Lee Kessy THE FREAK ADMIN;
pseudo : mee. messages : 1610 i'm here since : 13/09/2010 points : 28263 age : 34 mood : confus. perdu. my heart is : long gone, long done. wizard's spellbook : underconstruction.
| Sujet: Oh Chang Lim. Ven 17 Sep - 2:38 | |
| Oh Chang Lim poste vacant: oui ; feat: Kim Hee Chul | Carte d'identité ■ Chang Lim Oh ■ 22 ans ■ Coréen, né un 5 février à Séoul. ■ Sang-Pur ■ Un rat, se nommant Ouistiti. ■ Aucun pour le moment. ■ Baguette en bois de frêne, 29.6 cm, contient une plume de Phoenix |
l'heure de la répartition... 1. Quoi qu’il arrive… Je reste calme ou du moins j’essaye… J’appelle mon frère aussi. Parce que mon frère saura m’aider. Avant de partir aider quelqu’un… J’essaye toujours de faire tout un schéma dans ma tête… Cela me prend environ deux bonnes minutes. Après ces minutes de réflexion, alors je passe à l’action, et je mets tout en œuvre pour sauver la personne. Si jamais la personne se trouve être mon frère… Alors là je ne réfléchis pas. Je fonce tête baissée, à mes risques et périls. Pour lui, je ferai n’importe quoi. C’est cliché mais… Je me sacrifierai vraiment pour lui. Ah~ Vous avez dis « ami/e de cœur » ? Désolé… Je n’avais pas bien entendu… Pour ce qui est de mon ami/e de cœur si je devais le/la sauver… Cela se déroulerait comme pour mon double. 2. Comment convaincre Jimmy ? Bonne question… Déjà j’essayerai de l’amadouer en lui faisant des louanges… Je lui proposerai des bonbons aussi… Et si jamais il ne veut toujours pas me laisser entrer, j’emploierai les grands moyens : Je me mettrai à genoux, et je le supplierai. « Je vous en prie Jimmy, j’ai toujours été honorable envers vous… Je vous admire. Je vous vénère plus que tout sir’. Vous savez je ne suis pas celui que vous pensez… Celui qui fait des bêtises, c’est mon frère. Moi je suis le gentil du duo…Vous savez ? » Avec ça, il ne pourra pas dire non… Et s’il ose me laisser sur le pas de la porte, je lui proposerai peut-être mes services pour nettoyer certaines salles de cours lors de mon temps libre. 3. Premier choix : Comme mon frère et moi sommes géniaux on aura certainement crée, d’ici là, un objet permettant de détecter les gens…Comme les radars quoi… Si cet objet fonctionne… alors il n’y aura aucun problème je prendrai un autre couloir… En évitant que cette vilaine pochtronne m’aperçoive. Deuxième choix : Si jamais le professeur me voit, alors je me laisse engueuler. Je me fais bien évidemment passer pour mon frère. Je lui dirai que j’fais des insomnies… Ou quelque chose dans ce style là. J’utiliserai à peu près la même tactique qu’avec Jimmy. 4. Ce professeur est mal tombé… Je suis têtu… Très têtu… Encore plus que mon jumeau… Alors s’il veut m’avoir il pourra attendre… S’il y a bien quelqu’un dans cet établissement, que je ne trahirai jamais, c’est le directeur. C’est une personne que j’admire énormément. De toute façon, on ne gagne pas au chantage avec moi… S’il veut que j’aie trois mois de retenue alors qu’il me les donne. En échange je dirai au directeur l’offre que ce cher inconnu m’a proposée… Et on verra qui sera le plus fort des deux. Je ne suis pas dupe. Loin de là… 5. Un humain…est un humain… Y’en a des plus ou moins étranges… Mais ce sont tout de même des humains. Un magicien est un magicien… Y’en a qui ont des parents plus ou moins magiciens… Mais ce sont tout de même des magiciens. A partir de là je ne me pose aucune question. J’aime les personnes comme elles sont. Même si j’avoue avoir une petite préférence pour les personnes de Sang-Pur., comme moi. Et enfin, derrière le sorcier; ■ Clever ■ comment êtes-vous arrivés ici ? JRM ♥ ■ ...Comme je pourrai. ■ J'aime le thème x) - Spoiler:
