Lee Kessy THE FREAK ADMIN;
pseudo : mee. messages : 1610 i'm here since : 13/09/2010 points : 28263 age : 34 mood : confus. perdu. my heart is : long gone, long done. wizard's spellbook : underconstruction.
| Sujet: Lee Jin Kyu. Ven 17 Sep - 2:43 | |
| Lee Jin Kyu poste vacant: non ; feat: Kim Rebekah {After School} | Carte d'identité ■ Jin Kyu , Lee ■ 21 ans ■ Coréenne ; Séoul ■ Sang-Mélé ■ Chouette Rayée ; Mistik ■ Jin Kyu voudrait travailler pour la Cours de Justice Maqique... Quand à savoir si elle préfèrerait défendre ou plutôt juger, elle reste encore indécise. ■ Baguette en bois d'if ; 23,2 cm ; contient un poil de Licorne. |
l'heure de la répartition... 1. Combien de fois est-ce que je dois te le répéter ? Non, non et non ! Les sirènes ont beau être splendide, ça n'en reste pas moins des créatures magiques... Quand est-ce que tu apprendra enfin à te débrouiller par toi même ? Attend un instant, j'arrive. Voyons voir, quoi faire dans ce type de cas... Tout d'abord, jeter un sort de confusion aux sirènes, cela attirera leur attention sur un autre sujet et leur fera oublier ce pourquoi elles retenaient mon ami... Quoi, vous pensiez que j'allais plonger ? Petit un, la magie elle n'existe pas pour rien, il vous suffirait d'apprendre vos leçons pour le savoir. Petit deux ? Y'a le diner ce soir, pas envie de me changer de fois ! Donc, après mon sort de confusion... L'idéal serait de lancer directement un sort d'Attraction. Mais si je fais ça, la remontée risque de ne pas être très agréable pour lui... Voyons.... Mais oui ! Je n'ai qu'à l'entourer avec tout d'une charme du bouclier puis ensuite de lancer mon sort d'attraction. Je pourrais ainsi le remonter tout en créant autour une boule de protection. Ni l'eau ni les autres éléments extérieurs n'agiront sur lui. Une fois qu'il sera au sec... Je lui remonte les bretelles comme il faut ; c'est mort d'avance pour le diner, il n'attendra parlé de rien d'autre si ce n'est les sortilèges magiques in-di-spen-ssa-bles quand on se trouve sous l'eau ! Après tout, c'est pour son bien. 2. Comment peuvent-ils oser faire une chose pareille ? Étudier, c'est vraiment important ! Et même si ça ne sert strictement à rien de réviser la veille et que de toute façon je connais déjà le contenue de l'examen sur le bout des doigts... C'est décontractant de réviser et surtout rassurant ! Si jamais j'avais oublié une page de mes livres, je me le pardonnerais pas... Les secondes années, hein ? Ils vont voir de quel bois je me chauffe ! Je monte directement au dortoirs des secondes années. Mes livres ont disparus ? Pourquoi pas. Et vous aimez les farces ? Soit. « Evanesco ». Un coup de baguette magique en direction de chaque lit et les uns après les autres, les couches de chaque secondes années disparaissent. Pas de livres ? Pas de lit. Rira bien qui rira le dernier... Et surtout bon courage pour aller les trouver ! Le règlement ? Non je ne l'enfreins pas, je ne fais que confisquer des objets afin de retrouver mon bien... Ils ont quand même pas crue qu'ils pouvaient me faire tourner en bourrique tout de même ? A ce niveau, ils devraient tous faire partie de Yongwang ou Ineo, les cas sociaux, c'est là bas, pas ici ! 3. Je le savais pourtant que c'était mal d'enfreindre le règlement... Ça m'apprendra tiens ! Mais en attendant, pas question de faire perdre des points à ma maison ! Petit un, il ne faut pas que cette vielle mule me vois, petit deux, il ne faut pas qu'elle puisse agir... Les couloirs sont plutôt étroit arrivé à cet endroit du château. Il est interdit de jeter un sort à quelqu'un en dehors de cours mais... Tant pis, au point au j'en suis concernant le règlement, un peu plus, un peu moins... Et puis c'est pas un sort méchant, elle ne s'en rendra même pas compte. J'avance d'un pas en direction de l'angle, glisse ma baguette de l'autre côté et chuchote le sort d'Immobulus... La vielle peau s'immobilise. Rapide, je jette alors sur moi même un sortilège d'invisibilité.. Ra, j'accumule vraiment les interdit cette nuit ! Prudente, je jette un coup d'œil dans le couloir, passe calmement devant la statut et fonce droit à l'autre bout du couloir. Une fois planquée, je souffle un coup et retire le sortilège immobilisant. Celui d'invisibilité en revanche, je le garde jusqu'à ce que je sois en sécurité, au chaud, dans mes draps ! 