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| yokota kimitaka&ishida mizuki. | |
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Auteur | Message |
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Yamada Ren p
pseudo : Mary messages : 397 i'm here since : 24/09/2010 points : 26341 age : 32 mood : excécrable my heart is : empty wizard's spellbook :
Toute cette histoire commence sérieusement à me prendre la tête. Moi qui me croyait enfin débarrassée de ce boulet qu’est cette Sachiko à mes yeux, désormais je suis préfet à mon tour et avec elle en plus. J’ai fais quoi pour mériter tout cela ? Beaucoup je suppose…Bon ok, j’avoue que j’ai peut être était un peu trop brusque avec elle et que je devrais m’excuser… Ouais on verra ça lorsqu’elle sera au courant que son nouveau coéquipier c’est moi… Je sens que ça va être à hurler de rire… ou pas. En tout cas, ce n’est pas demain la veille que je serai enfin tranquille… Cette histoire me prend incroyablement la tête, sans parler de cette tendance qu’on les kouhais à venir te parler et te harceler de questions. Qu’est ce que j’en sais, tu prends ton règlement intérieur et tu l’apprends bêtement et si tu te fais pincer ben assumes mon coco.
Ça y est ça me prend encore la tête, ce soir je sens que je vais m’en aller directement vers les salles de bains condamnées,pour jouer de nouveau et m’aérer la tête, j’ai l’impression que je vais en avoir grandement besoin ou alors sortir en soirée avec Dylan? Qu’importe tant que ça me permet de me changer les idées avec toutes ces conneries.
Ah oui et peut être qu’il serait temps que j’aille voir Nichido, un de ces jours, je suis sur qu’il pense que j’ai disparu de la surface de la terre. Je l’ai pas vu depuis quand déjà ? Septembre ? Ouais, ça va faire sept mois…Ouais faut que j’aille le voir…je suis sur qu’il m’engueulera, me fera la morale et puis me parlera de ces soucis, comme d’habitude…ça me changera les idées.
| Sujet: Re: yokota kimitaka&ishida mizuki. Ven 24 Déc - 0:49 | |
| A l’instant présent, elle se maudissait. Elle haïssait cette fichue manie qu’elle avait : celle de regarder son interlocuteur en face lorsqu’elle s’adressait à celle-ci. Pourquoi ? Surement parce qu’elle croyait dur comme du fer que les yeux étaient le reflet de l’âme des gens et qu’il était toujours possible de découvrir la vérité du faux si on les observait attentivement. Elle se souvenait parfaitement que ce soir là, lorsque sa mère lui avait fait en quelque sorte ses adieux en lui disant qu’elle l’aimait et qu’elles se reverraient demain, elle ne l’avait pas regardé en face, ne l’avait pas fait pendant un seul instant lorsqu’elle avait déclaré tout ceci. Depuis, la jeune fille s’était toujours demandée si ce jour là, si elle l’avait regardé droit dans les yeux qu’est ce qu’elle aurait bien pu apercevoir dans le regard de sa mère. Un voile de tristesse, du soulagement, de la joie ou alors rien ? Elle aurait surement tout fait pour qu’elle puisse revenir en arrière et enfin avoir des réponses à ses questions qui pesaient sur son âme depuis ce jour. C’était ainsi que cette manie était née, elle ne voulait plus se laisser avoir ou abuser par des mots, non elle voulait être certaine de rater aucune réaction de la personne qui lui faisait face. Trop effrayée de se fourvoyer une nouvelle fois. Pourtant cette fois ci, elle regrettait de s’être tournée vers le jeune homme, car c’était à elle de cacher ses sentiments, le trouble qui l’habitait mêlé à ce plaisir à moitié avoué.
Elle prenait désormais pleine conscience de la situation dans laquelle elle se trouvait. Elle n’imaginait pas encore à quel point elle était près du jeune homme. Certes, elle avait senti son souffle dans son cou, ses bras qui l’avait enveloppé dans une ambiance des plus chaleureuses mais elle n’en avait pas encore prise conscience de tout ça, bien trop occupée par la résolution de la devinette bien qu’elle n’avait pas été insensible à la situation. Elle n’avait eu aucune intention particulière en se retournant vers le geobuk, juste l’envie de partager ses idées avec lui, avoir son point de vue sur ses suppositions à elle et débattre avec lui sur tout ceci pour arriver à une solution qui allait convenir à tout le monde. Pourtant cette fois ci, elle voyait à quel point elle pouvait être inconsciente, limite trop innocente pour que cela puisse être réel. La proximité entre leurs deux visages étaient quasi-nulle, tout juste quelques centimètres. Elle sentait le souffle du jeune homme venir se mêler au sien, ses lèvres si proches des siennes. Tout ceci la mettait dans un état inénarrable, tandis que son cœur avait comme dirait cessait de battre dans sa poitrine. Il avait rendu les armes et voulait qu’on le laisse un peu de temps pour se remettre de la situation. Dans son esprit, c’était à peut près la même chose, il était vide, aucune pensée ne parvenait à faire son bonhomme de chemin, aucune n’arrivait à faire réagir la jeune fille. Elle pouvait tourner la tête, ce n’était pas indispensable après tout d’être en face du geobuk alors qu’ils étaient si proches l’un de l’autre.
