Annyeong ! je me nomme Kwon Hayleen, je suis né un 2 juin 1991, j'ai 19 ans ans et je suis de nationalité CORÉENNE, ce qui fait que je suis actuellement en 5e année; la classe, n'est-ce pas ! Sinon, moi, je suis un sang-mêlé et je suis hétérosexuelle. Mon animal de compagnie, c'est un chat et ma baguette mesure 36.7 cm, est en bois de sureau et contient un cheveu d'elfe. Tant que j'y suis, la maison à laquelle je souhaiterais être réparti est INEO ou YONGWANG- par contre, je vous supplierais d'éviter geobuk ! Et dans la vie, j'aimerais être stewardess. Bon, c'est bien tout ça, mais si on passait aux choses sérieuses ?

n'incluez pas la question dans votre fiche, mais bien uniquement le chiffre de la question. c'est pour la netteté et la visibilité.

1. Cela paraît sûrement égoïste de ma part, je ne le nie pas, mais le premier mot qui me vient à l'esprit c'est « abruti ». Sérieusement, il faut être vachement doué pour tomber dans les filets de ces fichus sirènes. Mais, il faut que je l'avoue, les sirènes sont cruellement attractives et le fait que mon « ami » ait pu tomber dans leur filet n'était en rien étonnant. Honnêtement, je suis bien tentée de rester là à contempler le spectacle qui s'offrait à moi (plus qu'un pot de pop corn à la main et ça aurait été parfait) jusqu'à ce qu'il serait temps d'assister à mon prochain cours. Après tout, il a réussi à se mettre dans le pétrin tout seul alors, qu'il se bouge pour en ressortir tout seul. Je ne serais pas toujours derrière lui pour arranger ses dégâts. Ma maudite conscience m'empêchait cependant de le laisser là à se démerder tout seul. Sans doute parce qu'au fond, je ne voulais en aucun cas être mêlée à quelconque problème et surtout, je ne veux pas avoir à encaisser les discours dignes d'un vrai philosophe, venant des profs sur le sujet « non assistance aux personnes en danger » et patati et patata, de quoi pousser au suicide (c'est d'un ennui leurs discours, ne dites pas le contraire èé). Puis, avec qui est-ce que je pourrais aller m'amuser en soirée si ce n'est pas lui ? Raison de plus. Alors cette fois, je suis bien contrainte de le sauver dans tous les cas. Puis, je refuse catégoriquement de perdre la face contre ces satanés de sirènes. Facile à dire, mais malheureusement pas à faire. Essayer la parlotte ne me semble en rien efficace. La force ? Autant me faire broyer sur place de suite et dans ce cas-là, comme tout le monde, je préférerais sauver ma peau d'abord. ee J'aurais également pu rendre les sirènes inconscientes, mais cela est malheureusement interdit, donc pour le moment, je me contenterais de les rendre confuses en rendant mon cher ami, aimant à problème sur pattes, invisible.

2. Choix A. Mais oui mais oui, on est jeune, alors profitons de la vie pleinement ! Parce que vous savez les fêtes, quand vous aurez l'âge de circuler sur un fauteuil roulant tout en faisant du tricot vingt-quatre heures sur vingt-quatre, ça ne serait plus possible. Je sais ce que vous allez dire: les études doivent passer avant tout et que c'est important et tout le charabia qui va avec... Autant le dire tout de suite, je n'ai pas la même conception des choses. Les cours ne sont pas forcément dans le top trois de mes priorités (ne me demandez même pas mes priorités, je n'en ai aucune idée en vérité) et surtout pas les cours de botanique. A quoi est-ce que ça me servirait de connaître les plantes et tous ses dérivés ? A rien, exactement. Si je rate cet examen là, je rattraperais bien le coup une autre fois pendant un autre examen où je m'en sortirais pas trop mal. Alors, sans hésitation, j'irais à la fête. Ça ne se rate pas une occasion comme celle là. Jimmy le poulpe ? J'en ai strictement rien à faire. Si tout se déroule comme prévu, j'aurais juste à me jeter un sort d'invisibilité pour passer incognito. Jimmy intelligent ? Ah ? ee Si je me fais prendre, tant pis, j'irais dormir à la belle étoile tiens. Ça me changerait, pour une fois. Puis comme ça, j'aurais un peu de temps afin de réviser pour l'examen de botanique avec le peu de souvenir qui me reste encore sur le cours (c'est-à-dire pas grand-chose vu l'heure, mais quand même).