4. Il se moque de moi là ? Comme si j'avais besoin d'aide pour passer un examen ! Il ne doit pas savoir qui je suis... et après tout, je ne sais pas non plus qui i lest. Trop louche ce gars. Et puis, le directeur m'as fait confiance, pas question de tout gâcher. Tranquillement, je fais remarquer au professeur que son comportement est un comportement abusif. Il s'agit de chantage, de menace et égallement de tricherie pour un examen officiel... Que dirait les gens à son ais si ils apprenaient ce qui venait de se passer ? Et puis pour la peine, je lui dis que j'irai en toucher un mot au directeur... Quand à savoir si je le ferais vraiment... Je vais le garder à l'œil lui, il me plais pas des masses. 5. Sincèrement, ça fait quoi de savoir d'où l'on viens ? J'en connais des « sangs-pur » qui s'avèrent être nulisime au possible et vice versa des « sang de bourbe » qui sont vraiment géniaux ! Alors franchement, je préfère mille fois me baser sur les choix d'attributions des maisons que sur les provenances sanguines ! Et enfin, derrière le sorcier; ■ Blast ■ Vias Mary & Yunfa *je vous en veux è_é * ■ Tout les jours théoriquement sauf exam/vacances ■ Sympa ce forum On vois vraiment le travail passé dessus ;) Et bravo pour les uniformes, ça gèrent ! Sinon c'est original la personnalisation faite par rapport à l'univers Hp, ça suit le principe tout en se détachant suffisamment de l'histoire pour ne pas juste ré-écrire le livre, j'adhère ! Bravo au staff ^o^ - Spoiler:
J'avais quitté le lycée avec un état d'esprit des moins sereins... M. Takashima, plus jeune que moi mais dont je ne connaissais même pas le prénom, avait affirmé vouloir me revoir. Je me dépêchais jusque la voiture et me retenait d'en parler à ma manager. Elle n'aurai sans doute pas approuver le fait que je donne rendez-vous à quelqu'un de plus jeune que moi et sans doute mineur. Mais elle n'aurai pas pu comprendre, elle ne l'avait pas vu. Il faisait tout sauf plus jeune ou mineur.
« Jade ! »
La voix chargée de reproches de ma manager me rappela à l'ordre. Elle prenait le temps de me faire un rappel du planning et moi de mon côté, je n'écoutais rien ! Je prenais un air penaud, des plus faux, nous les savions toutes deux et me concentré de nouveau. J'avais rendez-vous pour le repas avec le directeur d'une nouvelle campagne de publicité, prévue pour dans quelques semaines. Après cela, je serai en séance de photo. Le studio avait été réservé jusque vingt et une heure et je connaissais assez bien mon agence pour mettre ma main à couper que je ne quitterai pas le studio avant cette heure : tout heure achetée devait être utiliser. Je passerai sur le cas du repas. Ennuyant à mourir, j'avais profité d'une absence aux toilettes pour prendre une légère dose, de quoi me remonter le moral. Ce qui avait fonctionner, ma capacité à répondre avec entrain aux questions avait montée en flèche. Ma manager m'avait fusillé du regard après avoir vérifié l'état de mes yeux, mais après tout, je travaillais très bien comme ça, que pouvait-elle dire ?
Le travail au studio était assez sympa. Le concept de la journée était de prendre des photos pour des baignoires. Rien de bien original, je devais poser, habillée et trempée, dans cette fichue baignoire. C'est typiquement le genre d'humidité qui vous empreignes et va juste se loger dans vos os. Et malgré les nombreuses serviettes que l'on m'apportait à chaque pose, je n'en avais pas moins froid. Mais sagement, gentiment, je restais professionnelle et ne m'en plaignis pas. Je notais cependant pour moi même de ne plus accepter ce genre de concept débile, qu'importe ce que dira l'agence et ses « les photoshoots sexy plaisent et augmentent ta côté, fait le ! »... Qu'ils aillent la passer eux-même la journée trempée dans des vêtements. C'est avec ce genre de pensées que je posais, tantôt souriante, tantôt neutre, affolée, fatiguée, endormie, riant aux éclats... N'auraient-ils pas pu déterminer mieux que ça le concept ? Pourquoi est-ce que je devais changer autant d'expression pour une unique et même baignoire ? Ils espérez vraiment vendre une bassine avec une femme trempée pleurant dedans ? Stupide ! Mais ce n'était pas à moi d'en juger, je n'étais pas payée pour après tout.