Pourtant son corps ne bougea pas, n’eu aucune réaction face à l’épineuse situation qui était désormais présente. Après tout, le trouble qu’elle ressentait n’était peut être pas partagé, peut être que le jeune homme quant à lui ne se sentait point bouleversé par tout ceci ? Elle doutait même de cette éventualité, elle se refusait de se faire des idées, elle ne voulait point être déçue et pourtant…Elle sentait que le jeune homme la fixait et bien qu’il faisait nuit et qu’ils étaient éclairés que par sa baguette, elle décernait parfaitement les traits du jeune homme encore plus qu’auparavant. Le fait que le jeune homme s’humecta les lèvres ne passa pas d’ailleurs inaperçu et ne vint animer encore plus fortement l’envie folle qu’elle avait désormais de les sentir sur les siennes. Elle ne se souvenait pas que le baiser qu’elle avait échangé avec Jong Hae ait pu la mettre dans un tel état lorsqu’elle avait songé à en faire son cobaye, elle en doutait même.
Cette fois ci, elle était fébrile partagée entre son désir et sa conscience qui l’intimait de ne faire aucun geste que pourrait être mal interprété et dieu seul savait à quel point tout ceci était pénible pour la jeune fille qui n’avait pas pour habitude de cacher ses sentiments. Alors elle s’obligea à relever le regard vers celui du jeune homme comme pour tenter de trouver une autre source à ses tourments. Cela l’aida encore moins à se raisonner, voir ses yeux si près des siens, sentir leur chaleur frôler sa peau, sans parler du léger trouble qu’elle semblait apercevoir dans son regard, ne la rendait qu’encore plus fébrile. Elle voulait l’embrasser, elle le désirait cruellement mais elle se força à penser à autre chose, à ne pas interpréter le trouble du jeune homme comme une ouverture possible à son propre trouble. Non, elle devait vite s’obliger à se concentrer de nouveau sur l’énigme, il le fallait.
C’est à ce moment précis où le jeune homme prit la peine de répondre à sa question par un monosyllabe, un simple « rien » comme s’il ne trouvait pas ses mots. Chose qui n’était pas du genre du geobuk qui avait toujours tendance à argumenter ses réponses. Cependant, elle se rappela que le jeune homme lui avait dit qu’il n’y connaissait rien en énigme et ne s’étonna donc pas de la réponse. S’il n’avait pas la moindre idée, leur recherche pour la réponse à la devinette allait être difficile. La réponse du jeune homme en tout cas était parvenue à la faire réagir, à la faire revenir à la réalité et au problème présent. Un retour à la réalité qui fut court, limite inexistant car lorsqu’elle sentit les lèvres du jeune homme se poser sur ses lèvres, toutes ses résolutions partirent en fumée. A son tour, elle ferma les yeux et laissa ses sens faire le travail. Lorsqu’elle sentit les mains du jeune homme venir caresser ses cheveux et sa joue, elle ne pu s’empêcher de frissonner alors qu’elle était incapable de faire le moindre geste pour sa part. Etonnée, émue, tremblante, elle l’était devenue en moins d’une seconde. Elle ne comprenait pas et ne cherchait pas à le faire, elle voulait pleinement profiter de cet instant sans penser à rien.
Le premier contact fut de courte durée, quelques secondes tout au plus avant qu’il ne s’excuse de l’embrasser dans un doux murmure alors qu’il reprenait possession de ses lèvres sans lui laisser la possibilité de dire quoique ce soit. Le deuxième contact entre leurs lèvres dura quant à lui plus longtemps et la jeune fille ressentait désormais l’envie de ne plus les quitter. Elle non plus était incapable de dire combien de temps dura la pression de leurs deux lèvres l’une contre l’autre lors de ce baiser mais pas assez longtemps selon elle. Cependant les mots du jeune homme qu’il prononça une nouvelle fois, la ramenèrent à la réalité, elle a triste vérité. Il s’excusait, il avait même l’air accablé par ce qu’il venait de faire, comment ne pouvait-elle ne pas le voir ? Impossible, en l’espace de quelques secondes, le paradis dans lequel elle se trouvait disparu comme par enchantement comme si elle l’avait rêvé. Un désolé, qu’il réitéra plus sincèrement, plus accablé encore plus que quelques secondes auparavant. Il était désolé de quoi au juste ? De l’avoir embrassé ? De l’avoir fait alors que ce n’était pas particulièrement le bon moment ? Ou parce qu’au fond il ressentait vraiment rien de particulier pour elle ? Elle était incapable d’être clairvoyante à cet instant précis. Il s’était éloigné d’elle si brutalement, avait mit une distance entre eux. En fait, elle ne voyait plus que ça et elle se trouva un peu idiote d’avoir pu croire un seul instant que ses sentiments aient pu être partagés. Dire à quel point, elle sentait son cœur devenir amer alors que ses pensées parvenaient enfin à retrouver leurs places dans son esprit, serait un euphémisme, elle fut également accablée à son tour. Elle était vraiment triste de s’être fourvoyer pendant quelques secondes, où elle avait cru que peut être, oui peut être ses sentiments n’étaient pas qu’à sens unique.
