Annyeong ! je me nomme Park Sun Chang, je suis né le 1er mai 1994, j'ai 16 ans et je suis de nationalité coréenne, ce qui fait que je suis actuellement en 2ème année; la classe, n'est-ce pas ! Sinon, moi, je suis un sang pur et je suis heterosexuel. Mon animal de compagnie, c'est une chouette blanche nommé Blizzard et ma baguette mesure 30,5 cm, est en bois de saule et contient un crin de licorne. Tant que j'y suis, la maison à laquelle je souhaiterais être réparti est muneo - par contre, je vous supplierai d'éviter Yunikon ! Et dans la vie, j'aimerais être ministre de la sorcellerie. Bon, c'est bien tout ça, mais si on passait aux choses sérieuses ?

n'incluez pas la question dans votre fiche, mais bien uniquement le chiffre de la question. c'est pour la netteté et la visibilité.

1.
Les sirènes, leur mythique beauté et surtout leur chant, elles attireraient même Narcisse dans leur bras par leur musique envoutante, il serait bien étonnant que son ami est pu leur résister, lui qui est si influençable par les filles. Un vrai coureur de jupon! Sauf que voilà, les splendides nymphes des océans s'avèrent être de terrible gorgone cannibale. Elles ensorcèlent leurs victimes pour mieux les transformer en statue hébété devant tant de beauté pour les cuire et se nourrir de leur chair si tendre. Il va sans dire que mon ami est en danger.Il va sans dire que je vais l'aider.
Très rapidement j’établis un plan en trois acte, je suis intelligent et rapide, j'ai très bien étudié ces créatures. Ce sont des poissons, elle ont besoin d'eau pour vivre.
Premièrement je lance un sort à mes oreilles pour les rendre sourdes. Deuxièmement, un immense filet que je lance tel un pécheur avec ma baguette magique et comme les pécheurs, j’extrais de l'eau ma pèche qui compte trois sirènes et mon ami ensorcelé. Elles se débattent, leur nageoires sont prises dans le filet et elles poussent des cris que je n'entend pas.
Troisièmement, je les paralyse un instant, pour sortir mon ami de leur patte et d'un signe de tête lui demande de s'éloigner.
Mission accomplit, il est aussi fort possible que je découpe la queue d'une des sirènes, celle qui emprisonnait mon ami de ses bras, la meneuse semble t'il. Pour le repas de ce soir, c'est très bon, le poisson!
Bon, toutefois comme un gentil pécheur, je vais les rendre à leur milieu naturel...après tout, c'est une espèce protégée non?

2.Choix B
Je ne m'y rend pas évidemment, me retrouver entouré d'élève festoyant, buvant des alcools odorants en dansant sur une piste de danse. Ce n'est pas l'idée que je me fais d'une bonne soirée, enfin un soirée pas trop mauvaise diront nous. Je préfère largement être entouré de livre et de cours qu'en la compagnie l'adolescent fêtant joyeusement une victoire. De plus, je veux obtenir la note maximale à cet examen de botanique. Oh certes je n'ai pas de grande difficulté en cette matière mais je ne peux me permettre de baisser ma garde. C'est pourquoi tandis que tous les élèves sortent vers cette soirée de folie, je reste au calme de la chaude salle commune.
Cette atmosphère apaisante et inhabituelle pour ce lieu si mouvementé d'ordinaire m'endort sans que je ne le sente venir face à mes révisions.
Je me réveille paniqué, secoué, encore et toujours ce même cauchemar qui revient dans mon sommeil, les cris insupportables, les coups, la violence, la douleur. Je regarde autour de moi avant de me rappeler que j'étais en train de réviser avant de fondre dans les bras de Morphée, ses bras qui m'ont emporté vers le royaume d'Hadès.

