Lee Kessy THE FREAK ADMIN;
pseudo : mee. messages : 1610 i'm here since : 13/09/2010 points : 28263 age : 34 mood : confus. perdu. my heart is : long gone, long done. wizard's spellbook : underconstruction.
| Sujet: Dong Moo Kyul. Ven 24 Sep - 6:41 | |
| Dong Moo Kyul poste vacant: non ; feat: oh jung kyu. | Carte d'identité ■ Moo Kyu, Dong ■ 20 ans ■ Coréennes, Séoul ■ Un père moldu - une mère sorcière ■ Un ornithorynque qui s'appelle Peter Pan :) ■ Auror ? Ou peut-être prof de métamorphose... ■ En bois de peuplier, mesure 35 cm et contient un cheveu de Vélane. |
l'heure de la répartition... 1. Oh... je serais tenté de répondre que je les laisserai m'emporter la personne sans broncher pour faire genre "je suis méchant", mais comme je me connais, ce n'est tout bonnement pas possible. Je suis bien trop possessif pour ça. Les gens, c'est moi qui les mange. Alors... comment m'y prendre ? Déjà, juger de leur nombre. La tactique pour s'en débarrasser dépendra certainement de la quantité d'individus à repousser, et ça m'aidera aussi à me préparer au pire si finalement je me fais avoir aussi. Je n'ai jamais beaucoup écouté les cours de soins aux créatures magiques, aussi, suis-je parfaitement incapable de savoir s'il y a des sorts qui ne fonctionnent pas sur elles... Je pense que je leur lancerai un sort d'immobilisation tout simple, c'est le mieux à faire. Et si résistance se fait, une technique un peu plus violente sera adoptée, le stupefix. Ca marche sur n'importe quoi, ce sort, j'ai même essayé sur des chenilles qui traînaient sur la fenêtre. Le professeur de potions n'était pas vraiment ravi que j'aie décimé ses ingrédients mais bon... il aura pas eu besoin de les tuer lui-même. Oui donc, bref. Suite aux deux sorts, quels qu'ils soient, je récupère mon ami/e et je repars... euh, c'était pas une question-examen hein ? 2. Et oui, même si j'aime la fête, je suis studieux... les examens représentent bien la seule manière de ne pas me faire aller à une fête, pour une victoire en Quidditch, de plus ! Bref. Si en me réveillant, mes notes ne sont plus là, meurtre il risque d'y avoir. Je suis réputé pour être assez violent dans l'école, et d'ailleurs, ça m'étonnerais que les deuxième années se soient risqués à ce jeu là, bien que frapper les plus jeunes ne m'arrive pas souvent. Déjà, je chercherais ces gamins. Oui, parce que je suppose qu'une fois leur méfait accompli, ils se seraient enfuis avec mes parchemins pour parfaire la blague. Décidemment, les jumeaux Oh ont déteints sur eux hein... Et une fois les petits monstres retrouvés (je parle d'eux comme des gosses, même s'ils ne sont pas si jeunes que ça...) une seule solution pourrait être prise par ma personne, jouer des poings. Je doute qu'ils soient plus forts en baston que moi, surtout s'il s'agit là de sang-purs qui ne se sont jamais retrouvés mêlés à une bagarre de rue chez les moldus, ce qui a été mon cas maintes fois. J'abîmerais quelques arcades sourcilières, casserais peut-être même un petit doigt ou deux... et après ça, je serais très étonné qu'ils ne me rendent pas mon bien. Dans le cas où ils refuseraient toujours de me les donner, je sortirais ma baguette et userais d'un sort un peu idiot pour les dissuader encore plus de me résister. Le genre de sort qui ne tue rien mais qui pourrait tout de même envoyer à l'infirmerie pour une soudaine piquée d'acnée ou un nez brutalement devenu proéminant. Après ça, je pense que mes affaires me seront rendues... 3. Oh. Ca, c'est embêtant. Déjà, c'est clair que je paniquerais un peu. J'ai souvent des retenues pour violence auprès d'autres élèves, alors en obtenir en plus pour avoir rôdé dans le château ce serait un peu beaucoup. Ensuite... je tenterais toutes les possibilités s'offrant à moi, fenêtres, trapes, passages secrets... on ne sait jamais. Après, il va de soi que si nous nous trouvons au septième étage, la fenêtre sera inutile pour ma fuite. Mais j'ai une carte secrète dans mon jeu qui peut toujours servir, je suis métamorphe. Je pourrais prendre l'apparence d'un autre professeur pour camoufler ma réelle identité, et si besoin est, je suis fort en cours de métamorphose, je pourrais donc même changer mes vêtements pour les rendres plus convaincants. Après ça, la vieille harpie devrait me laisser filer sans trop de problèmes, non ? 