La seule impression qu’elle avait à ce moment là, c’était qu’elle s’était fourvoyer, qu’elle était la responsable d’un tel acte de la part du jeune homme vu la façon dont il avait de lui demandait pardon, qu’il s’était en quelque sorte laissait tenté par ses caprices. Elle ne voulait pas qu’il s’excuse, non c’était trop cruel de le faire et pourtant, il l’avait fait trois fois. Se mordant les lèvres pour camoufler, ses larmes qui menaçaient de couler, elle se leva tout simplement de l’endroit où elle était assit et tourna le dos au jeune homme pour tenter de regagner ses esprits, voulant à tout prix qu’il ne la voit pas dans un tel état. Elle voulait pas qu’il soit désolé car elle de son côté, elle ne l’était vraiment pas mais il semblait que cette pensée n’était pas partagée. Elle avait l’impression d’être totalement idiote maintenant, bien plus que d’habitude. Comment avait-elle pu penser ne serait-ce qu’un instant que ses sentiments auraient pu être partagé ? Totalement loufoque comme idée, n’est ce pas ? Il avait seulement voulu se montrer prévenant avec elle, voulu juste la protéger et s’était laissé aller à une proximité avec elle juste pour cette raison. Maintenant elle prenait pleinement conscience de tout ceci mais le gout amer qu’elle laissait derrière elle, n’était que plus cruel pour elle. Non, elle ne voulait pas pleurer, non pas devant le jeune homme. Elle sera alors fortement son poing autour de sa baguette pour tenter de trouver ses mots, de trouver le courage d’avoir un ton naturel dans sa voix, mais rien n’y faisait, elle ne pouvait lutter contre ce que lui intimait son cœur, c’était contre sa nature. Elle se contenta seulement de murmurer dans un ton qui fut brisé et quelque peu amer.
« Yokota-san, je ne t’en veux pas, alors oubli cet incident puisque tu sembles navré de l’avoir fait…Cependant pour ma part, je ne pourrais pas. Désolée Yokota-san, mais pour moi ça ne peut pas être un accident, ni quelque chose que je peux regretter car… » Commença-t-elle avant de se retourner vers le jeune homme pour lui faire face, incapable de taire plus longtemps ce que son cœur voulait dire. « Je t’aime…Vraiment…Mais ne t’inquiète pas, je ne t’embêterai pas avec ça, promis. Désolée également de me montrer égoïste, en te les disant de la sorte. Donc je comprendrais que tu ne souhaites plus me revoir après cette soirée, tout comme je comprends parfaitement que tous les gestes que tu as eu aujourd’hui n’avaient que pour but de me rassurer. C’est juste, que je ne peux plus me taire à ce sujet. » Finit-elle dans un petit sourire gênée alors qu’elle tentait avec plus ou moins de difficulté à camoufler sa peine.
Elle commençait à voir plus clair dans tous les événements qui s’étaient passés au cours de la soirée, où du moins en avait l’impression sans penser une seule seconde que ça pouvait être ses sentiments qui pouvaient la diriger vers la mauvaise solution. La seule chose qu’elle savait désormais, c’était que maintenant qu’elle s’était déclarée enfin, qu’elle s’était faite à moitié rejetée, elle voulait vite sortir d’ici pour avoir tout le loisir de pleurer quelque part dans un coin sombre de l’école comme elle avait l’habitude de le faire lorsqu’elle déprimait. Pour l’instant, il était désormais urgent qu’ils trouvent une solution à l’énigme du sphinx qui continuait à les observer dans l’attente d’une réponse de leur part qui annoncerait surement une fin quel qu’elle soit. Elle soupira donc et ajouta simplement.
