akiwa; school of witchraft&wizardry.
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 In the dark.

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Sâto Shiki
Sâto Shiki
yy

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In the dark. _
MessageSujet: In the dark.   In the dark. Icon_minitimeVen 13 Mai - 8:56

In the dark.


Le cimetière d'Akiwa était parfaitement sinistre, même en plein jour. Les innombrables pierres tombales s'étendaient sur une grande surface, faisant du monde sorcier un lieu bien gris, terne et triste. Pauvre de tous ces corps qui devaient reposer éternellement dans un endroit si peu coloré. En plus de ce cruel manque de gaieté, un léger vent incessant tenait compagnie aux défunts sans jamais disparaître. D'où sortait-il sous cet océan, dans cette immense bulle d'air créée par des sortilèges ? Bonne, très bonne question. La brise agitait les quelques feuilles des vieux arbres ternis des alentours ainsi que les cheveux des visiteurs qui venaient se recueillir dans le calme. L'un d'eux était un fier dragon de Yongwang du nom de Sâto Shiki. Il connaissait très bien ce paisible cimetière pour une seule et unique raison, plus inhabituelle que celle des autres, sans doute. Il avait perdu quelqu'un. Mh. Ça semble bien banal. Seulement, cette personne reposait à la surface de la Terre et Shiki ne savait même pas où. Alors pourquoi venir dans un tel lieu ? Parce qu'il fallait qu'il se sente plus proche de la défunte et que le seul moyen qu'il avait était de mettre un pas dans l'univers des morts, peu importe lequel...
Le jeune homme avait choisi une tombe au hasard et était resté plus d'une heure devant celle-ci, fixant l'inscription. Quand pourra-t-il voir son nom gravé, à elle aussi ? Il attrapa sa baguette et, sans un mot, fit apparaître de jolies fleurs. Il était médiocre en magie, ne prenant même pas la peine d'apprendre les leçons ou de pratiquer correctement, mais quand il s'en donnait la peine, il pouvait réussir. En particulier ce sort, à force de l'utiliser sur les tombes de n'importe qui. La composition était magnifique. Et quand pourra-t-il mettre des fleurs sur sa tombe, à elle aussi ? Un triste sourire prit place sur son visage, alors qu'enfin, les larmes qu'il réprimait depuis des heures venaient à perler aux creux de ses yeux. Le dragon quitta enfin du regard la demeure éternelle de l'inconnu pour s'allonger sur les graviers, sans se soucier du peu de confort, puis fixa la nuit naissante dans ce ''ciel'' superficiel. « Mei.. Mei, j'espère que tu m'entends. […] J'ai froid. Tu n'es pas capable de faire cesser ce vent, n'est-ce pas ? Tant pis. Il faut que je te parle de quelque chose d'important – enfin, je crois. Tu sais, j'ai rencontré une fille. Deux fois. Ça me fait bizarre dans le ventre et dans le cœur quand je la vois, Mei. Ça me fait vraiment bizarre. Elle est vraiment magnifique, il aurait fallu que tu la vois ! Mais tu peux pas. T'en as fait qu'à ta tête et t'es partie. Mei, pourquoi tu m'as laissé tout seul face à elle ? C'est pas gentil... » Shiki soupira exagérément avant d'attraper Piu, son petit hérisson qui trainait juste à côté, afin de le poser sur son ventre, le regardant d'un air accusateur. « Et toi, tu pourrais m'aider aussi, quand même. C'est pas gentil non plus... » Qui était cette fille dont il parlait avec l'être cher qu'il avait perdu ? Il ne connaissait pas son nom. C'était une jolie Yunikon qu'il n'avait vu que deux fois dans sa vie et pourtant... Il ne pensait déjà qu'à elle. La première fois qu'il avait croisé son regard, il s'était senti partir. Son cœur s'était serré, sa respiration s'était faite quasiment inexistante, ses yeux n'avaient pas quitté les siens pendant quelques secondes qui lui avaient paru bien plus. C'était un coup de foudre, non ? Ça, il n'y avait personne pour lui dire. Ha Neul était morte et c'était jadis la seule à pouvoir lui faire comprendre toutes ces choses-là, tous les mystères de l'amour. Shiki soupira une nouvelle fois, se redressant en prenant Piu dans ses bras, dans l'idée d'enfin quitter ce sinistre cimetière. Il adressa un signe de main à la tombe qu'il avait visité ce jour-là, le sourire aux lèvres, puis repartit en direction du château, les larmes continuant de rouler doucement sur ses joues. Ce n'était que les premières de la journée.