"Les Psychorigides sont des Homos sapiens sapiens qui oublient souvent qu'on ne sait jamais. Ils éprouvent certaines difficultés à s'intégrer...s'adapter. Par conséquent, à évoluer. Ils sont dans leur Monde. Comme son nom l'indique - ou pas-, les Psychorigides ont le mental bronchiteux. Ils manquent d'air. Ceux qui ne les empêchent pas d'être gonflants. Ce n'est rien de dire que les Psychorigides manquent de souplesse. En effet l'obstination leur servent de béquilles, de cannes... Ils n'ont que deux principes : la méfiance et la méfiance. Ils vont jusqu'à se méfier de la méfiance elle-même. Il faut donc se méfier des Psychorigides. Les psychorigides ne sont pas tous P-DG ou adjudants chefs. Ils exercent partout, même en tant que femmes de ménage. On les trouvent aussi aux guichets. On les reconnait facilement : en général, ils vous répondent sans prendre la peine de vous regarder. Méfiez-vous des Psychorigides. Les Psychorigides "normaux" ou plutôt "ordinaires" peuvent se réveler dans certaines conversations. Mais on ne discute jamais avec le Psychorigide, cela ne vous mènera à rien. De toute façon, ils n'ont pas peur de se faire contredire puisque rien ne les fera changer d'avis. En fait, les Psychorigides, ont peur qu'on leur détruise la forteresse qu'ils ont batient tous seul. Parce qu'ils ont eu une enfance malheureuse ou pourrie gâtée - c'est pareil -. Ils sont comme un glaçon ou une boule de neige, le moindre réchauffement leurs seraient fatal. Mefiez-vous des Psychorigides. "
Voilà ce qui était publié sur la page dix-sept d'un magazine de Santé. L'étude des psychorigides... Pour tout vous avouer je n'avais pas compris un traitre mot de cet article. Plutôt logique puisqu'il était 21h et que je dormais à moitié. "Park Jong Bum, je vous prie" A l'entente de mon nom je me levai, et me dirigeai vers l'homme qui venait de m'appeler. Assez grand de taille, cheveux courts et bruns; il me faisait pas peur, non. C'est seulement ce qu'il avait au cou qui m'effrayait : oui, son stéthoscope me faisait effectivement "grave flipper". Une fois entré dans le cabinet médical, il ne prit même pas la peine de me demander comment j'allais. Il me fit simplement asseoir sur un lit d'observation en skaï. Une fois ma veste et mon haut, retirés, je fixai, les bras ballants, le sol. Par la suite, Je fis "Aaaah", j'écartai mes cheveux pour lui montrer mes oreilles,et tout le reste. Puis soudainement il m'annonça qu'il allait écouter mon coeur et me montra son outil de torture : le stéthoscope. Mon coeur se mit à battre, j'étais anxieux. Sans doute parce que je me laissais pénétrer ainsi, scruter à souhait. Donc mon coeur étais affolé et il battait rapidement, tel un pic-vert cognant contre son arbre. Devant ce big brother de l'intérieur, je ne me sentais plus moi-même... Je redevenais le petit enfant que j'étais il y a deça plusieurs années. Comme lorsque ma mère me soignait. Sauf que là, contrairement à ma mère, le médecin ne disait pas un mot. Devant ce silence j'avais envie de parler mais il me dit "Chut", le doigt sur les lèvres. Je pensais qu'il était inquiet. Puis,surpris, le médecin hocha la tête et me regarda avant de me demander si je faisais pas de la tachycardie. Foutage de gueule ! Cet homme se fichait de ma gueule ! il n'avait toujours pas compris que j'étais seulement stéthoscophobe... ! Après m'avoir prescrit 3 - 4 médicaments, le médecin m'ordonna de me rhabiller. Je m'executai, le payai, prit l'ordonnance puis m'en allai du cabinet. Une fois sorti, je jetai un coup d'oeil à ma montre qui indiquait 22h25. Je m'engageai vers une des rues principales du quartier où j'étais, en direction de la JRM. Pourquoi étais-je allé chez le médecin ? Tout bonnement parce que cela faisait une semaine que j'étais malade. Une semaine surtout que j'avais pas mis les pieds à la JRM, et que la direction était inquiète. C'pas ma faute si je me sentais pas bien, et que dès que je faisais un effort je m'essouflais au bout de deux minutes. Pourquoi à une heure si tardive ? Parce que mon médecin était overbooké et que c'était le seul moment où il avait pu me prendre. Oui, c'était un héros : il travaillait 4 jours sur 7, de 16 à 21h30. * J'arrivai une demi-heure plus tard à la JRM, completement trempé parce qu'il s'était mis à pleuvoir d'un coup. Je regardai les marches de l'entrée de l'agence, et je ne pus m'empêcher