bonjour, je me présente; shim mi young, je suis âgé de 27 ans ans et je suis intéressé par le poste d' infirmière. pour plus d'informations à mon sujet, je suis de nationalité coréenne et je suis né un 18 juin 1983, je parle couramment le coréen, le japonais & l'anglais et ma baguette mesure 35 centimètres. Elle est en bois de frêne et contient un poil de licorne..



1. Mon parcours scolaire… n’est vraiment pas un exemple à suivre, ‘faut dire qu’à l’époque j’étais un peu perturbée. La crise d’adolescence et le besoin de refouler l’autorité suprême ça ne fait pas bon mélange. En faite, mon minois doit surement vous dire quelques choses puisque j’étais une ancienne élève à akiwa, de la première à la dernière année. Oui, enfin, ancienne ça ne fait pas si longtemps, et puis ces longues années d’études resteront à jamais gravés en moi. Mais est-ce que ça aura vraiment un impact maintenant ? A l’époque je n’avais peut-être pas les meilleures résultats, ni le meilleure comportement, mais l’important est que j’ai pu réussi à m’en sortir plus ou moins bien avec mon diplôme. Apparemment, ce n’était pas suffisant pour me lancer dans « le monde du travail » alors en guise de formation pendant un an, j’ai été le petit sherpa ou plutôt l’assistante de l’ancienne infirmière, et j’en ai vu des cas, passant d’une simple fracture, à une brulure ou encore une morsure de dragon, et j’en passe. Bref, l’expérience, c’est pas ce qui manque…

2. Motivations, motivations… mes motivations ? Mon amour pour akiwa ? Sérieusement, j’ai passé tellement de temps là, qu’autant travailler dans un endroit que je connais déjà & où j’ai pas mal de repère, plutôt qu’un endroit qui m’est totalement inconnu. Puis, j’aime aider les autres ; enfin plutôt faire aux autres ce que l’on n’a pas pu me faire avant. Petite, j’étais du genre assez frêle, et on n’a pas toujours roulait sur l’or, alors pour faire cours c’est une chance que je puisse tenir encore sur mes deux pieds après tout ce temps. Alors si je peux transférer mon besoin de combler mes carences passées passer sur les autres… ‘Fin, tout ça c’est psychologique, mais c’est plus ou moins cet aspect qui me motive le plus.

3. Mes points faibles ? Je ne vais pas me descendre quand même, si ? De mes qualités à mes défauts il n’y a vraiment qu’un pas. Ma sociabilité serait peut-être mon point le plus fort. J’ai le contact facile, donc pour échanger avec les élèves c’est un bon point, puis ayant été un élève moi-même, je pense pouvoir comprendre comment ils fonctionnent, et savoir différencier le vrai du faux si vous voyez ce que je veux dire. Mais ça pourrait aussi être un défaut, puisqu’étant peut-être trop accessible je ne puisse pas établir une limite entre eux et moi, puisque d’un côté ça ne fait pas si longtemps que j’ai quitté akiwa, alors je me sens encore pleinement « supérieur ». Mais je reste quelqu’un d’assez versatile, alors mes sautes d’humeur peuvent aussi influer sur mon travail… Oh mon dieu, priez que non, les conséquences serait peut-être irréversible, hum. J’ai jamais été non plus trop porté sur le travail, il m’arrive aussi d’être plus que fainéante & de ne rien faire du tout, mais à contrario quand je suis motivée, je le suis à 300% alors il ne reste plus qu’à prier pour que je le soir le plus souvent possible. Et puis le plus important serait surtout le faire que je sois très responsable et que je ne sois pas du genre à me précipiter ou perdre mes moyens alors qu’il ne le faudrait pas, et mine de rien je suis plutôt adroite, ce qui est bon point en plus n’est-ce pas ? Bref. Si l’on devait peser le pour et le contre j’ai plus de points forts que de point faible…

4. pour le reste du personnel;
Il y aura toujours ceux qui dominent et ceux qui sont dominés, ce n’est pas nouveau. Alors l’élève qui se fait avoir doit surement en avoir l’habitude, mais ce n’est pas pour autant que je devrai laisser passer ça. Enfin, même si je le réprimande ou le dénonce, ça ne changera rien, il recommencera surement ses blagues vaseuses sur d’autres élèves, ou pire le même encore. J’hésiterai. Le réprimander ne servirait donc pas à grand-chose, puis infirmière de mon état, il ne me prendra surement pas au sérieux, et il n’y a rien de pire de ne pas pouvoir exercer son autorité. Puis vu ma tête, j’aurai plus l’air d’une vielle élève qui se la joue snob qu’un membre du personnel qui souhaite tant bien que mal rétablir le semblant de « justice » qu’il reste dans cette académie. Puis prévenir son professeur principale, je n’ai pas que ça à faire non plus, j’ai d’autres chats à fouetter. Non pas que je sois trop laxiste, mais quand quelque chose ne me concerne pas, j’essaie de ne pas m’en mêler, puis l’élève humilier n’en mourra pas. Alors plutôt que jouer les mamies sévère, je laisserai passer sans trop m’attarder puis cette élève irritant sera bien puni un jour ou l’autre, par exemple un jour s’il fait un pas de travers et qu’il doive passer par la case infirmerie, on verra bien si je décide de lui rappeler cette vielle affaire ou pas.



un peu plus à propos du personnage...