3. « Lumos. » Un de mes nombreux hobbies ? Flâner à l'extérieur du dortoir sans aucun but précis. Sauf que d'habitude, je le fais en plein jour, or ce n'est pas le cas actuellement. Malgré l'heure tardive, il m'était quasiment impossible de fermer l'oeil. Insomnie ou pas, rien à faire, il fallait juste que je trouve une occupation pour tuer le temps jusqu'à ce que je trouve enfin le sommeil. Voilà pourquoi je me retrouve à flâner dans les couloirs sombres et déserts du château. J'avais beau déjà avoir passée par ici des centaines de fois, jamais je ne m'y suis encore aventurée (même si j'ai été tentée de le faire plusieurs fois dans le passé), c'est pourquoi, j'avais l'impression de visiter une autre facette du couloir, dans le noir où seuls les rayons qu'émettait la lune et la lumière qu'émettait ma baguette me permettaient de m'orienter. Inhalant l'air frais de la nuit, je fixai la lune pendant un moment. Un très court moment en vérité puisque quelques minutes plus tard, des bruits qui ressemblaient à ceux que font des talons claquant sur le sol et je n'eus aucun mal à deviner l'identité de la personne. Nom d'un petit bonhomme en pain d'épice ! Cette laideronne n'avait-elle rien d'autre à faire que de se promener dans le château à une heure aussi tardive ? Dormir par exemple tiens. Mon cerveau s'est mis en marche au quart de tour, essayant de trouver une excuse. Somnambulisme ? Non, c'est trop commun. Combien d'élève se sont déjà servis de cette excuse au juste ? Bref, ça ne marcherait pas. Alors que je vis son ombre venir de plus en plus près, je m'étais décidée de m'élancer vers elle. En gros, je m'étais jetée dans la gueule du loup. J'étais coincée dans tous les cas. Alors que je fonçais droit sur elle, j'entendis un petit cri de surprise venant du fond de sa gorge et elle ne tarda pas à me bombarder avec ses questions. « Que faites-vous là ? », « avez-vous conscience que le couvre-feu est largement dépassé ? » et blablabla. Alors, sans même prendre le temps de vérifier la cohérence de ce que j'allais sortir comme excuse. « Je cherche Iris madame, elle m'a échappée et a dû aller se promener dans le château ». Iris ? C'était tout simplement la petite chatte qui me servait d'animal de compagnie. Une adorable boule de poil. Heureusement, les mensonges faisaient partie des domaines dans lesquelles j'excellais et c'est pourquoi elle m'avait laissée passer sans pour autant en être convaincu à 100%. Pff, qu'elle est naïve celle là.

4. Euh... Est-ce qu'il est écrit « STUPIDE » ou encore « ABRUTI » en majuscule sur mon front ? Non mais, pour qui il me prend celui là ? Bon d'accord, je le comprenais. C'était vraiment très tentant d'ouvrir le document en question et de le lire et d'ailleurs je n'avais pas su y résister. Par contre, je n'ai pas été lire plus d'une ligne, car rien qu'en lisant les deux premiers mots, j'ai tout de suite fermée le dossier, n'y comprenant que dalle, comme si c'était une autre langue. Si le directeur pensait que j'allais résister à la tentation, il s'est mis le doigt dans l'oeil et bien jusqu'au coude. Bref, ce n'était sûrement pas un ouvrage que je conseillerais au « professeur ». Ha, mais attendez... il m'a menacé ? ee S'il croit sérieusement que je vais lui donner le document... dans ses rêves oui. Puis, trois mois de retenue, ce n'est même pas un chouilla de toutes les heures de retenues que j'ai eu de ma vie entière. ET DEJA, sachez qu'on ne fait jamais de chantage avec moi. ee

5. Je n'ai rien à dire là-dessus, étant moi-même mi-sorcière mi-moldu (mon père était un moldu). En fait, je m'en fiche pas mal. Physiquement on se ressemble tous (dans le sens où on a tous une tête, deux bras et deux jambes etc. ee) alors je ne perds pas mon temps à comparer les un et les autres. Mais pourtant, il y a une chose que je ne supporte pas chez eux : leur manque de tolérance et de respect envers les sorciers, lorsqu'ils apprennent l'existence de ce monde de sorcier. Tout ce que ces imbéciles trouvent à faire c'est de nous montrer du doigt comme si nous étions des animaux ee Bien sûr, heureusement qu'ils ne sont pas tous pareil, parce que sinon, je leur aurais déjà botté le popotin un par un.

6. Un brin délurée, un brin maligne et un brin narcissique. Voilà de quoi est principalement composé mon caractère. J'ai beau avoir l'air inoffensive, il faut quand même se méfier. Certes physiquement, j'ai un corps plutôt frêle, mais ce n'est pas pour autant que je ne sais pas me défendre et pas seulement avec la magie. Le jour où vous recevrez une de mes chaussures dans la tronche, c'est que vous auriez dû attirer mes foudres. Certains diront que j'ai un caractère de cochon et celui-ci, je le tiens sûrement de mon père. Je ne l'ai jamais connu. J'étais juste le fruit d'une simple amourette entre une petite sorcière et un imbécile d'américain. Un moldu qui plus est. Celui-ci s'est enfouit à toute jambe le jour où il a su que maman était en vérité une sorcière et qu'elle était enceinte de moi. Tant mieux dirons nous et il n'a vraiment pas intérêt à se ramener devant moi parce que je l'expulserais à l'autre bout du monde à coup de balai histoire de lui remettre les neurones en place. ee Étant née en Corée, j'ai eu la nationalité Coréenne, mais maman avait tenu à ce que je puisse avoir un nom américain, voilà la raison du prénom « Hayleen ». Ayant un fort caractère et une fierté légendaire, je n'accepterais jamais que l'on blesse mon orgueil. Je ne supporte pas le fait de me laisser marcher sur les pieds alors il ne serait pas étonnant que ma main finisse sur la figure de celui qui chercherait des ennuis chez moi. Le pire d'après maman ? Je suis têtue comme une mule, ce qui parfois peut entraîner une once d'insolence. Autant vous dire que les retenues en cours tombent quotidiennement et ma franchise (légendaire elle aussi ewe) n'arrange en rien les choses. Généralement, quand j'ai quelque chose à reprocher à une personne, je ne m'en prive pas, quitte à lui en faire prendre pleins la gueule. Je dis ce que je pense, sans réfléchir à l'ampleur que cela pourrait prendre. J'aime jouer avec le feu. Puis parfois, il m’arrive aussi parfois (souvent en vérité) de me montrer enfantine. Entre nous, disons que je suis plutôt susceptible et lunatique, changeant de comportement et d’humeur toutes les secondes et ne porte aucune importance de ce que les autres peuvent penser ou dire de moi. Tant qu’ils ne me cherchent pas, ça me va.