4. HAHA ! Il est tombé sur la mauvaise personne. De un, même sans son aide je suis sûr de passer le prochain examen sans soucis, je suis une grosse tête, moi. De deux, je m'en fiche bien d'avoir des retenues, c'est un mauvais moment à passer et ensuite plus rien. Je n'irais pas jusqu'à dire que je saurai me montrer loyal enver le directeur, la loyauté n'est pas tellement mon fort. En revanche, quand je juge quelque chose d'inutile, je ne m'en embarrasse pas. Par exemple, il serait évident que j'aie jeté un coup d'oeil à ce document, même si on me l'avait interdit... je suis curieux, terriblement curieux. Par contre, si le pseudo professeur m'avait demandé de lui expliquer ce que contenait le dossier, je l'aurais fait. Je n'aurais pas considéré que je le lui avais remis, dans ce cas-là. 5. C'est BIEN ! Moi-même ne suis pas un sang pur, et je trouve que les sorciers de descendance moldue sont à respecter tout autant que les autres. Je vivais avec mon père, et n'ai donc pas su de suite que j'étais un sorcier, alors c'est un peu comme si j'en étais un aussi puisque je n'ai jamais connu ma mère. Je suis vraiment favorable à ce genre de sorciers, je pense qu'ils ont beaucoup de choses à apprendre aux autres. Après tout, il nous faut bien cohabiter avec le monde des gens normaux, non ? Et ils y contribuent certainement, bien que les choses ne soient pas forcément faciles pour eux. Évidemment, face à eux, je ne montrerai pas autant d'enthousiasme à défendre leur cause, mais le coeur y est pourtant. Ca m'énerve, la discrimination de ces élèves, qui arrive bien trop souvent à mon goût. Et enfin, derrière le sorcier; ■ Nate ■ Je jouais Oh Seung Lim, il fut un temps... (quelques jours u.u XD) ■ 7/7 ■ Cette fois je garde mon compte, promis èé - Spoiler:
Journée épuisante, à courir dans tous les côtés pour mes cours ou pour ceux de kung fu que je donne. Vous me direz, je vis comme ça tous les jours depuis plus de deux ans maintenant, je devrais m’être habitué à cette routine stressante. Hors, habitué, heureusement, je le suis. Le seul problème c’est que je peine encore un peu à supporter une telle allure de vie où il me faut toujours tout prévoir moi-même alors qu’auparavant quelqu’un s’en occupait à ma place. J’suis débrouillard, y’a aucun doute là-dessus, mais j’ai pas forcément suffisamment de temps pour tout faire à la fois et ça me fait courir d’un point A à un point B avec la terrible obligation d’arriver à la bonne heure. Je me demande parfois pourquoi je ne travaille pas dans l’école d’arts martiaux juste à côté de celle où j’étudie, ce serait mille fois plus simple. D’ailleurs, la réponse à la question est mortellement primitive : Parce qu’ils n’ont pas besoin de moi. C’est con mais c’est vrai, ça m’énerve mais je dois faire avec sinon je plonge. D’accord, je boucle mes fins de mois sans problèmes grâce aux prestations dont je fais preuve au lit, mais je suis tout de même crevé en permanence. Ma passion pour les jeux vidéos n’aide en rien puisque j’ai trop tendance à passer la nuit sur ma dernière acquisition dans le but de le terminer le plus vite possible. Ça me fait une petite satisfaction inutile, mais faut savoir se réjouir d’un rien dans la vie, non ? Surtout que depuis que je suis arrivé au Japon, j’ai beaucoup de mal à trouver mes marques et à me sentir à l’aise parmi tous ces gens. Rien qu’au niveau de la langue, je patauge. À mon arrivée, j’avais déjà appris à parler le japonais en cours, mais il s’est révélé bien vite que mes simples connaissances en la matière ne suffisaient pas pour me garantir d’être compris par tous et de saisir tout ce qu’on me disait. La plupart du temps je répondais de légers « Haiiii. » en hochant un peu la tête alors que je ne savais tout bonnement pas ce qu’on me demandait. J’avais plus de facilité à lire, je ne pouvais pas connaître la prononciation des mots mais les kanji venant du chinois je comprenais globalement. Maintenant, ça fait deux ans que je vis ici et je ne m’y sens toujours pas chez moi. D’accord, en Chine je n’étais pas dans mon élément non plus, avec toutes ces obligations et cette famille si exigeante, je n’étais pas gâté, mais le Japon ne m’offre pas de situation plus facile, finalement. Le seul avantage que j’aurai tiré de cette fuite au pays du soleil levant aura été la liberté à laquelle j’aspirai tant depuis de nombreuses années et rien d’autre. Je me demande souvent ce qui pourrait se passer si mon père me retrouvait et m’obligeait à rentrer au pays. Sans doute devrais-je me marier, reprendre la succession de l’entreprise familiale, et peut-être même avoir des gosses alors que je n’ai envie de faire aucune de ces choses. C’était nul de sa part de chercher à me caser de la sorte par la force. J’aurais trompé la fille aussitôt qu’elle et mon paternel auraient eu le dos tourné et me serais arrangé pour créer un nouveau scandale alors à quoi bon se fatiguer ? Je suis un fils indigne pour des parents encore plus indignes, après tout. À charge de revanche.
