Annyeong ! je me nomme Son Jun Ki, je suis né un 11 Novembre 1991, j'ai 19 ans et je suis de nationalité coréenne, ce qui fait que je suis actuellement en 4ème année; la classe, n'est-ce pas ! Sinon, moi, je suis un sang-mêlé et je suis en réalité bisexuel, bien que je prétende le contraire. Mon animal de compagnie, c'est un chat roux nommé Aoi et ma baguette mesure 28 cm, est en bois de prunelier et contient une plume de phénix. Tant que j'y suis, la maison à laquelle je souhaiterais être réparti est Muneo, ou Geobuk - par contre, je vous supplierai d'éviter Ineo ! Et dans la vie, j'aimerais être musicien. Bon, c'est bien tout ça, mais si on passait aux choses sérieuses ?

n'incluez pas la question dans votre fiche, mais bien uniquement le chiffre de la question. c'est pour la netteté et la visibilité.

1. Dès le début, vous commencez par les questions difficiles vous! Bon... Au début, je pense que je serais tellement choqué pour faire quoique ce soit. Après avoir retrouvé mes esprits, je réfléchis à tous les points faibles que possèdent les sirènes. Elles n'aiment pas la chaleur, je me trompe? Réviser sa DFCM, ça a vraiment du bon parfois, même si je n'en ai pas souvent besoin... Bref. Je lance à la première sirène qui passe un bon sortilège, qui l'atteint de plein fouet! Heureusement qu'elle se baladait et qu'elle n'était pas face à moi! Dès lors qu'une de leurs congénères est blessée, les autres sirènes viennent à sa rescousse... Un peu comme des Amazones, elles vont chercher à avoir dans leurs filets le coupable. Le coupable étant moi-même, je cours de l'autre côté du poisson que je viens de frire et je vais doucement dans l'eau, après m'être infligé un sortilège de Têtenbulle. Je ne veux pas les alerter, alors je nage doucement, en regardant bien autour de moi, ma baguette rendant claires les choses autour de moi. Je trouve enfin cette amie et je tente de la détacher par tous les moyens... Une pierre coupante devrait faire l'affaire. Je la prends avec moi mais malheureusement, les sirènes reviennent avec leur amie que j'ai frite, très en colère. Je me cache le plus rapidement possible. Ces sirènes sont tellement moches! Comment des poissons comme elles, peuvent copuler avec... Vaut mieux que j'arrête de penser à ça. Toutefois, quand on les regarde de plus près, elles sont vraiment attirantes... Tellement attirantes qu'un envie de venir vers elles, les voir, les toucher pour voir si elles sont réelles, apparaît. Mais à cause de mon amie, lourde et toujours endormie, je ne peux pas bouger de ces algues... Cruel dilemme. Alors, je lâche mon amie pour qu'elle remonte d'elle-même à la surface et je vais là où elle était retenue prisonnière. Malheureusement, avant que je n'y arrive, la bulle que j'ai créée ne contient plus d'oxygène. Le dioxyde de carbone me montant au cerveau, les sirènes ne paraissent plus aussi tentantes que ça... Vous avez pu constater ici que je ne suis pas aussi infaillible que j'en ai l'air, et ça m'énerve. Je remonte en priant arriver vivant sur la surface de l'eau. Sinon, je ferai un repas pour les sirènes à la place de mon amie, ça ferait un bon sacrifice.

2. Choix B:
Non, je suis pas un de ces tarés du travail qui passe sa vie dans ses bouquins jusqu'à s'en esquinter les yeux. Mais entre un examen important et une fête pas si inoubliable que ça, je préfère mon avenir. Donc, je laisse mes amis y aller, même s'ils m'ont supplié de venir, et je me mets à peaufiner mes révisions. Vous avez cru que je ne m'y étais pas pris à l'avance? Non mais hé! Donc finalement, je vais bien dormir et être en forme demain, MOI! Après la fin d'un chapitre assez difficile, je vais me chercher un peu de chocolat dans ma chambre mais quand je reviens, mes livres ne sont plus là. Je sors de ma salle commune et à ce moment, j'entends des rires de gosses dans le couloir. Je ne me mets pas à courir, non, je marche tranquillement, en écoutant où les bruits de pas et les gloussements partent. Pas très compliqué, on n'est pas énormément dans le château ce soir. Il suffit ensuite de faire un peu de bruit pour qu'ils se mettent à paniquer et les coincer dans un coin. Quand ils vont voir qu'il s'agit d'un quatrième année assez baraqué, ils vont bizarrement se sentir mal. De plus, je les coince; même s'ils sont supérieurs à moi de façon numérique, il suffit que je cogne une tête contre le mur - ce que je ne ferai pas, je suis trop parfait pour ça - et tout s'enfuiraient comme des pigeons. Je vais commencer par être gentil, et leur demander de les rendre. S'ils sont intelligents, ils le font et s'excusent, se rendant compte de la situation dans laquelle ils se sont fourrés. Si ça ne marche pas, je leur dirais de faire le devoir de botanique à ma place, un livre de quatrième année ne devrait pas leur poser de soucis! Et puis, s'ils l'ont pris, c'est que la botanique les intéresse, non? Si ça ne marche toujours pas, j'utilise la force: Etant donné que ces crétins ont gardé leurs uniformes, j'en tire un par l'oreille et je vais cogner à la porte du bureau de son professeur principal. Ils seront punis, et puis c'est tout. Je reprendrai mes livres dans tous les cas, potasserait les sujets que je ne maîtrise pas très bien, et j'irai me coucher tôt en pensant à cette fête... Tant pis, il y en aura d'autres, non?