Le hall était encore plein de monde. Du vert, du bleu, du rouge, du jaune, du turquoise... Toutes ces couleurs s'y côtoyaient vivement, dans le bruit et l'agitation. Shiki franchit l'imposante porte d'entrée puis scruta la pièce de gauche à droite d'un air inintéressé. Il n'y avait visiblement pas de quoi attirer son attention. D'un geste du pouce, il essuya ses dernières larmes, s'armant alors d'un beau sourire, puis fit quelques pas dans le grand château, Piu toujours bien installé dans sa main. « Hé ! Chiiii ! Attends. » Le dragon tourna doucement la tête vers l'idiot qui semblait l'appeler. Chi... Il commençait vraiment à en avoir marre de cette espèce de sirène sans neurone qui ne savait décidément pas prononcer son prénom. D'une voix sans ton particulier, qui ne pouvait en aucun cas traduire son énervement, Shiki lança son reproche l'air de rien. « C'est Shiki. Pas Chiki. Et encore moins Chi. » Le rouge s'excusa sans grande conviction, finalement, mais il reproduit son erreur la seconde d'après en annonçant à son ''ami'' qu'il avait organisé une petite soirée et que seuls les élèves munis d'un ticket spécial pourraient entrer. M'ouais... Il aimait beaucoup les fêtes, mais honnêtement, participer aux siennes n'était pas quelque chose de réjouissant pour lui. Shiki était d'ordinaire très franc mais cet Ineo était un brin fou furieux, ce pourquoi il s'était bien gardé de lui avouer qu'en aucun cas ils n'étaient amis. Il tendit la main pour attraper le fameux ticket mais celui-ci tomba au sol. Ah ah. Petit salopiaud de rouge. Ce con l'avait fait exprès juste pour voir le beau noir et or se mettre à ses pieds. Ça, c'était de la sirène amatrice, il aurait pu faire mieux. Le japonais se baissa pour le ramasser et en profita pour poser Piu afin qu'il trottine un peu, le visage toujours impassible. « Ben alors. Fais un peu attention, Chiki. » ''Toi, fais attention à mon poing dans ta gueule''. Ah. C'est ce qu'il aurait aimé répondre mais, tout d'abord, il n'était pas violent, et ensuite, sans doute serait-ce lui qui se ferait lamentablement battre. Veillant à garder un œil sur son petit hérisson albinos, Shiki poursuivit la conversation en s'écorçant de supporter la petite femmelette qui se prenait pour une brute jusqu'à ce qu'il aperçoive l'animal courir à toute vitesse vers les sous-sols. Tous les élèves marchaient innocemment dans le hall et sans doute ne remarquaient-ils pas la petites bête à pics, décidément bien habituée à la présence humaine, qui avançait sans peine, toute contente, vers l'étage de la mort certaine. « Piu ! Yah, Piu ! Reviens. » Il était très rare d'entendre le jeune homme hurler mais son petit compagnon était très important pour lui. Que ferait-il sans lui... ? Pas grand chose, je vous le dis. Lançant un dernier regard à l'idiot de service, il s'élança à sa poursuite, slalomant entre les uniformes tout en l'interpelant. Qu'allait-il faire ?! Jamais il n'avait osé partir si vite sans Shiki, c'était la toute première fois qu'il prenait la fuite. Envie d'aventure, Piu ? Arf. Le dragon descendit les escaliers, sans réfléchir à la destination, essayant de ne pas perdre le hérisson du regard. C'est qu'il était rapide, ce petit ! Il traversa les couloirs, tourna, retourna, fit demi-tour puis re-demi-tour. Plus ils avançaient, moins il y avait de monde. Et pour cause. Ils approchaient inévitablement du sombre cachot 163, évité de tous. On disait de ce lieu qu'il était habité par un monstre qui n'aurait jamais été vu. Cette légende avait toujours fasciné Shiki, en un sens, mais il n'avait jamais osé s'y aventurer de peur de se faire dévorer même si objectivement, il se fichait bien de la mort. Il continua tout de même, se rassurant, ne parvenant toujours pas à rattraper la petite bête qui s'engouffra finalement par l'entrée du cachot tant redouté. Le jeune japonais se stoppa net dans sa course folle, marquant un arrêt devant l'endroit obscur. Il n'avait pas le choix s'il voulait revoir Piu vivant. Il déglutit puis avança à son tour dans les cachots, très peu rassuré, le dos baissé afin de mieux apercevoir l'animal qui n'était vraiment plus visible. Désespérément, il criait encore son nom.
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Abe Natsuko
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In the dark. _
MessageSujet: Re: In the dark.   In the dark. Icon_minitimeMer 18 Mai - 5:23

This story can't be happy or sad.