Mes cours! Mais où sont ils? Je regarde autour de moi, ils n'y sont pas. Ces satanés camarades, ils me le paieront.
Je ne vais pas avoir de mal à les retrouver évidement, je lance un simple sort de traçage sur chacun de mes parchemins de cours. Il me suffit de sortir ma baguette et de penser la formule du sort pour qu'un point bleu me mène vers le groupe d'élève qui détient mes cours.
Arrivé devant eux, je tend la main, je n'ai besoin d'aucun mot pour réclamer ce que je veux, aucune phrase ne sort de ma bouche mais j'exprime clairement par mes yeux et mon visage ma pensée. Si vous
ne me rendez pas mes cours tout de suite, je vous lance un sort. Les élèves de ma classe ont très vite appris cette vérité, je suis dangereux, les sortilèges informulés, c'est du niveaux des sixièmes années, mais ce sont les seules que j'utilise. Ce qui me rend complètement imprévisible à leur yeux.
Ca leur suffit pour me les rendre effectivement, ils préfèrent ne pas s'opposer à moi, ils auraient tord en effet, je prend mes parchemins et fait demi tour, sans un mot, mon seul cadeau que je leur laisse en me tournant, un petit sort furunculus, qui leur fait apparaitre plein de bouton sur leurs petites têtes d'idiots.

3. Ne pas dormir, surtout ne pas dormir, ne pas plonger dans les troubles du sommeil, rester éveiller coûte que coûte. Résister, dans la chaleur du lit sécurisant, aux profondeurs tumultueuses et sataniques du rêve. Le rêve, pas de pluriel, il revenait toujours, me déchirant toujours un peu plus à l'intérieur. Je ne veux pas dormir, l'insomnie est devenue ma drogue, la nécessité pour mon bien être, mais comme toute drogue, ça me détruit... qui pourrait vivre sans dormir?
Tout cela pour dire qu'il est monnaie courante que je me balade dans les couloirs d'Akiwa pendant la nuit, pour ne pas se retrouver dans mon inconscience tourmentée.
Marcher,marcher pour ne pas sombrer, ne pas fondre dans ce sommeil qui m'effraie. Je m'arrête au milieu d'un couloir, des pas, je n'éteins pas ma baguette, la prof arrive et me voit, je n'essaie même pas d'y échapper car je sais déjà ce qu'il va se passer.
Elle ne criera pas, n'élèvera même pas la voix pour me gronder. Me punir, elle ne le fera jamais. Parce que c'est moi, moi le pauvre petit garçon qui ne parle pas, le pauvre enfant qui a subi un tel choc psychologique qu'il a perdu l'usage de la parole. Moi, l'élève le plus doué de mon année malgré ce léger handicap. Les professeurs ont pitié de moi, mes bons résultats n'y change rien, il ne me considère pas comme les autres élèves. Alors si je suis dans ce couloir au beau milieu de la nuit, ce n'est surement pas de ma faute. Que pense t'elle, que je me suis perdu et que personne n'a pu me montrer le chemin à prendre, que pas un préfet ne m'aurait trouvé et raccompagné dans la salle commune? Ou bien que des élèves m'ont fait une farce, et que c'est pourquoi je suis ici... ne sait elle donc pas que je suis parfaitement capable de me défendre. Je déteste cette manie qu'on les autres à avoir pitié de moi, même mes frères ne me considèrent plus comme avant. Je ne suis pas stupide, je suis apte à faire tout ce que les autres font, je ne parle pas, c'est tout. Je ne veux plus communiquer avec les hommes.
Mais ça leur échappe aux professeurs, tenez, elle me sourit et me propose de me raccompagner à mon dortoir, gentiment comme si je n'étais pas en train d'enfreindre le règlement. Je la fusille du regard, mais la suit tout de même. Je ne vais évidemment pas lu faire comprendre plus clairement que ça m’énerve, id est par un sort, c'est un professeur tout de même.