3. C'est très rare qu'une telle chose m'arrive! Je travaille, je m'amuse, je ne passe pas une minute à paresser alors je tombe comme une souche sur mon lit le soir. Enfin, ça, c'est ce qui se passe d'habitude... Cette nuit, même après avoir lu plusieurs chapitres de L'histoire d'Akiwa et fait des étirements dans mon lit, je n'arrive pas à m'endormir. Je me lève sans faire trop de bruits, et me voici dans le couloirs du château à trottiner pour me fatiguer. Malheureusement, je dois avoir la poisse; je commence à entendre des bruits de pas dans le couloir. Si c'était Jimmy, je sais que j'aurais été pétrifié et que je culpabiliserais pour cette entorse minime au réglement. Je vénère l'octopus, pour moi, c'est un peu Dieu... Mais bon, un prof, et en particulier cette sale chèvre, ça me fait déjà moins peur. Je suis dans un couloir sans porte, mais... Les armures! Il y a des armures plus loin dans ce couloir, j'en vois certaines d'ici. Etant donné qu'elles sont de l'autre côté du chemin de la bique, ça me sauverait. Je sors ma baguette magique, vise l'armure la plus éloignée de mon champ de vision et je lui lance un bon vieux Flippendo. La statue s'éloigne et se fracasse un peu plus loin. Je me cache dans un coin, au cas où elle cherche de mon côté, et j'inspecte ce qu'elle fait. Elle court du côté où l'armure est tombée et regarde où sont les dégâts causés par ce sale mioche qui a osé saboter cette magnifique armure. Moi, pendant ce temps, je me tape un petit sprint sur la pointe des pieds jusqu'à ma salle commune. Comme ça au moins, je serais suffisamment fatigué pour m'endormir tranquillement!

4. Que le directeur me donne, à moi, un petit élève d'Akiwa à l'apparence un peu trop parfait, un dossier classé top secret, ça m'étonnerait. Mais bon, répondons quand même à la question... Admettons déjà qu'un homme vienne me voir pour ce genre de choses et qu'il sache que je l'aie. Ma première réaction? Lui rire au nez. Mais ensuite, lorsqu'il me parle de retenues, je suis franchement choqué. M'enlever mes retenues? Il s'adresse à la mauvaise personne! Parce que moi, des retenues, j'en ai pas des masses... Enfin bon, de toute façon, ce dossier, je ne le traîne pas sur moi. C'est confidentiel, donc susceptible à être volé, donc il est dans ma valise, à l'abri des regards. Je vais gentiment lui dire que je n'ai pas ce qu'il veut sur moi, et que je devrais aller le chercher. S'il me le demande, me le supplie, je lui réponds que je préfère m'assurer d'être une personne de confiance pour le directeur. Conclusion, une visite dans son bureau se révèle indispensable. S'il refuse, je ne lui donne pas. Il m'a fait du chantage affectif, pourquoi pas moi? S'il ne veut pas voir le directeur, je ne lui donne pas, un point c'est tout. Il me prend pour un con ou quoi? Ca fait plus de quatre ans que je suis ici et je croise un prof que je n'ai encore jamais vu depuis toutes ces années? Laissez-moi rire! Pas de preuves, pas de dossier monsieur! Tatata, faut pas râler, c'est comme ça!

5. Je trouve ça stupide de différencier les sang-purs et les soi-disant "sang-de-bourbe". Pourquoi créer une discrimination du genre, il n'y en a déjà pas assez dans le monde des moldus... D'ailleurs, les sorciers venant de ce monde sont assez souvent considérés comme des fous, des malades incurables par leur entourage, alors à quoi ça sert de créer une hiérarchie entre sorciers? Au contraire, il vaut mieux leur faire l'accueil le plus chaleureux possible, pour leur créer une passerelle sûre entre le monde des sortilèges et le monde mécanique. Et puis, de toute façon, je n'ai rien à dire. Je suis né d'une mère sang-pur et d'un père fils de moldus; je ne verrai pas pourquoi je haïrais mon père à cause de son sang. D'ailleurs, il est rouge, comme celui de toute le monde, qu'il soit moldu, sorcier, malade, génie, bourreau ou saint... Je me trompe?

6. On peut dire que l'existence de Jun Ki a commencé de façon particulière. Il l'est l'un des rares bébés né à Atlantis, à deux pas d'Akiwa. A l'époque, ses parents étaient tous deux en dixième année à Muneo. Sa naissance au fond de l'océan et la maison de ses parents ont fait en sorte qu'il admire Akiwa et qu'il vénère Jimmy l'octopus.
Depuis qu'il est tout petit, il s'est mis en tête de devenir suffisamment intelligent et parfait pour entrer dans cette maison. Malheureusement, il en a quelque peu oublié son caractère têtu et capricieux pour devenir trop sage. Au fil du temps, et grâce à de nombreux efforts, il est devenu intelligent, aimable, adorable, sociable... De plus, la nature l'a doté d'assez beaux gênes..;Parfait, je vous l'avais dit... Ou presque. Quelquefois, son mauvais caractère revient et il peut devenir obstiné, rancunier voire colérique. Si on gratte sous cette apparence, Jun Ki est en réalité un petit garçon qui se cherche et qui a du mal à se trouver sans cette petite carapace que ses professeurs, sa famille, ses amis connaisse et adore. Pour cacher son manque de confiance en lui, il se réfugie dans les livres et dans les études, tirant d'excellentes notes. Toutefois, il ne laisse pas ses amis de côté, les filles non plus. Il ne les cherche pas, elle les trouve, il en est heureux. Que se passerait-il si on lui enlevait son côté trop parfait? Même lui ne le sait pas, et ça lui fait peur, lui qui déteste l'imprévu...