Elle avait toujours eu cette fâcheuse manie de le caresser où il ne fallait pas, le faisant froncer les sourcils à chaque fois qu'elle passait ses doigts à un endroit trop sensible. Son but premier était de le faire réagir, mais les réactions n'étaient jamais celles qu'elle espérait, le faisant enrager à coups sûrs. Il fallait bien avouer qu'il était tout aussi capricieux qu'elle quand il s'y mettait. Leur relation pouvait être aussi bien très chaude que très froide. C'était ce qui lui plaisait – non, c'était ce qui leur plaisait. Ses doigts se déplacèrent sur son petit corps, continuant à le lui frotter tout doucement, et la réaction fut meilleure. Un petit gazouillis parvint jusqu'à ses oreilles, et si ce fut possible, elle aurait juré qu'il venait juste de lui sourire. Mais il était relativement compliqué de parvenir à voir si un poussin venait tout juste de vous offrir l'un de ses plus beaux sourires, n'est-il pas ? Sa baguette à deux centimètres de son visage et de celui de son adorable animal de compagnie, la jeune femme leva le nez hors des couvertures afin de s'oxygéner un peu les poumons avant de replonger son visage sous les couettes, retrouvant sa baguette allumée près de son petit animal jaune. La bête en question s'approcha de sa maitresse maladroitement, se positionnant dans son cou avant de secouer son petit corps, signe qu'il était fatigué et qu'il était sur le point de s'endormir. Comprenant ses ordres, la jeune yunikon éteignit sa baguette avant de la placer sous son oreiller, abaissant les draps afin que son visage soit à l'air libre et, ainsi, éviter qu'elle s'étouffe elle-même dans son édredon. C'était le genre de mort ridicule à laquelle elle ne voulait pas avoir à faire. Vous imaginez un peu ? Avec tout ce qu'il se passe au château, ils n'avaient probablement pas besoin d'un élève qui s'était bêtement tué lui-même pour la simple et très mauvaise raison que l'idée de rabattre ses draps hors de son visage ne lui avait pas effleuré l'esprit. C'était même complètement honteux, elle s'imaginait déjà à la place de l'homme qui, d'un air grave, allait annoncer à ses parents et à son cousin; « Nous n'avons rien pu faire pour votre enfant, quand nous sommes arrivés, nous l'avons découverte dans son lit, étouffée par ses propres couvertures. Nous pensons peut-être au meurtre, mais il n'y a aucunes traces de lutte. » non, non. Cela semblait complètement crétin. La simple idée de mourir de cette façon la fit pouffer dans son lit, si bien que son animal n'apprécia guère et préféra lui donner un coup de bec dans le cou pour lui demander de se calmer. Levant les yeux au ciel et laissant subitement toute trace de sourire disparaître de son visage, elle posa de nouveau sa main pas loin de l'animal, le caressant distraitement à l'aide de son auriculaire puis ferma les yeux en trouvant le sommeil instantanément. Quelle heure il était, exactement ? Quatorze heures trente dans l'après-midi. Mais il avait été décidé que la belle avait sommeil et qu'il lui manque assez de cours pour qu'elle puisse se permettre une petite sieste. Vêtue d'un pantalon noir serré possédant un large trou rectangulaire en dessous de son genou droit accompagné d'un tee-shirt sans manche et à col roulé noir dévoilant son ventre par dessus un haut de la même couleur à manche longue en résille, elle s'était glissée sous les couettes en espérant trouver le sommeil. Mais voici une heure qu'elle tournait et retournait, caressant son poussin – qu'elle avait appelé Dolly aujourd'hui – avant que, finalement, le sommeil ne daigne pointer le bout de son nez. Seulement voilà, les murmure des élèves traînant dans les couloirs parvenaient jusqu'à ses oreilles, si bien qu'elle ne parvint pas à s'endormir. Ses petits yeux s'ouvrirent d'un coup alors que son poussin se relevait simultanément, elle baissa les yeux vers lui alors qu'il faisait de même et, tous deux, se comprirent bien plus vite que la moyenne. Dégageant ses couettes d'un coup sec, elle posa ses pieds nus hors de son lit, se redressant de manière à pouvoir enfiler ses chaussures avant que son animal ne se loge dans ses cheveux, tous deux quittant leur dortoir vers une destination inconnue.

Tellement inconnue que même elle ne savait pas où elle pouvait aller.

