Lee Kessy THE FREAK ADMIN;
pseudo : mee. messages : 1610 i'm here since : 13/09/2010 points : 28263 age : 34 mood : confus. perdu. my heart is : long gone, long done. wizard's spellbook : underconstruction.
| Sujet: Hanatori Masaya. Ven 24 Sep - 6:45 | |
| Hanatori Masaya poste vacant: non ; feat: suda masaki. | Carte d'identité ■ Masaya Hanatori ■ 17 ans ■ Japonais - Warusawa ■ sang-pure ■ Busard des roseaux mâle nommé Seion ■ Gardien des rituels magique de la montagne Warusawa. ■ bois de saule. Elle mesure 22,5 cm et contient un ventricule de coeur de dragon. |
l'heure de la répartition... 1. Honnêtement j’évite de m’approcher de ce genre de créatures. D’une part car elles sont vraiment dangereuses, et qu’à moins d’être un sorcier très expérimenté, il est rare de pouvoir sortir de leurs griffes. Néanmoins si une personne qui compte pour moi est aux prises avec les sirènes, je n’hésiterai pas à faire mon possible pour la sortir de là. Bien que je sache que l’issus peut être fatale, je ne peux me décider à la laisser quitte a sacrifier ma propre vie. Je chercherai d’abord à me calmer face à la situation, et à réfléchir au meilleur moyen de pouvoir la sortir de là. Un charme de paralysie ne suffirait certainement pas, car leurs chants envoutant prendront cependant le dessus avant que j’eusse le temps de régir. J’utiliserai donc d’abord un sortilège de « bouchon d’oreille » pour être débarrassé de cette handicape auditif. Ensuite, j’essayerai de libérer mon amie sans pour autant faire trop de mal aux sirènes, qui sont des créatures qui participent à l’équilibre magique. Un ou deux sortilèges de « saucisson », quelques « Stupéfix », et si les agresseurs se montre plus violentes, je n’hésiterai pas à utiliser des sortilèges un peu plus poussés, comme le « Cracbadabum ». Bien évidemment afin d’enlever les liens de mon amie, j’utiliserai le « Lashlabask », je lui prendrai la main, et je partirai en courant !! 2. Hors de question de louper mes examens, surtout si c’est pour une fête. Même si mes amis y vont, je ne peux pas accepter. Ainsi je préfère rester dans la salle commune et réviser une dernière fois mes notes, même si je n’en ai pas vraiment besoin vu le travail que je fournis toute l’année. Certes je n’aime pas trop être séparé de mes amis, mais de toute manière je les retrouverais bien un peu plus tard, et un peu de solitude n’a jamais tué personne de temps en temps. Si je m’assoupi, et qu’a mon réveil mes notes ont disparut, cela me mettrait très certainement en colère, car je n’accepte pas ce genre de méthodes, le vole, tout comme le chantage, ne sont que des méthodes de faibles, et j’aurai vite fait de retrouver les malfaiteurs. Surtout que je n’oubli jamais de protéger mes affaires grâce à un sortilège de « Furunculus », ainsi les coupables, sont vite repérés en raison d’une bonne vingtaine de gros furoncles qui leurs poussent sur le visage. Après les avoir repérer, j’utilise diverses méthodes, la plus part du temps un petit sortilège de « leviacorpus » ou bien tout simplement de « jambe en coton » afin de récupérer mon bien et je les libère. C’est aussi simple que ça ! 3. Je ne m’aventure pas dans les couloirs la nuit … sauf si j’y ai été entrainé par un ami, que je sais de nature imprudente, et qu’il faut bien quelqu’un pour veiller sur lui. Ou alors car j’ai oublié de rendre un livre à la bibliothèque, et que je n’ai pas envie de me prendre un mauvais point, mais cette dernière situation ne m’est jamais encore arrivé alors ce n’est qu’une simple hypothèse … Je n’aime pas vraiment m’attirer des ennuie, et puis j’ai une réputation familiale à tenir, et un nom qu’il ne faudrait surtout pas souiller … Les Hanatori sont connues dans le milieu magique pour être extrêmement disciplinés, et sages. Nous n’utilisons pas la magie à tord et a travers, et notre nom n’a pas été souiller par des écarts de conduites pendant les nombreuses guerres. Les Hanatori, ont fait parties des grandes familles ayant signé le traité d’acceptation des moldues, et des restrictions de l’usage magique dans le monde moldue. Nous avons toujours été en accord avec les principes de libertés des deux univers. 