4. Il est évidemment hors de question que je lui donne, ni même ne lui laisse poser le moindre regard sur le dossier. Cet échange est bien trop louche, qui plongerait la dedans? Pense t'il vraiment qu'il peut nous mettre des retenus pour avoir désobéit à l'autorité suprême qui règne sur l'école, le directeur, Mr Ysh. Je crois que je n'écouterais pas la moitié de ce qu'il me dit, dès qu'il aura émit les termes à l'échange je le quitterait, sans une parole, sans un mot. Je partirais, l'ignorant totalement, le laissant me poursuivre ou rester stupidement immobile au milieu de la foule d'élève qui abondera autour de lui. Si il devient un peu trop insistant et fatiguant, un sortilège d’amnésie qui lui ferait oublier tout à propos de l’échange, du dossier dont il n'était même pas censé connaitre l’existence me paraitrait tout à fait propice. Toutefois, je ne maitrise pas encore tout à fait ce dernier sort,il est complexe et il se pourrait qu'accidentellement il en oublie plus que ce que je ne pourrais vouloir.

5. Les moldus et leurs enfants nous sont inférieurs, seul les sang pur sont respectables et dignes d'être qualifié de sorcier... d'humain. C'est ce qu'on m'a toujours appris, mon père s'est fait un plaisir de me l'apprendre, il me l'a graver dans ma peau même. Il l'a inscrit sur mon corps comme un héritage paternel. Elle est toujours là, cette longue cicatrice dans mon dos qui me rappelle sans cesse les leçons de mon père.
Je les hais ces principes, je les hais ces sangs purs qui se pensent supérieurs aux moldus et à leur enfants juste parce qu'ils sont dotés de quelque chose qu'on appelle la magie. En quoi est ce que quelques pouvoirs nous rendent supérieurs et différents des autres.En quoi ça donne le droit de les traiter comme des insectes qui nous insupportent! Je ne fais aucune différence entre personnes, sang pur, sang mêlé, né moldu, cracmol, moldu. Je veux me venger des croyances, de la folie, de mon père.

6.
Décrire ma personnalité, en a t'on besoin? Personne ne me comprendras jamais de toute manière, et pour cause, je ne communique pas. Je suis cloitré dans mon silence depuis bien des années. Se taire pour ne pas blesser, pour protéger ceux qu'on aime et ceux qu'on aime pas aussi. Je suis hors de votre monde, perdu, souffrant de mes souvenirs sans pouvoir les partager avec qui que ce soit. Non, je ne veux pas les partager, j'ai choisie de me taire.

Mais je pense que ca ne suffit pas à me décrire, car là je ressemble bel et bien au pauvre petit muet dont je déteste tant qu'on prenne en pitié.
Je suis un grand travailleur,calme et intelligent. J'aime les livres, j'aime le travail, je suis extrêmement studieux, on peut dire que je passe la plupart de mon temps entouré d'eux, ce sont mes meilleurs amis en quelque sorte. Mes seuls amis, aussi silencieux que moi, car ce n'est pas facile d'avoir des relations normales avec les autres quand on ne parle pas. Ceux qui s’intéressent à vous c'est bien souvent que par pitié ou pour vous jouer de mauvais tours. Je dirais que la première catégorie m'exaspère encore plus que la seconde. Pensez vous vraiment que j'ai besoin de votre pitié ou de votre aide?

J'ai l'air empli de colère, c'est pas faux, mais c'est surtout la souffrance qui remplit mon cœur et mon esprit. Je ne m'en libèrerais pas, j'ai trop de remord, trop de dégout envers mon père, envers moi même surtout. J'ai blessé tant de monde, ma sœur la première. Mais je veux devenir ministre de la magie, pour laver cet affront, laver ce que les bains ne peuvent laver, ma culpabilité.

Je ne suis pas méchant dans le fond, juste profondément blessé et assez blasé pour pouvoir faire mal sans remord les gens qui m'énervent, soit par leur pitié insensée, soit parce qu'ils se croit tout parmi du fait de leur "sang". Mais ce n'est pas pour autant que je suis complètement insensible. La tristesse, la souffrance des autres c'est ce que je redoute le plus, c'est en partie pour ça que je ne parle plus