« Tâchons pour l’instant de trouver une réponse à l’énigme, tu veux bien ? »
*O* et quelle réponse, désolée la mienne est pas terrible mais si tu souhaites que je fasses avancer la résolution un peu plus n'hésites pas je compléterai \o/ |
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Invité
| Sujet: Re: yokota kimitaka&ishida mizuki. Sam 25 Déc - 11:00 | |
| *Il se sentait sale. Non pas qu'embrasser Mizuki le rendait sale. Mais embrasser la jeune fille sans son consentement alors qu'elle est épuisée mentalement et physiquement, alors qu'elle est dans un état de faiblesse, le rendait sale. Il était coupable harcèlement sexuel doublé par un abus de confiance. C'était un criminel. Il ne la méritait tout simplement pas. Elle était si pure, si douce, si rayonnante et lui était si tordu, si vicieux, si coupable. Comment pouvait-il même se tenir à ses côtés? Comment oserait-il encore lui faire face? C'était pour cette raison qu'il s'était excusé. Bien sûr les excuses n'arrangeaient rien, il était toujours autant coupable et ça ne pouvait pas balayer ce qu'il avait fait ou son sentiment de culpabilité, mais il les avait tout de même faites, c'était déjà ça. Mizuki aurait pu pensé qu'il s'était reculé d'elle, qu'il l'avait jeté après l'avoir utilisé, mais ce n'était pas cela. Il se reculait pour ne plus continuer. Il avait encore et toujours le désir de l'embrasser qui le tirailler et s'il ne voulait pas succomber à la tentation encore une fois, il devait tout simplement s'éloigner d'elle. Mais lorsqu'il la vit se lever pour s'éloigner de lui, il ne put empêcher une douleur le transpercer en toutes parts de son être. La voir s'éloigner de lui ainsi était douloureux. Il aurait voulu la retenir. Mais il ne le fit pas. Il ne méritait pas d'être près d'elle. Le fait aussi qu'elle ne se tourne pas vers lui, qu'elle reste dos à lui était éloquent. Elle n'avait pas aimé ce qu'il avait fait, elle n'avait pas aimé qu'il l'embrasse, elle n'avait pas aimé qu'il profite d'un moment de faiblesse. Là encore, rien de plus normal. C'était la réaction qu'il avait redouté. Mais cette réaction le rendit plein de tristesse au point que des larmes lui montaient aux yeux. Il avait envie de pleurer toutes les larmes de son corps, de se morfondre dans un coin, de laisser le Sphinx le manger. A quoi bon continuer si Mizuki ne déniait même plus tourner la tête vers lui? Pourtant, il ne pleurait pas. Il ne pouvait pas, il n'en avait pas le droit. Il avait cherché cette réaction après tout, il devait l'assumer. Même si c'était douloureux à en mourir.*
*Ce fut à ce moment là que Mizuki se tourna vers lui pour lui parler. Il se rendit compte au ton de sa voix qu'elle était en train de pleurer. Il l'avait blessé par son acte, c'était évident. Mais pourquoi cela le transperçait-il alors? Il avait beau avoir su qu'il la blesserait s'il agissait ainsi, il l'avait tout de même fait. Et désormais, en la voyant blessée et pleurante, c'était lui qui se retrouvait blessé, déchiré même. Mais ne l'avait-il pas cherché? Mais alors, pourquoi cela faisait-il aussi mal? Pourquoi n'arrivait-il pas à assumer ses actes? Il écouta ce qu'avait à dire Mizuki. Elle lui demanda d'oublier cet incident. Car elle le considérait comme tel : un incident? Elle voulait véritablement qu'il oublie? Comment pouvait-il? Il fit non de la tête. non, il ne le pouvait pas. Elle, elle ne pouvait pas l'oublier. Sans doute parce qu'elle ne pouvait pas passer dessus, ne pas faire comme si rien ne s'était passé. Sans doute parce qu'elle se devait de réagir. Son châtiment serait-il vraiment de ne plus la revoir? Il continua à faire non de la tête : non, il ne le voulait pas. Même s'il le méritait il ne le voulait pas. Mais Mizuki commença à dire quelque chose de bizarre, comme quoi elle ne pouvait pas regretter cet acte. Elle retourna alors et le lui dit.*
*Elle prononça les mots magiques, les mots qui le figea tout en accélérant son rythme cardiaque. Non, ce n'était pas possible, il devait rêver. Elle l'aimait? Elle ne lui en voulait pas? Au contraire, elle se blâmait de l'avoir forcé à l'embrasser. Impossible. Elle se traitait même d'égoïste et disparaitrait s'il le souhaitait. Comment c'était possible? Comment cette situation avait tourné ainsi dans l'esprit de la Yongwang? Il était le seul à blâmer, le seul responsable, le seul à devoir disparaître si elle n'avait pas voulu de lui. Mais ce n'était pas le cas, n'est-ce pas? Elle souhaitait réellement ne plus le voir après cette soirée? Non, il ne le voulait pas. Il ne le désirait pas. Par Merlin, faite qu'il reste près d'elle à jamais. Rien que l'idée qu'il ne l'ai plus à ses côtés lui était insupportable. Alors, poussée par une pulsion soudaine, un désir intense, il se leva et la prit vivement dans ses bras sans même lui demander un seul instant ou par un seul geste ou regard son avis. Puis l'enlaçant fermement avec douceur, il lança avec conviction :*