Pendant la pause de dix-sept heures, je filais mettre quelques vêtements secs. Je savais que ça ne durerait pas plus de vingts minutes mais rester deux secondes de plus dans ce tee-shirt trempé c'était trop me demander. C'est alors que mon portable vibra, chose habituelle il faut dire. Tandis que je me débattais pour faire passer le nouveau tee-shirt sec par dessus ma tête humide, je jetais un coup d'oeil à l'écran. Numéro inconnue... Est-ce que par hasard... ? Je retiens ma respiration et ouvre le sms.
Citation: Bonjour Mlle Lee ! Merci de votre invitation et ça sera un plaisir pour moi de vous revoir à cette occasion, si cela vous convient de votre côté, bien entendu. Takashima R.
Un grand sourire s'afficha sur mon visage et je relu trois fois le message pour être sûre de ce qui était écrit. Il venait, il venait ce soir ! Heureuse, je sautillais sur place un cours instant, serrant mon portable contre moi. Puis je me rappelais que non seulement j'étais au travail mais qu'en plus, ça ne voulait rien dire. Je me forçais donc à retrouver mon sérieux et me concentrais sur ma réponse.
Citation: Je serais ravie de vous voir dans ce cas ! Je serais à la boîte vers vingt-deux heures ; à l'entrée, demandez-moi auprès du vigile, il vous conduira à moi. A ce soir j'espère. Jade
Avant que je ne puisse mieux réfléchir à ma réponse, plusieurs personnes du staff entrèrent bruyamment dans la pièce où je me trouvais. Je cliquais sur envoyer et rangeais mon portable. Je terminais d'enfiler mon tee-shirt sec et filais voir ce qui causait l'agitation des filles du staff. Sans surprise, ce n'était rien de bien intelligent, il paraissait juste qu'un mannequin Japonais viendrait ici bientôt et que le staff se chargerai de ses photoshoots. Le seul mannequin Japonais avec qui j'avais travaillé avec bien ternie l'image que je me faisais des hommes de leur profession chez eux. Hautain, orgueilleux, désagréable... Mentalement, je souhaitais bien du courage aux staff et priais pour ne pas le croiser, aussi différents puisse t-il être de l'ex-collègue que j'ai connue ! L'après-midi se termina comme elle avait commencé : humide. Je ne pu que soupirer de soulagement lorsque le responsable de séance cria enfin « c'est dans la boîte ». J'étais congelée. Et le pire ? Avant de filer à la douche, je devais féliciter tout le monde, les remercier pour leur travaille, échanger des banalités... Ce que je fis, parfaite menteuse que j'étais, mon agacement passa inaperçu. A moins que les gens ici n'en est simplement rien à cirer ? Tout aussi probable. Cela me pris encore une demi-heure avant de pouvoir filer sous la douche du studio. Je me dépêchais autant que possible, mais je savourais tout de même le contacte de l'eau brulante avec ma peau. Mais l'idée de pouvoir louper la soirée où je devais le rejoindre me motivait ; je finis par sortir assez vite et m'habillais avec ce que j'avais apporté : une robe sombre et courte avec des lamelles découpées devant, un collant sombre et une paire de chaussure avec une haute semelle compensée, transparentes. J'aimais bien ces chaussures, c'était toujours amusant de marcher dessus. Je pris plus de temps pour me maquiller, mais je finis par quitter le studio.
J'attrapais un taxi dans la rue et lui demandais de m'amener directement jusque la boîte. Je n'avais pas mangé, mais ce n'était pas grave, tant que j'étais à l'heure ! Ce fut le cas, je passais les portes de la boîte quelques minutes après que vingt-deux heures est sonnée. Je demandais au vigile si quelqu'un m'avait demandé, il me répondis par la négative. Je montais donc directement au carré VIP. S'en suivit quarante longues minutes de salutation et de politesse des plus ennuyantes ; Agacée, je fini par me retirer dans les toilettes. Assise sur le siège, je tirais mon collier de mon décolté et avant la précision de l'habitude, je fis apparaitre l'ouverture connue de moi seule. Je traçais une ligne blanche sur mon avant bras et tirais une petite paille d'un des bracelets que je portais. Avec attention, je posais la paille au début du raye, collais l'autre extrémité dans une de mes narines. Puis j'inspirais. Par réflexe, je passais mon doigt sous mon nez, à plusieurs reprises, m'assurant que rien ne trainait. Puis je me laissais glisser au sol, fermant les yeux un moment. C'était bon. Infiniment bon. Je me sentais sereine, apaisée. Je savais que n'importe quoi pourrait provoquer l'effet inverse, enclencher une peur panique. Mais pour l'heure, tout allait bien. C'est dans ce genre de situation qu'on se dit qu'après tout, quitter dans l'instant ce monde, ça aurai du bon.