Bref, trotter toute la journée pour gagner de l’argent et pour apprendre l’informatique entre quatre murs enfermant la chaleur comme dans un four, c’était limite si je devenais fou. En sortant officiellement des cours, à peine la sonnerie avait-elle retenti dans les couloirs que je m’étais déjà rué hors de la salle pour mieux pouvoir me jeter dans la rue bruyante. Tokyo est une ville toujours en mouvement, normal c’est la ville la plus peuplée du monde. On y voit toutes sortes d’individus, on se fond dans la masse et personne ne se regarde lors des déplacements. Tout le monde sauf moi. Quand je marche, j’observe toujours ceux qui m’entourent. À cette heure-ci, beaucoup d’hommes d’affaires, en costard noir avec un air sérieux ou préoccupé plaqué contre leur visage ridés. Quelques lycéens et lycéennes qui viennent eux aussi de terminer l’école et qui se rendent peut-être à leurs cours du soir. Des femmes au foyer se promenant dans le but de faire des courses pour alimenter toute une famille. En fait, juste des êtres humains sans nom pour moi qui pourtant, mène probablement une vie aussi dure que la mienne sous d’autres angles une fois la rue quittée. Ça me plaît de m’attarder sur les autres et de leur inventer des histoires abracadabrantes pour me distraire. Cet homme X a des problèmes financier et a eu recours à la mafia pour s’en sortir, mais depuis c’est un homme apeuré à l’idée de les rembourser… la femme Y là-bas a trompé son mari avec son meilleur ami et elle vient d’apprendre qu’elle est enceinte… ces scénarios catastrophes ne sortent jamais de mon esprit mais ça m’occupe au moins toujours lorsque je sors tout seul. J’aime pas ne pas avoir quelque chose à faire où à quoi penser, en plus, donc ça tombe assez bien pour faire marcher mon cerveau un peu. Depuis que j’ai quitté la Chine, il a tendance à se reposer un peu trop souvent…
J’eus vite fait d’arriver à mon immeuble en empruntant le métro et après avoir monté les quelques étages qui séparaient le rez-de-chaussée de mon appartement quatre à quatre -l’ascenseur étant en panne, pour changer-, j’ouvris la porte avec un soupir quasi-désespéré. J’en avais mortellement marre de cette journée et ma seule envie du moment était de m’étaler sur le canapé et de regarder la télé quelques minutes pour finir par m’endormir comme une masse face à une émission sans doute débile. Ils ne passent que ça, actuellement. Je n’avais pas franchement envie de bouger ce soir, bien que le lendemain j’aie congé et donc que la nuit s’offrait généreusement à moi. En plus, aucun client ne m’avait contacté et quand bien même quelqu’un l’aurait fait, j’étais tellement mort que j’aurais refusé le boulot. C’est clair que personne ne veut une loque dans son lit, non ? Même moi j’en voudrais pas…
Donc, une fois arrivé, je m’écroulai littéralement sur le canapé et ne pris même pas la peine d’allumer la télévision. Après tout je savais bien que je ne la regarderai pas très longtemps et effectivement, il ne me fallu que très peu de temps avant que je ne me fasse kidnapper par le sommeil, les mains posées sur le ventre. Je devais avoir l’air d’un papy octogénaire qui fait sa sieste… C’est en milieu de soirée qu’un crissement de pneus en bas de chez moi me tira de mes songes. Je me tournai sur le côté et jetai un regard à ma montre qui m’indiquait qu’il était bientôt 22h. L’heure fatidique où il fallait que je sorte, en temps normal. Je réfléchis quelques secondes avant de me lever d’un bon pour me préparer. Finalement, j’avais besoin de me changer un peu les idées et une sortie en boîte ou un truc du genre m’aurait fait un bien fou pour décompresser de la journée. Rapidement, je me préparai par un passage abrégé à la douche et un séchage express de cheveux avant de changer de vêtements sans vraiment faire attention à ce que je mettais. Je sais que je suis canon quel que soit le déguisement alors à quoi ça sert d’y porter encore un intérêt quelconque ? Si ça se trouve je pourrai les enlever en cours de soirée si je trouve un mec intéressant, alors à quoi bon trop se charger ? Je pris mes clés d’appart’ et mon portable avant de sortir et de refermer correctement la porte derrière moi. La dernière chose au monde que j’avais envie de faire étant de marcher, je montai dans un taxi chopé avec un certain coup de chance puis lui indiquai le nom du club que je comptais visiter ce soir. À peine arrivé je lui lançai quelques billets sans attendre qu’il rende ma monnaie et descendis du véhicule. Pas même besoin de m’arrêter à l’entrée puisque l’homme posté là me connaissait et il me salua même d’un léger geste de la tête que je lui rendis distraitement en me passant une main dans les cheveux. Je marchai tranquillement jusqu’au bar et posai mes fesses sur un tabouret en commandant un simple wisky. Un sourcil haussé, je passais quelques minutes à observer les gens sur la piste de danse jusqu’à ce que mon regard bute contre une personne que je connaissais. Je plissai le nez quelques secondes pour m’assurer que je ne me trompais pas et me levai pour me glisser entre les danseurs et le surprendre depuis derrière. Arrivé à sa hauteur, je déposai mes mains sur ses hanches pour lui stopper tout mouvement et glissai mes lèvres vers son oreille.
« Tu danses sans moi, Kazu-chan ? »
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