« Non! Non ne disparais pas de ma vue, ne t'éloigne pas de moi. Je t'en supplie... Ne pleure pas. Te voir pleurer me détruit. C'est ma faute. Je n'aurais pas dû succomber à mes désirs, je n'aurais pas dû t'embrasser alors que tu es dans un tel état de fragilité. Je le savais que je ne devais pas le faire et je l'ai pourtant fait. Je n'ai pas su résister à mon désir, pardonne-moi. Ne t'en vas pas. Je te prendrais la main autant de fois que tu le désires, je te prendrais dans mes bras autant de fois que tu le désires, je t'embrasserais autant de fois que tu le désires, alors ne t'en vas pas. Et arrête de pleurer, par pitié. Rien que l'idée que tu pleures par ma faute me donne envie de me frapper et me faire frapper. Mon cœur est à toi. Tu peux le briser en milles morceaux si tu le désires. Il se briseras si tu t'éloignes de moi. Alors je t'en prie, ne pleure plus. Tentons de résoudre l'énigme et reparlons de cette histoire nos deux têtes reposées, tu veux bien? »
*Kimitaka se mit à réfléchir à la question qu'elle lui avait posé tout à l'heure sans pour autant la lâcher. Et cette fois, pas d'excuses : il ne la lâchait pas tout simplement parce qu'il n'en avait pas envie, parce qu'il avait peur qu'elle s'éloigne, parce qu'il voulait la réconforter. Il n'y avait aucune excuse faite de politesse et de raisonnement logique cette fois. Au contraire, il resserra même son étreinte pour la réconforter et pour qu'elle ne tente pas de s'échapper. Il ne la laisserait pas faire de toutes façons. Elle lui avait demandé son avis sur ce qu'elle avait dit. Après avoir retrouvé ses réflexions de tout à l'heure, d'avant le baiser, il répondit d'un ton réfléchi, les sourcils froncés et le regard dans le vague :*
« Pour la dernière syllabe, tu as plus d'expérience que moi pour les charades et ça semble être une bonne logique donc je te fais confiance. Concernant le mot « cri » pour la première syllabe, je suis un peu plus sceptique mais tu as toujours eu une bonne intuition donc partons de ce principe. Concernant la troisième syllabe..... os? Pour « osant »? Il resterait plus que la deuxième syllabe. Mais je ne vois rien qui irait avec ça. La première syllabe de poisson avec « cripoisosant »? La première syllabe de requin avec « crirequosant »? La raie avec « criraiosant »? La première syllabe de st pierre avec « cristosant »? …. En fait, plus j'y pense, plus je me dit que la charade est en deux mots. Mais plus j'essaie avec « os », moins j'arrive à faire de mots. C'est peut être pas ça. ….. Et si c'était [/i]« sang »? Genre « cri -nana- sanglant »? Et « cri strident »? Non, oublie ma proposition. »
*Acheva-t-il rapidement. Il avait beau faire tout son possible pour aider Mizuki, il n'arrivait pas à trouver une idée correcte. Il était vraiment inutile pour elle et ça l'énervait profondément de ne pas pouvoir aider la jeune fille dans ce second labyrinthe, de mots cette fois. Les poissons et tout ce qui avait sous la peau était trop nombreux, surtout qu'ils avaient choisi la première syllabe sans vraiment y réfléchir. C'était donc possible qu'ils ne se basent pas sur les bonnes syllabes de départ. Il y avait tant à voir qu'ils risquaient rester là pour toute la nuit. Mais bizarrement cette possibilité ne le dérangeait plus vraiment. Était-ce dû au fait qu'ils s'étaient désormais avoué leurs sentiments respectifs et similaires? Était-ce parce qu'il la tenait dans ses bras sans aucune retenu et aucun prétexte? Était-ce les deux à la fois? Possible.* [Dédicace à Heeboo, Darcy, Coo', Sukkie et Rai-L.Rey sans qui nous n'aurions pas pu finir notre sujet. ^^] |
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Yamada Ren p
pseudo : Mary messages : 397 i'm here since : 24/09/2010 points : 26341 age : 32 mood : excécrable my heart is : empty wizard's spellbook :
Toute cette histoire commence sérieusement à me prendre la tête. Moi qui me croyait enfin débarrassée de ce boulet qu’est cette Sachiko à mes yeux, désormais je suis préfet à mon tour et avec elle en plus. J’ai fais quoi pour mériter tout cela ? Beaucoup je suppose…Bon ok, j’avoue que j’ai peut être était un peu trop brusque avec elle et que je devrais m’excuser… Ouais on verra ça lorsqu’elle sera au courant que son nouveau coéquipier c’est moi… Je sens que ça va être à hurler de rire… ou pas. En tout cas, ce n’est pas demain la veille que je serai enfin tranquille… Cette histoire me prend incroyablement la tête, sans parler de cette tendance qu’on les kouhais à venir te parler et te harceler de questions. Qu’est ce que j’en sais, tu prends ton règlement intérieur et tu l’apprends bêtement et si tu te fais pincer ben assumes mon coco.
Ça y est ça me prend encore la tête, ce soir je sens que je vais m’en aller directement vers les salles de bains condamnées,pour jouer de nouveau et m’aérer la tête, j’ai l’impression que je vais en avoir grandement besoin ou alors sortir en soirée avec Dylan? Qu’importe tant que ça me permet de me changer les idées avec toutes ces conneries.
