1. Si un de mes amis se trouvent dans cette situation, je prendrais un grand plaisir à venir le secourir de ces sirènes, je hais profondément tout ce qui peut toucher au monde magique. Alors je chercherais simplement pendant quelques minutes quel sort je pourrais pratiquer pour le sortir de ce périple. Même si je peux me montrer froid envers certaines personnes, je tiens énormément à mes amis et de simples sirènes ne m’effraieront pas, il y a des choses biens plus difficiles à affronter dans sa vie. Je ne suis pas quelqu’un de très doué en cours mais une idée me viendrait à l’esprit pour secourir mon ami, je me souviens vaguement d’un cours de sortilège qui pourrait sans doute m’aider. Alors c’est ainsi que je lancerais un « protiéforme » pour divertir l’ennemi en faisant changer l’eau de forme pour qu’elle ressemble à une bête féroce de mon imaginaire. Alors qu’elles seraient quelques peu perturbées, j’en profiterai pour faire en sorte que mon ami ressorte de sa torpeur. Et si ce sort ne marche pour les divertir, j’essaierai d’autres sorts inoffensifs pour que celui-ci s’échappe enfin. Même si je n'aime pas particulièrement pas la magie, voir détester la magie, s'il faut l'utiliser pour sauver mon ami je le ferais... sacrifions-nous un peu. La seule chose que j’espère c’est qu’avec le temps qui se déroulerait, je ne me ferais pas moi non avoir par elles. Résister à ses créatures reste assez complexe et difficile.


2. Choix B. Depuis ma première année à Akiwa, j'ai toujours fait en sorte d'éviter les rassemblements de ce type consacré au sport sorcier, j'ai toujours haï tout ce qui touchait au monde magique alors vous ne verrez tout simplement jamais fêter la victoire de mon équipe. Alors sans hésitation je leur expliquerais que je préfère travailler mes cours de botaniques -ce qui ne serait surement pas le cas -, comme si je me préoccupais un seul instant de mes études, si j’ai réussi à redoubler une fois c’est que j’ai bien d’autres choses à penser. Mes études passent bien souvent en second rang. Etant donné que je n’ai pas prévu plus tard de vivre dans ce monde, à quoi bon s’y intéresser ? M’endormir, sans aucun doute que j’y arriverais, il n’y a rien de plus endormant que mes cours de botaniques. En me réveillant j’aurai alors la surprise de voir que mes notes ont disparus. Et c’est sans aucun doute qu’avec un sadisme avoué que j’irais à la rencontre de ces étudiants qui se croient bien malins, si pour une fois, j’ai pris la peine de faire des notes, il est sûr que j’irai leur montrer ce que je pense de leurs actions. Ils sont bien pathétiques, et je leur ferais savoir avec un sadisme avoué.


3. Se faire attraper si bêtement ? Vraiment, cela ne serait pas forcément dramatique. Depuis mon entrée à l’école j’ai dû déjà me faire attraper plusieurs fois pour cette même situation et autant dire que cela ne me préoccupe vraiment pas. N’étant nullement effrayé, je resterais sur place prêt à l’affronter ne niant nullement l’évidence. Oui, je suis sorti en dehors des horaires de ma salle commune et je n’en vois pas le problème. Je lui énoncerai la vérité même si je serais la cible de sa colère, faire perdre des points à ma maison ne m’a jamais posé de problèmes et ce n’est pas maintenant que cela va m’inquiéter. Ce n’est pas comme si je m’inquiétais du règlement de cette école !


4. Au risque de décevoir mon cher directeur, j’hésiterais sans aucun doute à lui montrer ce fameux document. Je ne refuserais jamais, ô grand jamais d’échapper à quelques heures de colles – et autant dire que je ne fais que les collectionner depuis ma première année-. Le directeur pourra sans aucun doute être déçu de mon comportement, mais je n’y ferais que peu attention. Ce n’est pas comme si j’accordais la moindre attention à cette école ! Avec un peu de chance, si celui-ci entend parler de ma faute, peut-être qu’il voudra me faire expulser de cette école après tout, j’aurais trahi sa confiance. Si cela arrivait j’en serais ravi ! Mon père ne pourra plus me forcer à venir à Akiwa…


5. Les nés moldus sont pour moi les êtres les plus respectables de ce bas monde, ce sont eux qui vivent bien en dehors de tout ce système de sang, loin de toutes les souffrances que peuvent engendrer cette logique irréfléchie. Les nés moldus sont bien plus chanceux que moi, aucun poison ne circule dans leurs êtres, ce poison qui menait à la folie ces êtres, ce sang-pur. Ma mère n’était-elle pas devenue déséquilibrée juste pour ce sang ? Personne n’oserait abandonner son enfant, c’était ce monde et toute cette magie qui l’avait rongé pour qu’elle devienne ainsi, elle ne vit maintenant qu’au travers de préjugés tous aussi insensés que ceux des races de mon monde d’origine. Ce sang n’est que poison, comment tous ces sangs-purs pouvaient-ils seulement affirmer leur supériorité ? Tout était logiquement le contraire, ne croyez-vous pas ? Ceux-ci ne devaient que les envier après tout, ils n’avaient aucun poison en eux et pouvaient vivre de la manière la plus simple au monde. Loin de toute cette magie et ses préjugés insensés qui regorgeaient ce monde. Oui, les nés moldus sont sans doute les personnes les plus respectables de ce monde et les plus méritantes.


6. Si vous croyez tomber sur une de ces histoires bien roses vous vous trompez durement. Je suis né de l’union de deux êtres, une sang-pur et un né moldu. Rien de bien glamour quand on prend le temps de réfléchir, surtout lorsqu’on peut voir le sort que m’a réservé ma chère mère. Ma mère aveuglement amoureusement de mon père, n’a découvert que ses réelles origines qu’à ma naissance, lorsque la vérité fut dévoilée. Il lui a menti de longues années lui faisant simplement croire qu’il était, comme elle, un sang-pur. Mais à ma naissance il lui révéla l’exactitude de ses origines, n’arrivant tout simplement plus à lui mentir. Celle-ci, ne l’a pas accepté et m’a « renié », elle était tombée sous le charme d’un né moldu, ces êtres qu’elle détestait tant. Depuis, je vis auprès de mon père dans le monde moldu et j’ai grandi en nourrissant une haine profonde pour les sangs-purs et la magie, cette magie qui a fait en sorte que ma vie devienne si pénible. D’ailleurs si je suis à Akiwa, c’est seulement pour faire plaisir à mon père. Si ça ne tenait qu’à moi, je vivrais dans le monde moldu.