Des coups portés contre la porte des toilettes me font prendre conscience que je dois y être depuis plus d'un quart d'heure.. Une demi-heure voir plus même, qui sait ? La voix inquiète d'un videur demande si tout va bien. Rapidement, je range mon collier et jète ma paille dans les toilettes. Je tire la chasse, frotte une dernière fois le dessous de mon nez et sort. Le videur me regarde. Il ne cherche plus vraiment, il s'en fou. Comme tout le monde. C'est pas comme si j'étais la première. Il s'apprête à repartir, mais fait demi-tour.
« J'oubliais, Mlle Jade. Un homme vous à demandé à l'entrée... On l'a laissé entrer vu qu'il avait votre carte, mais on ne l'a pas laissé entrer dans le carré. Je présume qu'il attends quelque part dedans... Ça doit bien faire vingt ou trente minutes de cela que je l'ai fait entrer. »
Je le regarde durant quelques longues secondes puis je réalise le sens de ses paroles. J'hoche rapidement de la tête pour remercier le videur et me précipite hors des toilettes. Il est quelque part ici. Reste à savoir où ? Sans vraiment réfléchir, je fais alors une chose que je ne fais jamais : je quitte le carré. Je descend les marches et j'entre dans la foule. Je suis plus grande que la plupart des filles mais il reste encore beaucoup d'hommes plus haut que moi. Je vois pas facilement, je me mets donc à naviguer à l'improviste, cherchant un silhouette qui ressemblerait à la sienne. On se croirait presque à la plage, en train de nager en pleine mers à contre le courant... Ce qui n'est pas forcément une sensation que j'apprécie. Plusieurs têtes se retourne à mon passage, des coups de coudes sont échangés, les murmures interrompes les conversations. Mais je m'en moque, je chercher M. Takashima. Combien de temps je hère dans la foule ? Ça devait faire environ dix minutes quand soudainement, une main saisie mon bras, m'immobilisant. Moins d'une demi-seconde, j'espère que ça soit lui. Mais l'instant d'après, je me rend compte que la poigne est douloureuse. Dans le but d'arrêter quelqu'un fermement, pas de lui faire remarquer sa présence. Je sens alors une main venir se loger contre ma cuisse et remonter en un rien de temps pour venir empoigner avec force ma fesse droite. Curieuse, fouilleuse, insistante et sale. Mon estomac se tord tandis que je me retourne d'un coup et m'agite pour me dégager. Je lance un regard assassin au type âgé d'une quarantaine d'année, complètement bourré. Je force pour reprendre mon poignet et c'est sans doute grâce à la présence de l'alcool dans son sang que je peux y parvenir. J'ai envie de vomir. Je fais demi-tour, marchant plus vite que tout à l'heure. Je jette un coup d'œil ou deux derrière moi pour m'assurer que le vieux ne me suis pas. Devant cette agitation, les murmures augmentent autour de moi. Je porte ma main au visage, la plaçant en œillère histoire de masquer mon visage. Je constate au passage la forme rougie qui prend déjà naissance sur mon poignet. Il n'y est pas allé de main morte. Maintenant je me rappelle pourquoi je quitte jamais le carré. En bas, c'est une jungle. Je fonce tout droit devant moi et débarque sur un des bars de la boite. C'est là que je le vois. IL est là, juste à gauche. J'oublie tout ce qui s'est passé auparavant, contente d'avoir atteins mon but. Je me rapproche et pause doucement ma main sur son épaule, pour signaler ma présence.
« M. Takashima ? »
Ma voix est joyeuse et mon visage affiche un grand sourrire. Une petite voix en moi me fais remarquer que je suis idiote de sourire ainsi, surtout qu'il risque de ne rien entendre vu le volume du son. Mais c'est pas pour si peu que j'arrêterai de sourrire.
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