4. Hors de question de donner un document que l’on a mis sous ma protection à quelqu’un que je ne connais pas ! Même si cela entraine des heures de colles (bien que cette perspective ne m’enchante pas, et que je n’aime pas collectionner ce genre de choses …). Je préférerai me renseigner sur cette personne et être bien certaine qu’elle soit professeur, quitte à me ridiculiser. Ou bien directement aller voir le directeur et lui dire ce qui c’est passé même en cas de sanction, je préfère assumer mes actes, et en référer après en une personne de confiance. Je dois dire que je suis plutôt du genre fidèle et loyal à ma parole et aux gens que j’apprécie, ainsi, il est inenvisageable pour moi de manquer à un de mes devoirs. L’honneur compte plus que la réputation, et une parole donnée est un serment inscrit dans la pierre. 5. Je n’ai aucun apriori concernant les sorciers nés de parents moldues. « La magie est une chose fragile et qu’il faut protéger à tous prix ! », c’est certainement l’une des phrases que m’a dite mon père qui m’a le plus marqué ! Je me réfère encore à ce principe. Et si des facultés magiques apparaissent même chez des personnes nées moldues, c’est qu’il y a une bonne raison à cela. La sorcellerie à existé de tous temps, et la fragilité de notre équilibre entre monde magique, et monde moldue est bien présente, c’est pour cela qu’il faut y faire attention. Et accueillir les personnes possédants des pouvoir avec les mêmes égards pour tout le monde. Comme de respecter les moldues en eux même. Car eux aussi font parti d’un équilibre d’un tout, et d’une chaine qu’il ne fait pas rompre. Et enfin, derrière le sorcier; ■ Faust/ Aki ■ Top-site ■ 5-6 / 10 ■ aucun ... - Spoiler:
3 promesses contre une simple signature : bien prendre ses médicaments, ne pas rester trop longtemps debout ou faire des efforts, ne pas s’approcher des points d’eau. Et Akita était libre, libre de participer à la sortie scolaire qui se déroulait au parc d’attraction. Cela n’a l’air de rien comme ça, mais pour nombre d’élèves de l’établissement ce type d’endroit était devenu peu recommandés, que ce soit les byouki qui finissaient toujours par péter un câble, ou les byounin, qui avait une chance sur deux de se faire très mal, le faite de savoir que l’établissement les encadraient était une véritable bénédiction. Les parents d’Akita, bien qu’inquiet, n’avait pu résister à l’enthousiasme de leur fille au téléphone. Akita avait été une des premières à avoir rendu son document à son professeur principal. Et cela faisait plusieurs semaines qu’elle se languissait de la sortie. Plusieurs semaines que les élèves de sa classe pouvait la voir trépigner sur sa chaise, et dessiner dans les marges de ses cahiers, des petits bonhommes la tête vers le bas dans un grand huit et les bras levé au ciel en riant ! Oui Akita était plus qu’impatiente, ainsi quand le grand jour arrivât, elle ne put dormir de la nuit. Résultat notre petite Byounin c’était endormis dans le bus du trajet allez. Ce qui avait soulagé ses voisins de sièges, qui avaient eut peur, il faut l’avouer, de devoir supporter sa bonne humeur débordante durant tous le trajet.
Akita fut réveillée par la voix douce de Kaede, ils étaient arrivés. A L’extérieur du car, la jeune Yawara vit le grand portail multicolore du parc, ce jour allait être mémorable, magnifique, et réjouissant, il ne pouvait en être autrement dans l’esprit de notre TomBoy. Restant très proche de sa Okasan de procuration, Akita savait qu’elle devait en permanence rester avec une personne majeur durant toute la durée de la sortie. Mais cela ne la dérangeait pas, surtout si cette personne était sa Kaede, toujours douce et souriante. Ecoutant distraitement les dernières mises en gardes du personnel accompagnateur, Akita n’attendit pas une seconde de plus et lorsque l’autorisation d’entré leurs fut donné, elle s’élançât avec bon humeur et un grand éclat de rire.
