle se méfiait de toutes ses relations & surtout elle analysait chaque mouvement. Ce qui l’horripilait le plus, c’était qu’elle sentait la chose venir de jour en jour, mais elle ne savait pas la nature de cette chose. Forcément, elle n’avait pas de pouvoir sur son destin, mais si elle aurait aimé en avoir un, cela l’aurait permis d’accéder à de nombreuses situations & d’en éviter.

Ce jour-là, Sachiko avait fini les cours plus tôt que prévus. Son professeur de potion étant absent pour trouble obsessionnel, elle avait terminé avant l’heure. Heureuse de finir ses cours, car étant trop fatiguée pour en suivre un autre, elle décida tout de même de finir sa dissertation sur les créatures magiques qui régnaient dans le monde des sorciers. Elle n’était pas passionnée par cette dissertation & elle aurait préféré tomber sur un autre sujet, mais elle voulait absolument l’avancer pour pouvoir être sereine plus tard. Elle savait que c’était la période où les professeurs s’amusaient à donner des devoirs difficiles aux élèves. A force d’accumuler les devoirs, on finissait par en avoir tellement que l’on ne pouvait plus s’en sortir. Étant ordonnée, Sachiko avait déjà fini de nombreux devoirs & il y avait des jours où elle ne travaillait pas du tout tellement elle s’avançait. Ce jour-là était une opportunité pour avancer sur sa dissertation. Elle se dirigea donc vers la bibliothèque, passant donc par les couloirs qui étaient vides. A cette heure de la journée, plus personne ne se trouvait dans le couloir, ils étaient soit en cours, soir dehors pour profiter de la chaleur qui était présente à l’extérieur. Le temps était magnifique, alors autant profiter. Sachiko n’avait pas ce temps-là, ou alors plus tard.

Peut-être que si elle avait emprunté un autre chemin, rien ne serait arrivé, peut être que si elle avait suivi ses amis, tout cela n’aurait eu lieu. Cependant, avec des « peut-être », on ne faisait guère un monde. Marchant d’un air enchanté & innocent, Sachiko avança dans les couloirs, ceux qui allaient l’amener vers une chute lente & longue.
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