Ah oui et peut être qu’il serait temps que j’aille voir Nichido, un de ces jours, je suis sur qu’il pense que j’ai disparu de la surface de la terre. Je l’ai pas vu depuis quand déjà ? Septembre ? Ouais, ça va faire sept mois…Ouais faut que j’aille le voir…je suis sur qu’il m’engueulera, me fera la morale et puis me parlera de ces soucis, comme d’habitude…ça me changera les idées.
| Sujet: Re: yokota kimitaka&ishida mizuki. Dim 26 Déc - 1:29 | |
| Venait-elle vraiment de lui déclarer ses sentiments ? Elle n’osait pas vraiment se le dire à elle-même tellement elle trouvait que le moment était mal choisit tout comme l’état d’esprit dans lequel elle se trouvait. Elle était fatiguée physiquement et mentalement, elle n’arrivait pas à trouver un fil conducteur entre toutes ses pensées, incapable de leur trouver un sens. Elle était seulement prisonnière de ses sens, de ses émotions, ses angoisses sans pourtant rester lucide et logique. Non, son cerveau réclamait qu’elle le laisse en paix pour le moment, préférant se concentrer sur un fait plus intéressant que le mélodrame qui se produisait dans son cœur et qui avait pris le dessus sur tout le reste. Une pulsion soudaine, incontrôlable qui avait seulement eu pour effet de mettre un terme à ses tourments. Elle n’était pas une yongwang pour rien, elle, comme tous les membres de sa maison, elle avait la faculté de faire face à tout type de situation sans crainte ou du moins elle ne fuyait jamais, ce qui était en soi un bon point. Pourtant on pouvait interpréter ce courage comme de l’idiotie pure et simple à force de jouer à être les casse-cous de l’école et à vrai dire, elle-même pensait désormais qu’elle était stupide tout simplement.
Sans le remarquer elle-même, elle lui avait déclaré ses sentiments sans y mettre aucune forme, n’avait même pas prise la peine de tourner les mots de la façon dont elle le souhaitait, non sa déclaration était des plus soudaines et totalement spontanée. Une spontanéité qu’elle regretta tout de suite après que ses mots avaient pu sortir de sa bouche alors que son cerveau prenait peu à peu conscience de ce qu’elle était en train de dire, engueulant son cœur de s’être montré si peu intelligeant. Elle n’avait jamais eu l’intention de lui déclarer ses sentiments, son cerveau du moins. Dans un coin de sa tête, celui-ci était déjà en train d’envisager les cas de figure des situations dans lesquelles elle pourrait le faire, préparant même des phrases types, bien formulées et expliquant à quel point elle l’aimait. C’était peut être stupide mais ainsi elle se sentait rassurée en agissant de la sorte mais c’était trop tard, son cœur avait désobéi à sa raison et la laisser coupable d’égoïsme de sa part en prenant en traitre le jeune homme de cette façon. C’est pour cela qu’elle avait rajouté à cela qu’elle comprendrait s’il ne souhaitait plus la revoir bien que de son côté cet état de fait allait être difficile. Elle avait tellement appréhendé ce moment, cet instant où le jeune homme la repousserait et lui dirait que ses sentiments n’étaient pas partagés. Après tout n’était ce pas ce qu’il avait de plus beau dans l’amour ? Les tourments appartiennent aux amoureux et le goût amer que ceux-ci laisse derrière eux ne font que raviver encore plus la flamme de leurs sentiments, non ? En tout cas dans le cas de Kimitaka, à l’heure actuelle et la situation dans laquelle ils se trouvaient, les chances qui répondent favorablement à ses sentiments alors qu’il se sentait accablé de l’avoir embrassé étaient quasi nulles, tout simplement. Alors pour préparer son cœur à cette réponse, elle avait rajouté des mots qui avaient ni queue ni tête, pour tenter de passer la pommade sur son cœur pour qu’il se prépare à tout ça, ne cessant de lui répéter qu’il avait été tout simplement stupide et qu’il méritait tout ça cependant.
Alors elle avait décidé de se concentrer sur l’énigme, mettant un terme au caprice de son cœur tout en s’épargnant la peine qui pourrait l’habiter alors qu’elle sentait son cœur saigner dans sa poitrine. Pourtant elle refusait à son cœur ce droit, intimant sa raison de le faire taire pour résoudre cette foutue énigme pour qu’elle puisse enfin lui laisser faire ce qu’il voulait. Elle se battait tellement contre ses propres émotions qu’elle avait été parfaitement incapable de voir les réactions du jeune homme face à sa longue tirade. C’est alors qu’elle sentit une larme s’abattre sur sa peau qu’elle essuya d’un revers de main avant qu’une autre passe la barrière de ses paupières. Oh oui, elle était idiote puisqu’elle pleurait maintenant. Son cœur semblait mener la bataille que mener celui ci contre ce que lui dictait sa raison. Elle devait avoir l’air pitoyable pour ne pas dire qu’elle devait donner l’impression d’être une petite fille qui fait son caprice. Qu’est ce qu’elle détestait ça, qu’elle haïssait sa faiblesse de petite fille abandonnée qu’elle avait toujours été. Elle voulait même se mettre une claque mais elle ne pu faire aucun geste pour tenter de se raisonner, trop prise au piège de sa propre tristesse. C’est à ce moment précis où le jeune homme se leva et la prit vivement dans ses bras, la tenant fermement et en douceur contre lui. Un geste qui décontenança totalement la jeune femme qui ne prenait pas réellement conscience de ce qu’il était en train de se passer. En l’espace de quelques secondes, elle se retrouvait désormais face au torse du jeune homme et victime de sa chaleur. Une chaleur des plus agréables, des plus fantastiques. Les mots qu’il prononçait lui allait droit au cœur, le transperçant de toute part alors que celui-ci semblait se ranimer d’un seul coup et se gonfler de bonheur comme jamais. Non, il ne souhaitait pas qu’elle s’éloigne de lui, de sa vue, il la suppliait de ne pas le faire. Il lui murmurait qu’il ne voulait pas qu’elle pleure car ça lui faisait énormément de peine que c’était de sa faute. Il lui ouvrait tout simplement son cœur, chose qu’elle n’avait jamais cru un jour espérer tellement le jeune homme était quelqu’un de secret en principe et pourtant, elle ne rêvait pas. Si c’était le cas, elle ne voulait plus se réveiller de ce songe, elle voulait à tout jamais rester prisonnière des bras du jeune homme, de leur chaleur et du sentiment de sécurité qu’ils suscitaient en elle. Lorsqu’il lui avoua que son cœur était à elle, elle ne pu s’empêcher de rougir de toute part, comme si ces simples mots avait donné le coup fatal à son pauvre cœur. Sans pouvoir se retenir, elle passa à son tour ses bras autour du torse du jeune homme et enfoui sa tête au creux de la poitrine du jeune homme. Il lui disait qu’elle pouvait lui briser le cœur si elle le désirait mais ça ne serait jamais le cas, elle l’aimait trop pour vouloir lui causer une quelconque peine mais au moins, il lui donnait une raison de vouloir rester auprès de lui, de ne jamais le quitter et à vrai dire à ce moment précis c’était le plus important.