Natsuko claqua la porte de sa chambre et les chuchotements se turent un instant, les responsables dirigeant leur regard vers celle qui avait l'air si furieuse. D'un pas décidé et légèrement enragé, elle passa devant eux sans leur adresser le même regard, transcendant le couloir avant de dévaler les escaliers sans prêter attention au reste. D'où sortait-elle, celle-là, avec son allure improbable et son regard si sévère ? Les quelques malchanceuses personnes qui croisèrent son chemin se posèrent la question, l'autre quart ne se soucièrent pas de la réponse, quand à la dernière moitié, elle était complètement habitué à ce que miss Abe débarque de n'importe où pour faire un peu n'importe quoi – mais s'ils avaient bien retenu une seule et unique chose, c'était bien qu'il ne fallait généralement pas trop l'embêter. Ce qui n'était pas le cas de tous, bien malheureusement. Et la personne qui en fait les frais aujourd'hui fut un petit geobuk sortit de nulle part, qui s'interposa entre la jeune demoiselle et la porte de sortie. Lui lançant un timide sourire, il lui demanda très poliment de ne pas porter cette expression si dure sur le visage, qu'elle lui durcissait les traits et qu'elle effrayait toutes les personnes qu'elle voyait, que cela devait être embarrassant pour elle mais comme elle ne s'en rendait pas compte, il était là pour le lui rappeler gentiment … Et il osait sourire ce pauvre con. La réaction fut immédiate, accentuant son énervement, elle leva la main sur le jeune homme, son poing s'arrêtant contre sa peau sans le moindre impact – ayant miraculeusement retenu son coup – elle se mit à sourire tout aussi poliment que lui et lui somma que s'il ne souhaitait pas qu'elle donne une image encore pire que celle qu'elle donnait actuellement, il devait dégager le plancher dans les trois secondes qui suivait, faute de quoi sa prochaine destination serait l'infirmerie. Il ne lui en fallut pas plus pour déguerpir. Dans le fond, les yunikons et les ineos étaient une maison assez proche lorsque l'on y pensait bien. La seule différence concrète qu'il y avait réellement, c'était que les yunikons étaient loyaux et que les ineos non. Après, concrètement, il n'y avait que peu de différence. Des maisons cousines, voilà ce que c'était – cela expliquait peut-être le fait que la jeune femme soit si violente en plus d'être la plus susceptible des demoiselles au monde … Les regards des autres élèves toujours sur elle, elle remit en place ses cheveux avant de continuer à prendre les escaliers, se retrouvant directement au sous-sol. Elle eut un mouvement de recul, tiens, que faisait-elle dans les sous-sols ? Baaaah … Peu importait, après tout. Jetant un léger regard vers son petit animal préféré, elle le vit hausser les épaules, elle conclut cela pour un accord et continua sa marche – un peu moins rapide, peut-être – dans les sous-sols. Déambulant dans les couloirs sans but réel jusqu'à ce qu'elle parvienne dans un endroit fort intéressant qui ne manquait pas de piquant. Le cachot 163. Endroit très pratique puisque pas fréquenté. Endroit rêvé pour faire une petite sieste, donc. Elle y pénétra donc, ne s'enfonçant pas loin dans le cachot, se mettant assez loin pour être dans le noir complet, mais assez près pour ne pas se perdre et faire de mauvaises rencontres – ce cachot était si réputé. Natsuko s'assit contre le mur, repliant ses genoux contre sa poitrine en les entourant de ses bras. Ses paupières se firent lourdes, très lourdes, si bien qu'elle était dans un demi-sommeil, à moitié entre le sommeil et l'éveil. Ses sens s'estompaient peu à peu, sa vue se troublait sur ses genoux jusqu'à ce qu'ils se closent entièrement, ses muscles se relâchant calmement et elle … ne s'endormit pas du tout puisque des appels désespérés parvinrent à ses oreilles, se rapprochant d'elle à grands pas. Ses yeux s'ouvrirent subitement de nouveau, fronçant de nouveau ses sourcils, elle se retourna vers la personne qu'elle crut entendre. À peine fut-elle debout qu'elle s'y heurta de plein fouet, la faisant reculer si bien qu'elle termina sur le sol, sur les fesses. N'empêchant pas un gémissement de douleur, elle souffla longuement, prononçant de sa voix la plus posée et la plus calme possible – tentant vainement de masquer sa colère qui commençait à reprendre possession de son corps.
    « Je conseille très fortement à l'abrutie de personne qui a eu le culot de me réveiller dans mon sommeil et de m'éclater le nez, de courir très vite, très loin, et de prier pour que je ne l'attrape pas avant ce foutu monstre. Sans quoi je suis dans le regret d'annoncer que je serais la personne qui la coupera en multiples pièces avant de donner à manger aux sirènes en personnes ! »
très peu aimable, certes. Attrapant sa baguette elle lança un lumos afin de découvrir le visage du futur-décédé. Et c'est avec stupeur qu'elle découvrit son identité, écarquillant de grands yeux avant de refermer son visage, lançant d'un ton froid et tranchant.
    « J'espère que tu as une bonne excuse pour t'être aventuré ici, sinon j'hésiterais pas à t'éclater le nez. »
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