de sourire. Je me souviens encore du jour où je l'ai vu pour la première fois. C'était ici même, à l'entrée de la JRM, il pleuvait comme permis, et j'avais un K-way. Mais passons, ce jour-là,donc, non plutôt ce soir-là, j'avais oublié quelque chose de plus ou moins important. La porte étant fermée, j'attendais devant l'agence. Oui j'avais un peu froid... enfin,pour être franc, j'étais tellement frigorifié que je chialais en espérant que mes larmes puissent réchauffer mon visage. Drôle de manière ? Effectivement c'était peut-être pas commun, mais chacun ses moyens hein ?! Bref ! Pendant près d'une heure j'ai attendu sous la pluie qu'on veuille bien m'ouvrir cette porte d'entrée. J'étais assis sur les marches, regardant l'eau tomber au sol. C'était comme dans les films ? Oui, comme dans les films, si à la place d'un homme habillé en technicien de surface, une jolie femme accompagnée d'un parapluie m'avait ouvert la porte. Donc c'était un homme ? Effectivement, c'était bel et bien un homme. Il était peut-être nouveau mais je l'avais jamais vu avant ce jour. Et alors ? C'est quoi la suite de l'histoire ? Ben...Depuis ce jour, il est devenu mon chien ! Enfin... ça il le sait pas. Disons plutôt que je lui demande toujours des services puisque c'est son métier. Okay, il doit en avoir marre, mais je m'en fiche c'est son métier ! Alors tant qu'il sera là, je continuerai à lui demander des choses. Parce qu'il faut quand même se l'avouer : il est plutôt serviable. * Une fois entré dans les loges des SHINee, je me ruai sur une petite boîte blanche où tout ce qui avait rapport avec le domaine médical y était logé. J'ouvrai la boîte et la renversa. Les comprimés pour la tête de JunHo... Non ! Les comprimés pour les maux de ventre de SukHwan... Non !! Les cachets pour les maux de gorge de MinKi et ChangMin...Non !!! Putain ! Où étaient mes cachets !? Ces cachets qui représentaient une partie de moi... Car c'étaient eux qui me redonnaient la pêche, et qui m'empêchaient d'être fatigué... Je sais ces cachets étaient interdits mais j'en avais besoin, depuis que j'avais commencé à en consommer il y a trois semaines, je ne jurai - solitairement- que par eux ! S'ils n'étaient pas dans les loges ils ne pouvaient être qu'aux vestiaires...! Inconsciemment - ou pas - je me dirigeai vers les vestiaires où j'entendais de la musique... Un espèce de rythme latino...Qui me déplaisait vraiment. Je m'approchai des vestiaires et ouvrit la porte plutôt brusquement. Je ne pris pas la peine de regarder ce qui se passait à l'intérieur de la salle, je m'empressai simplement d'aller éteindre cette musique agaçante. Oui, en quelques minutes je m'étais énervé ! Oui j'étais énervé à cause de ces cachets ! Oui parce que je ne voulais pas qu'on découvre ce que c'était ! Parce que j'avais peur des répercutions ! Je me retournai. A une dizaine de mètres de moi, était allongé par terre, mon chien. Ou plus communément appelé Kang Ho...je ne sais quoi... Oui, l'homme dont je parlais tout à l'heure était bien au sol. Il devait surement se reposer... Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs... Il avait un boulot à fournir tout de même ! Ce mec ce foutait vraiment du monde... Pfff... D'un coup il se redressa et me regarda, comme étonné. Moi, je le fixai droit dans les yeux, prêt à lui sauter dessus, parce que j'étais sur les nerfs... Pas à cause de lui, mais à cause de ces comprimés qui me rendaient fous... Je balayai la salle du regard puis m'avançai vers une grande bassine où se trouvait tous les objets des Idols. Je ne pris même pas le temps de comprendre et je retirai brusquement tous les produits et objets, les jetant par terre lorsqu'ils étaient mous et légers,ne prenant pas la peine de savoir à qui appartenait telle chose. Je ne cherchai plus qu'une chose, mes cachets.
Ils sont où ?!!! Tu les as vu ?!!! Où est-ce qu'ils sont ?!! Toi qui nettoie tous les jours ces putains de vestiaires !!! Où est-ce qu'ils sont !!?
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