Elle ne dit mot à la réponse du jeune homme, bien trop émue pour trouver des mots dignes d’intérêt qui pourrait bien définir le bonheur qu’il venait de lui apporter et puis comme le jeune homme venait de si bien le dire, ils feraient mieux d’en reparler une fois que leurs deux têtes seraient reposées. Une décision sage, digne d’un geobuk dans toute sa splendeur. Et puis ils avaient une énigme à résoudre après tout et le rugissement que poussa la créature magique, les informa qu’elle commençait à perdre patience. Alors elle obligea son cœur à contenir et calmer ses battements, lui demandant qu’il lui laisser le temps de bien réfléchir à la réponse pour que la fin qu’elle envisageait auparavant, ne soit que la renaissance de quelque chose de nouveau entre eux deux. Non, elle ne voulait pas finir comme repas, du moins plus maintenant. Une requête que lui accorda son cœur qui continua quand même de battre vivement alors qu’elle sentait la pression du corps du jeune homme venir renforcer son étreinte. Réchauffée au creux des bras du jeune homme, elle se replongea dans la charade de l’enigme bloquant toujours sur le poisson. Comme si le jeune geobuk lisait dans ses pensées, il commença à raisonner à haute voix, donnant diverses propositions les unes après les autres. La dernière cependant retint toute son attention. « Cris strident » ? Rapidement et avec une logique qui n’était compréhensible que par elle-même, son cerveau confirma cette réponse, persuadé que la réponse était celle-ci.
« C’est ça, Kimi-chan. J’en suis persuadée. Récapitulons : « mon premier fait peur aux enfants » donc les cris si on part sur cette base et je suis persuadé que les cris rentrent dans le tout. « Mon deuxième est la première syllabe d’un poisson » le st pierre, dont on ne garderait que la première syllabe donc les deux premières lettres « st ». « Mon troisième se trouve sous la peau » : ride. Ce qui donnerait pour l’instant « cri stride » et comme je sais de source infaillible que le quatrième est « ant » ça nous donnerait bien « Cri strident ». Cri strident signifiant des cris aigus que l’on pousse lorsqu’on à peur, je suis certaine que ça ne peut être que ça. » Lança-t-elle d’une traite alors que son cerveau était de plus en plus certain et qu’elle se décalait du jeune homme pour lui expliquer son raisonnement.
Il sembla que son explication convaincu le jeune homme qui sembla lui dire qu’il croyait également que ça pouvait être ça. Elle, elle ne le croyait pas, elle en était pratiquement sure à 100%, bien que le taux réel n’était qu’à 99,99% incapable de pouvoir certifier que cela puisse être vraiment ça. De plus, il fallait bien qu’ils trouvent une réponse et à son humble avis, seul cet ensemble de mot avait vraiment son sens. C’est ainsi que sans rien ajouter et préparant sa baguette pour contrer toute attaque de la dite créature au cas où sa réponse n’était pas la bonne, elle lança simplement à son attention :
« Le réponse est « cris stridents ». »
Comme si le ciel était avec eux, ils avaient visés juste et la créature resta correctement et sagement assisse, leur signifiant que c’était bien la bonne réponse. Soulagés, ils soupirèrent ensemble soulagés tandis que les branches des arbres se dérobaient derrière la créature magique pour laisser place à la liberté qui se présentait désormais sous leurs yeux. C’était terminé, ils en avaient désormais terminés avec toute cette histoire et à vrai dire, la jeune fille était bien heureuse alors qu’ils avançaient désormais vers la sortie, heureux d’en être sortis vivant.