Premier arrêt de la journée, prendre une photo avec le clown qui vendait des ballons juste derrière l’entrée, puis récupérer un plan du parc, et direction la maison des miroirs déformant. Cela faisait tout drôle ç Akita de se voir très ronde dans un des miroirs, résultat elle sortie un des onigiris qu’elle s’était acheté avant de partir et en croquât un morceau, et toc le miroir !
Une ou deux heures passèrent, et le groupe avec lequel elle était décida de faire une pause, il était majoritairement composé de byounins et certain avait vraiment du mal à suivre un rythme soutenu. Kaede fit donc arrêter le groupe dans un endroit ou il y avait le moins de personnes possible pour pouvoir se reposer un peu. C’est alors qu’Akita vit passer une silhouette noir et longiligne, une clope à la bouche. Sans plus réfléchir, elle s’excusât auprès de Kaede et lui dit qu’elle allait rejoindre sa sempai, Sans prêter attention à la réaction de sa Okasan, Akita courut en direction de l’endroit ou elle avait vu disparaître la Kiken. Ses jambes elles aussi fatiguées par la marche et l’adrénaline de se début de journée semblaient comme en coton, et sa progression se faisait d’une manière assez étrange, courant de travers, la tête à l’avant, Akita voulait absolument voir Lux et partager se moment avec elle.
« Lux ! Lux ! Lux ! Attend moi ! Lux ! Attend ! »
Toujours en train de courir, Akita dépassa un buisson qui marquait un croisement entre deux allées et se stoppa net pour reprendre son souffle. Elle avait mal aux articulations, et elle sentait comme des fourmis dans ses mollets et ses cuisses. Mais hors de question de s’arrêter plus longtemps. Peut être que Lux ne l’avait pas entendu, peut être qu’elle était avec d’autres Kiken et qu’elle refuserait de la voir. Tant pis, Akita voulait voir Lux, lui dire ce qu’elle avait fait ce matin, comment elle avait tenu le coup et lui montrer la photo souvenir avec le clown. Pour beaucoup de personne ce genre de réaction peut paraître immature, mais dans le cas d’une personne comme Akita, ces petits moments de joie sont très précieux, elle ne savait pas jusqu’à quand elle pourrait utiliser pleinement les muscles de ses jambes et de ses bras. La fatigue la prenait de plus en plus souvent et pour plus longtemps. Elle était encore jeune, et pourtant elle avait l’impression de posséder le corps d’une personne âgée, calculant chacun de ses efforts afin de ne pas s’épuiser trop vite. Alors pouvoir rire, et sourire, debout sur ses deux jambes, pouvoir courir après une des personnes qui comptait le plus pour elle dans son établissement scolaire, c’était encore une chance, et elle comptait bien en profiter. Même si ce n’était que pour dire deux mots à sa sempai, au moins elle aurait la satisfaction de le lui avoir dit, de lui avoir parlé, de lui avoir sourit, et d’avoir partagé avec elle un petit moment de cette journée.
Se redressant, et relevant le visage, Akita mis ses mains autour de sa bouche et appelât du plus fort qu’elle pouvait, sa poitrine se souleva sous son t-shirt « E.T ». Son sac sur ses épaules se fit un peu plus lourd tendis qu’elle relevait les coudes et cria au travers de l’allée en direction de la Kiken qui lui tournait le dos, loin au bout de l’allée.
« LUUUUUX ! ATTENDS ! »
Oui, niveau discrétion, ne pouvait pas vraiment compter sur Akita, mais bon, la belle Kaneko Lux avait l’habitude maintenant de l’attitude de la byounin, et même si parfois elle devait en être fatiguée, elle gardait toujours un œil sur elle, et elle répondait toujours présente quand elle avait besoin d’elle. Akita l’aimait de tout son cœur, sa sempai, et lui faisait plus confiance qu’à n’importe qui.
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