HRP : Si quelque chose ne te convient pas, n'hésites pas à me le dire, je tâcherai de modifier :). |
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mr. YSH messages : 144 i'm here since : 24/09/2010 points : 26207
age : 595 mood : excité, nom d'un sorcier ! le début des cours, c'est toujours excitant. my heart is : oh, tous les élèves sont dans mon coeur. tous les élèves... sauf peut-être ce petit chenapant de Choi Yoo Sung... et cette petite furie de Jung Shin Ah... tout compte fait, nos élèves cette année sont bien impertinants. Ennuyants s'ils ne le sont pas !
| Sujet: Re: yokota kimitaka&ishida mizuki. Lun 27 Déc - 6:08 | |
| félicitations ! vous voilà sortis du labyrinthe.Vous pensiez y rester, non ? C’est justement ce que notre directeur préféré voulait ! Vous faire peur. Vous entendre hurler. Et ça a fonctionné ! Par la barbe de Merlin, vous pouvez être fier ! Vous avez trouvé la sortie sans trop de mal. D’ailleurs, vous êtes le 3ème couple à sortir indemne de ce dédale de couloirs. D'ailleurs vous venez de faire remporter 5 points à vos maisons respectives ! Peu d’entre vous auront déjà tenté de braver ce fameux labyrinthe. Donc peu d’entre vous savent réellement ce qui se trouve de l’autre côté de cet amas de haies. Lorsque vous ressortez, vous entrez dans une salle spécialement aménagée pour l’occasion. Sur votre gauche, une estrade. Des instruments de musique, des gens qui s’y affairent autour. Nul doute qu’il y aura un groupe pour mettre le feu à cette soirée ! En tournant la tête vers la gauche, vous apercevez une banderole. « Bienvenue aux grands traumatisés ! » Les infirmières sont là. Il y a une rangée de lits dissimulée derrière de grands rideaux. Trois bureaux sont placés à côté. Trois psychologues, tous présents pour écouter vos péripéties, vos traumatismes de la soirée. Notre directeur pense à tout, vous avez vu ? N’hésitez pas à aller les voir, ils sont là pour prendre soin de vos petits esprits troublés.
Encore une fois, l’alcool est présent. Et encore une fois, vous devez avoir une autorisation parentale pour boire si vous n’êtes pas majeurs … Le bar se trouve au fin fond de la salle, tout près de citrouilles et de la grosse vache. Grosse vache ? Ah, c’est vrai … Nous avions oublié de vous dire qu’Halloween était la fête préférée de notre grand et cher Jimmy. Et comme à chaque année, il s’investit corps et âme dans la préparation de l’évènement. Il voulait être responsable de la fabrication et de la distribution des boissons. Mais comme tout le monde, il voulait être costumé. L’an passé, il arborait un costume de sirène – d’une beauté incroyable, je vous assure ! Cette année, il a opté pour la vache. Avec les pies, sur le devant … Originalité, quand tu nous tiens ! Un coin a été aménagé spécialement pour que vous puissiez vous détendre. C’est bien beau vous faire peur, mais c’est tout de même le temps de reprendre vos esprits bien comme il le faut et avoir du plaisir. Lorsque tout le monde est entré dans la salle, les lumières se tamisent. Roulement de tambour. « Accueillez chaleureusement le maître de la soirée. L’organisateur de ce merveilleux évènement. Le fêté de la journée ! Vous avez bien entendu ! C’est son anniversaire, alors applaudissez-le du mieux que vous le pouvez ! J’ai nommé notre cher directeur, monsieur YSH ! »
Les lumières se braquent sur l’estrade. Et une jeune femme blonde, en robe rose toute brillante, se montre à vous. Grand sourire aux lèvres, une voix cristalline. Le présentateur s’est trompé dans son speech ou quoi ? La jeune femme agrippe le micro et commence à parler. Et puis .. hey, c’est, ce .. Non, ce n’est pas une femme. C’est le directeur. Vous entendez sa voix ? Plus il – enfin, elle – parle, plus la voix devient grave et ressemble à cette de notre directeur préféré … « Les enfants ! Félicitations à tous pour être ressortit indemne de toutes ces épreuves. Je suis fier de vous ! Alors je me présente, je suis Yong So Hee, votre hôte pour cette magnifique soirée. Alors je voudrais souligner, tout d’abord, l’anniversaire de notre mer-vei-lleux directeur, hahaa ! 581 ans et toujours aussi se.. sérieux et plein de vie, haha ! » La jeune femme s’interrompit, toussant un peu, rageant contre elle-même. « Je savais que j’aurais du opter pour le costume de Jimmy, j’aurais fait fureur. Foutue métamorphose qui ne dure jamais cinq minutes … Ah, non d’un criquet ! Alors ce soir, amusez-vous, comme toujours ! N’abusez pas trop de l’alcool – malgré que les infirmières soient à proximités -, ET NE FAITES PAS LES FOUS. Ou alors juste un peu ... Passez une merveilleuse soirée ! Et maintenant je retourne me changer .. Jun Suk on ne regarde pas sous la robe, oooh ! »
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| Sujet: Re: yokota kimitaka&ishida mizuki. | |
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| | | | yokota kimitaka&ishida mizuki. | |
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